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Ribécourt-Dreslincourt

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Ribécourt-Dreslincourt
Ribécourt-Dreslincourt
Vue aérienne.
Blason de Ribécourt-Dreslincourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC des Deux Vallées
Maire
Mandat
Jean-Guy Létoffé
2020-2026
Code postal 60170
Code commune 60537
Démographie
Gentilé Ribécourtois et Dreslincourtois, Ribécourtoises et Dreslincourtoises
Population
municipale
3 746 hab. (2021 en évolution de −0,87 % par rapport à 2015)
Densité 289 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 39″ nord, 2° 55′ 24″ est
Altitude Min. 33 m
Max. 187 m
Superficie 12,98 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Ribécourt-Dreslincourt
(ville-centre)
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Ribécourt-Dreslincourt
Géolocalisation sur la carte : France
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Ribécourt-Dreslincourt
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Ribécourt-Dreslincourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Ribécourt-Dreslincourt
Liens
Site web http://www.ribecourt-dreslincourt.fr/

Ribécourt-Dreslincourt [ʁibekuʁ dʁɛlɛ̃kuʁ] est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Entre Noyon et Compiègne, le village est desservi par la route départementale 1032.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le canal latéral à l'Oise, l'Oise, le canal 01 de la commune de Cambronne-les-Ribecourt[1], le canal 02 de la commune de Cambronne-les-Ribecourt[2], le Marais de Belle-Anne[3], le ru du Buisson aux Renards[4] et le ru Lannois[5],[6],[Carte 1].

Le canal latéral à l'Oise est un canal de gabarit Freycinet qui dessert l'Est de la Picardie. D'une longueur de 35, il connecte le canal de Saint-Quentin (depuis Chauny) à l'Oise canalisée à hauteur de JanvilleChauny) à l'Oise canalisée à hauteur de Janville, après avoir traversé 22 communes[7].

L'Oise prend sa source en Belgique, à 309 mètres d'altitude, dans l'ancienne commune de Forges et se jette dans la Seine à 20 mètres d'altitude, au Pointil en rive droite et en aval du centre de Conflans-Sainte-Honorine dans le département des Yvelines. D'une longueur 341 kilomètres, elle est presque entièrement navigable et bordée de canaux sur 104 kilomètres[8].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Ribécourt-Dreslincourt[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 013 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Oise moyenne. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE est, en 2024, encore en élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du SAGE Oise-Moyenne (SMOM)[9].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s'agit d'une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

Les paramètres climatiques qui ont permis d'établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

  • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 704 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1976 à 2015 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[16]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records RIBECOURT (60) - alt : 43 m 49° 30′ 30″ N, 2° 55′ 06″ E
Records établis sur la période du 01-01-1976 au 31-08-2015
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1 3,2 5 8,8 11,5 13,5 13,1 10,4 7,8 4 1,8 6,8
Température moyenne (°C) 3,8 4,4 7,5 10,2 14 16,8 19,1 18,9 15,6 11,9 7,2 4,3 11,2
Température maximale moyenne (°C) 6,5 7,8 11,8 15,4 19,2 22,1 24,7 24,6 20,8 16 10,3 6,8 15,5
Record de froid (°C)
date du record
−19
17.01.1985
−12,5
07.02.1991
−10
13.03.13
−4
12.04.1986
−1
07.05.1979
0
05.06.1976
5
22.07.1980
4
24.08.1980
0
19.09.1977
−4
28.10.03
−11
24.11.1998
−11
29.12.1996
−19
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
05.01.1999
20,3
24.02.1990
24,1
27.03.1989
28
25.04.07
32,9
27.05.05
36,5
27.06.11
38,6
01.07.15
39,7
12.08.03
33,2
05.09.13
29
01.10.11
21,1
01.11.14
17,7
07.12.00
39,7
2003
Précipitations (mm) 64,1 52 60,9 53,8 67,5 61,1 57,8 64,2 52,8 70 62,2 72 738,4
Source : « Fiche 60537001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Au , Ribécourt-Dreslincourt est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Ribécourt-Dreslincourt[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 6],[18],[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[19]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (47,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,2 %), forêts (35,2 %), zones urbanisées (12,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8 %)[22]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La gare de Ribécourt est desservie par des trains TER Hauts-de-France de la ligne P14 effectuant des missions entre les gares de Compiègne et de Saint-Quentin.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 668, 681, 6306, 6321 et 6334 du réseau interurbain de l'Oise[23].

Ribécourt est attesté sous les formes Ribercourt (vers 1130) ; de Riberticurte (vers 1150) ; Ribercurt (1155) ; Petrus de ribecort (vers 1200) ; Petrus de Ribercourt (1218) ; Ribercort (1243) ; Wis de Ribercort (1266-67) ; Henri de Ribercourt (1283) ; Ribecourt (1283) ; Petrus de Riberti curia (1285) ; Ribeicourt (XIIIe) ; Ribescourt (1646) ; Rainbercour (1667) ; Ribécourt (1730)[24].

Dreslincourt est attesté sous les formes Drailincurtis (1060) ; Dreilincurt (1112) ; in drailincort (1126) ; alodium in Drailincurt (1128) ; de Drailincurte (1155) ; Dralincurte (1155) ; Drelincort (vers 1167) ; Drogo de Drellencort (vers 1167) ; Dreilincort (vers 1170) ; Drailincurth (1176) ; alodium de drailincort (1179) ; Drauslincourt (1179) ; Dralincourt (1184) ; Drailincort (1189) ; Drailincourt (1189) ; Drailincurt (XIIe) ; Gilonem de Drainlicort (vers 1200) ; in territorio de Drailincurte (1253) ; Drainlincourt (XIIIe) ; Derelincurum (1308) ; Derelincurtis (1308) ; de drelaincourt (1320) ; drelincourt (1376) ; Drelincourt (vers 1530) ; Drellincour (1667) ; Drelincour (vers 1700) ; Dreslincourt (1840) [25].

Ribécourt et Dreslincourt furent toutes deux soumises à l'occupation romaine. Ribécourt appartenait à l'abbaye Saint-Eloi de Noyon et Dreslincourt formait une paroisse importante divisée en plusieurs seigneuries. Ribécourt eut des seigneurs particuliers jusqu'au XVe siècle. À la Révolution, ces juridictions seigneuriales furent abolies, Ribécourt devint le chef-lieu d'un canton dans l'arrondissement de Compiègne.

Ribécourt était et reste une commune importante par ses industries. Depuis 1850, les nombreuses tentatives d'entrepreneurs locaux ont dynamisé la commune. La traversée de grandes voies de communication a développé le commerce local, l'artisanat et les divers échanges ; implantation de sucreries à partir de la betterave à sucre, des briqueteries-tuileries à partir de la glaise, d'usines de produits chimiques à partir de la craie et du calcaire extraits des carrières. Le village de Dreslincourt est en perte démographique depuis le milieu du XIXe. Malgré ses commerces, sa population vit traditionnellement du travail de la terre (cultures céréalières) et de l'élevage ovin. L'exploitation des carrières de la Montagne d'Attiche, surexploitées entre 1820 et 1890, est supplantée par la culture du champignon de Paris. On y a longtemps cultivé la vigne, au milieu du XIXe siècle on en cultivait encore 76,38ha[26] dans le canton de Ribécourt. À l'aube du XXe siècle, le seul élément novateur est la construction d'un hospice (œuvre du baron Mennechet).

Château en ruine de Dreslincourt

Dès 1914, sur la route de Paris, Ribécourt essuie durant la guerre de positions, de nombreux bombardements. Elle sera évacuée au printemps 1915. De l'autre côté du front, Dreslincourt, côté allemand est entièrement rasée par l'artillerie française et une partie de sa population déplacée ou déportée. Ribécourt, ruinée, se relèvera rapidement par sa fonction politique de chef-lieu, sa situation géographique et sa tradition industrielle. La renaissance de Dreslincourt, traumatisée, sera plus longue. Village détruit, familles décimées, patrimoine dissous, Dreslincourt ne bénéficiera pas de l'essor lié à la reconstruction comme Ribécourt, mais sa proximité limitera néanmoins l'exode rural.

Les deux communes se sont associées en 1972 et un maire-adjoint a été nommé à Dreslincourt. Depuis le , les deux communes ont officiellement fusionné.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 septembre 1999[27] Roland Florian PS puis DVG Cadre
Député de l'Oise (1986 → 1988)
Député de l'Oise (2e circ) (1978 → 1986)
Conseiller général de Ribécourt-Dreslincourt (1979 → 1992)
Démissionnaire d'office
septembre 1999[27] En cours
(au 27 mai 2020)
Jean-Guy Létoffé DVG Retraité
Vice-président de la CC des Deux Vallées (2014 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29]

Distinctions et labels

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Ville fleurie : une fleur attribuée en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[30].

Drapeau de la Belgique Engis (Belgique).

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 3 746 habitants[Note 8], en évolution de −0,87 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
452512544510602629582677609
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
617703675709696737688854826
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
8818838228811 1101 4301 5041 4111 602
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 1582 2083 7713 4663 7063 9523 9283 9123 900
2017 2021 - - - - - - -
3 7483 746-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 851 hommes pour 1 873 femmes, soit un taux de 50,3 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,9 
6,6 
75-89 ans
8,3 
14,2 
60-74 ans
17,0 
22,1 
45-59 ans
20,3 
17,0 
30-44 ans
18,4 
20,4 
15-29 ans
17,4 
19,3 
0-14 ans
17,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

En , le site chimique historique « Seco » ferme. Quatre-vingt-deux emplois directs sont supprimés, 200 à 250 emplois indirects[37].

Culture locale et patrimoine

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Sites et monuments

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  • Église Saint-Rémi (Ribécourt)
  • Église Saint-Eloi (Dreslincourt)
  • Château (XVIe siècle)
  • La grotte des Cinq Piliers
  • Le mémorial d'Attiche
  • Le monument aux morts (Ribécourt).

Personnalités liées à la commune

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Culture Populaire

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  • La ville de Ribécourt est une des campagnes du jeu-vidéo Battlefield 1.

Héraldique

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Armes de Ribécourt-Dreslincourt

Les armes de Ribécourt-Dreslincourt se blasonnent ainsi :

Accolés: Au premier d'azur à la fasce d'argent accompagnée en chef de trois étoiles d'or; au second: parti d'azur à trois croisettes potencées d'argent, et de gueules à la vache aussi d'argent; le tout sommé d'un chef d'or chargé d'un château de sinople[38].

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
  5. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  6. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l'agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Ribécourt-Dreslincourt comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Ribécourt-Dreslincourt » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « le canal 01 de la commune de Cambronne-les-Ribecourt »
  2. Sandre, « le canal 02 de la commune de Cambronne-les-Ribecourt »
  3. Sandre, « le Marais de Belle-Anne »
  4. Sandre, « le ru du Buisson aux Renards »
  5. Sandre, « le ru Lannois »
  6. « Fiche communale de Ribécourt-Dreslincourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  7. Sandre, « le canal latéral à l'Oise »
  8. Sandre, « l'Oise »
  9. « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  13. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d'outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le ).
  16. « Fiche du Poste 60537001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. « Unité urbaine 2020 de Ribécourt-Dreslincourt », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Ribécourt-Dreslincourt ».
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. « Transports en commun à Ribécourt-Dreslincourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  24. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 472.
  25. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 184.
  26. Louis GRAVES (1827-1855) Précis statistique Annuaire de l'Oise
  27. a et b Régis Lefèvre, « Jean-Guy Létoffé repart au combat », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire depuis 1999 - année où son prédécesseur, le socialiste Roland Florian, déjà très malade, avait été placé sous tutelle - Jean-Guy Létoffé avait ensuite été réélu en 2001 ».
  28. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Une nouvelle équipe municipale se met en place ! », L'Info locale - Le journal de la Commune de Ribécourt-Dreslincourt,‎ , p. 4-6 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  29. A.C., « Jean-Guy Létoffé enfile l'écharpe tricolore pour son cinquième mandat », Oise Hebdo, no 1369,‎ , p. 22 (ISSN 1774-6418).
  30. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎ .
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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