Rimplas
Rimplas | |||||
Centre du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Nice | ||||
Intercommunalité | Métropole Nice Côte d'Azur | ||||
Maire Mandat |
Pascal Guglielmetti 2022-2026 |
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Code postal | 06420 | ||||
Code commune | 06102 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Rimplassois | ||||
Population municipale |
133 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5,3 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 03′ 52″ nord, 7° 07′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 400 m Max. 2 649 m |
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Superficie | 24,95 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nice (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Tourrette-Levens | ||||
Législatives | 5e circonscription des Alpes-Maritimes | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | https://www.ville-rimplas.fr/ | ||||
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Rimplas [ʁɛ̃plas] est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Rimplassois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Commune située à 12 km de Saint-Sauveur-sur-Tinée.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Ilonse, Saint-Sauveur-sur-Tinée et Valdeblore.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]À cheval sur deux vallées, le Val de Blore[1] et la Tinée, le village de Rimplas occupe une position stratégique[Pour qui ?].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Cours d'eau sur la commune ou à son aval[2] :
- rivière la Tinée,
- vallons de mollières, du romarinier, de la figaïrasse, de bramafam, de cabane vieille,
- le riou.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 044 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 908,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10,7 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,6 | 0,3 | 2,7 | 5,8 | 8,8 | 12,8 | 15,4 | 15,5 | 11,8 | 8,4 | 4,2 | 1,5 | 7,3 |
Température moyenne (°C) | 4,4 | 4,7 | 7,8 | 11 | 14 | 18,2 | 21,4 | 21,6 | 17,4 | 13 | 7,9 | 5,2 | 12,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,1 | 9,1 | 12,8 | 16,2 | 19,2 | 23,7 | 27,4 | 27,7 | 22,9 | 17,5 | 11,6 | 8,9 | 17,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−7,2 31.01.12 |
−10,7 27.02.18 |
−5,8 01.03.18 |
−3,7 07.04.21 |
−0,7 05.05.19 |
5,2 09.06.13 |
6,4 15.07.16 |
7,7 05.08.10 |
2,3 28.09.07 |
−1,6 28.10.12 |
−5,7 27.11.10 |
−8,4 18.12.10 |
−10,7 2018 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20,4 28.01.08 |
22,2 03.02.20 |
24,1 31.03.15 |
27,3 09.04.11 |
31,7 24.05.09 |
35,4 28.06.19 |
35,3 18.07.23 |
35,5 23.08.23 |
32,5 10.09.08 |
27,8 08.10.23 |
22,5 10.11.15 |
19,9 31.12.21 |
35,5 2023 |
Précipitations (mm) | 69,3 | 61,6 | 60,5 | 86,3 | 89,7 | 78,6 | 48 | 41,8 | 56,7 | 109,7 | 123,5 | 83,1 | 908,8 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
8,1 0,6 69,3 | 9,1 0,3 61,6 | 12,8 2,7 60,5 | 16,2 5,8 86,3 | 19,2 8,8 89,7 | 23,7 12,8 78,6 | 27,4 15,4 48 | 27,7 15,5 41,8 | 22,9 11,8 56,7 | 17,5 8,4 109,7 | 11,6 4,2 123,5 | 8,9 1,5 83,1 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Rimplas est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (42,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (13,4 %)[12].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 137, alors qu'il était de 130 en 2013 et de 118 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 36,3 % étaient des résidences principales, 47,6 % des résidences secondaires et 16,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 39 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 60,2 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Rimplas en 2018 en comparaison avec celle des Alpes-Maritimes et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (47,6 %), très supérieure à celle du département (25,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (61,6 % en 2013), contre 55,3 % pour les Alpes-Maritimes et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Rimplas[I 2] | Alpes-Maritimes[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 36,3 | 66,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 47,6 | 25,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 16,1 | 8,4 | 8,2 |
Planification de l'aménagement
[modifier | modifier le code]La commune disposait d'un plan d'occupation des sols[13].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Accès par la route nationale 202 depuis le pont de la Mescla, puis la départementale 2205[14].
- Commune desservie par le réseau Lignes d'Azur[15].
- Navette : transport gratuit pour Roquebilière[16].
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Le , de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[17]. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le . L'Arrêté du portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Rimplas, au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au "[18].
Commune située dans une zone de sismicité moyenne[19].
Toponymie
[modifier | modifier le code]L’ancienneté de son implantation est attestée par l’origine de son nom, In Rege placito, qui apparaît pour la première fois en 1067 dans le cartulaire de la cathédrale de Nice. La conjonction du nom germanique ragin et du latin placitum indique que Rimplas était le siège d’une juridiction carolingienne et témoigne de son importance au Moyen Âge. Le nom se transforme en Raiplaz et Raimplaz au XIIe siècle pour devenir Rimplas en 1760.
Histoire
[modifier | modifier le code]La rareté des sources écrites ne permet pas de connaître l’histoire du village jusqu’au début du XVIIIe siècle. Le site du village pourrait avoir été fortifié et peut-être déplacé à une époque indéterminée à l’endroit qu’il occupe actuellement. Par ailleurs, les traces d’un ensemble de constructions de pierres sèches ont été découvertes à proximité.
Un château était édifié sur le promontoire dominant le village. Sur ses ruines, l’armée française fit construire en 1928 un fort de type Maginot, un des plus puissants du Sud-Est, permettant, grâce à son artillerie, de verrouiller l’accès de la vallée de la Tinée aux troupes italiennes[20]. À un kilomètre et demi de l’agglomération se trouvent les ruines de l’église Saint-Étienne de Blora, prieuré de l’abbaye de Saint-Dalmas de Pedona mentionné dans les archives en 1351. Rimplas a eu notamment pour seigneurs les Grimaldi, depuis 1473[21].
L’étroitesse du territoire communal ne permettait qu’à une petite communauté d’habitants d’y subsister mais, grâce à son étagement, de la Tinée jusqu’à la haute montagne, on y cultivait l’olivier, la vigne et le blé et on y pratiquait l’élevage[réf. nécessaire].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Nice du département des Alpes-Maritimes.
Elle faisait partie depuis l'Annexion du comté de Nice à la France du canton de Saint-Sauveur-sur-Tinée[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Tourrette-Levens
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription des Alpes-Maritimes.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Rimplas était membre de la communauté de communes de la Tinée, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, la métropole Nice Côte d'Azur, dont est désormais membre la commune, est issue de la fusion de la communauté urbaine Nice Côte d'Azur avec la communauté de communes de la Tinée ainsi qu'avec les communautés de communes des stations du Mercantour et de Vésubie-Mercantour auxquelles s'est jointe la commune de La Tour.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[28] :
- Écoles maternelles et primaires à Saint-Sauveur-sur-Tinée, Valdeblore,
- Collèges à Saint-Sauveur-sur-Tinée, Roquebillière,
- Lycée à Valdeblore.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[29][Quand ?] :
- Médecins à Saint-Sauveur-sur-Tinée, Saint-Martin-Vésubie, Roquebillière,
- Pharmacies à Saint-Martin-Vésubie, Roquebillière,
- Hôpitaux à Saint-Martin-Vésubie, Roquebillière.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].
En 2021, la commune comptait 133 habitants[Note 3], en évolution de +23,15 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, paroisse Notre-Dame de la Tinée[33], Diocèse de Nice.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]Tourisme
[modifier | modifier le code]- Gîtes communaux[34].
- Hôtellerie du randonneur
- Restaurant
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine militaire
[modifier | modifier le code]- Vestiges de l'ancien château du XIIe siècle,
- Ouvrage de Rimplas, d'abord appelé de la Madeleine, premier ouvrage de la ligne Maginot[35],[36],[37],
- Le petit ouvrage de Fressinéa, annexe du précédent[38].
Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]- Église paroissiale Saint-Honorat, baroque, avec clocher moderne[39],
- Chapelle Sainte-Marie-Madeleine, vers le fort[40],
- Chapelle Saint-Roch, à l'entrée sud du village[41],
- Chapelle Saint-Étienne, dite Saint-Estève[42],
- 6 oratoires[43],
- Monument aux morts[44].
Patrimoine culturel et rural
[modifier | modifier le code]- Le musée des traditions populaires présentant des outils retraçant une vie agricole et pastorale[45] ;
- la galerie de sculptures de Serge Doglio[46] ;
- les fontaines et lavoirs ;
- le four communal.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D’or au bourdon de pèlerin mouvant de la pointe, accosté de deux étoiles de huit rais, le tout de gueules[47] |
|
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Détails | Ces armoiries, qui comportent deux étoiles et un bourdon de pèlerin, rappellent que Rimplas appartenait au comté de Beuil et que saint Roch est patron du village. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Roquebillière à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Saint-Sauveur-sur-Tinée : pp. 860 à 861 : Rimplas
- Philippe de Beauchamp, Le haut pays méconnu. Villages & hameaux isolés des Alpes-Maritimes, p. 88, Éditions Serre, Nice, 1989 (ISBN 2-86410-131-9)
- Marianne Verrando, Rimplas et son fort la Madeleine , imprimeur Robert à Nice , 2018.
- Archives départementales des Alpes-Maritimes : plan cadastral de Rimplas de 1785
- Rimplas : le Comté de Nice en 1850; Murs et linteaux
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Rimplas », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/7//2023 (consulté le ).
- « Rimplas » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Rimplas - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Rimplas - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans les Alpes-Maritimes - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Le Val de Blore, large val perché ceinturé de montagnes, à cheval entre les vallées de la Vésubie et de la Tinée
- L'eau dans la commune
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rimplas_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Rimplas_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Plan d'occupation des sols
- Plan de situation
- Réseau régional de transport
- Navette : transport gratuit pour Roquebilière
- Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
- Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor
- Zonage sismique de la Métropole Nice Côte d'Azyr
- Histoire de Rimplas. Fort de la Madeleine et son annexe de la Fraissinea
- CG06 : Le village de Rimplas
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Municipales à Rimplas: un combat générationnel pour l'avenir du village : C'est presque une élection générationnelle qui se déroulera dimanche en un seul tour. D'un côté, le maire sortant André Molinari, retraité, qui à 67 ans brigue sur son bilan un 3e mandat. Face à lui Christelle D'Intorni, 28 ans, avocate », Nice-Matin, (lire en ligne, consulté le ).
- Lila Bruandet, « Législatives 2022. Qui est Christelle d'Intorni, nouvelle députée de la 5e circonscription à Nice ? : Christelle d'Intorni (LR) est la nouvelle députée de la 5e circonscription des Alpes-Maritimes, au nord-ouest de Nice. Elle succède à Marine Brenier (Ensemble). Voici son parcours », Actu Nice, (lire en ligne, consulté le ).
- « Christelle d’Intorni, l’indomptable qui défie Estrosi : La nouvelle députée LR des Alpes-Maritimes n’est pas du sérail. Devenue maire du petit village de son enfance, l’élue s’est bâti une réputation d’opposante virulente au maire de Nice. Elle forme, depuis, un binôme de combat avec Éric Ciotti dans le département et à l’Assemblée. Portrait. », Valeurs actuelles, (lire en ligne, consulté le ).
- « Christelle D'INTORNI : Députée des Alpes-Maritimes », sur hatvp.fr, (consulté le ).
- Laure Bruyas, « "Christelle d’Intorni est le maire de cœur de Rimplas", selon son successeur Pascal Guglielmetti : Les lundis des maires Pascal Guglielmetti, 55 ans, a succédé à la médiatique députée ciottiste dans son fief de La Tinée. Il poursuit le chemin entre loyauté indéfectible et amour du villag », Nice-Matin, (lire en ligne, consulté le ) « L’ancien premier adjoint a été élu après la démission de l’enfant du pays devenue députée de la 5e circonscription ».
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Paroisse Notre-Dame de la Tinée
- Gîtes communaux
- « ouvrage mixte du secteur fortifié frontalier dit ouvrage de la Madeleine ou ouvrage de Rimplas », notice no IA06000058, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
- Ouvrage mixte dit ouvrage de la Madeleine, dit ouvrage de Rimplas, secteur fortifié des Alpes-Maritimes
- http://www.montnice.fr/cartographie/fr/fort-rimplas [Fort de Rimplas]
- « ouvrage d'infanterie du secteur fortifié frontalier dit ouvrage de Fressinea », notice no IA06000057, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Christiane Lorgues-Lapouge, René Lorgues, Comté de Nice baroque - Tome 1 : La vallée de la Tinée, p. 46-49, Encyclopædia Niciensis, Volume V, Serre éditeur, Nice, 2004 (ISBN 2-86410-416-4) ; p. 99
- Les chapelles du village
- Chapelle Saint Roch
- Chapelle Saint Étienne de Blora
- Oratoires
- Monument aux morts, Conflits commémorés : 1914-1918
- Patrimoine culturel et rural
- La galerie de sculptures de Serge Doglio
- Dominique Cureau, « La Tinée : Rimplas », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).