Saint-Julien-du-Pinet
Saint-Julien-du-Pinet | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Yssingeaux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Sucs | ||||
Maire Mandat |
Christian GIBERT 2020-2026 |
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Code postal | 43200 | ||||
Code commune | 43203 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
492 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 29 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 09′ 10″ nord, 4° 02′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 637 m Max. 1 186 m |
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Superficie | 17,2 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Yssingeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Yssingeaux | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Saint-Julien-du-Pinet est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]C’est une commune de moyenne montagne, qui culmine à 1 186 m au suc de Jorance, dans l’extrême sud de son territoire. Parmi les autres sommets situés dans la commune on peut citer le suc des Horts (914 m), le Pied de Glavenas (1 045 m, un peu au nord du piton rocheux que coiffe la chapelle de Glavenas), le suc de Charbonnière (981 m) et le suc d’Alibert (939 m). Se trouvent en partie sur le territoire de la commune le suc de Cornavy (943 m) et le suc d'Ayme (1 137 m), dont le flanc sud-ouest et ouest, respectivement, appartiennent à Saint-Julien-du-Pinet.
Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Julien-du-Pinet se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 27 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 11 km d'Yssingeaux[2], sous-préfecture
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Mézères (1,8 km), Rosières (4,5 km), Bessamorel (5,1 km), Beaux (5,7 km), Retournac (5,8 km), Le Pertuis (6,4 km), Yssingeaux (6,7 km), Chamalières-sur-Loire (6,9 km).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 879 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Pertuis_sapc », sur la commune du Pertuis à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 8,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 918,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Julien-du-Pinet est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Yssingeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,9 %), forêts (35,1 %), zones agricoles hétérogènes (15 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 305, alors qu'il était de 297 en 2013 et de 283 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 66,2 % étaient des résidences principales, 22 % des résidences secondaires et 11,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,6 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Julien-du-Pinet en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (22 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,9 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Saint-Julien-du-Pinet[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 66,2 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 22 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 11,8 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Vers le XIIe siècle est bâti un château-fort sur un piton rocheux, à 979 mètres d'altitude. La seigneurie de Glavenas, dont ce bâtiment constituait le centre, fut confisquée par Philippe Auguste et mise sous tutelle de l'évêché du Puy[14], puis divisée en deux mandats. Le château fut alors laissé à l'abandon. Il en reste la chapelle, qui fut agrandie au XVe siècle, puis en 1772. La localité de Glavenas, qui comptait plus de 300 habitants, fut rattachée à Saint-Julien après la Révolution.
Une maison-forte est bâtie au lieu-dit Mortessagne, du XIIe au XIVe siècle.
Un fort donjon fut bâti au XIVe siècle près du hameau de Veyrines, puis acheté en 1653 par la famille Jourda de Vaux. C'est aujourd'hui le Château de Vaux.
La commune s'appelait Mont-Alibert en 1789, puis au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale Saint-Julien-du-Pinet[15].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Julien-du-Pinet est membre de la communauté de communes des Sucs[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Yssingeaux. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[16].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Yssingeaux, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Yssingeaux pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[17].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Font partie de la commune, outre le bourg-centre éponyme, les villages et hameaux suivants : Mortessagne, Veyrines (la localité la plus importante en nombre de maisons), Glavenas, la Gare, la Blache, les Sagnolles et Jorance.
Depuis 1999, Saint-Julien-du-Pinet fait partie de la communauté de communes des Sucs avec huit communes limitrophes.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].
En 2021, la commune comptait 492 habitants[Note 4], en évolution de +7,66 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,3 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 237 hommes pour 241 femmes, soit un taux de 50,42 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 199 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 464 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 760 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
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Commune[I 11] | 4,3 % | 5,8 % | 7,6 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 289 personnes, parmi lesquelles on compte 77,5 % d'actifs (69,9 % ayant un emploi et 7,6 % de chômeurs) et 22,5 % d'inactifs[Note 6],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Yssingeaux, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 73 emplois en 2018, contre 79 en 2013 et 64 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 205, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,8 %[I 15].
Sur ces 205 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 32 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 92,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 2,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église romane du XVIIe siècle, dans le bourg-centre.
- La chapelle castrale de Glavenas (dans le sud de la commune) est le seul édifice à subsister d’un château fort construit vers le XIIe siècle sur un piton rocheux, à 979 m d'altitude. La seigneurie de Glavenas, dont ce château constituait le centre, connut rapidement le déclin dans la première moitié du XIIIe siècle, à la suite d'une saisie par Philippe-Auguste, à la mise sous tutelle de l’évêché du Puy, et enfin, à la scission de la seigneurie en deux mandements distincts ; le château fut alors laissé à l'abandon.
La chapelle reçut des absidioles au milieu du XVe siècle et s’augmenta d’une travée en 1772. Les vitraux sont modernes.
La localité de Glavenas, longtemps commune autonome, compta plus de 300 habitants avant son incorporation dans la commune de Saint-Julien-du Pinet. - le château de Vaux, non loin du hameau de Veyrines, dans le nord de la commune, comporte un donjon de la fin du XIVe siècle, avec mâchicoulis, bretèche défensive et tourelles d’angle, mais fut pour le reste reconstruit à la fin du XIXe siècle. Protégé au titre des monuments historiques, il est cependant la propriété privée de la famille Jourda de Vaux (cf. le maréchal Noël), qui l’acquit en 1653, et ne peut être visité.
- La maison forte de Mortessagne, datée des XIIe et XVe siècles, comprend une tourelle d’escalier circulaire et une bretèche défensive surplombant l’entrée.
- Four à pain de Veyrines.
- Moulin du Pinard avec une représentation d'une galoche (train).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Noël Jourda de Vaux (1705 - 1788), maréchal de France, y est né.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Julien-du-Pinet ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Julien-du-Pinet » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Julien-du-Pinet - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Julien-du-Pinet - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Julien-du-Pinet (43203) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Julien-du-Pinet » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Julien-du-Pinet » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Julien-du-Pinet » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Julien-du-Pinet et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Julien-du-Pinet et Yssingeaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Julien-du-Pinet », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Julien-du-Pinet et Le Pertuis », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Pertuis_sapc », sur la commune du Pertuis - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Le Pertuis_sapc », sur la commune du Pertuis - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Yssingeaux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Site internet www.new.obs43.fr __"Saint-Julien-du-Pinet".
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Julien-du-Pinet », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- « communauté de communes des Sucs - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 1er octobre 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :