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Saint-Paul-le-Jeune

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Saint-Paul-le-Jeune
Saint-Paul-le-Jeune
L'église Saint-Paul.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Largentière
Intercommunalité Communauté de communes Pays des Vans en Cévennes
Maire
Mandat
Thierry Bruyere-Isnard
2020-2026
Code postal 07460
Code commune 07280
Démographie
Population
municipale
963 hab. (2021 en évolution de −2,43 % par rapport à 2015)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 20′ 28″ nord, 4° 09′ 15″ est
Altitude Min. 196 m
Max. 451 m
Superficie 14,38 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Cévennes ardéchoises
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Paul-le-Jeune
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Saint-Paul-le-Jeune
Liens
Site web saint-paul-le-jeune.fr

Saint-Paul-le-Jeune est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Saints-Pauliens et Saints-Pauliennes.[réf. nécessaire]

Géographie

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Situation et description

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Situé à l'extrêmité sud du département de l’Ardèche, Saint-Paul-le-Jeune est un village composé d'un petit bourg et de différents hameaux : les Monèdes, le Frigolet, la Brousse, la Gadilhe, les Sagnes… Ils comportent chacun quelques maisons seulement.

La commune est située à une dizaine de kilomètres de Saint-Ambroix, Gagnières, Bessèges dans le Gard et de Les Vans, Joyeuse, Vallon-Pont-d'Arc dans l'Ardèche.

La grotte de la Cocalière (3e plus belle grotte de France) s'étale sur les communes de Saint-Paul (Ardèche) et de Courry (Gard).

Communes limitrophes

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Rose des vents Banne Rose des vents
N
O    Saint-Paul-le-Jeune    E
S
Gagnières Courry Saint-André-de-Cruzières

Géologie et relief

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Le village de Saint-Paul-le-Jeune occupe une position très particulière le long d'une faille géologique qui de Saint-Sébastien se poursuit vers Banne et le bois de Païolive et sépare les terrains gréseux du Trias et les terrains calcaires du Jurassique Supérieur.

Les deux terrains qui se côtoient le long de cette faille ont assuré aux habitants pendant des siècles leur nourriture. Notamment à l'aide des sources échappées de la colline gréseuse du bois des Bartres.

Cette faille géologique a marqué l'histoire et le développement du village en favorisant le passage d'une voie de communication qui n'a fait que prendre de l'importance au cours des siècles.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 165 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Vans-Sa », sur la commune des Vans à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 251,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Le territoire communal est traversé par la Claysse, un affluent de rive gauche de la Cèze et donc un sous-affluent du Rhône.

Voies de communication

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Le territoire communal est traversé selon un axe nord-sud par la route départementale 104 (RD 104).

Au , Saint-Paul-le-Jeune est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8] et hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (41,9 %), zones urbanisées (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %)[11].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

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En 1802, sur leur demande, les habitants du Travers de Banne sont autorisés à construire leur église : l'église Saint-Paul, terminée en 1810. Une petite communauté va prendre corps autour de ce point de rencontre et au cours des travaux assumés en commun, un premier pas vers plus d'autonomie.

En 1826, les habitants du Travers de Banne adressent une pétition au Préfet pour être organisés en commune indépendante de Banne.

Le , une ordonnance du roi Louis-Philippe érige en commune particulière la paroisse du Travers de Banne sous le nom de Saint-Paul-le-Jeune[12].

Onze hameaux, situés tout au long d'une voie de communication « Banne-Saint-Ambroix et Banne-Gagnières », vont se détacher de la commune de Banne : La Crotte, Mentaresse, Les Rousses, Les Ayres, L'Église neuve, Les Sagnes, La Brousse, Les Monèdes, La Gadilhe, Sauvas, Le Frigolet.

À la suite de l'ordonnance du roi Louis-Philippe du , un arrêté du préfet du , nomme Jean Platon maire et Joseph Théodore Lacroix premier adjoint de la nouvelle commune.

En 1876, le train avec la construction de la voie de chemin de fer et la gare de Saint-Paul-le-Jeune, a favorisé le développement du village au détriment de Banne. Ce train, servait à l'origine au transport du charbon vers les hauts-fourneaux de la Vallée du Rhône et vers les usines du Midi. Puis très vite, il a drainé une partie de la population vers les filatures de la Basse Ardèche et vers les mines du Gard.

Le village était desservi, jusqu'en 1971, par la voie ferrée PLM puis SNCF de la ligne du Teil à Alès. L'ancienne gare, toujours visible, est devenue une propriété de la commune, l'ancienne remise des machines est devenue une pharmacie.

La ligne possédait deux tunnels sur Saint-Paul-le-Jeune, qui furent, un temps utilisé pour la culture de champignons de Paris. À la sortie du tunnel sud, vers Gagnières, il existait un embranchement pour desservir les mines de charbon de Banne.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
11 juillet 1832 décembre 1840 Jean Platon    
janvier 1841 octobre 1846 Jean Pascal    
novembre 1846 après 1848 Jean Louis Platon    
avant 1861 septembre 1865 Jean Pascal    
septembre 1865 septembre 1870 Jean Platon    
octobre 1870 avril 1871 Joseph Teissier    
mai 1871 vers 1875 Joseph Platon    
1876 après 1887 Jean-Baptiste Roux    
1889 après 1902 Emile Napoléon Lacroix    
mars 1971 mars 1977 Joseph Emile Crégut PCF Exploitant forestier
mars 1977 mars 1983 Guy Lefébure UDF-PSD Fonctionnaire
Conseiller général du canton des Vans (1979, élection annulée)
mars 1983 mars 1989 Roger Durand UDF Retraité
mars 1989 26 septembre 1997 Jean Radier PS Retraité
octobre 1997 mars 2001 Jacques Sabatier PS  
mars 2001 mai 2020 Raymonde Gauthier PS Psychologue dans l'Éducation Nationale
En cours
(au )
Thierry Bruyere-Isnard Divers gauche/Écologiste Cadre retraité de l'Éducation nationale
1er vice-président de la communauté de communes Pays des Vans en Cévennes[réf. souhaitée]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1836. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[14].

En 2021, la commune comptait 963 habitants[Note 1], en évolution de −2,43 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
1 3051 3191 4371 3871 4291 4521 4511 5191 340
1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
1 2851 3861 1781 1721 2491 2301 1971 0861 012
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
1 019993884956987847854819862
1999 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
762832842852865871904940975
2014 2015 2017 2018 2019 2020 2021 - -
975987970956958965963--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
Histogramme de l'évolution démographique

Beaucoup de logements sont des habitations secondaires. L'Ardèche est en effet très touristique. En conséquence, le dynamisme est faible pendant la saison hivernale.

En 1999, il y avait à Saint-Paul-le-Jeune 159 résidences secondaires sur 570 logements au total.

Enseignement

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La commune de Saint-Paul-le-Jeune fait partie de l'académie de Grenoble. Les élèves commencent leur scolarité dans l'école primaire du village[17].

Manifestations culturelles et festivités

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Saint-Paul-le-Jeune a été ville étape du Tour cycliste féminin international de l'Ardèche 2019.

La commune de Saint-Paul-le-Jeune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas et d'Aubenas.
  • La Viste : un instrument de culture patrimoniale paraissant deux fois par an[18].

Les personnes de confessions catholiques disposent d'un lieu de culte, l'église Saint Paul[19]. Elle est rattachée à la paroisse Saints Pierre et Paul de Païolive, elle-même rattachée au diocèse de Viviers[20].Les églises (propriété de la commune) et la communauté catholique de Saint-Pierre-Saint-Jean (anciennes églises de Saint-Jean-de-Pourcharesse et Saint-Pierre-le-Déchausselat) sont rattachées à la paroisse Saints Pierre et Paul de Païolive, elle-même rattachée au diocèse de Viviers[20].

Revenus de la population et fiscalité

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Entreprises et commerces

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Agriculture

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Saint-Paul-le-Jeune fait partie de la zone d'appellation de plusieurs produits agricoles :

Le marché hebdomadaire de la commune a lieu le vendredi[21].

Culture locale et patrimoine

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La commune de Saint-Paul-le-Jeune possède une médiathèque ouverte au public du vendredi au mercredi (horaires). Elle possède de nombreux chemins de randonnée thématiques : Les Dolmens, Les Mines, La Claysse, etc.

Lieux et monuments

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  • Le viaduc du Doulovy, ancien pont du chemin de fer des mines de Banne (à cheval sur les communes de Banne et Saint-Paul-le-Jeune).
  • Grotte de la Cocalière.
  • Église paroissiale Saint-Paul : en 1845, l'église primitive est remplacée par un édifice de style néo-roman plus grand. De forme ogivale, l'église est composée d'une nef et bas côtés, d'un chœur voûté en cul de four et d'un clocher en façade. Deux imposantes colonnes aux chapiteaux sculptés supportent une corniche et encadrent le portail et la Serlienne. Le clocher carré est surmonté d'une flèche polygonale, il renferme un puissant bourdon de 2,5 tonnes une des plus grosses cloches de l'Ardèche.

Personnalités liées à la commune

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En 1896, l'instituteur Chiron un des premiers préhistoriens de l'Ardèche écrit sur l'existence de la nécropole dolménique des Buissières, près de la goule de Sauvas, sur la commune de Saint-Paul-le-Jeune.

Héraldique

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Saint-Paul-le-Jeune possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Paul-le-Jeune et Les Vans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Les Vans-Sa », sur la commune des Vans - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Les Vans-Sa », sur la commune des Vans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  12. « Les communes ardéchoises ayant subi des modifications territoriales depuis la Révolution » [PDF], sur archives.ardeche.fr.
  13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 1999, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  17. école primaire du village
  18. . https://www.laviste-paysdesvans.fr/
  19. Lieu de culte
  20. a et b Site ardeche.catholique.fr, page sur la paroisse de Saints Pierre et Paul de Païolive.
  21. jour de marché