Aller au contenu

Soultzeren

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Soultzeren
Soultzeren
Vue du village.
Blason de Soultzeren
Blason
Soultzeren
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Colmar-Ribeauvillé
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de Munster
Maire
Mandat
Philippe Breschbühl
2020-2026
Code postal 68140
Code commune 68317
Démographie
Population
municipale
1 121 hab. (2021 en évolution de −1,23 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 03′ 47″ nord, 7° 06′ 12″ est
Altitude Min. 464 m
Max. 1 303 m
Superficie 18,37 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Munster
(banlieue)
Aire d'attraction Colmar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Wintzenheim
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Soultzeren
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Soultzeren
Géolocalisation sur la carte : Haut-Rhin
Voir sur la carte topographique du Haut-Rhin
Soultzeren
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Soultzeren
Liens
Site web http://www.soultzeren.fr/

Soultzeren est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Le lac des Truites dans le cirque glaciaire du Forlet.

Le territoire de Soultzeren s'adosse au massif des Vosges, à l'endroit où la fracture du bassin rhénan est la plus brutale. Il est inclus dans le bassin versant de la Fecht sur le ruisseau Kleintalbach, comprenant notamment deux retenues d'eau bucoliques, le lac Vert et le lac des Truites, aussi appelé Lac du Forlet (cette nomination étant plus respectueuse du nom alsacien : Forlaweier).

Communes limitrophes de Soultzeren
Plainfaing
Vosges
Orbey
Le Valtin
Vosges
Soultzeren Hohrod
Stosswihr

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Soultzeren et le ruisseau du Lac Vert[1],[2],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Soultzeren[Note 1].

Deux plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le lac du Forlet (2,8 ha) et le lac Vert (7 ha)[Carte 1],[3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 442 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 10,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Munster_sapc », sur la commune de Munster à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 053,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Soultzeren est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Munster[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant dix communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[13]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,8 %), prairies (15,9 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), zones urbanisées (2,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

La première mention du village de Saltzeren apparaît vers 900. L’origine de ce nom serait liée à la présence de sources d’eau salée. Au XIIIe siècle, on trouve les orthographes Sulczrein et Sulcerrhein.

La première église est construite en 1463. Entre 1543 et 1559, la population devient protestante et s’attache fidèlement aux idées de Martin Luther.

Le village a particulièrement souffert des exactions de la soldatesque au courant de la guerre de Trente Ans (1618-1648). La population était alors réfugiée dans les forêts des alentours et les cultes étaient célébrés au rocher du Bichtstein dont le nom signifie « pierre de la confession, du repentir » car on y accueillait aussi les confessions.

Le village fut détruit au cours de la Première Guerre mondiale. Aussi la commune a-t-elle été décorée de la croix de guerre 1914-1918[17],[18].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Découpage territorial

[modifier | modifier le code]

La commune de Soultzeren est membre de la communauté de communes de la Vallée de Munster[19], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Munster. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[20].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Colmar-Ribeauvillé, à la circonscription administrative de l'État du Haut-Rhin, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Grand Est[19].

Sur le plan électoral, elle dépendait jusqu'en 2020 du canton de Wintzenheim pour l'élection des conseillers départementaux au sein du conseil départemental du Haut-Rhin. Depuis le , elle dépend du même canton pour l'élection des conseillers d'Alsace au sein de la collectivité européenne d'Alsace[21].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1995 En cours Christian Ciofi DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Finances locales

[modifier | modifier le code]
Mairie de Soultzeren.

En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[22] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 026 000 , soit 876  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 915 000 , soit 782  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 383 000 , soit 327  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 435 000 , soit 371  par habitant ;
  • endettement : 353 000 , soit 302  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 7,11 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,48 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 34,98 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Drapeau de la France Castillonnès (Lot-et-Garonne) (France) depuis 1976[23].

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Un enseignement sommaire est assuré par l’un des pasteurs adjoint de la paroisse de Munster jusqu’au milieu XVIIIe siècle, date à laquelle ils sont remplacés par des maîtres d’école. En 1842, la classe compte cent cinquante élèves, mais la majorité ne sont là qu’en hiver, leurs parents les faisant travailler le reste de l’année. La séparation des sexes est mise en œuvre en 1848 avec la création d’une école de filles. Peu de temps auparavant, en 1845, une école privé voit également le jour à l’initiative des industriels Immer et Klaesy, qui la destinent à éduquer les enfants des salariés de leurs usines[24].

Pour l’année scolaire 2022-2023, l’école compte cent élèves répartis en quatre classes, dont trente-quatre élèves de niveau pré-élémentaire et soixante-six de niveau élémentaire[25]. Pour l’enseignement secondaire, les établissements les plus proches sont le collège Frédéric Hartmann et le lycée Frédéric Kirschleger, tous deux situés à Munster.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 1 121 habitants[Note 6], en évolution de −1,23 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2421 0181 2621 2921 4051 4481 4691 4961 437
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
1 4731 5111 5671 5961 5571 4841 4531 4441 399
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3771 3681 3809241 1151 1671 1621 1441 082
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 0831 0701 0619691 0241 0881 1551 1651 145
2017 2021 - - - - - - -
1 1211 121-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Temple protestant.
  • Église luthérienne, reconstruite de 1920 à 1924[32],[33] et son orgue de 1925[34],
    • et le presbytère protestant[35].
  • Mairie[36].
  • École de filles[37].
  • Patrimoine industriel :
    • Moulin à farine, huilerie et scierie Ertlé[38] ;
    • Moulin à farine et huilerie Graff[39] ;
    • Usine métallurgique, puis centrale hydroélectrique Immer, puis atelier de charron, actuellement atelier de tournage sur bois[40] ;
    • Tissage de coton Ruhland-Ertlé, puis Dupuis-Merle[41].
  • Four à pain[42].
  • Fromageries d'estive dite marcairies[43],[44],[45],[46],[47],[48],[49].
  • Borne[50].

Patrimoine culturel

[modifier | modifier le code]

Le village a des histoires de nains servants, collectées au milieu du XIXe siècle. Ces personnages légendaires travailleraient le lait de leurs troupeaux de bétail dans les chalets abandonnés, et déposeraient des denrées dans les demeures des plus pauvres paysans[51].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Martin Graff, pasteur et écrivain ayant habité la commune.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason Blasonnement :
De sinople aux deux cors des Alpes d'argent posés en sautoir[52].
Commentaires : Créées en 1965, les armoiries de Soultzeren évoquent les pâturages par le fond vert et les marcaires des chaumes par les cors des Alpes[53].

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Munster comprend une ville-centre et neuf communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Soultzeren » sur Géoportail (consulté le 15 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Sandre, « le ruisseau du Lac Vert »
  2. « Fiche communale de Soultzeren », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  3. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Soultzeren et Munster », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Munster_sapc », sur la commune de Munster - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Munster_sapc », sur la commune de Munster - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Munster », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Soultzeren ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Colmar », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. J.O. du 6 novembre 1921
  18. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
  19. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Soultzeren », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. « communauté de communes de la Vallée de Munster - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  21. Rachel Noël, « Collectivité européenne d’Alsace : ce qu'il faut savoir sur le projet », sur www.francebleu.fr, (consulté le ).
  22. Les comptes de la commune
  23. Castillonnès jumelée avec Soultzeren..., Mairie de Castillonnès, consultée le 12 juin 2017.
  24. Robert Schmitt, « Les écoles munstériennes à travers les siècles. De la fin de l'ancien régime à la guerre de 1870 », Annuaire de la Société d'histoire du val et de la ville de Munster, vol. 30,‎ , p. 37-43 (ISSN 1146-7363, lire en ligne, consulté le )
  25. « Effectifs d’élèves par école », sur data.education.gouv, (consulté le )
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Barrage du lac Vert ou lac de Soultzeren », notice no IA68001159, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Barrage du lac des Truites ou lac du Forlet », notice no IA68001160, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Eglise protestante », notice no IA68001021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Histoire du temple de Soultzeren
  34. Soultzeren, Eglise protestante, orgue de Frédéric Haerpfer
  35. « Presbytère protestant », notice no IA68001156, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Mairie, bains douches », notice no IA68001188, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Ecole de filles », notice no IA68001198, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Moulin à farine, huilerie et scierie Ertlé », notice no IA68001246, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Moulin à farine et huilerie Graff », notice no IA68001245, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Usine métallurgique, puis centrale hydroélectrique Immer, puis atelier de charron, actuellement atelier de tournage sur bois », notice no IA68001247, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Tissage de coton Ruhland-Ertlé, puis Dupuis-Merle », notice no IA68001242, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Four à pain », notice no IA68001208, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « 51 Breitmiss », notice no IA68001205, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « 52 Ebene », notice no IA68001209, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « 53 Ebene », notice no IA68001210, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « 8 Huslisberg », notice no IA68001194, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. « 11 Murbachried », notice no IA68001162, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. « 48 Riedmatt », notice no IA68001204, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. « 7 Seestaettle », notice no IA68001676, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. Notice no IM68012181, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Borne (G)
  51. Le Magasin pittoresque, 1856, cité par Claude Lecouteux, Nos bons voisins les lutins : Nains, elfes, lutins, gnomes, kobolds et compagnie, Paris, José Corti éditions, coll. « Merveilleux », , 335 p. (ISBN 978-2-7143-1013-2 et 2-7143-1013-3), p. 162.
  52. Archives Départementales du Haut-Rhin
  53. Selon Archives départementales du Haut-Rhin