Symphonie no 7 de Beethoven
Symphonie no 7 op 92 Œuvres de Ludwig van Beethoven | |
Ludwig van Beethoven en 1815, au musée de Vienne en Autriche. | |
Genre | Musique classique, symphonie |
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Nb. de mouvements |
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Musique | Ludwig van Beethoven |
Effectif | Orchestre symphonique |
Durée approximative | env. 40 min. |
Dates de composition | entre 1811 et 1812 |
Dédicataire | Comte Moritz von Fries (mécène) |
Création | Université de Vienne en Autriche |
Interprètes | Orchestre symphonique dirigé par Beethoven |
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La Symphonie no 7 en la majeur, op. 92 de Ludwig van Beethoven (1770-1827) est une des neuf symphonies du compositeur, pour orchestre symphonique, en quatre mouvements, composée entre 1811[1] et 1812[1]. Son 2e mouvement Allegretto est « une de mes meilleures œuvres » selon le compositeur, une « apothéose de la danse... » selon Richard Wagner.
Histoire
[modifier | modifier le code]Beethoven compose cette symphonie grandiose à 41 ans, durant la terrible période de la campagne de Russie de 1812 des guerres napoléoniennes, en même temps que sa Symphonie no 8 (après ses Symphonie no 5 « Symphonie du Destin » et Symphonie no 6 « Pastorale » de 1808, son Concerto pour piano no 5 de 1809, ou Egmont de Goethe de 1810…) durant une cure thermale à Teplitz en Bohême, au cours de laquelle il tente de soigner les débuts de sa surdité croissante causée par une otospongiose. Il rencontre Goethe durant cette période[2], avec qui il partage ses plus vifs tourments patriotiques vis-à-vis de l'issue de la guerre.
Sa première exécution a lieu le pour un concert de charité à l'université de Vienne en Autriche[1],[3], avec un orchestre symphonique composé de nombreux musiciens illustres dont Louis Spohr, Giacomo Meyerbeer, Mauro Giuliani, Johann Nepomuk Hummel, Ignaz Moscheles, Domenico Dragonetti, Andreas Romberg, et Antonio Salieri… et qu'il dirige lui-même. Ce concert de charité patriotique donné pour les soldats blessés de la bataille de Hanau (d') au cours duquel il donne également son œuvre La Victoire de Wellington, exalte les autrichiens et les troupes de la sixième Coalition contre la Grande Armée de l'empereur Napoléon Ier. Son succès est tel qu'il doit rejouer son célèbre 2e mouvement, Allegretto, en rappel.
Elle est publiée chez Steiner à Vienne en mai 1816[1],[3] et dédiée au mécène autrichien, le comte Moritz von Fries[1].
Richard Wagner affirme en 1849, dans Das Kunstwerk der Zukunft (L'Œuvre d'Art du Futur) — dans le cadre de sa quête du concept esthétique d'œuvre d'art totale du romantisme allemand — que « la symphonie est l'apothéose de la danse : c'est la danse dans son essence suprême, la réalisation la plus bénie du mouvement du corps presque idéalement concentré dans le son. Beethoven dans ses œuvres a mis le corps en musique, mettant en œuvre la fusion du corps et de l'esprit ».
Orchestration
[modifier | modifier le code]Instrumentation de la Septième symphonie |
Cordes |
premiers violons, seconds violons, altos, |
Bois |
2 flûtes, 2 hautbois,
2 clarinettes en la, 2 bassons |
Cuivres |
2 cors en la, en mi et en ré, 2 trompettes en ré |
Percussions |
2 timbales (la et mi) |
Structure
[modifier | modifier le code]Elle est structurée en quatre mouvements formant une succession de danses, de colorations et de rythmes différents pour une durée totale d'environ 40 min.
Fichiers audio | |
Allegretto, deuxième mouvement | |
Sous la direction de John Michel | |
Final, quatrième mouvement | |
Sous la direction de John Michel | |
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. |
I | Poco sostenuto Vivace |
4/4 6/8 |
noire = 69 noire pointée = 104 |
la majeur |
. |
II | Allegretto | 2/4 | noire = 76 | la mineur la majeur la mineur |
III | Presto | 3/4 | blanche pointée = 132
blanche pointée = 84 blanche pointée = 132 blanche pointée = 84 blanche pointée = 132 |
fa majeur | |
Finale |
IV | Allegro con brio | 2/4 | blanche = 72 | la majeur do majeur la majeur |
Beethoven en dirigea la première avec une autre de ses compositions, La Victoire de Wellington, le [1],[3] à Vienne au profit des soldats Autrichiens et Bavarois blessés à la Bataille de Hanau[4].
Transcriptions et source d'inspiration
[modifier | modifier le code]Beethoven a transcrit pour piano seulement les quarante-six premières mesures de la Septième Symphonie. C'est le seul arrangement pour piano de l’une de ses symphonies fait par Beethoven[5],[6].
Une version pour deux pianos arrangée par Carl Czerny, avec l'approbation du compositeur, fut dédiée à l’impératrice Élisabeth Alexeïevna de Russie[5],[7].
Liszt a également réalisé une transcription de chaque symphonie de Beethoven.
La version pour piano à quatre mains, établie par Anton Diabelli, fut publiée à Londres par Birchall le en tant qu’opus 98[5].
Francisco Tárrega a transcrit le thème principal du second mouvement pour la guitare.
Le compositeur américain John Corigliano, dans sa pièce pour piano intitulée Fantasia on an Ostinato (1985), commande du concours international Van Cliburn, prend le thème du mouvement lent pour construire une étude, non pas virtuose, mais axée sur la musicalité et l'imagination des interprètes. Elle peut donc varier en durée de sept à vingt minutes selon les options librement choisies par le pianiste et appartient à une forme d'inspiration minimaliste, chose unique dans l'important catalogue de Corigliano[8],[9].
Cinématographie
[modifier | modifier le code]Des extraits de cette symphonie ont été utilisés dans les bandes sons de différents produits audiovisuels :
Cinéma
[modifier | modifier le code]- 1933 : J'étais une espionne de Victor Saville
- 1934 : Le Chat noir (The Black Cat) d'Edgar George Ulmer
- 1945 : Boule de suif de Christian-Jaque
- 1961 : Lola de Jacques Demy
- 1974 : Zardoz de John Boorman (extrait du second mouvement dans la scène finale)
- 1981 : Les Uns et les Autres de Claude Lelouch (dernier mouvement)
- 1983 : La Crime de Philippe Labro
- 1995 : Professeur Holland (Mr. Holland's Opus) (Mouvement « Allegretto »)
- 1997 : Forever (Photographing Fairies) de Nick Willing
- 2002 : Irréversible de Gaspar Noé
- 2002 : Cravate Club de Frédéric Jardin
- 2002 : Taking sides, le cas Furtwängler (Taking sides) de István Szabó
- 2003 : The Saddest Music in the World de Guy Maddin
- 2003 : Tiresia de Bertrand Bonello
- 2003 : One Last Dance de Lisa Niemi
- 2004 : La Marche de l'empereur, documentaire de Luc Jacquet
- 2006 : Nodame Cantabile (のだめカンタービレ, Nodame Kantābire ), drama japonais de Kenichi Kasai (ja)
- 2006 : The Fall de Tarsem Singh
- 2007 : The Man from Earth de Richard Schenkman
- 2008 : À bord du Darjeeling Limited de Wes Anderson
- 2008 : Käsky de Aku Louhimies
- 2008 : Johnny Mad Dog de Jean-Stéphane Sauvaire
- 2008 : Love Exposure (愛のむきだし, Ai no mukidashi ) de Sion Sono
- 2008 : Night and Day (밤과 낮, Bam gua nat) de Hong Sang-soo
- 2009 : Prédictions d'Alex Proyas
- 2010 : Des hommes et des dieux de Xavier Beauvois (bande-annonce)
- 2011 : Le Discours d'un roi (The King's Speech) de Tom Hooper
- 2011 : De bon matin de Jean-Marc Moutout
- 2012 : Elles de Małgorzata Szumowska
- 2012 : La Nuit d'en face (La noche de enfrente) de Raoul Ruiz
- 2012 : Inside (La cara oculta) de Andrés Baiz
- 2012 : Comme un homme de Safy Nebbou
- 2013 : Why Don't You Play in Hell? (地獄でなぜ悪い, Jigoku de naze warui ) de Sion Sono
- 2013 : Haewon et les hommes (누구의 딸도 아닌 해원, Nugu-ui ttal-do anin Haewon) de Hong Sang-soo
- 2014 : Diplomatie de Volker Schlöndorff
- 2014 : Adieu au langage de Jean-Luc Godard
- 2016 : La Danseuse de Stéphanie Di Giusto
- 2016 : X-Men: Apocalypse de Bryan Singer
- 2016 : L'Origine de la violence d'Élie Chouraqui
Télévision
[modifier | modifier le code]- 2002 : Maigret, épisode Le Fou de Sainte-Clotilde
- 2011 : Le Visiteur du futur Saison 2 Episode 13 de François Descraques
- 2013 : Les Complices, téléfilm de Christian Vincent
- 2015 : Forever (série télévisée), saison 1, épisode 20
- 2015 : Mr. Robot (série télévisée), saison 1, épisode 2
- 2018 : Westworld (série télévisée), saison 2, épisode 7
- 2019 : Umbrella Academy (série télévisée), saison 1, épisode 5
- 2019 : Watchmen (série télévisée), saison 1, épisode 4
- 2019 : Le Bazar de la Charité (série télévisée), saison 1, épisode 7
- 2023: La chute de la maison Usher (Netflix) saison 1, épisode 1
- 2023: Polar Park
Des œuvres non audiovisuelles utilisent partiellement ou intégralement cette symphonie :
- Neige, chorégraphie de Michèle Anne De Mey créée en 2009.
- Lazarus Mirages, concept transmédia de Patric Jean, 2012
- Reflets d'Acide, épisode 15, saga audio de JBX, 2012.
Variété
[modifier | modifier le code]- 1979 : Henri Tachan enregistre dans son album Inventaire (33 tours Adèle AD 39 529) « La marche funèbre des enfants morts dans l'année » avec l'allegretto du 2e mouvement de la 7e (non crédité sur la pochette) en contrepoint.
- 1970 : Johnny Hallyday, « Poème sur la 7e », texte de Philippe Labro sur le deuxième mouvement de la symphonie (album Vie).
- 1981 : Space Art, "Symphonix", basé sur le deuxième mouvement
- 1983 : Cuando tu nazcas, Mocedades.
- Norma Ray, « Symphonie », adaptation du deuxième mouvement (2000).
- Michel Sardou, « Beethoven », reprenant la 7e symphonie dans les couplets et la 5e symphonie pour le refrain, sur l'album « Hors format » (2008)
- Arielle Dombasle, «Olympics», reprend l'air du deuxième mouvement (2024)
Jeux vidéos
[modifier | modifier le code]- Dans le jeu vidéo Uncharted 4: A Thief's End, le deuxième mouvement peut être entendu lorsque Nathan et Sam se rendent dans le manoir de l'ancienne collègue de leur mère.
Repères discographiques
[modifier | modifier le code]Références monophoniques
[modifier | modifier le code]- Arturo Toscanini, NBC Symphony orchestra, 1939 (Naxos)[10]
- Willem Mengelberg, Royal Concertgebouw Orchestra d'Amsterdam, 1940 (Archipel), (Andromeda)[11]
- Wilhelm Furtwängler, Berliner Philharmoniker, 1943 (SWF)[12],[13],[14]
- Wilhelm Furtwängler, Wiener Philharmoniker, 1950 (EMI Classics)[15],[16],[17]
- Arturo Toscanini, NBC Symphony orchestra, 1951 (RCA)[18]
- Bruno Walter, New York Philharmonic, 1951 (Columbia) réédition (United Archives) 2010[19]
- Wilhelm Furtwängler, Berliner Philharmoniker, 1954 (Deutsche Grammophon)
- Herbert von Karajan, Philharmonia Orchestra, 1954 (EMI Classics)[20]
- Guido Cantelli, Philharmonia Orchestra, 1956 (EMI Classics)[21],[22]
- Carl Schuricht, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire, 1957 (EMI Classics)[23]
Références stéréophoniques
[modifier | modifier le code]- Fritz Reiner, Chicago Symphony Orchestra, 1959 (RCA)[24]
- Herbert von Karajan, Wiener Philharmoniker, 1959 (Decca)[25]
- Otto Klemperer, Philharmonia Orchestra, 1960 (EMI Classics)[26]
- Ferenc Fricsay, Berliner Philharmoniker, 1961 (DG)
- Herbert von Karajan, Berliner Philharmoniker, 1962 (DG)[27]
- Karl Böhm, Wiener Philharmoniker, 1971 (DG)
- Carlos Kleiber, Wiener Philharmoniker, 1976 (DG)[28],[29]
- Herbert von Karajan, Berliner Philharmoniker, 1977 (DG)[30],[31]
- Leonard Bernstein, Wiener Philharmoniker, 1978 (DG)[32]
- Carlos Kleiber, Orchestre de l'Opéra d'État de Bavière, 1982 (Orfeo)[33].
- Roger Norrington, London Classical Players, 1987 (EMI Classics) réédition (Virgin)[34]
- Claudio Abbado, Wiener Philharmoniker, 1988 (DG)
- Frans Brüggen, Orchestre du XVIIIe siècle, 1988 (Philips Classics)[35]
- Nikolaus Harnoncourt, Orchestre de chambre d'Europe, 1991 (Teldec)[36],[37],[38]
- David Zinman, Orchestre de la Tonhalle de Zurich, 1998 (Sony BMG)
- Claudio Abbado, Berliner Philharmoniker, 2000 (DG)[39],[40]
- Simon Rattle, Wiener Philharmoniker, 2002 (EMI Classics)[41],[42]
- Jos van Immerseel, Orchestre Anima Eterna, 2007 (Zig-Zag Territoires)[34],[43]
- Emmanuel Krivine, La Chambre philharmonique, 2010 (Naïve)[44],[45],[46]
- Riccardo Chailly, Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, 2011 (Decca)[47]
- Christian Thielemann, Wiener Philharmoniker, 2011 (Sony BMG)[48]
- Daniel Barenboïm, West-Eastern Divan Orchestra, 2012 (Decca)
- Mariss Jansons, Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks, 2013 (BR Klassik)[49],[50]
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Barry Cooper (trad. de l'anglais par Denis Collins), Dictionnaire Beethoven [« Beethoven compendium »], Lattès, coll. « Musiques et musiciens », , 614 p. (ISBN 978-2-7096-1081-0, OCLC 25167179), p. 340.
- Philippe Autexier, Beethoven la force de l'absolu, Gallimard Découverte, 1991 réédité en 2010, p. 74.
- Jean et Brigitte Massin, Ludwig van Beethoven, Paris, Fayard, (1re éd. 1955), 845 p. (ISBN 2-213-00348-3), p. 673.
- Massin 1967, p. 270.
- Élisabeth Brisson, Guide de la musique de Beethoven, Éditions Fayard, 2005, p. 555.
- Enregistrement par Cyprien Katsaris « http://www.cyprienkatsaris.net/fr/piano-21/143-beethoven-les-creatures-de-promethee-op-43.html »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- Maynard Solomon (trad. de l'anglais par Hans Hildenbrand et Jean Nithart), Beethoven, Paris, Fayard, , 570 p. (ISBN 2-213-61305-2, OCLC 53859243, BNF 38960806), p. 297.
- (en) John Corigliano, « Fantasia on an Ostinato (1985) », sur johncorigliano.com (consulté le ).
- G. Schirmer : (ISBN 9798350107555).
- « Les bandes enregistrées en 1939 étaient d'une présence étonnante. Il en est resté quelque chose sur ce repiquage de 78 tours. Toscanini implacable mais rayonnant, plus spontané qu'une décennie plus tard ». Le guide 1996 du CD : Tome 1, Répertoire Classique, Marabout, (ISBN 978-2-501-02361-0), p. 85
- Enregistré en public au Royal Concertgebouw Orchestra d'Amsterdam le 25 avril 1940
- « Peut-être la 7e symphonie de Beethoven la plus extraordinaire de l'histoire du disque ». Thierry Soveaux, Diapason (magazine), , p. 117.
- « Le concert public (Berlin 1943) de Furtwängler est un formidable sommet […] C'est la rigueur, l'inflexibilité de l'architecture qu'il met d'abord en valeur, en dépit de très grandes vagues, des vertigineux phrasés qui, tel l'océan, semblent toujours déborder, et sont pourtant tenus d'une poigne de fer. […] Le finale est un terrifiant maelström, maintenu avec une rigueur de tempo qui donne le vertige et qu'on ne peut même pas comparer à celle, légendaire, d'Arturo Toscanini. Il s'agit tout net d'un évènement de la musique enregistrée ». Dictionnaire des disques Diapason : Guide critique de la musique classique enregistrée, Paris, Robert Laffont, , 964 p. (ISBN 2-221-50233-7), p. 123.
- Harry Halbreich écrivit à propos du second mouvement de cet enregistrement : « Dès les premières mesures, [la] perfection nous subjugue par son évidence : comment en douter, c'est là le tempo juste, humainement, organiquement juste, de cette musique [...] Qui décrira la beauté incroyable du phrasé de la sonorité [...] du chant des altos et violoncelles [...] ? [...] l'expression sublime des violons dans l'aigu [...] ? Quant au second thème, à son retour il apparaît encore plus émouvant et plus expressif (plus brahmsien aussi !) que la première fois ». Et pour le finale : « ce finale fut toujours l'un des grands chevaux de bataille [de Furtwängler]. […] Furtwängler, rééditant l'incroyable performance de la conclusion de la « cinquième » de juin 1943, […] se lance dans une gradation finale défiant toute description, un maelström d'enfer qui coupe le souffle […] sans que ce déchaînement échappe un seul instant à la poigne de fer du génial meneur d'hommes. « Je suis le Bacchus qui broie le délicieux nectar pour l'humanité. C'est moi qui donne aux hommes la divine frénésie de l'esprit » : ainsi s'exprimait Beethoven. Il fallait un géant, comme le Furtwängler de ce jour d'automne 1943, pour faire vivre la réalité sonore de cette divine frénésie ! » Harry Halbreich, CD Furtwängler dirige Beethoven 941, SWF, , p. 7.
- « La version Vienne 1950 de Furtwängler est d'un magistral classicisme. L'orchestre sonne avec une couleur véritablement unique ». Dictionnaire des disques Diapason : Guide critique de la musique classique enregistrée, Robert Laffont, , 1062 p. (ISBN 978-2-221-50233-4), p. 123.
- « Une intensité et une force dionysiaque sans équivalent, dans une architecture sonore magistralement contrôlée ». Guide Akaï du disque : Disques classiques, Akaï France, (ISBN 978-2-253-02849-9), p. 48.
- Enregistrement salué par un Diapason d'or dans la revue Diapason du mois de mars 2011, p. 74
- « La poigne de fer, les intuitions géniales, le sens de l'architecture bien connus de Toscanini. Sans âge! ». Le guide 1996 du CD : Tome 1, Répertoire Classique, Marabout, (ISBN 978-2-501-02361-0), p. 81
- Enregistrement salué par un Diapason d'or dans la revue Diapason no 517 du mois de septembre 2004
- « La première intégrale de Karajan, plus spontanée, plus bigarrée que celles qui suivirent chez Deutsche Grammophon. Le chef joue sur les contrastes de dynamique avec un art (déjà) consommé ». Le guide 1996 du CD : Tome 1, Répertoire Classique, Marabout, (ISBN 978-2-501-02361-0), p. 79
- Suggérée meilleure version disponible dans la revue Diapason du mois d'avril 2003, p. 30
- Enregistrement salué par un Diapason d'or dans la revue Diapason no 601 du mois d'avril 2012, p. 72
- « L'intégrale Schuricht est pleine de rigueur, de sévérité. Ce sont les grandes années de la Société des Concerts. La ferveur humble mais constante du chef révèle Beethoven dans son entière objectivité ». Dictionnaire des disques Diapason : Guide critique de la musique classique enregistrée, Robert Laffont, , 1062 p. (ISBN 978-2-221-50233-4), p. 115
- Enregistrement salué par un Diapason d'or dans la revue Diapason no 493 du mois de juin 2002
- Enregistrement salué par un Diapason d'or dans la revue Diapason du mois de mars 2008, p. 70
- Enregistrement salué par un Diapason d'or dans la revue Diapason du mois de février 2013, p. 74
- Grand Prix Du Disque de l'Académie Charles Cros 1963
- « Jaillissement musical, dynamisme: une version qui mérite pleinement le surnom que Wagner donna à cette symphonie, « apothéose de la danse » ». Guide Akaï du disque : Disques classiques, Akaï France, (ISBN 978-2-253-02849-9), p. 48
- Enregistrement salué par un Diapason d'or dans la revue Diapason no 416 du mois de juin 1995
- Enregistrement salué par une note de 5 diapasons dans la revue Diapason du mois de décembre 2008, p. 83
- "Un Must" La Discothèque idéale, sous la direction de Bertrand Dermoncourt, Actes Sud, 2012, p. 40
- Enregistrement salué par une note de 5 diapasons dans la revue Diapason du mois de novembre 2007, p. 74.
- Enregistré en public au Bayerische Staatsoper le 3 mai 1982
- Enregistrement sur instruments anciens
- « Une joyeuse cavalcade, des rythmes vifs, un feu d'artifice sonore ». Le guide 1996 du CD : Tome 1, Répertoire Classique, Marabout, (ISBN 978-2-501-02361-0), p. 84.
- Intégrale élue comme Disque de l’Année 1992 par la revue Gramophone
- Intégrale saluée à sa sortie par un Choc de la revue Le Monde de la musique, par un 10 de Répertoire de la revue Classica-Répertoire, par un Diapason d'or dans la revue Diapason et par un 4fff de la revue Télérama.
- « Le résultat est incroyable de dynamisme, de fraîcheur et d'intelligence » : La Discothèque idéale, sous la direction de Bertrand Dermoncourt, Actes Sud, 2012, p. 41.
- Enregistré en public aux Concerts de Rome en février 2001
- Enregistrement salué par la note de 5 diapasons dans la revue Diapason du mois de septembre 2008, p. 92.
- Enregistré en public au Musikverein de Vienne en mai 2002
- Enregistrement salué par un Diapason d'or dans la revue Diapason du mois d'avril 2003, p. 80
- Enregistrement salué par un Gramophone Editor's Choice de la revue Gramophone du mois de juin 2008
- La Chambre Philharmonique joue sur instruments d'époque
- Enregistré en public à la maison de la culture MC2 de Grenoble les 18 & 19 mai 2010
- Enregistrement salué par un 4fff de la revue Télérama (mars 2010) et par un Gramophone Editor's Choice de la revue Gramophone du mois de juillet 2011
- Enregistrement salué par une note de 5 diapasons dans la revue Diapason du mois d'octobre 2011
- Enregistrement salué par une note de 5 diapasons dans la revue Diapason du mois d'avril 2012, p. 82.
- Enregistré en public au Suntory Hall de Tokyo le 30 novembre 2012
- Enregistrement salué par un Choc de la revue Classica du mois novembre 2013, p. 82.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- [vidéo] « Beethoven - Symphonie nº 7 op.92 - II Allegretto », sur YouTube par l'Orchestre philharmonique de Vienne du chef Leonard Bernstein.
- Ressources relatives à la musique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :