Théodore Barrière
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Tombe de Théodore Barrière (d) |
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Louis Théodore Barrière |
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Théodore Barrière, né le à Paris et mort le à Paris 9e, est un dramaturge français.
Biographie
[modifier | modifier le code]Dans sa jeunesse, Barrière habitait un hôtel du Quartier latin réunissant tous les jeunes de l’époque, Édouard Plouvier, Théodore de Banville, Jean Duboys, Bataille et Henry Murger[1]. Avant d’écrire pour le théâtre, il a été graveur-géographe au ministère de la Guerre à la commission mixte des travaux publics réunissant officiers du génie et ingénieurs civils, pendant dix ans[a]. Tenté par le démon de la scène, il a composé, en dérobant quelques heures à son travail de bureau[b], Rosière et Nourrice, une petite comédie d’abord donnée au théâtre Beaumarchais et ensuite passée au répertoire du théâtre du Palais-Royal[3]. Encouragé par ce succès, il a suivi sa vocation et a donné au théâtre, seul ou en collaboration[4], un grand nombre de drames et de vaudevilles, dont plusieurs ont obtenu un grand succès.
Avec pour principaux collaborateurs Henry Murger, Victorien Sardou, Ernest Capendu, Lambert-Thiboust, il n’a pas tardé pas à devenir un véritable « chef de collaboration », dans la mesure où toutes les pièces où il a eu des associés portent son cachet, affirment son individualité[3]. Malgré la vingtaine de collaborateurs qu’il a eu, il est reconnaissable, à des signes infaillibles, dans tout ce qu’il a signé. Il avait une griffe particulière, une manière à lui qui défiait la contrefaçon, l’imitation. Il n’y avait pas d’erreur possible[5].
Il a eu part à la Vie de Bohême tiré du livre d’Henry Murger, jouée en 1848, au théâtre des Variétés, avec grand succès. Au nombre des autres grands succès qu’il a obtenus, les Filles de Marbre, espèce de contrepartie opposée à la Dame aux Camélias, œuvre peu commune satire hardie et sanglante de la galanterie à la mode, pleine d’esprit et de verve, dramatique au plus haut point, et les Faux Bonshommes, où a paru le fameux personnage Dégenais, qui se retrouve dans les Parisiens, autre satire assez vive des mœurs de l’époque, et qui incarne peut-être l’auteur même. L’effet de cette dernière comédie, qui a fait sensation, a été immense. Tous les personnages de cette pièce, qu’on peut regarder comme un véritable événement littéraire sont devenus populaires. Les Faux Bonshommes ont été joués deux cents fois, repris au Vaudeville, repris au Gymnase, et toujours avec le même succès[3].
Barrière a excellé dans tous les genres qu’il a abordés, et il les a abordés presque tous. Après la comédie, le drame : l’Ange de Minuit, à l’Ambigu et l’Outrage, à la Porte-Saint-Martin, en collaboration avec Édouard Plouvier. Au Théâtre-Français, il a donné une comédie en un acte, le Feu au Couvent. Une autre pièce à succès est sa Cendrillon, jouée au Gymnase ; l’Héritage de M. Plumet, au Vaudeville ; les Jocrisses de l’Amour, au Palais-Royal, sont au nombre de ses meilleurs titres littéraires[3].
Barrière était célèbre pour ses mots incisifs, ses réponses nettement frappées, ses traits d’esprit marquant un homme ou une chose. Quantité de ces mots ont été cités[1]. Vers 1860, il a eu avec Charles Monselet un duel qui a fait dans Paris un bruit énorme. La police surveillant le bois de Meudon, où devait se produire le duel, les deux rivaux se sont rendus en fiacre à Nogent. L’épée de Barrière ayant glissé sur la garde de l’épée et blessé Monselet au petit doigt d’une façon assez grave, on a craint pendant plusieurs jours le tétanos, mais ce qui avait le plus frappé Barrière dans cette rencontre, c’étaient les bretelles du plus beau rouge arborées par Monselet :« Ces bretelles, dit-il, m’agaçaient terriblement. J’ai compris en ce moment la sensation éprouvée par le taureau devant une couleur rouge[c]. Elles auraient pu me faire tuer ce brave Monselet[6]. »
Il est peut-être, avec Sardou, Dumas et Augier, l’auteur qui a obtenu le plus de succès, depuis vingt ans[7]. Menacé dans ses derniers temps, de perdre la vue, il ne voyait presque plus d’un œil, l’autre s’affaiblissant de plus en plus. Le docteur Magne, consulté par l'écrivain, était d’avis que l’opération ne pouvait être tentée que lorsque le mal aurait atteint son maximum de gravité. — Si ce n’est que cela, dit Barrière, j’ai un moyen. Et avec énergie, il a passé les nuits à écrire, n’y voyant presque plus, la Centième d’Hamlet, drame en répétition au Théâtre-Historique, au moment de sa mort[2].
Il est mort au lendemain d’un succès au Palais-Royal, avec les Demoiselles de Montfermeil[3]. Ayant pris froid en causant dans un courant d’air, à la gare du Nord, avec l’agent général Peragallo, il a succombé, dix jours plus tard, aux suites d’une fluxion de poitrine[7], et repose au cimetière du Père-Lachaise[8].
Jugements
[modifier | modifier le code]« en dépit des panégyristes après décès, pour la majeure partie de ceux qui l’ont approché, l’auteur des Parisiens demeurera un monsieur brun de peau, de poil et de caractère ; boutonné dans ses rapports avec autrui comme dans sa redingote à la militaire ; cassant de formes comme d’allures ; nerveux, pointu, grinchu, bourru, à l’instar d’un adjudant-major de cavalerie de corvée au quartier ; s’isolant volontiers de l’humanité pour en médire, en face d’un verre d’absinthe, dans un café des Ternes ou du boulevard Beaumarchais, et mordant, à tout bout de champ, sa moustache en saule pleureur[9]… »
Théâtre
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- Jeanne de Naples, ou la Reine fantôme, épisode de l’histoire de Naples, 1348, en 1 acte mêlé de chants, avec Adolphe Poujol, Paris, Gymnase des Enfants, .
- Rosière et nourrice, comédie-vaudeville en un acte, avec Clairville, Paris, théâtre Beaumarchais, .
- Les Trois femmes, comédie en 1 acte, avec Maurice Saint-Aguet, Paris, théâtre de l’Odéon, .
- Le Seigneur des broussailles, comédie en 3 actes et en prose, avec Georges Duval, Paris, théâtre de l’Odéon, .
- Les Charpentiers, drame en 4 actes et 5 tableaux, Paris, théâtre Beaumarchais, .
- Les Chroniques bretonnes, pièce fantastique en 1 acte, avec Clairville et Paul Faulquemont, Paris, théâtre des Variétés, .
- Un vilain Monsieur, vaudeville en 1 acte, avec Adrien Decourcelle, Paris, théâtre des Variétés, .
- Les Douze Travaux d’Hercule, comédie en 2 actes mêlée de chant, avec Adrien Decourcelle, Paris, théâtre des Variétés, .
- La Petite cousine, comédie-vaudeville en 1 acte, avec Adrien Decourcelle, Paris, théâtre des Variétés, .
- Un duel chez Ninon, comédie-vaudeville en 1 acte, avec Michel Carré, Paris, théâtre du Gymnase-Dramatique, .
- La Vie de bohème, pièce en 5 actes, mêlée de chants, avec Henry Murger, Paris, théâtre des Variétés, le .
- Laurence, drame en 2 actes, avec Michel Carré et Jules Barbier, Paris, théâtre du Gymnase-Dramatique, .
- Les Métamorphoses de Jeannette, vaudeville en 1 acte, avec Auguste Supersac, Paris, théâtre des Variétés, .
- Quand on attend sa belle, vaudeville en 1 acte, avec Jean-François-Alfred Bayard, Paris, théâtre Montansier, .
- La Plus Belle Nuit de la vie, vaudeville en 1 acte, avec Michel Carré, Paris, théâtre Montansier, .
- Un monsieur qui suit les femmes, comédie-vaudeville en 2 actes, avec Adrien Decourcelle, Paris, théâtre Montansier, .
- L’Enseignement mutuel, vaudeville en 1 acte, avec Adrien Decourcelle, Paris, théâtre Montansier, .
- Midi à quatorze heures, comédie-vaudeville en 1 acte, Paris, théâtre du Gymnase-Dramatique, .
- English exhibition, comédie-vaudeville en 2 actes, avec Eugène Grangé et Adrien Decourcelle, Paris, théâtre Montansier, .
- Un roi de la mode, comédie en 3 actes, mêlée de couplets, avec Adrien Decourcelle et Jules Barbier, Paris, théâtre des Variétés, .
- Tambour battant, comédie-vaudeville en 1 acte, avec Adrien Decourcelle, Paris, théâtre Montansier, .
- Le Piano de Berthe, comédie mêlée de chant, en 1 acte, avec Jules Lorin, Paris, théâtre du Gymnase, .
- Une petite fille de la Grande Armée, comédie-vaudeville en 2 actes, avec Victor Perrot, Paris, théâtre du Gymnase, .
- Une vengeance, comédie-vaudeville en 1 acte, avec Adrien Decourcelle, Paris, théâtre des Variétés, .
- Les Femmes de Gavarni, scènes de la vie parisienne, 3 actes et 1 mascarade, mêlés de couplets, avec Adrien Decourcelle et Léon Beauvallet, Paris, théâtre des Variétés, .
- La Tête de Martin, comédie en 1 acte, mêlée de couplets, avec Eugène Grangé et Adrien Decourcelle, Paris, théâtre du Palais-Royal, .
- La Boisière, drame en 5 actes, avec Adolphe Jaime, Paris, théâtre de la Gaîté, .
- Une femme dans ma fontaine, vaudeville en 1 acte, avec Lambert-Thiboust, Paris, théâtre du Palais-Royal, .
- Quand on veut tuer son chien, proverbe en 1 acte, avec Jules Lorin, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- Manon Lescaut, drame en 5 actes, mêlé de chant, avec Marc Fournier, Paris, théâtre de la Porte-Saint-Martin, .
- Les Filles de marbre, drame en 5 actes, mêlé de chant, avec Lambert Thiboust, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- Le Lys dans la vallée, drame en 5 actes, en prose, d’après Honoré de Balzac, avec Arthur de Beauplan, Paris, Théâtre-Français, .
- L’Âne mort, drame en 5 actes, avec un prologue et un épilogue, avec Adolphe Jaime, Paris, théâtre de la Gaîté, .
- La Vie d’une comédienne, drame en 5 actes et 8 tableaux, avec Anicet-Bourgeois, Paris, théâtre de la Porte-Saint-Martin, .
- La Vie en rose, pièce en 5 actes, mêlée de chant, avec Henry de Kock, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- Les Bâtons dans les roues, vaudeville en 1 acte, Paris, théâtre du Palais-Royal, .
- Mosieur mon fils, comédie-vaudeville en 2 actes, avec Adrien Decourcelle, Paris, théâtre des Variétés, .
- Les Parisiens, pièce en 3 actes, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- L’Histoire de Paris, 3 actes et 14 tableaux, dont 1 prologue, avec Henry de Kock, Paris, théâtre du Cirque Impérial, .
- Les Grands Siècles, pièce en trois actes et seize tableaux, avec Henry de Kock, Paris, théâtre impérial du Cirque, .
- Les Infidèles, comédie en 1 acte, avec Anicet Bourgeois, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- Les Toilettes tapageuses, comédie en 1 acte, mêlée de couplets, avec Dumanoir, Paris, théâtre du Gymnase, .
- Les Faux Bonshommes, comédie en 4 actes, avec Ernest Capendu, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- Le Château des Ambrières, drame en 5 actes et 10 tableaux, avec Paul Taillade, Paris, théâtre impérial du Cirque, .
- Mon ami l’habit vert, vaudeville en 1 acte, avec Charles Cabot, Paris, théâtre de la Gaîté, .
- Les Bourgeois gentilshommes, comédie en 3 actes, en prose, avec Dumanoir, Paris, théâtre du Gymnase, .
- Les Fausses Bonnes Femmes, comédie en 5 actes, en prose, avec Ernest Capendu, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- Le Papa du prix d’honneur, comédie-vaudeville en 4 actes, avec Eugène Labiche, Paris, théâtre du Palais-Royal, .
- L’Héritage de monsieur Plumet, comédie en 4 actes, avec Ernest Capendu, Paris, théâtre du Gymnase, .
- Cendrillon, comédie en 5 actes, Paris, théâtre du Gymnase, .
- L’Outrage, drame en 5 actes, avec Édouard Plouvier, Paris, théâtre de la Porte-Saint-Martin, .
- Les Gens nerveux, comédie en 3 actes, avec Victorien Sardou, Paris, théâtre du Palais-Royal, .
- Le Feu au couvent, comédie en 1 acte, en prose, Paris, Théâtre-Français, .
- Une pécheresse, drame en 5 actes, avec Adèle Regnauld de Prebois (d) , Paris, théâtre de la Gaîté, .
- La Maison du Pont Notre-Dame, drame en 5 actes et 6 tableaux, avec Henry de Kock, Paris, théâtre de l’Ambigu-Comique, .
- L’Ange de minuit, drame en 6 actes, avec Édouard Plouvier, Paris, théâtre de l’Ambigu-Comique, .
- Une corneille qui abat des noix, comédie en 3 actes, avec Lambert-Thiboust, Paris, théâtre du Palais-Royal, .
- Le Bout de l’an de l’amour, causerie à deux, Paris, théâtre du Gymnase, .
- Le Jardinier et son seigneur, opéra-comique en 1 acte, musique de Léo Delibes, Paris, Théâtre-Lyrique, 1er mai .
- Le Démon du jeu, comédie en 5 actes, avec Henri Crisafulli, Paris, théâtre du Gymnase, .
- L’Infortunée Caroline, comédie en 3 actes, mêlée de couplets, avec Lambert-Thiboust, Paris, théâtre des Variétés, .
- Aux crochets d’un gendre, comédie en 4 actes, avec Lambert-Thiboust, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- Un ménage en ville, comédie en 3 actes, Paris, théâtre du Gymnase, .
- Les Jocrisses de l’amour, comédie en 3 actes, avec Lambert-Thiboust, Paris, théâtre du Palais-Royal, .
- Les Enfants de la louve, drame en 5 actes et 1 prologue, avec Victor Séjour, Paris, théâtre de la Gaîté, .
- Le Ménétrier de Saint-Waast, mélodrame en 5 actes et 7 tableaux, avec Édouard Plouvier, Paris, théâtre Beaumarchais, .
- Le Chic, comédie en 3 actes, avec Lambert-Thiboust, Paris, théâtre du Palais-Royal, .
- Les Brebis galeuses, comédie en 4 actes, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- Le Roman d’une honnête femme, comédie en 3 actes, avec Adèle Regnaud de Prébois, Paris, théâtre du Gymnase, .
- Le Crime de Faverne, drame en 5 actes, avec Léon Beauvallet, Paris, théâtre de l’Ambigu, .
- Paris ventre à terre, comédie-fantaisiste en 3 actes, avec Léopold Stapleaux, Paris, théâtre du Palais-Royal, .
- Le Sacrilège, drame en 5 actes, 8 tableaux, avec Léon Beauvallet, Paris, théâtre de l’Ambigu-Comique, .
- Théodoros, drame en 5 actes, 14 tableaux, Paris, théâtre du Châtelet, .
- Malheur aux vaincus, pièce en 4 actes, Paris, Les Menus-Plaisirs, .
- Les Bêtises du cœur, comédie en 3 actes, Paris, théâtre du Palais-Royal, .
- La Boîte de Pandore, opéra-bouffe en 3 actes, musique de Henry Litolff, Paris, théâtre des Folies-Dramatiques, .
- La Comtesse de Somerive, pièce en 4 actes, avec la baronne de Prébois, Paris, théâtre du Gymnase, .
- Dianah, comédie en 2 actes, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- Un Monsieur qui attend des témoins, comédie en 1 acte, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- Le Gascon, drame en 5 actes et 9 tableaux, avec Louis Poupart-Davyl, Paris, théâtre de la Gaîté, 1er septembre .
- Le Chemin de Damas, pièce en 3 actes, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- Les Scandales d’hier, comédie en 3 actes, Paris, théâtre du Vaudeville, .
- Les Demoiselles de Montfermeil, comédie en 3 actes, avec Victor Bernard, Paris, théâtre du Palais-Royal, .
- Tête de linotte, comédie en 3 actes, avec Edmond Gondinet, Paris, théâtre du Vaudeville, .
Adaptations cinématographiques
[modifier | modifier le code]- Le Feu au couvent en par Gaston Benoît et Georges Monca, avec Georges Tréville, Catherine Fonteney, Roger Monteaux et Armand Lurville.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- De ce passage au ministère de la guerre, il avait conservé des allures militaires et rien ne le flattait plus que d’être pris pour un capitaine en bourgeois[2].
- Son propre père, employé à l’Hôtel-de-Ville, qui avait également eu des velléités littéraires, possédé de la singulière manie de mettre en vers les pièces écrites en prose et en prose les pièces en vers. Éconduit par la Comédie-Française, il en avait gardé rancune à la maison de Molière. Il témoignait même de la froideur aux efforts de son fils, critiquant tout haut les défauts de l’œuvre aux premières représentations, lui en voulant d’une renommée qu’il estimait être due à lui, et non à son fils[2].
- Lorsqu’on a demandé à Moncelet, pourquoi il avait choisi cette couleur, ce dernier a répondu : — C’est pour effrayer l’adversaire[6].
Références
[modifier | modifier le code]- Émile Desbeaux, « Émile Desbeaux », La Presse illustrée, Paris, vol. 10, no 500, , p. 2 (lire en ligne sur Gallica, consulté le ).
- Albert Wolff, « Gazette de Paris », Figaro, Paris, 3e série, vol. 23, no 290, , p. 1 (ISSN 0182-5852, lire en ligne sur Gallica, consulté le ).
- « Théodore Barrière », L’Entr’acte, Paris, vol. 47, no 289, , p. 2 (ISSN 2513-7670, lire en ligne sur Gallica, consulté le ).
- « Notes et impressions », La Revue politique et littéraire, Paris, no 16, , p. 381 (ISSN 1261-5447, lire en ligne sur Gallica, consulté le ).
- « Théodore Barrière », Le Nain jaune, Paris, vol. 12, no 13, , p. 1 (ISSN 2781-1239, lire en ligne sur Gallica, consulté le ).
- Georges Delmare, « Monselet anecdotique », Gil Blas, Paris, vol. 10, no 3107, (ISSN 1149-9397, lire en ligne sur Gallica, consulté le ).
- « Mort de Théodore Barrière », La Lanterne, Paris, vol. 1, , p. 3 (ISSN 1256-026X, lire en ligne sur Gallica, consulté le ).
- 54e division. Voir Jules Moiroux, Le Cimetière du Père Lachaise, Paris, S. Mercadier, (lire en ligne sur Gallica), p. 59.
- « Théodore Barrière », La Lune rousse, Paris, vol. 1, no 47, , p. 4 (lire en ligne sur Gallica, consulté le ).
Liens externes
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