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Utilisateur:Stefan Ivanovich/Traversées de Paris

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J'aime Paris et j'y vis. J'y fais volontiers de traversées de quartiers avec Alain Rustenholz souvent la ville, en suivant son livre [1].

Histoire de Paris, rue par rue, maison par maison (1857) sur Gallica

Monuments parisiens ancien, parfois détruits

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  1. Hôtel d'Angiviller
  2. Couvent de l'Ave-Maria
  3. Folie Beaujon
  4. Poterne de Braque
  5. Cabaret de la Grande Pinte
  6. Café Anglais
  7. Café Riche (Paris)
  8. Château de la Tournelle
  9. Château du Louvre
  10. Grand Châtelet
  11. Porte du Chaume
  12. Colisée (Paris)
  13. Porte des Cordeliers
  14. Couvent des Célestins de Paris
  15. Couvent des Mathurins de Paris
  16. Écuries du comte d'Artois
  17. Ferme de la Grange-Batelière
  18. Folie-Regnault
  19. Porte des Frères-mineur
  20. Galerie des Machines
  21. Gaumont-Palace
  22. Gibet de Montfaucon
  23. Gibet de Montigny
  24. Grande roue de Paris (Exposition universelle de 1900)
  25. Hippodrome (salles de spectacles parisiennes)
  26. Hippodrome de Montmartre
  27. Hôtel des Tournelles
  28. Hôtel du Bouchage
  29. Jardin du Delta
  30. Luna Park (Paris)
  31. Magic City (Paris)
  32. Arènes nationales
  33. Palais des Beaux-Arts et des Arts libéraux
  34. Pavillon de Hanovre
  35. Porte aux Peintres
  36. Arènes de la rue Pergolèse à Paris
  37. Petit-Bourbon
  38. Piscine Molitor
  39. Monument du Pont au Change
  40. Porte Saint-Eustache (enceinte)
  41. Poterne des Barrés
  42. Porte Saint-Michel
  43. Barrières des Sergents
  44. Statue de la Liberté (place de la Concorde)
  45. Poterne du Temple
  46. Tivoli (Paris)
  47. Tour Barbeau
  48. Tour de Billy
  49. Tour de Nesle
  50. Tour du Bois
  51. Porte de la Tournelle

Statues de Paris

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Georges Poisson, Guide des statues de Paris : Monuments, décors, fontaines, coll. « Les guides visuels »,

page Œuvre Artiste
8 Chronos 10 Nicolas Schöffer musée de la Sculpture en plein air48° 50′ 50″ N, 2° 21′ 42″ E
8 L'Homme aux semelles devant Ipoustéguy musée de la Sculpture en plein air48° 50′ 48″ N, 2° 21′ 44″ E

Le site Le douanier Rousseau à Paris renvoie explicitement vers Wikipédia Henri Rousseau.

(1) 1888 : 135 rue de Sèvres. Sa première femme, Clémence Boitard, y meurt de la tuberculose, à 37 ans.
(2) 1893–1905 : 44 avenue du Maine.
(3) 1898–1901 : 3 rue Vercingétorix. Alors cité d'artistes où ont travaillé le Douanier, Pablo Gargallo, Julio González, Foujita.
(4) 1901–1905 : 36 rue Gassendi. Sa seconde épouse Rosalie Joséphine Nourry y meurt en 1903 à 51 ans.
(5) 1905–1906 : 44 rue Daguerre.
(6) 1906–1910 : 78 rue Vercingétorix.
(7) 1910 : 32 rue Alain ou 2 bis rue Perrel, chez Armand Queval, peintre et mouleur statuaire.

Le restaurant Pavillon Montsouris, dans le Parc Montsouris, est fréquenté avant 1914 par Georges Braque, le Douanier Rousseau, Léonard Foujita, Louis Jouvet, Jacques Prévert, Eugène Ionesco, Marguerite Yourcenar.

Mes notes pour carto

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Paris au cinéma

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Balades du patrimoine

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« Les balades du patrimoines proposées par la mairie », sur Visites à Paris

0. Mes essais

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2. Paris et ses faubourgs

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  1. Le petit bras de la Seine au Pont-Neuf, Stanislas Lépine
  2. L'Île de la Grande-Jatte, Émile Barau
  3. Le Val de Grâce, Luigi Loir
  4. Le bassin de l'Arsenal, Pierre Vauthier
  5. La Seine au Bas-Meudon, Gustave Colin
  6. La Marne au pont de Champigny, Jean-Joseph Bellel
  7. Le port Saint-Nicolas, Charles Lapostolet
  8. La Seine à Bougival, Louis Français
  9. Les carrières d'Arcueil, Louis Henri Saintin (Facts about Louis Henri Saintin)
  10. La place de la Concorde, Emmanuel Lansyer
  11. La fontaine Médicis, Antoine Guillemet
  12. La Seine au pont Saint Michel, Eugène Berthelon
  13. Les environs de Jumièges, Léon Germain Pelouse
  14. Le Jardin du Luxembourg, Henri Harpignies
  15. Le jardin des Tuileries, Frédéric Montenard

3. Sur les traces du Moyen Age

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  1. Tour de l'ancienne église Sainte-Geneviève
  2. Enceinte de Philippe-Auguste
  3. Collège des Bernardins
  4. Chapelle du collège de Beauvais
  5. Saint-Séverin
  6. Portail de Saint-Benoît-le-Bétourné
  7. Hôtel de Cluny
  8. Vestiges de la chapelle de la Vierge
    1. Square Laurent-Prache « On peut également y découvrir une petite fontaine Wallace, un buste de Dora Maar en bronze offert en 1959 par Picasso à la Ville de Paris en hommage à son ami Guillaume Apollinaire, un médaillon et une plaque gravés en hommage à Laurent Prache par Hérain (1935), mais également des piles et des arcades de la chapelle de la Vierge de l'ancienne abbaye Saint-Germain-des-Prés, ainsi que des fragments de son cloître aujourd'hui disparu. »
    2. Abbaye de Saint-Germain-des-Prés « C'est l'un des premiers édifices gothiques, qui contribue à la diffusion de ce nouveau style et est de toute première importance sur le plan archéologique. Les bâtiments conventuels sont reconstruits successivement au cours du xiiie siècle, et une chapelle abbatiale inspirée par la Sainte-Chapelle est édifiée par l'architecte Pierre de Montreuil puis dédiée à la Vierge; l'ensemble est démoli au début du xixe siècle. »

4. Le style néogothique

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5. Statues, reliefs et décors

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6. La sculpture animaliere

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7. Cavaliers et chevaux

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8. Statues sur les ponts

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9. Fontaines d’hier et d’aujourd’hui (Est)

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10. Fontaines d’hier et d’aujourd’hui (Centre)

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11. Vitraux parisiens

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12. Mosaiques civiles et religieuses

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13. Les chaires à prêcher

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14. Chemins de croix du 20e siècle

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15. Les clochers à Paris

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16. Les églises de village

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17. Les églises du Second Empire

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18. Temples ou basiliques ?

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19. Plafonds et coupoles

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20. Peintures d'Italie

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21. Tombeaux classiques et baroques

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22. Musiciens et poètes

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23. La République et les grands hommes

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24. Atlantes et cariatides en façade

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25. Mythes et réalités

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26. Fragments d’expos

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27. La mode dans la statuaire

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28. Atlantes et cariatides des grands boulevards

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29. Sur les traces du Paris antique

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30. Le Style 30 dans les jardins - Les jardins de Roger Lardat

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31. Le Style 30 dans les jardins - Le sud de Paris

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33. Henri IV (13 décembre 1553 - 14 mai 1610)

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34. Sur les traces de saint Jacques

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36. L'art dans la Ville — La balade Sud - Parcours autour du Tramway

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37. L'art dans la Ville — La balade Sud

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38. Gestes et images de l’homme au travail

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39. Victor Baltard, architecte et restaurateur

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Voies d'antan

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[www.paris-pittoresque.com/rues/30.htm Paris pittoresque]

RUE DES BATAILLES, aujourd'hui avenue d'Iéna

La rue des Batailles faisait partie du village de Chaillot, qui rejoint Paris en 1786.

Depuis la parution de Paris, rue par rue..., ne survit de la rue des Batailles, principalement absorbée par l'avenue d'Iéna, que deux lieux:

Louise de la Vallière

Autrefois favorite de Louis XIV, qui a reconnu leur fils Louis, la duchesse de La Vallière se retire ici en 1674 pour ses dernières années, dans la piété la plus austère. C'est le couvent des Visitandines de Chaillot, proches de l'abbaye royale de Longchamp, qui l'accueille alors. (Elle avait aupaeavant été au couvent des Carmélites du faubourg Saint-Jacques). Henriette de France, reine d'Angleterre, avait acheré pour que s'y installent les visitandines, un château qui avait appartenu à Catherine de Médicis, Marie de Médicis, François de Bassompierre et au comte de Tillières, beau-frère de ce maréchal.

Le plan de Verniquet montre que les visitandines disposaient de tout l'espace compris entre la barrière Sainte-Marie (assise en regard des rues Vineuse et des Minimes), le quai des Bonshommes, et la rue des Batailles. La ruelle d'Hérivault menait au quai, et la ruelle Sainte-Marie au couvent.

Les visitandine étaient justicières honoraires. La supérieure et les sœurs conseillères de la communauté contresignaient toute mutation, que ce soit par héritage ou vente. Les héritages soumis à cette suzeraineté étaient chargés de quelque redevance annuelle au profit du royal monastère (Par exemple, pour le n°1 actuel, 5 sols de cens et de rente étaient payables chez les sœurs chaque année, à la Saint-Étienne, lendemain de Noël).

Personnes remarquables demeurant à Paris

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  1. Site web: « Sur les pas de Balzac », sur Paris.fr
  2. Carte: « Balzac à Paris »
  • En 1814, Balzac a 15 ans. Il arrive de Tours et découvre Paris. Sa famille s’installe au 122, rue du Temple. Balzac arpente ce Marais pendant dix ans, savourant un Paris encore très médiéval.
  • Il est d'abord élève de la pension Lepître, rue de Turenne, qu'il évoquera dans les premières pages du Lys dans la vallée]] en 1836
  • À 19 ans, il étudie le droit chez un avoué et fréquente la Sorbonne.
  • En 1819, il a 20 ans, il emménage 9, rue de Lesdiguières, dans une étouffante mansarde. Il ne deviendra écrivain qu'au prix d’un travail acharné.
  • En 1824, Balzac quitte le Marais, où il situera quand même Cousin Pons et Splendeurs et misères des courtisanes.
  • En 1828, à 29 ans, il est au 1, rue Cassini, où il rédige chaque nuit Les Chouans (1829), La Peau de chagrin (1831) et Le Père Goriot (1835).
  • En 1829, La Comédie humaine est lancée, 2500 personnages dans 95 romans. Observateur attentif de la vie parisienne, il nourrit son écriturede tout ce qu’il voit : rentiers du Marais, courtisanes des Grands Boulevards, étudiants du Quartier latin, parvenus de la Chaussée d’Antin, ...
  • Suite à une promenade galerie Vivienne, il s’inspire de François Vidocq, qui vit au 13 de cette galerie, pour le personnage de Vautrin.
  • rue Visconti: Balzac y est imprimeur
  • Rue des Batailles ? Actuelle avenue d'Iéna, ou actuelle rue Balzac. Cfr Gonzague Saint-Bris chez Franck Ferrand.?
  • Rue Balzac : Balzac y meurt
  • Pas directement balzacienne,
  • Son goût pour les oeuvres d’art et ses expériences d’entrepreneur malheureux le ruinent un peu plus. Pour échapper aux créanciers, il déménage souvent, adoptant à chaque fois un nom d’emprunt pour louer un logement, un mot de passe pour ses amis, et parfois même une issue de secours ! C’est le cas de la maison de Passy, 47, rue Raynouard, seule résidence de l’écrivain encore existante, devenue aujourd’hui un musée, la Maison de Balzac. Il y emménage le 1er octobre 1840. Il y loue un appartement de cinq pièces en rez-de-jardin. Pendant sept ans, dans son petit cabinet de travail, vêtu de sa robe de bure blanche, il écrit jusqu’à vingt heures par jour.
  • Balzac, engagé depuis 1832 dans une correspondance avec Mme Hanska, s'installe avec elle, en 1846, dans une maison de la bien-nommée rue Fortunée, et l’épouse en mars 1850. Cinq mois plus tard, le 18 août 1850, le cœur de Balzac lâche. Paris l’honore et aussitôt la rue Fortunée est renommée rue Balzac.
  • Il est inhumé au Père-Lachaise.

Brassens à Paris

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Source:« Une balade sur les pas de Georges Brassens », sur Paris.fr, [vidéo] « Disponible », sur YouTube

Originaire de Sète (Hérault), Brassens passe plus de quarante ans à Paris. Les 14e arrondissement de Paris et 15e arrondissement de Paris sont sa seconde patrie.

  1. 1939: Arrivée en 1939, Brassens est hébergé chez Tante Antoinette, 173 rue d’Alésia. […] Prisonnier à Basdorf, près de Berlin, jusqu'en 1944.
  2. 1944: Brassens se fait la belle de son camp de prisonniers à Basdorf. Une amie d’Antoinette le recueille au 9, impasse Florimont. Le voici rendu « chez Jeanne ». La bicoque de Jeanne et Marcel Planche est modeste, deux pièces, des chats, des chiens… L’impasse Florimont est un refuge dans lequel mûrit le talent du poète. Il se voulait écrivain, il sera poète et chanteur.
  3. En rat de bibliothèque, Georges Brassens hante celle de son quartier, sans imaginer qu’un jour, au 38, rue Gassendi (14e), la bibliothèque municipale portera son nom… Il lit tout, peaufine son écriture.
  4. En 1952, ses premiers textes sous le bras, le voilà prêt à faire entendre son cri : « Gare au gorille ! ». Accompagné de sa guitare, Brassens rentre dans la lumière chez Patachou, le cabaret de la chanteuse montmartroise, conquise.
  5. Jacques Canetti, directeur du théâtre des Trois-Baudets, l’y remarque et le « mauvais sujet repenti » devient la vedette de la scène mythique du boulevard de Clichy (18e).
  6. Les textes de Brassens font controverse mais, bonne ou mauvaise, sa réputation n’est plus à faire. L’artiste triomphe à l’Olympia et reste surtout fidèle, pendant près de vingt-cinq ans, à Bobino, rue de la Gaîté, à deux pas de sa tanière.
  7. En 1969, l’artiste franchit les limites du 14e pour emménager 42, rue Santos-Dumont. Les copains suivent, les Sétois de l’enfance; ceux de Basdorf, dont Pierre Onténiente, son fidèle secrétaire, dit "Gibraltar"; ceux du spectacle: Brel, Perret, Béart, Devos et toutes ses rencontres. Le 27 mars 1977 à Bobino, la « bande à Brassens » monte sur scène pour entonner Les copains d’abord. Le rideau se baisse. Dernière représentation.
  8. Le 29 octobre 1981, la Camarde, qui le poursuit d’un « zèle imbécile », vient faucher le grand Georges. « Quand mon âme aura pris son vol à l’horizon/Vers celle de Gavroche et de Mimi Pinson/Celles des titis, des grisettes/Que vers le sol natal mon corps soit ramené/Dans un sleeping du Paris-Méditerranée/Terminus en gare de Sète » (Supplique pour être enterré sur une plage de Sète).
  9. Près de la rue Santos-Dumont, son dernier domicile parisien, le parc Georges-Brassens (15e) invite à une flânerie poétique, guidée par des allées aux noms de chansons. En octobre, les Journées Brassens rendent hommage à l’artiste avec de nombreuses animations dans le parc.

Quelques dates:

  • 1921 : Naissance à Sète (Hérault).
  • 1939 : Arrivée à Paris.
  • 1944 : Arrivée chez «Jeanne» et Marcel Planche, où il restera vingt-deux ans.
  • 1952 : Premier concert chez Patachou.
  • 1953 : Concert à Bobino et premier album, La Mauvaise Réputation.
  • 1954 : Deux soirées à l’Olympia.
  • 1964 : Il écrit Les Copains d’abord pour le film d’Yves Robert Les Copains.
  • 1977 : Dernier concert, à Bobino.
  • 1981 : Mort de Brassens.

Listes de quartiers

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  1. Arts-et-Métiers
  2. Auteuil
  3. Bastille
  4. Batignolles
  5. Belleville
  6. BNF
  7. Butte-aux-Cailles
  8. Buttes Chaumont
  9. Canal Saint-Martin
  10. Chaillot
  11. Champ-de-Mars
  12. Champs-Élysées
  13. Chapelle
  14. Charonne
  15. Chaussée d'Antin
  1. Concorde
  2. Europe
  3. Faubourg Poissonnière
  4. Faubourg Saint-Antoine
  5. Faubourg Saint-Denis
  6. Faubourg Saint-Germain
  7. Faubourg Saint-Honoré
  8. Faubourg Saint-Jacques
  9. Gobelins
  10. Goutte d'Or
  11. Les Grands boulevards
  12. Grange-Batelière
  13. Grenelle
  14. Halles
  15. Hôtel de Ville
  1. Île de la Cité
  2. Île Saint-Louis
  3. Jardin des Plantes
  4. Louvre
  5. Luxembourg
  6. Marais
  7. Maubert
  8. Ménilmontant
  9. Monceau
  10. Montmartre
  11. Montparnasse
  12. La Nouvelle Athènes
  13. Passy
  14. Place des Victoires
  15. Place des Vosges
  1. Point-du-jour
  2. Popincourt
  3. Pyramides
  4. Roule
  5. Saint-André des Arts
  6. Saint-Germain-des-Prés
  7. Saint-Paul
  8. Sentier
  9. Sorbonne
  10. Temple
  11. Ternes
  12. Tuileries
  13. Val-de-Grâce
  14. Vaugirard
  15. Villette


Quartiers administratifs depuis 1860

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Arrondissement[2],[3] Quartiers Population en
1999 (hab.)[4]
Superficie
(ha)[4]
Densité
hab/km2
Plan
1er arrondissement
dit « du Louvre »
1er Saint-Germain-l'Auxerrois 1 672 86,9 1 924
2e Halles 8 984 41,2 21 806
3e Palais-Royal 3 195 27,4 11 661
4e Place-Vendôme 3 044 26,9 11 316
2e arrondissement
dit « de la Bourse »
5e Gaillon 1 345 18,8 7 154
6e Vivienne 2 917 24,4 11 955
7e Mail 5 783 27,8 20 802
8e Bonne-Nouvelle 9 595 28,2 34 514
3e arrondissement
dit « du Temple »
9e Arts-et-Métiers 9 560 31,8 30 063
10e Enfants-Rouges 8 562 27,2 31 478
11e Archives 8 609 36,8 23 394
12e Sainte-Avoye 7 501 21,3 35 216
4e arrondissement
dit « de l'Hôtel-de-Ville »
13e Saint-Merri 6 523 31,3 20 840
14e Saint-Gervais 10 587 42,2 25 088
15e Arsenal 9 474 48,7 19 454
16e Notre-Dame 4 087 37,9 10 784
5e arrondissement
dit « du Panthéon »
17e Saint-Victor 11 661 60,4 19 306
18e Jardin-des-Plantes 18 005 79,8 22 563
19e Val-de-Grâce 19 492 70,4 27 688
20e Sorbonne 9 683 43,3 22 363
6e arrondissement
dit « du Luxembourg »
21e Monnaie 6 185 29,3 21 109
22e Odéon 8 833 71,6 12 337
23e Notre-Dame-des-Champs 24 731 86,1 28 724
24e Saint-Germain-des-Prés 5 154 28,2 18 277
7e arrondissement
dit « du Palais-Bourbon »
25e Saint-Thomas-d'Aquin 12 661 82,7 15 310
26e Invalides 6 276 107,4 5 844
27e École-Militaire 12 895 80,8 15 959
28e Gros-Caillou 25 156 138,2 18 203
8e arrondissement
dit « de l'Élysée »
29e Champs-Élysées 4 614 114,1 4 044
30e Faubourg-du-Roule 10 038 79,6 12 611
31e Madeleine 6 045 76,1 7 943
32e Europe 18 606 118,3 15 728
9e arrondissement
dit « de l'Opéra »
33e Saint-Georges 20 850 71,7 29 079
34e Chaussée-d'Antin 3 488 54,3 6 424
35e Faubourg-Montmartre 9 233 41,7 22 141
36e Rochechouart 22 212 50,1 44 335
10e arrondissement
dit « de l'Entrepôt »
37e Saint-Vincent-de-Paul 21 624 92,7 23 327
38e Porte-Saint-Denis 15 066 47,2 31 919
39e Porte-Saint-Martin 23 125 60,9 37 972
40e Hôpital-Saint-Louis 29 870 88,4 33 790
11e arrondissement
dit « de Popincourt »
41e Folie-Méricourt 33 002 72,6 45 457
42e Saint-Ambroise 32 168 83,8 38 387
43e Roquette 47 520 117,2 40 546
44e Sainte-Marguerite 36 476 93,0 39 222
12e arrondissement
dit « de Reuilly »
45e Bel-Air 33 976 138,6 24 514
46e Picpus 62 947 186,3 33 788
47e Bercy 13 987 190,3 7 350
48e Quinze-Vingts 25 752 123,6 20 835
13e arrondissement
dit « des Gobelins »
49e Salpêtrière 18 246 118,2 15 437
50e Gare 69 008 304,4 22 670
51e Maison-Blanche 64 797 223,2 29 031
52e Croulebarbe 19 526 69,2 28 217
14e arrondissement
dit « de l'Observatoire »
53e Montparnasse 18 570 112,6 16 492
54e Parc-de-Montsouris 19 793 135,7 14 586
55e Petit-Montrouge 37 230 134,6 27 660
56e Plaisance 57 229 178,5 32 061
15e arrondissement
dit « de Vaugirard »
57e Saint-Lambert 82 032 283,1 29 330
58e Necker 46 932 157,8 29 741
59e Grenelle 47 411 147,8 32 078
60e Javel 49 092 260,9 18 816
16e arrondissement
dit « de Passy »
61e Auteuil 67 967 303,0 22 431
62e Muette 45 214 203,7 22 196
63e Porte-Dauphine 27 423 141,4 19 394
64e Chaillot 21 213 142,4 14 897
17e arrondissement
dit « des Batignolles-Monceaux »
65e Ternes 39 137 146,6 26 696
66e Plaine-de-Monceaux 38 958 138,4 28 149
67e Batignolles 38 691 144,2 26 831
68e Épinettes 44 352 137,8 32 186
18e arrondissement
dit « des Buttes-Montmartre »
69e Grandes-Carrières 67 152 190,6 35 232
70e Clignancourt 64 868 165,3 39 243
71e Goutte-d'Or 28 524 109,0 26 169
72e Chapelle 24 037 134,8 17 832
19e arrondissement
dit « des Buttes-Chaumont »
73e Villette 53 650 128,6 41 718
74e Pont-de-Flandre 24 584 237,7 10 342
75e Amérique 55 365 183,6 30 155
76e Combat 38 988 129,5 30 107
20e arrondissement
dit « de Ménilmontant »
77e Belleville 35 773 80,7 44 328
78e Saint-Fargeau 42 087 148,7 28 303
79e Père-Lachaise 42 332 159,9 26 474
80e Charonne 62 901 209,1 30 082

Ma source: [vidéo] Ctrl Act Discover, « Top 10 Architecture moderne Paris », sur YouTube,

N Bâtiment Architectes
1 Pyramide du Louvre Ieoh Ming Pei
2 La Grande Arche de la Défense Johan Otto von Spreckelsen
3 Centre Pompidou| Renzo Piano
Richard Rogers
4 Le musée du Quai Branly Jean Nouvel
Gilles Clément
5 L'institut du monde arabe Jean Nouvel
6 La Philharmonie de Paris Jean Nouvel
7 La Seine musicale Shigeru Ban
Jean de Gastines
8 La fondation Louis Vuitton| Frank Gehry
9 Site François-Mitterrand
de la BnF
Dominique Perrault
10 La Canopée des Halles Patrick Berger
Jacques Anziutti
et d'autres Bernard Tschumi
Le Corbusier
Jean Nouvel
...

Références et notes

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  1. Alain Rustenholz (ill. Gilles Targat), Traversées de Paris : Dictionnaire d'une ville en ses quartiers, Éditions Parigramme, , 614 p. (ISBN 9782840966845).
  2. Noms donnés aux termes de l'article R2512-1 du Code général des collectivités territoriales (partie règlementaire) (voir le texte intégral sur Légifrance) mais ces appellations sont rarement employées dans la vie courante.
  3. On a aussi consulté les éditions d’août 1972 et de mars 1997 de la Nomenclature : en cas de divergence, la préférence a été donnée au support papier.
  4. a et b Paris 1954-1999. Données statistiques. Population, logement, emploi. Paris et arrondissements, Atelier parisien d'urbanisme, septembre 2005. Les données de population proviennent de l'Insee.