Utilisateur:Stefan Ivanovich/Traversées de Paris
J'aime Paris et j'y vis. J'y fais volontiers de traversées de quartiers avec Alain Rustenholz souvent la ville, en suivant son livre [1].
Histoire de Paris, rue par rue, maison par maison (1857) sur Gallica
Monuments parisiens ancien, parfois détruits
[modifier | modifier le code]Liste des anciens monuments à Paris
[modifier | modifier le code]- Hôtel d'Angiviller
- Couvent de l'Ave-Maria
- Folie Beaujon
- Poterne de Braque
- Cabaret de la Grande Pinte
- Café Anglais
- Café Riche (Paris)
- Château de la Tournelle
- Château du Louvre
- Grand Châtelet
- Porte du Chaume
- Colisée (Paris)
- Porte des Cordeliers
- Couvent des Célestins de Paris
- Couvent des Mathurins de Paris
- Écuries du comte d'Artois
- Ferme de la Grange-Batelière
- Folie-Regnault
- Porte des Frères-mineur
- Galerie des Machines
- Gaumont-Palace
- Gibet de Montfaucon
- Gibet de Montigny
- Grande roue de Paris (Exposition universelle de 1900)
- Hippodrome (salles de spectacles parisiennes)
- Hippodrome de Montmartre
- Hôtel des Tournelles
- Hôtel du Bouchage
- Jardin du Delta
- Luna Park (Paris)
- Magic City (Paris)
- Arènes nationales
- Palais des Beaux-Arts et des Arts libéraux
- Pavillon de Hanovre
- Porte aux Peintres
- Arènes de la rue Pergolèse à Paris
- Petit-Bourbon
- Piscine Molitor
- Monument du Pont au Change
- Porte Saint-Eustache (enceinte)
- Poterne des Barrés
- Porte Saint-Michel
- Barrières des Sergents
- Statue de la Liberté (place de la Concorde)
- Poterne du Temple
- Tivoli (Paris)
- Tour Barbeau
- Tour de Billy
- Tour de Nesle
- Tour du Bois
- Porte de la Tournelle
Carte
[modifier | modifier le code]Statues de Paris
[modifier | modifier le code]Georges Poisson, Guide des statues de Paris : Monuments, décors, fontaines, coll. « Les guides visuels »,
Le Douanier Rousseau à Paris
[modifier | modifier le code]Le site Le douanier Rousseau à Paris renvoie explicitement vers Wikipédia Henri Rousseau.
(1) 1888 : 135 rue de Sèvres. Sa première femme, Clémence Boitard, y meurt de la tuberculose, à 37 ans. |
Mes notes pour carto
[modifier | modifier le code]- Hors wiki: « AnaLyse diachronique de l'espace urbain : approche GEomatique », sur ALPAGE (consulté le )
Paris au cinéma
[modifier | modifier le code]Balades du patrimoine
[modifier | modifier le code]« Les balades du patrimoines proposées par la mairie », sur Visites à Paris
0. Mes essais
[modifier | modifier le code]1. Sur les traces de Claude-Nicolas Ledoux
[modifier | modifier le code]2. Paris et ses faubourgs
[modifier | modifier le code]- Le petit bras de la Seine au Pont-Neuf, Stanislas Lépine
- L'Île de la Grande-Jatte, Émile Barau
- Le Val de Grâce, Luigi Loir
- Le bassin de l'Arsenal, Pierre Vauthier
- La Seine au Bas-Meudon, Gustave Colin
- La Marne au pont de Champigny, Jean-Joseph Bellel
- Le port Saint-Nicolas, Charles Lapostolet
- La Seine à Bougival, Louis Français
- Les carrières d'Arcueil, Louis Henri Saintin (Facts about Louis Henri Saintin)
- La place de la Concorde, Emmanuel Lansyer
- La fontaine Médicis, Antoine Guillemet
- La Seine au pont Saint Michel, Eugène Berthelon
- Les environs de Jumièges, Léon Germain Pelouse
- Le Jardin du Luxembourg, Henri Harpignies
- Le jardin des Tuileries, Frédéric Montenard
3. Sur les traces du Moyen Age
[modifier | modifier le code]- Tour de l'ancienne église Sainte-Geneviève
- Enceinte de Philippe-Auguste
- Collège des Bernardins
- Chapelle du collège de Beauvais
- Saint-Séverin
- Portail de Saint-Benoît-le-Bétourné
- Hôtel de Cluny
- Vestiges de la chapelle de la Vierge
- Square Laurent-Prache « On peut également y découvrir une petite fontaine Wallace, un buste de Dora Maar en bronze offert en 1959 par Picasso à la Ville de Paris en hommage à son ami Guillaume Apollinaire, un médaillon et une plaque gravés en hommage à Laurent Prache par Hérain (1935), mais également des piles et des arcades de la chapelle de la Vierge de l'ancienne abbaye Saint-Germain-des-Prés, ainsi que des fragments de son cloître aujourd'hui disparu. »
- Abbaye de Saint-Germain-des-Prés « C'est l'un des premiers édifices gothiques, qui contribue à la diffusion de ce nouveau style et est de toute première importance sur le plan archéologique. Les bâtiments conventuels sont reconstruits successivement au cours du xiiie siècle, et une chapelle abbatiale inspirée par la Sainte-Chapelle est édifiée par l'architecte Pierre de Montreuil puis dédiée à la Vierge; l'ensemble est démoli au début du xixe siècle. »
4. Le style néogothique
[modifier | modifier le code]5. Statues, reliefs et décors
[modifier | modifier le code]6. La sculpture animaliere
[modifier | modifier le code]7. Cavaliers et chevaux
[modifier | modifier le code]8. Statues sur les ponts
[modifier | modifier le code]9. Fontaines d’hier et d’aujourd’hui (Est)
[modifier | modifier le code]10. Fontaines d’hier et d’aujourd’hui (Centre)
[modifier | modifier le code]11. Vitraux parisiens
[modifier | modifier le code]12. Mosaiques civiles et religieuses
[modifier | modifier le code]13. Les chaires à prêcher
[modifier | modifier le code]14. Chemins de croix du 20e siècle
[modifier | modifier le code]15. Les clochers à Paris
[modifier | modifier le code]16. Les églises de village
[modifier | modifier le code]17. Les églises du Second Empire
[modifier | modifier le code]18. Temples ou basiliques ?
[modifier | modifier le code]19. Plafonds et coupoles
[modifier | modifier le code]20. Peintures d'Italie
[modifier | modifier le code]21. Tombeaux classiques et baroques
[modifier | modifier le code]22. Musiciens et poètes
[modifier | modifier le code]23. La République et les grands hommes
[modifier | modifier le code]24. Atlantes et cariatides en façade
[modifier | modifier le code]25. Mythes et réalités
[modifier | modifier le code]26. Fragments d’expos
[modifier | modifier le code]27. La mode dans la statuaire
[modifier | modifier le code]28. Atlantes et cariatides des grands boulevards
[modifier | modifier le code]29. Sur les traces du Paris antique
[modifier | modifier le code]30. Le Style 30 dans les jardins - Les jardins de Roger Lardat
[modifier | modifier le code]31. Le Style 30 dans les jardins - Le sud de Paris
[modifier | modifier le code]32. Le Paris de Frédéric Chopin
[modifier | modifier le code]33. Henri IV (13 décembre 1553 - 14 mai 1610)
[modifier | modifier le code]34. Sur les traces de saint Jacques
[modifier | modifier le code]35. Le Paris communard
[modifier | modifier le code]36. L'art dans la Ville — La balade Sud - Parcours autour du Tramway
[modifier | modifier le code]37. L'art dans la Ville — La balade Sud
[modifier | modifier le code]38. Gestes et images de l’homme au travail
[modifier | modifier le code]39. Victor Baltard, architecte et restaurateur
[modifier | modifier le code]40. Les habitations à bon marché
[modifier | modifier le code]Voies d'antan
[modifier | modifier le code][www.paris-pittoresque.com/rues/30.htm Paris pittoresque]
RUE DES BATAILLES, aujourd'hui avenue d'Iéna
La rue des Batailles faisait partie du village de Chaillot, qui rejoint Paris en 1786.
Depuis la parution de Paris, rue par rue..., ne survit de la rue des Batailles, principalement absorbée par l'avenue d'Iéna, que deux lieux:
- le ci-devant n° 9, une belle propriété, Ici habitait Charles Louis Deroine
- l'ancien siège de l'administration des phares, appartenant à la Ville.
Autrefois favorite de Louis XIV, qui a reconnu leur fils Louis, la duchesse de La Vallière se retire ici en 1674 pour ses dernières années, dans la piété la plus austère. C'est le couvent des Visitandines de Chaillot, proches de l'abbaye royale de Longchamp, qui l'accueille alors. (Elle avait aupaeavant été au couvent des Carmélites du faubourg Saint-Jacques). Henriette de France, reine d'Angleterre, avait acheré pour que s'y installent les visitandines, un château qui avait appartenu à Catherine de Médicis, Marie de Médicis, François de Bassompierre et au comte de Tillières, beau-frère de ce maréchal.
Le plan de Verniquet montre que les visitandines disposaient de tout l'espace compris entre la barrière Sainte-Marie (assise en regard des rues Vineuse et des Minimes), le quai des Bonshommes, et la rue des Batailles. La ruelle d'Hérivault menait au quai, et la ruelle Sainte-Marie au couvent.
Les visitandine étaient justicières honoraires. La supérieure et les sœurs conseillères de la communauté contresignaient toute mutation, que ce soit par héritage ou vente. Les héritages soumis à cette suzeraineté étaient chargés de quelque redevance annuelle au profit du royal monastère (Par exemple, pour le n°1 actuel, 5 sols de cens et de rente étaient payables chez les sœurs chaque année, à la Saint-Étienne, lendemain de Noël).
Personnes remarquables demeurant à Paris
[modifier | modifier le code]- Site web: « Sur les pas de Balzac », sur Paris.fr
- Carte: « Balzac à Paris »
- En 1814, Balzac a 15 ans. Il arrive de Tours et découvre Paris. Sa famille s’installe au 122, rue du Temple. Balzac arpente ce Marais pendant dix ans, savourant un Paris encore très médiéval.
- Il est d'abord élève de la pension Lepître, rue de Turenne, qu'il évoquera dans les premières pages du Lys dans la vallée]] en 1836
- À 19 ans, il étudie le droit chez un avoué et fréquente la Sorbonne.
- En 1819, il a 20 ans, il emménage 9, rue de Lesdiguières, dans une étouffante mansarde. Il ne deviendra écrivain qu'au prix d’un travail acharné.
- En 1824, Balzac quitte le Marais, où il situera quand même Cousin Pons et Splendeurs et misères des courtisanes.
- En 1828, à 29 ans, il est au 1, rue Cassini, où il rédige chaque nuit Les Chouans (1829), La Peau de chagrin (1831) et Le Père Goriot (1835).
- En 1829, La Comédie humaine est lancée, 2500 personnages dans 95 romans. Observateur attentif de la vie parisienne, il nourrit son écriturede tout ce qu’il voit : rentiers du Marais, courtisanes des Grands Boulevards, étudiants du Quartier latin, parvenus de la Chaussée d’Antin, ...
- Suite à une promenade galerie Vivienne, il s’inspire de François Vidocq, qui vit au 13 de cette galerie, pour le personnage de Vautrin.
- rue Visconti: Balzac y est imprimeur
- Rue des Batailles ? Actuelle avenue d'Iéna, ou actuelle rue Balzac. Cfr Gonzague Saint-Bris chez Franck Ferrand.?
- Rue Balzac : Balzac y meurt
- Pas directement balzacienne,
- Son goût pour les oeuvres d’art et ses expériences d’entrepreneur malheureux le ruinent un peu plus. Pour échapper aux créanciers, il déménage souvent, adoptant à chaque fois un nom d’emprunt pour louer un logement, un mot de passe pour ses amis, et parfois même une issue de secours ! C’est le cas de la maison de Passy, 47, rue Raynouard, seule résidence de l’écrivain encore existante, devenue aujourd’hui un musée, la Maison de Balzac. Il y emménage le 1er octobre 1840. Il y loue un appartement de cinq pièces en rez-de-jardin. Pendant sept ans, dans son petit cabinet de travail, vêtu de sa robe de bure blanche, il écrit jusqu’à vingt heures par jour.
- Balzac, engagé depuis 1832 dans une correspondance avec Mme Hanska, s'installe avec elle, en 1846, dans une maison de la bien-nommée rue Fortunée, et l’épouse en mars 1850. Cinq mois plus tard, le 18 août 1850, le cœur de Balzac lâche. Paris l’honore et aussitôt la rue Fortunée est renommée rue Balzac.
- Il est inhumé au Père-Lachaise.
Brassens à Paris
[modifier | modifier le code]Source:« Une balade sur les pas de Georges Brassens », sur Paris.fr, [vidéo] « Disponible », sur YouTube
Originaire de Sète (Hérault), Brassens passe plus de quarante ans à Paris. Les 14e arrondissement de Paris et 15e arrondissement de Paris sont sa seconde patrie.
- 1939: Arrivée en 1939, Brassens est hébergé chez Tante Antoinette, 173 rue d’Alésia. […] Prisonnier à Basdorf, près de Berlin, jusqu'en 1944.
- 1944: Brassens se fait la belle de son camp de prisonniers à Basdorf. Une amie d’Antoinette le recueille au 9, impasse Florimont. Le voici rendu « chez Jeanne ». La bicoque de Jeanne et Marcel Planche est modeste, deux pièces, des chats, des chiens… L’impasse Florimont est un refuge dans lequel mûrit le talent du poète. Il se voulait écrivain, il sera poète et chanteur.
- En rat de bibliothèque, Georges Brassens hante celle de son quartier, sans imaginer qu’un jour, au 38, rue Gassendi (14e), la bibliothèque municipale portera son nom… Il lit tout, peaufine son écriture.
- En 1952, ses premiers textes sous le bras, le voilà prêt à faire entendre son cri : « Gare au gorille ! ». Accompagné de sa guitare, Brassens rentre dans la lumière chez Patachou, le cabaret de la chanteuse montmartroise, conquise.
- Jacques Canetti, directeur du théâtre des Trois-Baudets, l’y remarque et le « mauvais sujet repenti » devient la vedette de la scène mythique du boulevard de Clichy (18e).
- Les textes de Brassens font controverse mais, bonne ou mauvaise, sa réputation n’est plus à faire. L’artiste triomphe à l’Olympia et reste surtout fidèle, pendant près de vingt-cinq ans, à Bobino, rue de la Gaîté, à deux pas de sa tanière.
- En 1969, l’artiste franchit les limites du 14e pour emménager 42, rue Santos-Dumont. Les copains suivent, les Sétois de l’enfance; ceux de Basdorf, dont Pierre Onténiente, son fidèle secrétaire, dit "Gibraltar"; ceux du spectacle: Brel, Perret, Béart, Devos et toutes ses rencontres. Le 27 mars 1977 à Bobino, la « bande à Brassens » monte sur scène pour entonner Les copains d’abord. Le rideau se baisse. Dernière représentation.
- Le 29 octobre 1981, la Camarde, qui le poursuit d’un « zèle imbécile », vient faucher le grand Georges. « Quand mon âme aura pris son vol à l’horizon/Vers celle de Gavroche et de Mimi Pinson/Celles des titis, des grisettes/Que vers le sol natal mon corps soit ramené/Dans un sleeping du Paris-Méditerranée/Terminus en gare de Sète » (Supplique pour être enterré sur une plage de Sète).
- Près de la rue Santos-Dumont, son dernier domicile parisien, le parc Georges-Brassens (15e) invite à une flânerie poétique, guidée par des allées aux noms de chansons. En octobre, les Journées Brassens rendent hommage à l’artiste avec de nombreuses animations dans le parc.
Quelques dates:
- 1921 : Naissance à Sète (Hérault).
- 1939 : Arrivée à Paris.
- 1944 : Arrivée chez «Jeanne» et Marcel Planche, où il restera vingt-deux ans.
- 1952 : Premier concert chez Patachou.
- 1953 : Concert à Bobino et premier album, La Mauvaise Réputation.
- 1954 : Deux soirées à l’Olympia.
- 1964 : Il écrit Les Copains d’abord pour le film d’Yves Robert Les Copains.
- 1977 : Dernier concert, à Bobino.
- 1981 : Mort de Brassens.
Listes de quartiers
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Quartiers administratifs depuis 1860
[modifier | modifier le code]Arrondissement[2],[3] | Quartiers | Population en 1999 (hab.)[4] |
Superficie (ha)[4] |
Densité hab/km2 |
Plan | |
---|---|---|---|---|---|---|
1er arrondissement dit « du Louvre » |
1er | Saint-Germain-l'Auxerrois | 1 672 | 86,9 | 1 924 | |
2e | Halles | 8 984 | 41,2 | 21 806 | ||
3e | Palais-Royal | 3 195 | 27,4 | 11 661 | ||
4e | Place-Vendôme | 3 044 | 26,9 | 11 316 | ||
2e arrondissement dit « de la Bourse » |
5e | Gaillon | 1 345 | 18,8 | 7 154 | |
6e | Vivienne | 2 917 | 24,4 | 11 955 | ||
7e | 5 783 | 27,8 | 20 802 | |||
8e | Bonne-Nouvelle | 9 595 | 28,2 | 34 514 | ||
3e arrondissement dit « du Temple » |
9e | Arts-et-Métiers | 9 560 | 31,8 | 30 063 | |
10e | Enfants-Rouges | 8 562 | 27,2 | 31 478 | ||
11e | Archives | 8 609 | 36,8 | 23 394 | ||
12e | Sainte-Avoye | 7 501 | 21,3 | 35 216 | ||
4e arrondissement dit « de l'Hôtel-de-Ville » |
13e | Saint-Merri | 6 523 | 31,3 | 20 840 | |
14e | Saint-Gervais | 10 587 | 42,2 | 25 088 | ||
15e | Arsenal | 9 474 | 48,7 | 19 454 | ||
16e | Notre-Dame | 4 087 | 37,9 | 10 784 | ||
5e arrondissement dit « du Panthéon » |
17e | Saint-Victor | 11 661 | 60,4 | 19 306 | |
18e | Jardin-des-Plantes | 18 005 | 79,8 | 22 563 | ||
19e | Val-de-Grâce | 19 492 | 70,4 | 27 688 | ||
20e | Sorbonne | 9 683 | 43,3 | 22 363 | ||
6e arrondissement dit « du Luxembourg » |
21e | Monnaie | 6 185 | 29,3 | 21 109 | |
22e | Odéon | 8 833 | 71,6 | 12 337 | ||
23e | Notre-Dame-des-Champs | 24 731 | 86,1 | 28 724 | ||
24e | Saint-Germain-des-Prés | 5 154 | 28,2 | 18 277 | ||
7e arrondissement dit « du Palais-Bourbon » |
25e | Saint-Thomas-d'Aquin | 12 661 | 82,7 | 15 310 | |
26e | Invalides | 6 276 | 107,4 | 5 844 | ||
27e | École-Militaire | 12 895 | 80,8 | 15 959 | ||
28e | Gros-Caillou | 25 156 | 138,2 | 18 203 | ||
8e arrondissement dit « de l'Élysée » |
29e | Champs-Élysées | 4 614 | 114,1 | 4 044 | |
30e | Faubourg-du-Roule | 10 038 | 79,6 | 12 611 | ||
31e | Madeleine | 6 045 | 76,1 | 7 943 | ||
32e | Europe | 18 606 | 118,3 | 15 728 | ||
9e arrondissement dit « de l'Opéra » |
33e | Saint-Georges | 20 850 | 71,7 | 29 079 | |
34e | Chaussée-d'Antin | 3 488 | 54,3 | 6 424 | ||
35e | Faubourg-Montmartre | 9 233 | 41,7 | 22 141 | ||
36e | Rochechouart | 22 212 | 50,1 | 44 335 | ||
10e arrondissement dit « de l'Entrepôt » |
37e | Saint-Vincent-de-Paul | 21 624 | 92,7 | 23 327 | |
38e | Porte-Saint-Denis | 15 066 | 47,2 | 31 919 | ||
39e | Porte-Saint-Martin | 23 125 | 60,9 | 37 972 | ||
40e | Hôpital-Saint-Louis | 29 870 | 88,4 | 33 790 | ||
11e arrondissement dit « de Popincourt » |
41e | Folie-Méricourt | 33 002 | 72,6 | 45 457 | |
42e | Saint-Ambroise | 32 168 | 83,8 | 38 387 | ||
43e | Roquette | 47 520 | 117,2 | 40 546 | ||
44e | Sainte-Marguerite | 36 476 | 93,0 | 39 222 | ||
12e arrondissement dit « de Reuilly » |
45e | Bel-Air | 33 976 | 138,6 | 24 514 | |
46e | Picpus | 62 947 | 186,3 | 33 788 | ||
47e | Bercy | 13 987 | 190,3 | 7 350 | ||
48e | Quinze-Vingts | 25 752 | 123,6 | 20 835 | ||
13e arrondissement dit « des Gobelins » |
49e | Salpêtrière | 18 246 | 118,2 | 15 437 | |
50e | Gare | 69 008 | 304,4 | 22 670 | ||
51e | Maison-Blanche | 64 797 | 223,2 | 29 031 | ||
52e | Croulebarbe | 19 526 | 69,2 | 28 217 | ||
14e arrondissement dit « de l'Observatoire » |
53e | Montparnasse | 18 570 | 112,6 | 16 492 | |
54e | Parc-de-Montsouris | 19 793 | 135,7 | 14 586 | ||
55e | Petit-Montrouge | 37 230 | 134,6 | 27 660 | ||
56e | Plaisance | 57 229 | 178,5 | 32 061 | ||
15e arrondissement dit « de Vaugirard » |
57e | Saint-Lambert | 82 032 | 283,1 | 29 330 | |
58e | Necker | 46 932 | 157,8 | 29 741 | ||
59e | Grenelle | 47 411 | 147,8 | 32 078 | ||
60e | Javel | 49 092 | 260,9 | 18 816 | ||
16e arrondissement dit « de Passy » |
61e | Auteuil | 67 967 | 303,0 | 22 431 | |
62e | Muette | 45 214 | 203,7 | 22 196 | ||
63e | Porte-Dauphine | 27 423 | 141,4 | 19 394 | ||
64e | Chaillot | 21 213 | 142,4 | 14 897 | ||
17e arrondissement dit « des Batignolles-Monceaux » |
65e | Ternes | 39 137 | 146,6 | 26 696 | |
66e | Plaine-de-Monceaux | 38 958 | 138,4 | 28 149 | ||
67e | Batignolles | 38 691 | 144,2 | 26 831 | ||
68e | Épinettes | 44 352 | 137,8 | 32 186 | ||
18e arrondissement dit « des Buttes-Montmartre » |
69e | Grandes-Carrières | 67 152 | 190,6 | 35 232 | |
70e | Clignancourt | 64 868 | 165,3 | 39 243 | ||
71e | Goutte-d'Or | 28 524 | 109,0 | 26 169 | ||
72e | Chapelle | 24 037 | 134,8 | 17 832 | ||
19e arrondissement dit « des Buttes-Chaumont » |
73e | Villette | 53 650 | 128,6 | 41 718 | |
74e | Pont-de-Flandre | 24 584 | 237,7 | 10 342 | ||
75e | Amérique | 55 365 | 183,6 | 30 155 | ||
76e | Combat | 38 988 | 129,5 | 30 107 | ||
20e arrondissement dit « de Ménilmontant » |
77e | Belleville | 35 773 | 80,7 | 44 328 | |
78e | Saint-Fargeau | 42 087 | 148,7 | 28 303 | ||
79e | Père-Lachaise | 42 332 | 159,9 | 26 474 | ||
80e | Charonne | 62 901 | 209,1 | 30 082 |
Discover
[modifier | modifier le code]Ma source: [vidéo] Ctrl Act Discover, « Top 10 Architecture moderne Paris », sur YouTube,
N | Bâtiment | Architectes |
---|---|---|
1 | Pyramide du Louvre | Ieoh Ming Pei |
2 | La Grande Arche de la Défense | Johan Otto von Spreckelsen |
3 | Centre Pompidou| | Renzo Piano Richard Rogers |
4 | Le musée du Quai Branly | Jean Nouvel Gilles Clément |
5 | L'institut du monde arabe | Jean Nouvel |
6 | La Philharmonie de Paris | Jean Nouvel |
7 | La Seine musicale | Shigeru Ban Jean de Gastines |
8 | La fondation Louis Vuitton| | Frank Gehry |
9 | Site François-Mitterrand de la BnF |
Dominique Perrault |
10 | La Canopée des Halles | Patrick Berger Jacques Anziutti |
et | d'autres | Bernard Tschumi Le Corbusier Jean Nouvel ... |
Références et notes
[modifier | modifier le code]- Alain Rustenholz (ill. Gilles Targat), Traversées de Paris : Dictionnaire d'une ville en ses quartiers, Éditions Parigramme, , 614 p. (ISBN 9782840966845).
- Noms donnés aux termes de l'article R2512-1 du Code général des collectivités territoriales (partie règlementaire) (voir le texte intégral sur Légifrance) mais ces appellations sont rarement employées dans la vie courante.
- On a aussi consulté les éditions d’août 1972 et de mars 1997 de la Nomenclature : en cas de divergence, la préférence a été donnée au support papier.
- Paris 1954-1999. Données statistiques. Population, logement, emploi. Paris et arrondissements, Atelier parisien d'urbanisme, septembre 2005. Les données de population proviennent de l'Insee.