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Villers-Guislain

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Villers-Guislain
Villers-Guislain
La mairie et le monument aux morts.
Blason de Villers-Guislain
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Cambrai
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Cambrai
Maire
Mandat
Gérard Allart
2020-2026
Code postal 59297
Code commune 59623
Démographie
Gentilé Guislanais, Guislanaises
Population
municipale
680 hab. (2021 en évolution de −1,88 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 02′ 27″ nord, 3° 09′ 23″ est
Altitude Min. 86 m
Max. 141 m
Superficie 11,27 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Cambrai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cateau-Cambrésis
Législatives Dix-huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Villers-Guislain
Géolocalisation sur la carte : France
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Villers-Guislain
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Villers-Guislain
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Villers-Guislain

Villers-Guislain est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.

Géographie

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Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Villers-Guislain
Gonnelieu Banteux
Gouzeaucourt Villers-Guislain Honnecourt-sur-Escaut
Heudicourt Épehy

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[1],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Villers-Guislain[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 37 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Villers-Guislain est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cambrai, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,5 %), zones urbanisées (6,3 %), forêts (2,2 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par le réseau de transports urbains de la Communauté d'agglomération de Cambrai appelé TUC (Transports Urbains du Cambrésis), par la ligne 14[13],[14]. La ligne S120 permet de rejoindre le collège de secteur à Gouzeaucourt.

Le village est mentionné au long des XIIe au XIVe siècles sous les noms Viliers Gueisein, Villarium Gisleni, Vilers-Gienlain, Vilers le Ghislain, Villare Gilleni. Le nom Guislain vient sans doute d'un de ses anciens seigneurs[15] et a sans doute servi à le distinguer du village voisin de Villers-Outréaux[16].

La guerre 1914-1918

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Comme d'autres villages de la région, Villers-Guislain est sorti meurtri de la Grande Guerre car le village a été entièrement détruit[17].
Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent à Villers-Guislain. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en . Le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Péronne et Bapaume, l'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien. Le village servait de base arrière pour soigner les blessés. En , le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. En , Villers-Guislain se trouvant juste à l'avant de cette ligne, les habitants sont évacués vers la Belgique et les maisons sont pillées et incendiées, le village est systématiquement détruit. L'église, la mairie, les écoles et toutes les maisons sont dynamitées et les arbres sciés à 1 m de hauteur[18].
Le village, vidé de ses habitants, reste occupé par les Allemands ; il sera le théâtre de nombreux combats en mars, avril et [19].Les ruines du village seront plusieurs fois reprises par chaque camp et ce n'est qu'à partir du , lors de la bataille de la ligne Hindenburg que Villers-Guislain, après une dizaine de jours d'âpres combats sera définitivement libéré par les britanniques[20]. Plus de 1 000 soldats britanniques furent tués lors des combats pour libérer le secteur de Villers-Guislain. Ils reposent dans les cinq cimetières militaires situé sur le territoire de la commune :Gauche Wood Cemetery, Meath Cemetery, Targelle Ravine British Cemetery, Villers-Guislain Communal Cemetery, Villers Hill British Cemetery.
Sur le Monument aux Morts sont écrits les noms des 70 soldats guislanais Morts pour la France ainsi que celui de 5 victimes civiles[21].

Le , la commune connait un dramatique accident, fréquent en cette période dans la région, directement lié à la guerre, aux munitions non explosées présentes dans de nombreux endroits : un tracteur fait exploser des mines, ce qui provoque la mort de neuf personnes[22].
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions[23], la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [24].
Après l'armistice, une partie de la population revint peu à peu s'installer et commença alors une longue période de reconstruction d'une dizaine d'années, mais de 1 732 habitants en 1911, Villers-Guislain n'en comptait plus que 721 en 1921, soit moins de la moitié.

Héraldique

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Armes de Villers-Guislain

Les armes de la commune de Villers-Guislain se blasonnent ainsi :
Tiercé en pal : au premier d'azur au lys d'argent, au deuxième de gueules à la demi-aigle bicéphale d'argent en chef et à la demi-croix potencée du même en pointe, le tout mouvant de dextre, au troisième d'or aux trois barres d'azur.[25]

Politique et administration

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Maire en 1802-1803 : Isid. Hagard[26].

Maire en 1807 : Manchelle[27].

Maire en 1881 : Vitté[28].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2008 Claude Mory    
En cours Gérard Allart
Réélu pour le mandat 2020-2026[29]
   
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2021, la commune comptait 680 habitants[Note 3], en évolution de −1,88 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2741 3211 4421 7211 9842 0182 0512 0732 025
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0402 0362 0832 1402 0801 9541 8641 8461 737
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7061 6821 732712943897887761802
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
780809791767659641694710692
2018 2021 - - - - - - -
697680-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 326 hommes pour 371 femmes, soit un taux de 53,23 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,8 
6,4 
75-89 ans
9,2 
15,3 
60-74 ans
13,7 
23,6 
45-59 ans
19,1 
22,4 
30-44 ans
19,7 
15,3 
15-29 ans
18,3 
16,6 
0-14 ans
19,1 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Lieux et monuments

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L'église.

Personnalités liées à la commune

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Famille Le Sart-Van Cappel

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  • Nicolas de Sart (ou Le Sart), écuyer, seigneur de Prémont, Élincourt, Audencourt, Herdaing, Farnay, Lorneville, Harnaige, Fervacques, du Petit-Essigny et de Villers-Guislain (-Ghislain). Il commanda dans les armées françaises (officier dans les Chevau-légers comme son père et son fils). Époux de Jeanne Mallet, fille de Chrétien Mallet, de Cambrai (Nord). La légende raconte « qu'il aurait trouvé,lors des guerres,un mulet chargé d'argent,en sortant de Paris ! ». Il fut le premier seigneur de Villers-Guislain (-Ghislain).
  • Charles-François de Sart, seigneur de Prémont, Élincourt et Villers-Guislain, capitaine au régiment de Touraine-Infanterie, lieutenant pour le roi des provinces de Cambrésis, Flandres et Hainaut, pair du Cambrésis; décédé au dit Prémont le , âgé de 73 ans, époux de Marie-Charlotte-Josèphe-Nicole Petit; inhumé en l'église du dit Prémont le , en la Chapelle des Seigneurs de Prémont. Il fut le dernier seigneur de Villers-Guislain.
  • Louis-Charles-Ignace van Cappel de La Nieppe (né à Cassel (Nord), , décédé à Villers-Guislain le , en son château, maire de Villers-Guislain (1808-1813), époux de Marie-Charlotte-Josèphe de Sart de Prémont, fille de Charles-François de Sart, chevalier, seigneur de Prémont, Élincourt et Villers-Guislain et de Marie-Charlotte-Josèphe-Nicole Petit; d'où
  • Marie-Charles-Hubert van Cappel de Prémont (né à Prémont (Aisne), , décédé à Paris, boulevard du Montparnasse, (transcription de décès à Villers-Guislain le ) ; maire de Prémont (1808-1813) puis maire de Villers-Guislain (1813-1830), époux de Louise-Marcelline de Langlois de Brouchy.

Autres personnages

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  • Michel de Buissy, écuyer, mari de Jacqueline de Collencourt, était seigneur de Louwez, Villers-Guislain, Homelin. Michel de Buissy a toujours bien servi son souverain (l'empereur Charles Quint puis son fils Philippe II). Il s'est trouvé avec la compagnie du seigneur de Noircarmes à la journée de Wattrelos près de Lannoy où en 1566 furent défaites les troupes de séditieux et de brise-images (furie iconoclaste), puis aux prises de Valenciennes, Groningue, Gertruydenberg, Tergoes , Haarlem, Amsterdam, Mons, Tournai, Marcoing, Lens, Cambrai (guerre de Quatre-Vingts Ans). En 1578, il a assisté à la délivrance du magistrat (autorités de la ville) d'Arras. Il est le fils de Claude de Buissy, chevalier, seigneur de Louwez, homme d'armes sous Charles Quint,..., gouverneur de Philipheville en 1558, et de Louise d'Allesme, fille de François, écuyer, seigneur de Lannoy-en-Tournaisis et de Catherine de Dion. Il est le père de Michel de Buissy, seigneur de Teneur, de Pierre de Buissy, mort à l'assaut du château de Doullens et de Gabrielle de Buissy, mariée à Jean de Hainin (maison de Haynin), seigneur du Maisnil[36].
  • Guillaume de Buissy, grand-père de Michel, écuyer, marié à Marguerite de Le Val, a été seigneur de Villers-Guislain et prévôt de Cambrai.
  • Robert de Buissy, arrière-grand père de Michel, écuyer, marié à Marguerite de Beaulaincourt, a également été seigneur de Villers-Guislain. il est le fils de Jean de Buissy et de Sainte de Griboval. Jean de Buissy a réparé à ses frais en 1435 une chapelle de l'église Saint-Nicolas de Bapaume, où il fut longtemps représenté avec ses armes « D'azur au chevron d'or chargé de 5 tourteaux d'azur »[36].
  • Paul-Pierre Prévot, artiste-peintre, né à Villers-Guislain le , officier d'Académie, officier de l'Instruction publique, professeur honoraire à la Ville-de-Paris, peintre du musée du Val-de-Grâce. Il passa son enfance au village où il fut apprenti-forgeron jusqu'à ses seize ans, entra à l'École des Beaux-Arts dès 1906, il exposera à Paris au Salon-des-Artistes-français jusqu'en 1914, fut surnommé le « Peintre des tisseurs » qu'il représenta; peindra également des notables guislanais; en 1914-1918, il exécutera des tableaux sur les atrocités de la guerre, exposés au musée du Val-de-Grâce; il décèdera à Versailles (Yvelines) en 1961, âgé de 82 ans; est inhumé au cimetière communal de Villers-Guislain.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne)
  • Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne).

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Villers-Guislain » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Autres références

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  1. « Fiche communale de Villers-Guislain », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Villers-Guislain et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Villers-Guislain ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cambrai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Horaires lignes de bus TUC », sur tuc-cambresis.fr (consulté le ).
  14. « Plan du réseau TUC » [PDF], sur tuc-cambresis.fr, (consulté le ).
  15. Mannier 1861, p. 315.
  16. Boniface 1866, p. 312.
  17. « Carte spéciale des régions dévastées. 13 NO, Cambrai [Nord-Ouest] / [Service géographique de l'armée] », sur Gallica, (consulté le ).
  18. « Carte des positions 16 mars 1917 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  19. « La Guerre mondiale : bulletin quotidien illustré », sur Gallica, (consulté le ).
  20. « Le Rappel / directeur gérant Albert Barbieux », sur Gallica, (consulté le ).
  21. « Rechercher dans le fonds iconographique », sur geneanet.org (consulté le ).
  22. Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 41
  23. « Carte spéciale des régions dévastées. 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest] / [Service géographique de l'armée] », sur Gallica, (consulté le ).
  24. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  25. La Banque du blason - 59623.
  26. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
  27. « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807 », sur lillonum.univ-lille.fr, p. 154-155. Images 184-185.
  28. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3..
  29. https://reader.cafeyn.co/fr/1978716/21599238
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villers-Guislain (59623) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  36. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 24-25, lire en ligne.