Aller au contenu

Vraignes-en-Vermandois

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vraignes-en-Vermandois
Vraignes-en-Vermandois
La rue menant de la mairie à l'église et au monument aux morts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Maryse Fagot
2020-2026
Code postal 80240
Code commune 80812
Démographie
Gentilé Vraignois
Population
municipale
134 hab. (2021 en évolution de −9,46 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 53′ 16″ nord, 3° 03′ 58″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 103 m
Superficie 4,22 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Péronne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Péronne
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Vraignes-en-Vermandois
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Vraignes-en-Vermandois
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Vraignes-en-Vermandois
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Vraignes-en-Vermandois

Vraignes-en-Vermandois (en picard : Vrainne-in-Vermandos) est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Vraignes-en-Vermandois
Bouvincourt-en-Vermandois Hancourt
Estrées-Mons Vraignes-en-Vermandois Pœuilly
Monchy-Lagache Tertry

Description

[modifier | modifier le code]
Carte de la commune.

Le village fait partie de l'aire linguistique du picard, et est appelée Vrainne-in-Vermandos dans cette langue[1].

Nature du sol et du sous-sol

[modifier | modifier le code]

Le sol de la commune est de nature argileuse. À l'est, le sous-sol est pierreux.

Relief, paysage, végétation

[modifier | modifier le code]

Le relief de la commune est uniformément plat sur la plus grande partie du territoire constitué par un plateau. À l'est, se trouvent quelques petites collines.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Vraignes-en-Vermandois[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 698 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records ESTREES-MONS-INRA (80) - alt : 87m, lat : 49°52'29"N, lon : 3°01'52"E
Records établis sur la période du 01-01-1989 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,4 3,3 5,1 8,5 11,2 13 13 10,4 7,8 4,5 1,9 6,8
Température moyenne (°C) 3,7 4,3 7,3 10,1 13,6 16,4 18,7 18,6 15,5 11,6 7,3 4,3 11
Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,2 11,2 15,1 18,6 21,6 24,4 24,3 20,5 15,4 10,1 6,6 15,1
Record de froid (°C)
date du record
−15,8
07.01.09
−12,7
07.02.1991
−10,2
13.03.13
−3,3
21.04.1991
−1
07.05.1997
1,5
05.06.12
4,6
11.07.1993
4,6
29.08.1989
0,7
30.09.18
−4,8
29.10.03
−9,1
24.11.1998
−12,5
18.12.10
−15,8
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
14,7
09.01.15
18,6
26.02.19
24
31.03.21
27
20.04.18
30,9
28.05.17
34,9
18.06.22
41,9
25.07.19
38,4
12.08.03
34,4
15.09.20
27,6
01.10.11
19,8
07.11.15
16,6
07.12.00
41,9
2019
Précipitations (mm) 49,6 43,8 45,8 37,1 58,8 59,8 56,6 65,2 51,3 58,2 57,9 63,4 647,5
Source : « Fiche 80557001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Vraignes-en-Vermandois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,7 %), zones urbanisées (6,3 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

La commune présente un habitat groupé.

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Vraignes est situé sur la route départementale reliant Roisel à Nesle. Au sud, le territoire communal est traversé par la route reliant Amiens à Saint-Quentin, dite « Chaussée Brunehaut ».

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 49, Péronne - Roisel - Saint-Quentin)[13].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Verinne (1121) ; Verrignes (1177) ; Verrinæ (1181) ; Verrines (1285) ; Veraignes (1567) ; Veringue (1638) ; Verringnes (1662) ; Vuraine (1696) ; Vraines (1733) ; Vraignes (1744) ; Vraigne (1764)[14].

Le sens du nom pourrait venir du terme roman verres désignant la toison des brebis, ou étable à verrats[15].

Le Vermandois est une région constituée d'une plaine crayeuse et de mamelons sableux. Traversée par la Somme, elle comprend également des zones humides en particulier aux environs des deux villes principales : Saint-Quentin et Vermand.

Carte de Cassini du secteur
(vers 1750)

L'abbaye Saint-Barthélémy possédait la terre de Vraignes. En 1191, la présence d'une métairie est signalée dans un document écrit pour une transaction entre l'Abbaye Saint-Barthélemy de Noyon et Rainaud de Magny.

Un prieuré de la congrégation d'Arrouaise existait à Vraignes[15].

Époque moderne

[modifier | modifier le code]

En 1660, Nicolas de Lille devint prieur à Vraignes et le resta pendant plus de trente ans. L'abbaye Saint-Barthélémy de Noyon et le marquis d'Havrincourt étaient seigneurs de Vraignes au XVIIIe siècle[15].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

De 1914 à 1917, Vraignes fut occupée par l'armée allemande jusqu'à son repli sur la ligne Hindenburg en février 1917. La commune repassa sous domination allemande de mars à septembre 1918.

Entre-deux-guerres

[modifier | modifier le code]

Après l'armistice, Thérèse Papillon, infirmières aux armées pendant la Grande Guerre, arriva à Vraignes et se mit dix-huit mois au service des populations sinistrées de l'Est du département de la Somme avant de s'installer à l'abbaye de Valloires pour y fonder un établissement pour enfants.

La reconstruction du village de Vraignes détruit pendant la guerre fut supervisée par l'architecte Louis Faille chargé de la reconstruction du canton de Roisel.

Seconde Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

Le , au sud du territoire de la commune de Vraignes-en-Vermandois, en bordure de la route Amiens-Saint-Quentin, des résistants prisonniers des Allemands furent sommairement exécutés, un seul parvint à survivre. Onze résistants FTPF de Guise (Aisne), détenus à Saint-Quentin (Aisne) furent transférés à Péronne et de là, sous prétexte de manque de place, redirigés vers Saint-Quentin. Arrivés au sud du village de Vraignes, au lieu-dit « la Vallée perdue », les Allemands les firent descendre du camion qui les transportait et les abattirent. Deux prisonniers parvinrent à s'enfuir, l'un d'eux fut mortellement blessé, le second survécut et put faire le récit de cette tragédie.

Un monument a été érigé sur le lieu de la fusillade avec cette dédicace gravée : « La commune de Vraignes à la Mémoire des victimes de la barbarie nazie le  »[16].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 José Plaquet    
mars 2008[17] En cours
(au 8 octobre 2020)
Maryse Fagot Nouveau Centre Conseillère régionale de Picardie puis des Hauts-de-France (2010 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026[18],[19]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Population antérieure : 52 feux en 1469 ; 30 feux en 1670 ; 40 feux en 1699 ; 42 feux en 1701 ; 57 en 1724 ; 44 en 1760 ; 78 feux en 1772[20].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 134 habitants[Note 3], en évolution de −9,46 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
316324324331350320329327313
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
312322324295300270294267253
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
264266258201199195209199198
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
192154146150145148162162144
2021 - - - - - - - -
134--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Le village n'a plus d'école.

En 2020, l'aspect financier est géré par le syndicat scolaire de la Haute Somme (Sisco) concernant huit communes : Bernes, Pœuilly, Hancourt, Hervilly-Montigny, Hesbécourt, Vraignes-en-Vermandois, Villers-Faucon et Roisel. Le syndicat a la responsabilité de deux sites, avec deux classes maternelles à Bernes, et surtout neuf classes à Roisel, trois en maternelle et six en primaire[25].

Activités économiques et de services

[modifier | modifier le code]

L'activité économique de la commune est encore dominée par l'agriculture.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Saint-Pierre.
  • Mairie.
  • Monument aux morts.
  • Calvaire.
  • Statue à la Vierge, devant l'église. L'inscription « À Jésus par Marie, 1954 »[26].
  • Monument à Hector Crinon : un premier buste, détruit lors de la guerre 1914-1918, œuvre du sculpteur Georges Tattegrain, a été inauguré le 5 juin 1892[27]. Un second buste en pierre, œuvre du sculpteur Pierre Bazin, a été érigé en 1972.
  • La via Francigena qui part de Canterbury (Royaume-Uni) et mène à Rome traverse le village[28].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Hector Crinon (1807-1870), haricotier, sculpteur sur bois et poète d'expression picarde, est né et décédé à Vraignes. En 1863, il a écrit en picard : Les Satires picardes.

Sobriquet des habitants

[modifier | modifier le code]

Blason populaire : pour leurs tenues excentriques et colorées, les habitants sont affublés du surnom collectif « chés djais huppès d'Vrainne » (les geais huppés de Vraignes)[29].

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Abbé Paul Decagny, Roisel et ses environs, reprint partiel de Histoire de l'arrondissement de Péronne, Paris, Le Livre d'Histoire, 1990.
  • David de Sousa, Palettes et ciseaux, artistes de la Haute-Somme au XIXe siècle, Folio 7, Péronne, 2012.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Vraignes-en-Vermandois » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Vraignes-en-Vermandois, dans l'est de la Somme, 9e commune à signer la charte "Ma commune aime le Picard", France Bleu Picardie, Jeanne Daucé, 17 juin 2023
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Vraignes-en-Vermandois et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Vraignes-en-Vermandois ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Péronne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Les horaires des lignes » Lignes du réseau Trans'80 », sur trans80.hautsdefrance.fr).
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 408 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. a b et c Paul Decagny, L'arrondissement de Péronne, ou recherches sur les villes, bourgs, villages et hameaux qui le composent, J. Quentin, , 607 p. (lire en ligne).
  16. « Maitron », sur univ-paris1.fr (consulté le ).
  17. [xls] « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  18. « Municipales 2020: Maryse Fagot à nouveau candidate à Vraignes-en-Vermandois », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après deux mandats de maire dans la commune de 160 habitants, et aussi de conseillère régionale des Hauts-de-France, Maryse Fagot a toujours autant d'enthousiasme et d'énergie. Elle briguera un troisième mandat en mars ».
  19. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  20. « Géographie historique du département de la Somme : état religieux, administratif et féodal des communes et de leurs dépendances. Tome 2 / par Gaëtan de Witasse... », sur Gallica, 1902-1919 (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Roisel claque la porte du syndicat scolaire », Courrier picard,‎ , p. 20.
  26. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 260 (ASIN B000WR15W8).
  27. « Le Monde illustré », sur Gallica, (consulté le ).
  28. Romain Michelot, « La via Francigena a le potentiel de Saint-Jacques : Le chemin de pèlerinage qui part de Canterbury pour rallier Rome passe par la Somme et l'Aisne. Il est maintenant référencé dans un guide. », Courrier picard,‎ , p. 8.
  29. Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 22 novembre 2013, page XII, d'après Alcius Ledieu, Blasons populaires, 1903