Papers by François Gendron
Pour La Science, 2005
D'ou les Olmeques, les Mayas et les Azteques extrayaient-ils le jade dont ils faisaient masqu... more D'ou les Olmeques, les Mayas et les Azteques extrayaient-ils le jade dont ils faisaient masques et statuettes ? Une expedition francaise a enfin decouvert un gisement important de cette pierre.
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2016
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2020
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2022
... halshs-00366373, version 1. http://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00366373/fr/. oai:halsh... more ... halshs-00366373, version 1. http://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00366373/fr/. oai:halshs.archives-ouvertes.fr:halshs-00366373. Contributeur : Anne-Lise Millan-Brun <>. Soumis le : Vendredi 6 Mars 2009, 16:21:45. Dernière modification le : Vendredi 6 Mars 2009, 16:21: ...
Le Centre pour la Communication Scientifique Directe - HAL - Université de Nantes, 2015
Un marin – pêcheur d’Etaples nous a contacté (Christian DUVAL et Alain RICHARD) pour nous signale... more Un marin – pêcheur d’Etaples nous a contacté (Christian DUVAL et Alain RICHARD) pour nous signaler, qu’au temps où il était encore en activité, il avait croché son chalut sur une épave au large d’Equihen. En 1970, alors qu’il chalutait, il avait remonté, à un point situé à 1,650 mille de la descente à la plage d’Equihen, un « canon de grande taille, présentant deux anses et pesant plus d’une tonne ». Nous avons alors déclaré la découverte de bien culturel maritime aux Affaires Maritimes de Boulogne- sur – mer. Ce document a été validé par le DRASSM, le 10 février 2015 (Réf A 2711 – EA 3954) La position de cette découverte est transcrite sur la carte SHOM DECCA n° 6795. Elle se situe à Rouge –D : 18,94 – Vert- I : 43,60 soit à une position : 50° 40’ 090 N – 1° 31’ 500 E (figure 1).
La Guerre des origines à nos jours, 2014
La rapide et brutale conquête de l'Empire aztèque, ou Mexica, par une poignée de conquistadors es... more La rapide et brutale conquête de l'Empire aztèque, ou Mexica, par une poignée de conquistadors espagnols en 1521 fascine toujours. Comment 500 soldats, 16 chevaux et quelques mauvais canons ont-ils soumis en si peu de temps Mexico-Tenochtitlan, la cité des Aztèques et l'empire que ses Tlatoani (empereurs) successifs avaient bâti, puis dominé une contrée qui comptait alors environ vingt-cinq millions d'habitants ? De nombreuses explications ont été avancées : supériorité des armements européens et des techniques de combat, dont la présence de chevaux, animaux inconnus sur le continent américain; hésitations du tlatoani Motecuhzoma II, qui régna de 1502 à 1520; intelligence politique et stratégique du chef militaire espagnol Hernan Cortés; impact des épidémies véhiculées par les européens... Aucune de ces explications n'est satisfaisante à elle seule et chacune a sa part dans les causes de cette conquête.
Journal of Archaeological Science, 2002
Bulletin de l’ACERAP, Revue d’archéologie préhispanique et coloniale, 2016
Quelques haches sculptées ou taillées dans un unique bloc de pierre, manche et lame attenants, on... more Quelques haches sculptées ou taillées dans un unique bloc de pierre, manche et lame attenants, ont été exhumées dans la zone péri-caribéenne (U.S.A, Bahamas, Grandes Antilles, Colombie, Amérique centrale). Nommées « haches monolithiques », ces objets n'existeraient pas en Mésoamérique selon certains auteurs. M’appuyant sur une vaste recherche bibliographique, cet article contredit cette affirmation et démontre que quelques haches monolithiques ont été découvertes dans la zone maya et dans les ruines aztèques de Mexico-Tenochtitlán. De plus, les données chrono-stratigraphiques s’accordent pour situer leur apparition en Mésoamérique entre 600 et 700 apr. J.-C. Pour valider ma démonstration, j’ai élaboré un instrument descriptif destiné à caractériser les emmanchements des haches mésoaméricaines à partir de recherches sur la culture matérielle des Papous d’Irian Jaya. Cet outil permet de caractériser deux styles propres de haches monolithiques mésoaméricaines. Valeur et liens religieux des offrandes contenant des haches monolithiques sont ensuite recherchés car l'une d'elles est découverte en relation avec le monolithe de Mayahuel, la déesse lunaire et du pulque des Aztèques. L’exploitation de cette piste des déesses lunaires met en évidence des liens avec Ix Chel, la jeune déesse de la Lune croissante des Mayas. Algunas hachas esculpidas o talladas, mango y hoja contiguos, en un bloque único de piedra han sido exhumadas en la zona peri-caribeña (U.S.A, Bahamas, Grandes Antillas, Colombia, América Central). Nombradas "Hachas monolíticas", estos objetos no existirían en Mesoamérica según varios autores. Basado sobre una investigación bibliográfica vasta, este artículo contradice esta afirmación y demuestra que algunas hachas monolíticas han sido descubiertas en la zona Maya y en México ciudad. Además, los datos crono-estratigráficos se ponen de acuerdo para situar su aparición en Mesoamérica entre 600 y 700 d.C. Para validar mi demostración, elaboré un instrumento descriptivo destinado a caracterizar los enmangados de las hachas mesoamericanas a partir de investigaciones sobre la cultura material de los Papúes. Lo que revela dos estilos propios de hachas en esta área cultural. El valor y los lazos religiosos de las ofrendas que contienen hachas monolíticas son investigados luego porque una de ellas es descubierta en relación con el monolito de Mayahuel, la diosa lunar y del pulque de los Aztecas. La explotación de esta pista de las diosas lunares pone en evidencia lazos con Ix Chel, la joven diosa de la Luna creciente de los Mayas.
Depuis 2011, le Proyecto arqueologico Sistema Siete Venado, Monte Alban (P7V-MA) a lance une etud... more Depuis 2011, le Proyecto arqueologico Sistema Siete Venado, Monte Alban (P7V-MA) a lance une etude petrographique des materiaux decouverts, en etroite collaboration avec les equipes de l'UMR 7194 du Museum national d'Histoire naturelle (MNHN) et du centre de Recherches et de Restauration des Musees de France (C2RMF), a Paris. L'objectif de ces analyses est de completer les interpretations des contextes mis au jour, en suivant deux axes de recherches principaux: d'abord, l'etude de la reconstitution des gestes et des choix techniques qui entrerent en jeu dans la construction des edifices du site et dans la production d'objets lithiques ; ensuite, la provenance des materiaux, ayant pour principal objectif de replacer le Sistema 7 Venado - l'une des premieres occupations de Monte Alban -, dans les reseaux d'echanges prehispaniques, locaux, regionaux et meso-americains.
Revista …, 2007
Recibido el 2 de marzo de 2006; aceptado el 18 de agosto de 2006 The very unusual black backings ... more Recibido el 2 de marzo de 2006; aceptado el 18 de agosto de 2006 The very unusual black backings of two paintings by the Spanish master Murillo (1617-1682) representing Passion Scenes, on display at the Louvre museum, have been analyzed by PIXE with the AGLAE facility of the C2RMF. The support proved to be obsidian, a natural volcanic glass widely employed to produce archeological artefacts, in particular in South and Meso-America. Five archeological artifacts with similar shape to the paintings called "obsidian mirrors", originating from Mexico and belonging to the collections of the Musée de l'Homme in Paris, have been analyzed and the composition of four of them showed to be very similar to Murillo's obsidians. The comparison with the results obtained on reference obsidian samples from Mexican sources and with data from the literature by instrumental neutron activation analysis (INAA) suggested that the Ucareo/Zinapécuaro, Michoacán, Mexico is the source of the obsidian employed for the paintings. A field trip to this area was therefore organized to collect samples whose natural slab shape and chemical composition confirmed the Ucareo provenance hypothesis. The rectangular backing of Murillo's paintings are unlikely archaeological artefacts but rather objects specially made after the Spanish conquest by Mesoamerican craftsmen, among which some were exported to Europe where Murillo spent all his life. The observation, in the walls of the church and other Christian monuments in Ucareo, of obsidian inlays, a material of particular significance in the pre-Hispanic culture, underlines the complex intrication of native culture and European influences which are also carried by Murillo's paintings. Meanwhile, a third painting on obsidian by Murillo as been identified in the Museum of Fine Arts of Houston, Texas, U.S.A. This study also points out that even if the ranges of elements dosed by PIXE and INAA do not fully overlap, the measurements obtained by both techniques can be efficiently used for provenancing obsidians objects.
Journal of Archaeological Science, 2002
The discovery in 1952 of some river pebbles of jadeite-jade on the North side of the Motagua Rive... more The discovery in 1952 of some river pebbles of jadeite-jade on the North side of the Motagua River Valley (MRV) in Guatemala strongly suggested that at least part of the long-lost geological source of Mesoamerican jade was local. Another river pebble has been discovered, but this new one provides two archaeologically and geologically significant differences: (1) it is the first ever to be found on the South side of the MRV; (2) it presents a new different petrological kind of jade. The confirmation of the mineral species jadeite was achieved with this rough piece of rock without any kind of sample preparation using only a Raman Microscope (RM) which is now a reliable polyvalent non-destructive technique for archaeometry.
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