Benoit Pace
Rattaché au laboratoire IRAA - CNRS [USR 3155] de l'UPPA, l’essentiel de mes activités de recherches – situées au carrefour des disciplines archéologiques et géomatiques (analyse statistique des données, modélisation spatiales, développement et usages des SIG) – porte sur l’analyse des systèmes et des dynamiques de peuplements antiques entre Garonne et Pyrénées. Les problématiques abordées traitent donc autant sur les questions de répartition des établissements, que sur les stratégies d’implantation induites par leurs relations avec l’environnement (hydrographique, topographique, pédologique, etc.), mais aussi sur leurs dynamiques de création et d’abandon, leur caractérisation fonctionnelle, et leur constitution en un tissu plus complexe.
Terrains d'étude : Comminges (Haute-Garonne), Couserans (Ariège), Gers, Pays de Buch et Bazadais (Gironde), Hautes-Pyrénées, Landes, Pyrénées-Atlantiques.
Address: Pau, Aquitaine, France
Terrains d'étude : Comminges (Haute-Garonne), Couserans (Ariège), Gers, Pays de Buch et Bazadais (Gironde), Hautes-Pyrénées, Landes, Pyrénées-Atlantiques.
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Dans ce cadre, les Systèmes d’Informations Géographiques (S.I.G.) constituent des outils particulièrement efficaces permettant de rassembler, d’organiser, de gérer, de modéliser et de présenter des informations localisées géographiquement afin de contribuer à une meilleure compréhension des espaces. Cette logique a été progressivement intégrée aux réflexions archéologiques depuis les années 1990, via l’application de méthodes d’analyse spatiale permettant de mieux comprendre l’imbrication et les relations de ces découvertes les unes par rapports aux autres, ainsi que les interactions de ces sociétés dans l’espace.
Nous proposons donc ici une approche plus spatiale de ce territoire et des vestiges archéologiques qui y ont été découverts afin de rendre-compte d’une vision globalisante de la cité antique dans son environnement.
Dans ce cadre, les Systèmes d’Informations Géographiques (S.I.G.) constituent des outils particulièrement efficaces permettant de rassembler, d’organiser, de gérer, de modéliser et de présenter des informations localisées géographiquement afin de contribuer à une meilleure compréhension des espaces. Cette logique a été progressivement intégrée aux réflexions archéologiques depuis les années 1990, via l’application de méthodes d’analyse permettant de mieux comprendre l’imbrication de ces découvertes les unes par rapports aux autres, ainsi que les interactions des sociétés humaines dans l’espace.
Loin de se limiter à un simple point de vue général sur ces territoires, la logique de spatialisation des données nécessite une véritable réflexion sur la nature des vestiges archéologiques afin de comprendre leurs caractéristiques propres et leurs relations avec l’environnement. La modélisation de ces espaces repose également sur l’élaboration de typologies critiques des établissements, tout en questionnant leurs dynamiques au cours du temps.
Notre approche des Landes romaines se fera ici en questionnant l’organisation de ces espaces par le biais de comparaison avec les territoires voisins, soulevant ainsi des originalités ou des spécificités à l’échelle de cette province entre Garonne et Pyrénées.
Le modèle présenté ici a pour objectif de témoigner des évolutions d’une recherche doctorale portant sur « l’organisation et les usages des espaces dans les Pyrénées occidentales durant la période gallo-romaine (Ier – Ve siècle ap. J.-C.) ». Il vise concrètement à mettre en exergue les modalités d’organisation et d’utilisation des espaces de piémonts pyrénéens par le biais d’une modélisation questionnant les principaux aspects des sociétés antiques et leurs rapports avec leurs environnements.
Journée d'étude-atelier du réseau ISA, Information Spatiale et Archéologie http://isa.univ-tours.fr/ Jeudi 30 novembre-vendredi 1er décembre 2017. Pau.
Papers by Benoit Pace
Dans ce cadre, les Systèmes d’Informations Géographiques (S.I.G.) constituent des outils particulièrement efficaces permettant de rassembler, d’organiser, de gérer, de modéliser et de présenter des informations localisées géographiquement afin de contribuer à une meilleure compréhension des espaces. Cette logique a été progressivement intégrée aux réflexions archéologiques depuis les années 1990, via l’application de méthodes d’analyse spatiale permettant de mieux comprendre l’imbrication et les relations de ces découvertes les unes par rapports aux autres, ainsi que les interactions de ces sociétés dans l’espace.
Nous proposons donc ici une approche plus spatiale de ce territoire et des vestiges archéologiques qui y ont été découverts afin de rendre-compte d’une vision globalisante de la cité antique dans son environnement.
Dans ce cadre, les Systèmes d’Informations Géographiques (S.I.G.) constituent des outils particulièrement efficaces permettant de rassembler, d’organiser, de gérer, de modéliser et de présenter des informations localisées géographiquement afin de contribuer à une meilleure compréhension des espaces. Cette logique a été progressivement intégrée aux réflexions archéologiques depuis les années 1990, via l’application de méthodes d’analyse permettant de mieux comprendre l’imbrication de ces découvertes les unes par rapports aux autres, ainsi que les interactions des sociétés humaines dans l’espace.
Loin de se limiter à un simple point de vue général sur ces territoires, la logique de spatialisation des données nécessite une véritable réflexion sur la nature des vestiges archéologiques afin de comprendre leurs caractéristiques propres et leurs relations avec l’environnement. La modélisation de ces espaces repose également sur l’élaboration de typologies critiques des établissements, tout en questionnant leurs dynamiques au cours du temps.
Notre approche des Landes romaines se fera ici en questionnant l’organisation de ces espaces par le biais de comparaison avec les territoires voisins, soulevant ainsi des originalités ou des spécificités à l’échelle de cette province entre Garonne et Pyrénées.
Le modèle présenté ici a pour objectif de témoigner des évolutions d’une recherche doctorale portant sur « l’organisation et les usages des espaces dans les Pyrénées occidentales durant la période gallo-romaine (Ier – Ve siècle ap. J.-C.) ». Il vise concrètement à mettre en exergue les modalités d’organisation et d’utilisation des espaces de piémonts pyrénéens par le biais d’une modélisation questionnant les principaux aspects des sociétés antiques et leurs rapports avec leurs environnements.
Journée d'étude-atelier du réseau ISA, Information Spatiale et Archéologie http://isa.univ-tours.fr/ Jeudi 30 novembre-vendredi 1er décembre 2017. Pau.