Ochentas

ADLFI. Archéologie de la France - Informations, 2015

Cette première campagne de fouilles extensives menée sur le site des Buissières à Panossas visait à approfondir la connaissance des deux secteurs déjà sondés en 2012 qui concernent, respectivement, un édifice thermal préservé par la végétation d'un bosquet, d'une part, une zone à vocation agricole et artisanale située 150 m plus à l'ouest, d'autre part. Conformément aux prescriptions de la CIRA, elle s'est principalement concentrée sur ce dernier secteur, afin de reconnaître le plan d'un grand bâtiment tripartite visible sur les clichés aériens.

ADLFI. Archéologie de la France - Informations, 2007

2002

2023

Les critères d'ornithomancie dans les textes rituels anatoliens et leurs parallèles méditerranéens. Survol et analyse des rituels concernés et de leurs implications indo-eurasiennes C'est ainsi que depuis l'année dernière nous nous sommes engagés à étudier certains textes oraculaires d'ornithomancie en Anatolie puis les comparer avec d'autres matériaux intéressants en Egypte et Mésopotamie. Nous planifions un article sur la linguistique de ces requêtes oraculaires en septembre 2023. Nous pensons que nos premiers résultats sont encourageants.

Analyse de l’essai de Pascal Quignard sur Boutès, le seuil Argonautes qui, enchanté par les Sirènes, plonge.

Les comptes sont identifiés par un numéro auquel est rattaché un intitulé. Ces deux identifiants sont nécessaires pour enregistrer et suivre les opérations en comptabilité.

Actif au 15e siècle dans le Genevois, l'orfèvre et doreur Marquet Thoniaux laisse plusieurs pièces d'orfèvrerie disséminée notamment en Haute-Savoie. L'étude des archives permet de lui attribuer quelques pièces de la fin du 15e siècle.

Anthropen, 2023

Entrée de dictionnaire d'anthropologie, Université Laval

Projet in the center of Bruxelles

Encyclopédie berbère, 2013

Le nom de l'Oukaïmeden 1 désigne aujourd'hui la première station de ski du Maroc, dans une région montagneuse qui appartient au massif du Jbel Toubkal, ensemble le plus élevé de la chaîne atlasique (4 165m). Plus précisément, comme l'a indiqué J. Malhomme (1959), ce toponyme désigne originellement « le sommet portant sur ses flancs les pistes skiables » et culminant à 3 262 m d'altitude. Plus bas, autour de 2 600 m, se trouve un plateau, « superbe pâturage à bovins », l'Aougdal n'Sidi Fars, dont « le plan incliné gréseux, gravé par endroits, est Ifir, alors que le Tizrag est la falaise terminant Ifir au Nord » (fig. 1).