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Les ateliers de sculpture régionaux : techniques, style et iconographie, 2009
Zusammenfassung : Ein Denkmälergruppe im Altar-Typus wurde bei Thespiai lokalisiert. Es | handelt sich um mehr als vierzig Grabaltäre, die alle aus lokalem Stein aus Thespiai gemeißelt sind, einem Kalkstein geringer Qualität, der besonders schwer zu bearbeiten ist und leicht Sprünge bekommt. Das Hauptziel ist, die stilistischen Besonderheiten dieser Werkstatt aufzuzeigen. Des weiteren werden die Ausbreitung dieses Typus von Grabmonumenten im griechischen Raum untersucht : in West-und Zentralmakedonien sind diese Altäre in der römischen Kaiserzeit bekannt, zahlreich sind sie in Böotien und einige wurden sogar wiederverwendet. Den dritten Punkt bildet die Ikonographie, die auf den Reiter Bezug nimmt : Der Reiter oder die Frau, die das Pferd am Zügel führt. Ein lokaler Kult des Heros und seiner Begleiterin, der Heroine, lässt sich auch durch die inschriftlichen Quellen belegen. Jedoch die Form der Monumente und die Inschriften, die die Darstellungen begleiten, weisen auf eine offensichtliche sepulkrale Verwendung dieser Altäre hin.
Une autre langue : Matisse et la gravure, 2010
« Un graveur, des techniques ». In Une autre langue : Matisse et la gravure, Paris, Mona Bismarck Foundation, 1er décembre 2010 – 15 février 2011. (Paris, Mona Bismarck Foundation, 2010, pp. 47-55). Quelques explications sur les principales techniques de gravure utilisées par Henri Matisse tout au long de sa carrière (pointe-sèche, eau-forte, linogravure, aquatinte, gravure sur bois, monotype et lithographie).
M.E.Bloch@Lse.ac.uk Des journées d'études comme celle-ci provoquent un certain nombre de difficultés, certes familières. Tout d'abord, lorsque les anthropologues et les historiens se réunissent, très vite ils découvrent que leurs manières de procéder, et ce qu"ils considèrent comme des données fiables, diffèrent sous bien des aspects. Ces incertitudes deviennent particulièrement aigües quand une réunion rassemble, comme c"est le cas aujourd"hui, d'une part, des anthropologues et des historiens, de l'autre, des archéologues. Le fait même d"un tel rassemblement nous invite à généraliser ensemble à propos de notre objet : « le funéraire ». Mais les anthropologues et les historiens sont devenus très craintifs face à ce genre d"attente. Les archéologues quant à eux espèrent naturellement que leurs collègues anthropologues et historiens pourront leur fournir quelques principes généraux concernant le traitement des morts qui pourraient les aider à interpréter leurs découvertes. Après tout, les anthropologues ont pu observer et parler aux gens qu"ils étudient, et les historiens possèdent des documents qui rapportent des propos ou des pratiques obtenus de sources « primaires ». Alors que les archéologues, du moins ceux dont les recherches concernent des peuples qui ont vécu avant l"écrit, sont obligés de spéculer plus indirectement. Il n'est donc pas surprenant qu"ils puissent espérer recueillir de leurs collègues des indications générales qu"ils pourraient projeter sur leurs maigres données afin d"éclairer un passé plus difficilement accessible.
Trois textes réunis : Contre la méthode, Soleil de minuit 2015-2017 et Entrelacs quasi-cristallins, 2016 Ce mémoire décrit en détail le travail de recherche qui a mené à la création de deux projets d'œuvres publiques monumentales. Seule une des deux a effectivement été réalisée par la suite. Texte / images / mise en page : Adrien Lucca Édition Jeunesse et Arts Plastiques, Bruxelles, 2017
Le point de départ de cette étude est l’inventaire des sculptures funéraires représentant les élites dans une microrégion de la cité romaine d’Aix-en-Provence (Aquae Sextiae ). Ces gens sont les descendants des guerriers d’Entremont. Leurs statues ornent des mausolées élevés non en périphérie de la ville, mais dans des résidences rurales (in villa). Au Ier siècle, le défunt est représenté en togatus . Au IIe siècle, les pratiques funéraires évoluent. L’inhumation succède à l’incinération ; le sarcophage remplace l’urne cinéraire ; un culte est rendu au mort qui est représenté in formam deorum . Le tombeau est un sepulchum et un fanum . Ainsi, derrière les ruptures qu’expriment les représentations des défunts, la pratique du mausolée in villa traduit la persistance des élites qui structurent l’espace rural depuis l’âge du Fer. Mots-clefs : Rome, sculpture funéraire, mausolée, villa, élites sociales, Aquae Sextiae. Abstract The starting-point of this study is the inventory of funerary sculptures showing the elites in a micro-region of the Roman city of Aix. These people are the descendants of warriors of Entremont. Their statues adorn mausoleums, which are built not in the periphery of the city, but in country residences (in villa). In the first century, the decedent is represented in togatus. In the second century, burial practices evolve. Interment succeeds cremation, the sarcophagus replaces the cinerary urn. A cult is paid to the dead which is shown in formam deorum . The tomb is a sepulchum and a fanum . So, behind the breaks expressed in the representations of the dead, the practice of the mausoleum in villa reflects the persistence of elites that structured the rural areas from the Iron Age. Keywords : Rome, funerary sculpture, mausoleum, villa, social elites, Aquae Sextiae.
2020
Ce numéro spécial de Géographie et Cultures intitulé « Spatialités et pratiques funéraires » interroge la thématique de la mort dans sa dimension spatiale. Celui-ci s’inscrit dans la continuité des réflexions engagées par R. Bertrand (1991) et G. Di Méo (2010) qui insistent sur la richesse et la fécondité d’une telle approche en géographie. En effet, la mort n’est pas seulement un point de rupture biologique correspondant à la fin de la vie, elle est aussi, et surtout, un processus social qui engage les (sur)vivants à la fois dans la production et l’appropriation d’espaces qui lui sont consacrés, de même que dans la mise en scène de rites et de pratiques qui lui sont associés. Réunissant un panel d’auteur-e-s d’horizons disciplinaires différents et des terrains d’études internationaux (Maroc, Égypte, Inde, France, Italie, Cameroun…), ce numéro témoigne de la complexité des enjeux spatiaux liés à la mort. De la diversité des modes d’usage et d’appropriation des espaces funéraires par...
Académie de Montpellier-Cercle d'étude en Art/Danse-2007 L'analyse de ces remarques permet de mettre en évidence deux conceptions paradoxales du corps et du geste et une approche particulière de la démarche artistique. -Le corps "objet", est façonné, construit par la culture, par la civilisation imposant ses lois, ses normes, ses intérêts. On parle d'un corps "instrumentalisé", d'un corps dépersonnalisé, anonyme, vidé de sa subjectivité, qui peut même être asservi et manipulé. De cette approche du corps découle une conception du geste comme produit d'un monde social, économique, moral et culturel. On parle d'un geste qui serait le produit d'un monde déjà là. Ce dernier, par son action éducative, socialisante, normalisatrice déterminerait nos conduites publiques et nos comportements les plus intimes. -Le corps "sujet", est celui qui pense, qui crée, celui qui a une identité propre et qui se libère du carcan idéologique imposé par la société. Ce corps artistique joue et se joue des représentations communes, il s'approprie, transforme et interprète le matériau gestuel commun. De cette approche du corps, on peut déduire une conception active, libre, personnelle, authentique du geste. Le texte officiel pose aussi un présupposé artistique: "la pratique artistique s'organise à partir d'une observation et d'un questionnement sur les différentes occurrences du geste". Le geste artistique est donc à élaborer à partir du geste observé dans les multiples dimensions de l'existence humaine. Il faut prélever puis, décontextualiser, transformer le geste commun pour trouver le geste dansé. On doit passer du monde ordinaire au monde artistique par la transformation du matériau commun "objectif". Le geste artistique est ici l'acte créateur, celui qui métamorphose le matériau commun en présence poétique, en objet esthétique. Les gestes ordinaires acquièrent ainsi une autre dimension, ils rayonnent sous une autre lumière qui nous permet de les voir "autrement" sans toujours les reconnaître. Mais, avant de pouvoir prélever un geste encore faut-il savoir ce qu'est le geste, ce qui fait d'un mouvement un geste.
Historia, prawda, terazniejszość 4.0. Jak prowadzić stosunki międzynarodowe w kontekście przeszłości? Diagnozy, recepty, zapis debat / red. D. Bębnowki, A. Goszczyński. Warszawa 2022. S. 9-22., 2022
14th International Symposium on Software Reliability Engineering, 2003. ISSRE 2003., 2003
Felsefelogos, 2024
International Journal of Scientific Development and Research (IJSDR) www.ijsdr.org, 2024
EFFECT OF RISING INTREST RATE ON MANUFACTURING SECTOR OF THE NIGERIA ECONOMY, 2022
International Journal of Research in Pharmaceutical Sciences
Psychology of Women Quarterly, 2011
Journal of Nonverbal Behavior, 2009
Archaeological Journal, 2017
International Journal of Pharmacognosy & Chinese Medicine
Journal of Cachexia, Sarcopenia and Muscle, 2016
Iranian Journal of Medical Physics, 2013
Momona Ethiopian Journal of Science, 2017
Revista Brasileira de Cirurgia Cardiovascular, 2014
Issues in Mental Health Nursing, 2010
Portuguese Journal of Mental Health Nursing, 2014