Claude-Charles de PEYSSONNEL, auteur cité dans le Littré
PEYSSONNEL (1727-1790)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme PEYSSONNEL a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
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Traité sur le commerce de la mer Noire | 1787 | 23 citations |
Quelques citations de Claude-Charles de PEYSSONNEL
Voici un tirage aléatoire parmi ses 27 citations dans le Littré.
Les armes blanches, sabres, grands couteaux appelés yatagans, et couteaux ordinaires que l'on fabrique à Rizé, sont très renommés.
Commerce de la mer Noire, II, 60 (yatagan)Clous de cuivre à cabochon, dont nos tapissiers se servent, et que les Tartares emploient pour mettre à l'entour de leurs selles.
Comm. de la mer Noire, I, 329 (cabochon)Porcelaines, faïence et terraille.
Traité sur le comm. de la mer Noire, t. I, p. 109 (terraille)La troisième [espèce de dorure] est un galon uni d'une largeur médiocre, sans lames ni festons, à peu près comme nos mousquetaires.
Traité sur le commerce de la mer Noire, I, 58 (mousquetaire)Ce prince l'ayant un jour extrêmement pressé d'embrasser le musulmanisme…
Traité sur le commerce de la mer Noire, II, 319 (musulmanisme)Il vient de Venise des canevettes de plusieurs bouteilles de verre peintes.
Traité sur le comm. de la mer Noire, I, 109 (canevette)Toutes les fourrures dont je viens de parler viennent en peaux et en tables ; les peaux se vendent en proportion du prix des tables que j'ai indiqué, suivant le nombre de peaux qu'il faut pour former la table.
Traité sur le commerce de la mer Noire, I, 189 (table)Quand le navire est sous la charge, comme on ne connaît point l'estivage des marchandises de volume, on accumule sans ordre et sans arrangement tout ce que les chargeurs apportent ; et, pour faire un meilleur nolis, on charge souvent outre mesure, et jusqu'au milieu du mât.
Traité sur le com. de la mer Noire, II, 218, 1787 (estivage [2])Fez ou bonnets de France et de Tunis… les bonnets de France ont cours en Crimée, et s'y vendent avec autant d'avantage que ceux de Tunis.
Traité sur le comm. de la mer Noire, I, 55 (fez)On recueille des laines dans toute la Bulgarie, la quantité en est immense ; ces laines sont toutes surges ; on ne lave point les moutons avant de les tondre.
ib. II, 164 (surge)La seconde qualité [de beurre] est ce que nous appelons mantèque ; elle est mêlée de graisse de mouton, de bœuf, et même de chameau.
Traité comm. mer Noire, t. I, p. 151 (mantèque)On trouve en Crimée trois sortes de laines, la lavée, la surge et la pelade.
Traité sur le comm. de la mer Noire, I, 117 (surge)Les fusils de Crimée sont extrêmement recherchés… les canons sont simples ou carabinés.
Commerce de la mer Noire, I, 147 (carabiné, ée)Quinze cents cabans de Salonique, savoir cinq cents des grands, qui valent de 11 à 12 piastres, et même 14 avec la pluche ; cinq cents saute-en-barques à 6 piastres, et autant de petits saute-en-barques sans manches, en forme de camisoles, de 2 piastres à 2 1/2 la pièce,
Traité sur le commerce de la mer Noire, II, 57. (saute-en-barque)Des tabatières de bois, de laiton et de tombac.
Traité sur le comm. de la mer Noire, I, 105 (tombac)On trouve à Caffa de la poutarge excellente.
Traité sur le commerce de la mer Noire, I, 227, Paris 1787 (poutarge ou poutargue)Vins de Tokay et toutes sortes de vins liqueureux.
Traité sur le comm. de la mer Noire, t. I, p. 248 (liquoreux, euse)Trois à quatre mille demi-cabans, sans manches…
Traité sur le commerce de la mer Noire, II, 134, Paris, 1767 (caban)Des poignards appelés kindjials, et d'autres nommés kamas.
Traité sur le commerce de la mer Noire, II, 6 (kandjar ou kandjiar)Il convient de faire venir les fonds dont on a besoin en espèces ; la voie la plus sûre est celle des tchoodars du kan, que ce prince expédie presque toutes les semaines, et qui se chargeraient de remettre volontiers des grouppes au consul, moyennant une petite récompense, Traité sur le comm. de la mer Noire,
I, 211 (group)