Charles ROLLIN, auteur cité dans le Littré
ROLLIN (1661-1741)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme ROLLIN a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
---|---|---|
Histoire ancienne | 1738 | 1392 citations |
Traité des Études | 227 citations |
Quelques citations de Charles ROLLIN
Voici un tirage aléatoire parmi ses 1681 citations dans le Littré.
Il [Nébride] ne put refuser à ses prières instantes [de saint Augustin] d'entrer en qualité de sous-maître chez Vereconde, qui enseignait les belles-lettres à Milan.
Traité des Ét. VII, 2<sup>e</sup> part. 4 (sous-maître, esse)Son désespoir à la mort de ses enfants, porté jusqu'à nier la Providence.
Hist. anc. Œuvr. t. XI, 2<sup>e</sup> part, p. 735, dans POUGENS. (nier)Par ce calcul, on a reconnu que le tiers d'eau et de neige qui tombe sur la terre est plus que suffisant pour fournir aux fontaines et aux rivières.
Traité des Ét. V, art. 3 et 4 (rivière)Le terme était arrivé où la géométrie devait enfanter le calcul de l'infini, M. Newton trouva le premier ce merveilleux calcul.
Hist. anc. t. XIII, livre XXVII, chap. I, p. 134, dans POUGENS. (infini, ie)Après avoir achevé le temple qu'on nommait Hécatonpédon, ils renvoyèrent libres toutes les bêtes de charge qui avaient fourni à ce travail, et leur assignèrent de gras pâturages comme à des animaux consacrés.
Hist. anc. Œuv. t. IV, p. 509, dans POUGENS (pâturage)En consacrant tous les jours un certain temps réglé à la lecture des anciens auteurs, ils feront peu à peu un amas de richesses dont ils seront eux-mêmes étonnés dans la suite.
Traité des études, 4<sup>e</sup> part. ch. 1 (consacrer)Tel était l'état de Sparte, quand Agis songea à remédier à des abus si criants.
Hist. anc. Œuvres, t. VII, p. 525, dans POUGENS (criant, ante)Les festins où les poursuivants de Pénélope emploient les journées entières.
Hist. anc. Œuv. t. XI, 1re part. p. 225, dans POUGENS. (poursuivant, ante)Le silence de la nuit, rendant les échos plus forts et plus sensibles, faisait paraître leurs cris comme des cris d'une troupe beaucoup plus grosse que la leur.
Hist. anc. Œuv. t. VII, p. 507, dans POUGENS (sensible)Gellias, le plus riche des citoyens d'Agrigente, avait fait construire dans sa maison plusieurs grandes salles pour y recevoir et traiter ses hôtes.
Hist. anc. Œuv. t. v, p. 163 (traiter)Le consul, blessé dangereusement, se retira en bon ordre, et fut conduit dans son camp par un gros de cavaliers qui le couvraient de leurs armes et de leurs corps.
Hist. anc. Œuvres, t. I, p. 406, dans POUGENS (dangereusement)Nul moyen de vaincre ne paraissait honteux à Philippe : jamais Alexandre ne songea à employer la trahison.
Hist. anc. Œuv. t. VI, p. 608, dans POUGENS (honteux, euse)Périclès était en assez mauvaise intelligence avec sa femme, et elle consentit sans peine à se séparer de lui.
Hist. anc. Œuv. t. XI, 2<sup>e</sup> part. p. 761, dans POUGENS. (intelligence)Quand ces colonnes venaient à se resserrer, ils demeuraient à la queue, ou filaient sur les flancs de part et d'autre pour éviter l'embarras.
Hist. anc. Œuv. t. IV, p. 191, dans POUGENS (filer)Tout fléchissait le genou et était rampant devant eux [Cambyse et Smerdis].
Hist. anc. Œuv. t. II, p. 471 (fléchir)Colomb savait très bien par la connaissance qu'il avait de la sphère et de la géographie, que, naviguant toujours vers l'occident, à peu près sous le même parallèle, il ne pouvait manquer à la fin de trouver des terres.
Hist. anc. XXVII, II, 2 (parallèle)Écrivains grecs et latins, auteurs anciens et modernes, livres imprimés et manuscrits, amis absents et présents, j'ai tout mis à contribution pour faire entrer dans mon ouvrage le plus de beautés et de richesses qu'il m'a été possible.
Traité des Ét. liv. V, avertiss. (contribution)Quand on y était parvenu [sous la muraille, par la mine, dans les siéges anciens], on étayait et on soutenait les murailles par de gros pieux de bois, auxquels ensuite les mineurs mettaient le feu et se retiraient ; et bientôt l'on voyait tomber de longs pans de muraille.
Hist. anc. Œuv. t. VIII, p. 74, dans POUGENS (pan [1])Le triérarque commandait le vaisseau, et donnait l'ordre à tout l'équipage ; lorsqu'ils étaient deux, chacun exerçait pendant six mois.
Hist. anc. Œuv. t. V, p. 546, dans POUGENS (triérarque)Après qu'on fut entré dans la ville par les brèches, les assiégés se défendirent encore longtemps avec un courage incroyable, et il fallut les poursuivre et les forcer de maison en maison.
Hist. anc. Œuv. t. V, p. 197, dans POUGENS (forcer)