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Rechercherje vous souhaite de savourer votre féminité retrouvée http://imbecil itecrasse.cent erblog.net
Par imbecilitecrasse, le 21.08.2019
b'jour; on ne se connaît pas; gardez courage; envie de vivre. battez-vous...
Par noeldutregor, le 07.07.2019
bon retour béatrice
Par Anonyme, le 24.06.2019
gorgeous http://imbecil itecrasse.cent erblog.net
Par imbecilitecrasse, le 02.03.2019
magnifique corps
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merci
Par noeldutregor, le 25.11.2018
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Date de création : 05.09.2006
Dernière mise à jour :
21.07.2020
456 articles
j'ai écrit "par un âne", il ne fallait pas se méprendre car je ne suis pas en manque au point de penser à l'animal. C'était, dans mon esprit, penser à quelqu'un de pas très intelligent.
Mais revenons à notre soirée. Je ne suis pas naïve, je m’assied sur le canapé sans croiser les jambes. Ce qui me semble une invitation. Tout en me parlant, il pose sa main d'une manière distraite sur ma cuisse. Je me laisse aller à dodeliner de la tête de façon à ce qu'involontairement elle se pose su son épaule. J'avais donné le signal. Il tenta un baiser furtif sur mes lèvres que je lui rendit. Il était chaud, brulant autant que je l'étais. les baisers devinrent plus fougueux, nos langues se rencontrèrent alors que nos mains commençaient à explorer le corps de l'autre. Lui ma poitrine et moi son bas ventre.Je caressait l'objet de mon désir qui n’avait pas eu besoin de moi pour gonfler. Je pris l'initiative de glisser quelques doigts dans sa braguette alors qu'il déboutonnait mon corsage d'une main alors que l'autre se frayait un chemin vers mon intimité.Prévoyante, je portais une jupe portefeuille et il n'eut qu' à se faufiler entre ses pans. Je suppose qu'il ne fut pas surpris par la moiteur de ma vulve qu'il se prit à renifler avec délectation.
J'étais quelque peu perturbée le lendemain en me réveillant car j’ai eu l'impression que je l'avais planté un peu sèchement alors qu'il avait été très galant avec moi.
Je pris donc la décision de l'appeler avant qu'il ne le fasse. Il a eu l'air surpris de ma démarche et me pardonna lorsqu'il écouta mes bobards consistant à m'excuser de ma précipitation due à une vie professionnelle intense. Il comprit ou du moins fit semblant de comprendre et me demanda tout naturellement s'il pourrait me revoir.
J'acceptai donc une invitation à diner le Samedi suivant chez lui. Il eut l'ai surpris que j'accepte aussi rapidement et me donna son adresse.
J'avais garé ma voiture dans une rue adjacente et fit à pied les quelques mètres qui me séparaient d'un cossu immeuble bourgeois dans la proche périphérie de Paris.
Il sembla visiblement ému de me voir et me montra sobrement les lieux meublés et décorés avec soin. je l'en félicita alors qu'il me dit ne pas en être responsable mais de la responsabilité de sa femme aujourd'hui disparue. Je fus choquée de cette brusque déclaration et me répondit qu'il ne fallait pas que je le sois car ainsi sont les choses de la vie. malgré mes questions je ne pus connaitre les raisons de sa disparition. Si ce n'est qu'un cancer était en question.
Le repas avait été fourni par un traiteur et nous avons parlé de choses et d 'autres tout en sachant ce que nous désirions l'un et l'autre. le repas terminé, il me proposa de quitter la table et de boire une coupe de champagne sur le canapé.
J'acceptai avec une joie non dissimulée car je savais que mon heure était arrivée et que j'avais une envie folle de me faire prendre. Même un âne aurait fait l'affaire!
Et comme je m'en doutais, il ne tarda pas à me rappeler (mon ego en aurait pris un coup s'il ne l'avait pas fait).. j’acceptai donc son invitation en faisant semblant d'être un peu hésitante car je n'avais pas envie de lui donner l’impression qu'il n'avait qu'un geste à faire pour que j'accoure.
Il a proposé que je le rejoigne au bar où nous étions allés précédemment. Pourquoi pas. Je n'avais pas d'idée préconçue. Avais je envie de lui ou pas? je ne savais pas. La seule chose qui me taraudait l'esprit est que je n'avais pas fait l'amour depuis longtemps. Mais de là à me taper le premier venu, surement pas!
Tailleur noir, chemisier rose. Volontairement habillée très sobre. Deux diamants dans chaque oreille, jambes nues, je suis arrivée à l'endroit indiquè.
A son regard, j'ai eu l'impression d'être une bête de foire car il m'a détaillée de la tête au pied. Je savais donc à qui j'avais à faire. Voyant mon tatouage à la cheville, il me dit qu'il n'aimait pas les tatouages mais que celui était discret et sexy. Je me fis la réflexion qu'il n'était pas arrivé au bout de ses surprises si comme je le supposait il avait envie de me sauter.
Le repas se passa de façon très courtoise même si je devinais que l'envie le taraudait tout comme la mienne. Salope, allumeuse, garce peu importe le qualificatif J'avais décidé de ne pas lui céder immédiatement malgré mon envie folle de baiser.
Alors, comment faire? accepter sa proposition d'aller boire un dernier verre chez lui ou de décider de rentrer chez moi? J'ai choisi à son grand désarroi la seconde solution en prétextant une journée bien chargée le lendemain. Il accepta à regrets et rentra chez moi en taxi.
J'étais furieusement excitée car je savais que je n'avais qu'une envie celle de céder à ses avances. Rentrée chez moi, j'ai dégrafée ma jupe, retiré mon string et me suis masturbée pour assouvir mes pulsions. Mais ce n'était pas suffisant car je me suis couchée en m'enfilant un gode vibrant. Je me suis endormie sereinement après avoir été satisfaite.
Comment expliquer ce long silence?
Plusieurs choses m'en ont empêchée. Tout d'abord le décès de mon amie Agnès. Je lui devais tout et fut très affectée par son départ.
Dans le même temps, et je n'avais fini de raconter la fin de ma rencontre lors du diner où j'accompagnai un chef d'entreprise. Le repas s'était terminé sèchement avec nos interlocuteurs. Il voulut me remercier de mon intervention qui fut cruciale dans sa négociation et me proposa d'aller un verre ailleurs. Je lui répondit que je n'étais pas à vendre et il me rétorqua que ce n'était pas dans ses intentions. Il emmena au bar d'un hôtel de luxe..j’acceptai malgré la crainte d'avoir à lui refuser de monter dans les étages.
Nous discutâmes longtemps autour de quelques coupes de champagne. Il se montrait entreprenant sans en donner l'air. J'avais l'impression qu'il attendait un signe de ma part. Ce que je ne pouvais faire même si l'envie commençait à me tarauder l'esprit mais je ne voulais pas lui donner l'idée que malgré mes dénégations cette attitude aurait la suite logique de cette soirée.
Je lui fis comprendre qu'il fallait que je rentre car je me levais tôt le lendemain et lui indiqua que je prendrai un des taxis attendant devant l’hôtel. Il m'y accompagna à regrets et avant que je le quitte me demandant s'il pouvait me revoir.
J'aurais été déçue qu'il ne me le demande pas et lui donna le numéro de mon portable personnel. Il m'embrassa chaleureusement avant que je monte dans le taxi. Je dissimula mon trouble et mon excitation.
J'étais sure qu'il m’appellerai.
Je me suis sentie vidée de mon être lorsque j'ai appris le décès d’Agnès. Elle était ma patronne , celle qui m'avait mis le pied à l'étrier, m'avait soutenue contre vents et marées. Je lui doit tout. Nous avons été intimes, mais ce n'est qu'un détail.
Je suis resté prostrée pendant des jours, m'abrutissant de travail jusqu’à des douze heures par jour, alors que des jours heureux se profilaient à l'horizon.
Je reviens très vite
Béa
Je me souviens avoir rencontré lors d'un diner d'affaire une "accompagnatrice". J'avais tellement sympathisé avec elle que j'avais terminé la nuit avec elle. je lui avais posé beaucoup de questions sur son "activité" au point qu'elle m'avait répondu :
-Puisque tu es si curieuse, prends ma place un soir.
J'avoue, sur le coup, avoir été tentée par l'expérience. mais je me suis vite ravisée car malgré ses dénégations, je craignais de m'embarquer dans des activités peu conformes à ma morale.
J'en étais restée là et ne l'avais pas recontacter. Et quelle ne fut pas surprise lorsque je reçu un appel d'elle.
-Salut, Béa. Tu dois être surprise de m'entendre. je t’appelle car j'ai un service à te demander. Tu te souviens que je t'avais proposé de me remplacer un soir? Voila, j'ai une prestation la semaine prochaine avec un client qui négocie un contrat avec des investisseurs étrangers. je dois passer pour sa compagne. Le problème est qu'il faut parler anglais et que c'est loin d'être mon cas. Alors, j'ai pensé à toi.
-C'est gentil de penser à moi mais je ne suis pas à vendre.
-Tu te trompes, le contrat est clair. Tu es payée pour une prestation de l'entrée à la sortie du restaurant. Ensuite, ce qui se passe après t'appartient, libre à toi de continuer la nuit. la société qui m'emploie est très précise à ce sujet car elle risque d'énormes problèmes dans le cas contraire.
-Laisse moi réfléchir 24 heures.
Et je l'ai rappelé en ayant pris la décision d'y aller.
-Super, tu me rends service. De plus, c'est bien payé.
-Je n'ai pas besoin d'argent, je te le donnerai.
-Comme tu veux. Tu vas me donner une adresse mail qui n'est pas ton officielle pour recevoir la photo du client car vous aurez rendez vous au préalable pour arriver ensemble. Habillée sobre mais classe et si tu as une alliance porte là. C'est un détail qui a son importance.
J'ai reçu la photo et le contrat sur une adresse mail bidon que j’utilise de temps en temps. Effectivement, le contrat était clair et rassurant. Il est de coutume d'envoyer des photos avantageuses. Celle ci, l'étais et montrais un homme d'une cinquantaine d’années portant bien, légèrement grisonnant à la George Clooney. Je me fis la remarque que si c'était celui de la photo qu'il n'avait guère besoin d’accompagnatrice.
le rendez vous était fixé dans un bar à proximité du restaurant. Petite robe noire, look classique comme lorsque je vais au conseil d'administration. Des bottes pour cacher mon tatouage. J'étais Alyson et n'en menait pas large.
Je suis volontairement la première pour le voir arriver. Il correspondait à la photo et peut être même en mieux.
-Alyson, je présume?
-Exactement, enchantée.
-Je vous explique un peu la soirée.
-Ne pensez vous pas qu'il vaudrait mieux se tutoyer si nous sommes supposés être ensemble.
-Vous, tu as raison même si la différence ne sauteras aux oreilles de nos interlocuteurs. Je n'avais pas envie d'aller seul à ce diner. j'ai affaire à des requins et aurait besoin d'un regard complice. J'ai oublié de vous dire que vous êtes charmante. j'ai oublié de vous demander comment est votre anglais. Je suppose que n'aurez pas beaucoup l'occasion d'intervenir mais il est important de donner l'impression que vous participez au repas.
-Il ne faudra pas oublier le tutoiement !!
A suivre
J'ai réuni mon équipe ce matin en indiquant que j'avais reçu un message de la Direction.
-Je vous lis :
"En ces périodes d'incertitude pour l'emploi, il nous a semblé important de resserrer les liens qui nous unissent. Il n'y a, dans l'immédiat aucune inquiétude à avoir sur vos postes.. Néanmoins, nous avons considéré qu'il convenait d'avoir un geste fort pour affirmer notre unité.
Aussi, nous avons pensé qu'il conviendrait que chaque salarié porte au creux du poignet droit le tatouage de notre logo. Nous savons que cette demande n'est pas conforme à votre intégrité physique aussi elle n'est pas obligatoire. Néanmoins, afin de remercier ceux qui accepterons cette démarche, nous avons décidé un vaste de plan de promotion. Les contras à durée déterminée seront transformés en illimité et pour les autres promotion dans le grade supérieur.
Nous vous remercions de bien vouloir nous faire part de votre décision dans la journée afin d'organiser l'opération qui sera, bien entendu, à nos frais"
Stupéfaction, incrédulité de mon auditoire.
-On nous prend pour quoi, nous marquer comme du bétail.
-Ah non, super génialdit une autre que ça ne gêne pas car elle en couverte.
Valérie refusa catégoriquement "On nous demandera quoi après? Je suppose que toi tu vas le faire.
-Je donnerai l'exemple. En tout cas, il me faut votre réponse avant midi. (Comme c'était totalement bidon, je ne voulais pas qu'elles en parlent à la pause déjeuner avec leurs collègues des autres services)
J'ai passé la matinée à les voir de mon bureau discuter entre elles et s'invectiver.
A midi, je suis allé les voir pour leur demander leur réponse.
-Écoute Béatrice, majoritairement et même si des promotions sont promises, nous sommes contre.
-Très bien. j'en prend note et vous rassure car c'était complétement bidon. J'ai voulu vous rendre la monnaie de votre pièce et en même temps vous tester. A vrai dire, j'aurai été déçue si vous aviez acceptées.
Je sentis leur soulagement et les laissèrent aller déjeuner. Je n'étais mécontente de ma petite vengeance qui, à ma grande surprise, me permit de me rendre compte que ma petite équipe était bien soudée.
Virginie qui est la plus fidèle de mes collaboratrices à fini par me lâcher le morceau.
-Elles se sont bien moquées de toi avec cette histoire de tatouage. Tu n’arrête pas de leur faire la leçon sur les tatouages trop voyants. Elles donc voulu te mettre à l'épreuve.
-Et, tu as marché dans la combine. pourtant tu n'est pas concernée.
-Hé oui dit elle en baissant les bretelles de son débardeur et de son soutien gorge pour mon montrer sur le haut du sein gauche un cœur et le prénom de sa fille tatoué.
-C'est trop mignon. Et ça a le mérite d'être discret. Je te remercie de m'avoir raconté ça. Je pense que je vais leur rendre la monnaie de leur pièce. Et je peux te faire qu'elles y réfléchiront à deux fois avant de me faire des blagues.
En parlant avec Florence, je me faisais la réflexion sur cette mode et ses conséquences futures. Je suis bien placée pour en parler car autant je ne regrette pas celui que j'ai à la cheville que je regrette celui que j'ai été obligée de faire modifier. Je pense que j'ai fait la plus belle bêtise de ma vie le jour où je me suis aveuglée par amour.
Je remarque de jour en jour de plus en plus de femmes tatouées. Peut être est ce dû à l’été plus propice à découvrir les corps. Alors, je me pose la question de savoir quel sera leur regard dans plusieurs années. Je suis certaines le regretterons car même si cela semble entrer dans les mœurs, il n'empêche que dans certaines situations il vaut mieux ne pas en avoir de trop voyants.
J'en sais quelque chose car il m'arrive lors de certaines réunions importantes d'avoir à cacher ma cheville sous un collant noir épais, un pantalon ou des bottines. Cette obligation m'empêche et m'interdit toute trace voyante.
J'ai une anecdote drôle à raconter à se sujet. Sur mes trois assistantes deux sont tatouées. Un matin, je vois la troisième entrer dans le bureau. Je remarque immédiatement qu'elle a une énorme panthère noire sur le mollet droit. J'entre dans une colère folle, la traite de tous les noms, d'idiote, d'inconsciente. Je me calme en déclarant que puisque le mal était fait qu'il faudra s'y faire mais qu'il y aura des contraintes. J'ouvre un tiroir de mon bureau en sort un collant noir que j'ai toujours en réserve et lui ordonne de l'enfiler.
-Dorénavant, c'est comme ça, en pantalon ou avec des bottes si tu veux mettre une jupe.
-Mais, toi pourtant!
-J'ai pas une ménagerie sur la jambe. Je peux te dire que çà vas râler en haut lieu.
. Le lendemain matin, je la vois débarquer en mini-jupe et sandales à talons compensés.
-J'ai l'impression que tu n'as pas écouté ce que j'ai dit hier.
Elle ne répondit pas et virevolta sur elle-même. La panthère avait disparue.
-Eh oui, c'était un faux. Je voulais savoir l'impression que ça faisait. Et je n'est pas été déçue. Dans le Métro, j'avais l'impression que tout le monde me regardait. J'avais même l'impression de croiser des regards de désapprobation. Il est clair que si je décide d'en avoir un que je réfléchirai bien pour choisir l'endroit.
J'ai ris du bon tour qu'elle m'avait joué et croisa le regard gêné de mes deux autres assistantes