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Date de création : 14.04.2010
Dernière mise à jour : 25.09.2018
588 articles


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Epilogue: Aux délices du tigre.

Publié le 25/09/2018 à 14:57 par pasdoue
Epilogue: Aux délices du tigre.

Sinon c'est le message d'une lectrice que m'a donné l'envie d'écrire cet épilogue Tiger que je vous avais promis depuis un moment.

Enjoy !

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DD était en train de nettoyer le comptoir, le service était finis, touts les clients étaient partis, il ne restait que ses amis attablé à la grand table au coin de la salle, celle ou ils mangeaient habituellement. En effet « Les délices du tigre » était devenu le lieux de rencontre de la petite bande.Adhyliala serveuse était déjà partie, il récupéra le mafé qu'il avait préparé pour eux quand la sonnette de l'entré retentit. Le gent leva les yeux au ciel et sans même regarder il scanda :

  • Le service est terminé, revenez ce soir à 19h.

  • Jamais j'aurais crus que tu me refuserais un repas !

Ce ton goguenard... Il ne l'avais pas entendu depuis 7ans mais il l'aurait reconnu entre mille. Il abaissa sa cocote pendants que Thomas et Chris se penchaient pour mieux voir.

Dans l'encadrement de la porte se tenait une femme qui devait avoir la vingtaine. Sous sa veste en cuir cintré elle portait un t-shirt carmin prés du corps orné d'une tête de mort pirate, qui était rentré dans un jean foncé déchiré, lui même rentré dans une paire de docs marten noires usées. Ses cheveux noir bleuté mi-long laissé libre sur ses épaules étaient rasé au dessus de l'oreille droite, le coté gauche retombait sur un visage volontaire dont les yeux rouges étaient souligné d'un trais de khol et sur ses lèvre trop fines se dessinais un sourire narquois.

  • Tiger ? S'exclama Thomas, incrédule

  • Je vous ai manqué ?

  • Tigers ! Thomas lui sauta dessus et le serra fort contre lui.

Zélie senti un chose humide se glisser dans son cou, elle espéra qu'il se contentait de pleurer et pausa une main réconfortante sur l’épaule du garçon, remarquant avec une certaine insatisfaction qu'elle était obliger de lever le bras pour l’atteindre.

Hum... foutus poussé de croissance !

Une paire de bras musclés les soulevèrent en l'air et une odeur d’épice vient lui chatouiller les narines.

Apparemment DD aussi était heureux de la voir.

Ses pieds regagnèrent le sol et Tomas la lâcha. Zélie ravala son émotion et demanda

  • Bon, j'peux rester manger ou je reviens à 19h ?

DD lui donna une tape a l’arrière du crane, mais il souriait quand il répondit

  • Idiot, Prend une chaise et installe toi, je vais chercher des couverts.

Zélie s’avança, Pedro, Chris, Tear et Medhi se levèrent pour venir lui donner l'accolade. Elle constata avec une certaine insatisfaction que Medhis aussi la dépassait de 20 bon centimètre. Bordel ils avaient fait une orgie de soupe ou quoi ? Heureusement que Danya était petite parce que sinon elle l'aurait mal vécus.
Elle oublie rapidement sa frustration en arrivant a la table. Tranquillement installé dans le coin, une pression a la main, se tenais Marjorie qui lui adressa un sourire victorieux

  • Surpris de me voir là ?

  • Et pas qu'un peu. T'ai venu faire une arrestation de masse ?

  • Oh non. Je n'ai pas encore repris le service. Mon congé maternité se termine dans une semaine Dit elle en designant du nez un bébé qui dormait dans une poussette a ses coté

  • Quoi ? Que ? quoi ? je.. mais...Qui ? Qui a fais un bébé a Marjo ?!

Tout les regard convergèrent vers Tear qui leva la main

  • Je plaide coupable.

  • QUOI ?! Mais... que...Comment ?

  • Tu sais Ti, le papa et la maman se mettent tout nu, et puis...

  • Non c'est bon Tear, ca je connais, mais je veut savoir comment vous en estes arrivé à vous mettre tout nu tout les deux.

Marjorie éclata de rire

  • Ça c'est ma faute, je l'ai bousculé en ville du coup pour me faire pardonner je lui ai offert un café.

  • Tu m'as bousculé pleins de fois et tu m'a jamais offert de café ! C'est injuste

  • Il n’était pas en train d’enfreindre la loi, lui.

  • Oui mais il l'a enfreint pleins de fois avant. Bouda l'ancien leader

  • On va dire que depuis il c'est amandé. Et puis de toute manière tout le reste de la bande a été relaxé sur décision de justice. T'es le seul a être encore recherché.

  • Ca veut dire que tu vas me poursuivre ? Je t'avoue que je suis pas contre, tout les autre flic que je rencontre sont d'un ennuie... t'es la seule qui soit intéressante

  • Je ne vais pas te poursuivre, je suis en congé. Et en plus sur l'avis de recherche il y a clairement marqué qu'on cherche un homme, de ce fait vous ne figurez pas parmi les suspects, madame.

Zélie éclata de rire avant de s’installer sans ménagement sur la banquette, a coté de Marjorie et de se servir copieusement, imité par les autres.

  • Tu m'excusera mais c'est la première fois que je suis dans la même pièce que toi sans que tu cherche a me tuer, je profite. Tear si ça te gêne que je drague ta copine sous tes yeux fais moi un p'ti regard en coin, je disparaîtrais en un clin d'oeil.

L'aveugle lui adressa un sourire attendrie.

  • Tu sais qu'en vrais ce m'a manqué ces blagues de mauvais goût ?

  • Moi aussi ca m'a manqué d'en faire. D’ailleurs j'en ai une pour toi : tu sais comment on appelle un rassemblement d'aveugle dans le sud ?

Pedro leva le yeux au ciel

  • Jé craint lé pire... Vas y, dis la ta counerie

  • Un festival de canne !

Ils eurent tous un sourire mis-affligé mis-attendrit.

  • Yé n'arrive pas a croire qué ca m'a manqué Soupira Pedro en ébouriffant les cheveux de Zélie

  • Retire ta main de là ou je te pète le bras. Rétorqua Zélie. L’espagnol enleva prudemment sa main. Tu te le serais pas permis quand j'étais Tiger, ne te le permet pas aujourd'hui.

  • Perdón.

Zélie retira sa veste sans lui prêter plus d'attention Medhi siffla d'admiration. Sur les bras de la japonaise s'étalait des tatouages colorés.

  • Des irezumi ? Mais c'est que tu as viré yakuza ! S'exclama il

  • Tu croyais que je faisais quoi ? Secrétaire médicale ?

Les yeux de Thomas s'agrandirent

  • Mais les yakusa c'est pas... une sorte de mafia

  • Si. Complètement même. Elle regarda leur air surpris. Quoi ? Vous pensiez vraiment que j'allais me ranger et avoir un mari, des enfants, un pavillon un labrador et un scenic ?

  • Non, non mais... je croyais que tu avais abandonné la pègre. Chris avais dis que tu fais un truc pour venger Danya et que tu avais retrouvé ta famille au japon je.. je pensais que t'avais une vie plus ou moins normale. DD interrompis. Je ne sais pas pourquoi j'ai crus ça, tu peux pas avoir une vie normale... Mais j'arrive pas a croire que Danya n'ai rien dit...

  • Je la tien éloigné de ça. Si elle rentre dans la pègre se sera par choix, pas pour me suivre, je la vois plus dans le contexte réunion de famille.

Thomas regardais les tatouage de Zélie l'air très intéressé.

  • Et ils ont une signification ?

  • Ouep. J'ai commencé par celui ci. Elle montra un visage de monstre grimaçant sur son bras gauche il tenait devant lui un masque représentant un visage de dame. Un Hannya, au japon c'est l'esprit d'une femme vengeresse. Je l'ai fais suite à mon entré officielle dans la mafia, après m'être vengé des gars qui ont torturé Danya. Parce que c'est un démon dévoré par la colère et que cette vengeance m'a aveuglé à un tel point que j'ai risqué la vie de ma famille et détruis celle de pas mal de gens, dont des enfants. Et que je sais que chez moi la colère prend souvent le dessus.

  • Wouaw. C'est plutôt violent comme symbolique. T'es sure de vouloir ça sur ton bras toute ta vie ?

  • Oui. C'est un rappel de ou ma fureur peut me mener, en bien comme en mal.

  • Traditionnellement les irezumi avaient des signification de ce genre Expliquât Chris. Ils devaient représenter les vices et vertu de leur porteurs. Tu les a fais à la méthode traditionnelle ?

  • Oui, c'est un rite de passage d'entrée chez les yakusa, endurer la douleur montre ton courage, et accepter d'être marqué a vie prouve ton engagement envers ton groupe.

  • Et t'as eu mal ? Demanda timidement Medhi

  • Oh oui ! Que douleur ! Je me suis fais brûler, tirer dessus, poignardé... rien ne 'a jamais fais aussi mal. Mais en même temps c’était un peu salvateur, comme si en acceptant volontairement e me soumettre à cette douleur, en l'endurant sans bouger je m 'amendait de ce que j'avais fais en me vengeant.

  • Et les autres ?

  • Attend... D'un geste fluide elle retira son T-shirt.

Les garçons baissèrent les yeux, et Thomas devient si rouge qu'on aurait pus faire cuire un œuf sur ses joues. DD marmonnait

  • On ne se déshabille pas a table !

  • Ça vas, j'ai douillé 6h par semaine depuis 6ans Et il n'es pas fini, je dois compléter le flanc et le bras droit puis apres je passerais aux cuisses. Les japonnais sont si pudiques...je suis trop fière de pouvoir les montrer !

Et il y avait de quoi, l'effet était vraiment saisissant : estampes coloré allaient de ses poignets et remontaient jusque ses épaules de là ils descendait en recouvrant une large partie de son dos, et de chaque coté de son ventre, laissant vierge une bande peau d'une dizaine de centimètres de large au centre du thorax.

Sur l’épaule droite fleurissait des chrysanthèmes qui descendait un peu vers la poitrine, au coude elles laissaient la place à un namakubie, une tête coupé, sur fond flamboyant a l’intérieur de l'avant bras, l'autre coté était vierge.

Dans son dos s’étalait un imminence phœnix aux ailes déployé avec au dessous 6 cercles noirs tranchant avec le fond décoré de flamme et de volutes de vent.

Son sein droit était prisonnier d'une toile d'araignée alors qu'au dessous une pieuvre étendait ses tentacules jusqu'à la ceinture de son pantalons, en face un renard sur fond de spirale aériennes posait ses patte postérieures sur sa hanche et prenait appuis sur ses cotes flottantes

Sur sa nuque il y avait pin parasol,dont les ramures se perdaient a la naissance des cheveux, dessou un croissant de lune éclairait la tiare qui reposait sur le trapèze droit et dague occidentale du trapèze gauche, le tout était entouré de vagues.

Sur son épaule gauche s’étendait une fleur de cerisier taché de sang,10 pétales blanches tombaient sur son sein, et une 11eme noire et flétrie reposait vers son flan gauche.

  • Et puis il y a une certaine logique. Repris Zélie Dans le dos j'ai fais un phénix, dont j'ai repris le sens occidental, car régulièrement j'ai dus tout abandonner pour devenir un autre personne, ou je suis passé si prés de la mort que je n'aurais pas du survivre. Chaque cercle est une de ces renaissances.

  • Les six ?

  • Oui, quand mes parents adoptifs sont mort, quand mama m'a adopté, quand je suis devenu tiger, quand j'aurais du exploser avec easter la première fois, quand j'ai accomplis ma vengeance et constaté les dégâts , et quand j'ai fais 1mois de coma après un tremblement de terre ya quelques années

  • T'as fais un comas ?

  • Oui. Tu sais les yakusa ont un rôle social important, ils sont souvent les premier a aider pendant les catastrophe, j'ai été prise dans un gravas en sauvant un type. Aruto est venu me chercher une minute avant que je finisse enterrée sous un immeuble. Mais ça va c'est pas si grave. J'ai vus pire depuis.

Les autres s'entre regardèrent. Quel vie menait-elle pour qu'un comas soit « pas si grave » ? Elle continua inlassablement, apparemment très fière d'exposer ses tatouages :

  • Sur ce bras droit c'est chronologique. La fleur de cerisier est la marque de mon clan, elle tombe sur mon cœur car c 'est a eux que vas ma loyauté, les pétales sont ma famille et les proche que je suis fais grâce a ma rencontre avec Kuro et la noire symbolise Kerai, mort dans l'affrontement, et puis on remonte le temps : Si le gobu, de l'épaule jusqu'à coude, représente le Hannya, donc ma vengeance, sur fond de feu j'ai choisi de faire le tigre en Nagasode, du bras jusqu'au poignet, sur fond de vague. L'eau est un élément vital, contrairement au feu qui détruit. La le tigre est la juste pour faire référence à nous, en tant que bande. C'est une période heureuse de ma vie, pleine d'opulence, d’où l'eau qui n'est présente qu'au tigre et au pin, symbole de mama.

  • Et c'est quoi les mots la, en kangi, gravé dans les rayure du tigre ? Demanda DD

Zélie rougis un peu et marmonna

  • sacévou

  • Quoi ? J'ai pas compris lui demanda Tear, un demis sourire aux lèvres

  • Ça c'est vous. Parce que Tiger n'a pas lieu d'être sans vous. Dis elle, les yeux fixé au sol et le rouge au joue

  • Tu vas me tuer pour avoir dis ca mais... c'est trop mignon et ça me touche. Répondit Chris

  • Merci et ta gueule. Répondit l'ancien chef de gang, gênée

  • Et moi je suis ou ? Questionna Tomas

  • Alors toi tu es ici, la c'est DD, ici Danya, celle ci c'est Chris, celle qui part des yeux c'est Tear, puis la t'as Medhi, a coté c'est Pedro. Et celle la c'est alex.

    Il y eu un silence a l'évocation d'Alex. Thoma avait les yeux fixé sur la dernière marque. Il n'osait poser la question. Malheureusement son regard le trahis et tout le monde fixait cette marque. Medhis dit maladroitement ce a quoi ils pensaient tous

  • Je ne pensais pas que tu mettrais Min.

  • Oh non, ça c'est pas lui.

  • Mais c'est qui alors ? Demanda Chris intrigué

  • C'est elle Répondit Zélie en montrant Marjorie, elle la regarda dans mes yeux : Pour moi tu étais aussi essentielle à l cohésion de cette bande que l’étais Chris ou Danya.

  • Oh. Ce que tu dis me touche beaucoup. Tu sais même si « l'affaire Tiger » est la seule non résolu de ma carrière c'est aussi celle que j'ai préféré. Et plus encore depuis que je suis amie avec ses membre

  • Ça veut dire que tu admets ce lien qui nous unis depuis si longtemps Fanfaronna Zélie

  • Ça ne m’empêchera pas de te coller mon point dans la tronche si besoin es

  • Parler comme ça avec toi amplifie encore plus mon admiration. Tu sais que tu es un des 3 femme les plus influente de ma vie ?

  • Wouaw. J'aurai pas crus, tu m'as fais tourner en bourrique pendant 3ans...

  • Non. Tu es une personne tenace, courageuse, indépendante, forte qui sait s'imposer. A part Kuro et Mama, et Souko à sa façon peu de femme m'ont laissé aussi admirative. Si on avait joué à arme égales, je pense que tu aurais gagné.

  • C'est a dire ?

  • Déjà on va pas se mentir, si je m’étais présenté en tant que femme j'aurais pas eu cette bande, et c'est leur capacité combiné qui ont été les ingrédients de mes plans. Et tu étais soumis aux loi, devait rendre des compte, ne choisissait pas ton équipe, beaucoup te regardaient de haut. Je me suis souvent échappée parce que tes hommes n’obéissaient pas tout de suite. Moi j'avais besoin d'un regard pour qu'il agissent exactement comme ils le devaient. Et puis sans loi ma liberté d'action était énorme. D’égale a égale j'aurais eu aucunes chances. Aujourd'hui je pense qu'on est a égalité, mais a l’époque soumis au même contraintes tu gagnais.

  • Je...je sais pas quoi dire

  • y'a rien a dire. Je suis lucide, c'est tout. Dis elle en enfilant son T-shirt.

Marjorie rougie.

  • Tu sais, même si j'ai souvent eu envie de te tuer, j'ai toujours admiré ton intelligence et ton charisme. Puis en sortant avec un des membre de ton gang j'ai appris a te connaître a travers leur récit, et je pense que tut l'affection qui fait briller leur yeux quand ils parlent de toi m'a fait te voir autrement. Je suis heureuse de pouvoir te connaître sous cet angle.

  • On se connais quand même bien. On a un chat en garde partagé je te rappelle

  • Lintru est mort...

  • Merde ! Qu'es qui lui ai arrivé ?

  • Quand on est arrivé dans le nouvel appart il a attrapé une maladie. Expliqua Tear

  • Tu ne nous avais jamais dit pour le chat Bouda Chis On l'a appris bien après.

  • Bha non, Alex m'aurait fais une scène et j'aurais dormis seule de mon coté du lit.

Cette idée les fit sourire

  • J'ai beaucoup de mal a vous imaginer en couple tout les deux. Soupira Thomas Bon déjà pour moi tu étais un homme hétéro.

  • Et t’étais amoureux de moi ! Haha, ironie du sort !

Tomas rougis soudainement et marmonna

  • Et bien ça se vois que c'est pas toi qui a passé 3ans a te demander si tu étais gay ou pas... j'ai même embrassé Chris pour savoir...

  • 3ans ? Moi j'ai adoré embrasser marjo, et comme c’était mon premier baisé je me suis demandé si j’étais hétéro ou gay ou lesbienne, et puis au final si j’étais une femme ou un homme et en 12h c’était réglé.

  • Wouaw, et t'as réglé ça comment ?

  • On s'en bas les ovaires : mâle, femelle, gay, bi, hétéro... l'important c'est de kiffer.

Chris soupiras

  • Et dire que t'as expédié la crise existentielle qui m'a bouffé 6ans en 12h.

  • Qué ? Marjorie c'était ton premier besos, et Chris a embrassé Thomas ? Ya que moi qué suis surpris ?

Thomas rougis un peu.

  • J'avais bus, et je voulais savoir si j’étais gay, ou si j'aimais Tiger, du coup Chris a proposé de m'embrasser. Et bien j'ai pas vraiment aimé. Mais remarque un mois plus tard j'ai embrassé une femme et j'ai pas aimé non plus...

  • Et bien j’espère que t'as été plus délicat qu'avec moi, parce que la manière dont tu m'as dis ça c’était presque vexant.

  • Bha désolé. S'excusa Thomas avant de dire, un peu honteux : Pour la fille je suis allé au toilette et je me suis enfuis par la fenêtre. Je l'ai recroisé 1ans plus tard. Elle avait pas aimé.

  • Ouill ! Cé oun attitude dé lache.

  • Je voulais pas la vexer.

  • Un jour un homme m'a fais un coup pareil. Je l'ai retrouvé et je lui ai cassé un bras dit nonchalamment Marjorie

  • Tear, si tu veux la quitter fait gaffe Taquina Tiger

  • Bha tu sais, le jour ou elle a compris que j’étais dans ton gang je me suis fais salement ramassé.

  • C'est vrais ca, je suppose que tu ne l'a pas dragué en lui disant « coucou, j'ai bossé avec le taré que t'as poursuivit 3ans ». Réalisa Zélie Ça c'est passé comment ?

La rousse expliquât

  • Au début on aflirterun moment, lui savait qui j’étais mais préférais ne pas me le dire, puis c'est devenus vraiment sérieux et un jour on a parlé, je lui ai dis que mon ex m'avais quitté parce qu'il ne supportait pas que je sois obsédé par ta capture. Il m'avait demandé de choisir entre lui et ma carrière et je ne voulais plus qu'un homme se permette de penser que je devais arrêter de travailler pour lui.

  • Et la, je me suis fait avoir comme un abrutit Ajouta Tear : Elle m'a dit qu'un jour tu avais rempli sa chambre de pétale de fleur pour la st valentin et là... Un amateur, vraiment j'ai pas assuré. J'ai répondu que tu avais remplacé mes clope par des pétards explosifs et que je m’étais fais repérer un planque devant une banque un premier avril.

  • A oui ! Tu te rate pas souvent mais quand tu le fais c'est en beauté. Rigola Tiger

Marjorie répondit :

  • Je l'ai attaché a une chaise avec du chatterton et je l'ai interrogé une heure. Je voulais savoir si tu l'avais envoyé toi pour espionner la police.

  • Bon, elle te connais bien, elle a vite compris que c’était pas ton genre et que si tu devais envoyer un membre de la bande la draguer tu y irais toi. Dit tear Et puis tu avais disparu depuis plus de deux quand on a commencé a sortir ensemble. Donc je lui ai dit la vérité : que tu étais une fille, qu'on avait pas de nouvelle depuis longtemps, que la bande était plus en tant que gang, qu'aucun d'entre nous avait continué ses activité criminelles. Et que même dans l'autre camps je l'avais toujours admiré et qu'en la connaissant j’étais clairement tombé amoureux.

  • Je ne sais pas si je suis jalouse ou attendrie.

  • T'es pas capable d'une relation suivie, t'es jalouse qu'on couche ensemble pare que Marjo te plais mais attendrie parce que tu nous aimes tout les deux.

  • T'es l'aveugle le plus clairvoyant que je connaisse. Tiger marqua un pause et demanda : Et après l’interrogatoire ?

  • J'ai hésité à le ramener avec moi au poste mais je me suis rappelé que beaucoup de gens m'avaient soupçonné de coucher avec toi a cause de tes blagues, et que si ils apprenez que j’étais en couple avec un membre de la bande, je risquais ma place. Donc je suis partie. Sans le détacher. Et j'ai pas donné de nouvelle pendant 3mois. Et comme il me manquais encore je lui ai donné sa chance. J'ai finalement rencontré le reste de la banque et appris a te connaître autrement. Ils m'ont tous parlé de toi et... Parfois t'es un salaud. Vraiment t'as fais des choses affreuse mais t'as aussi fais des choses très noble. J'ai réussi a faire amander les membre du gang et trouvé un moyen de donner la nationalité à Medhis et sa mère.

  • Merci.

  • Tu es sure de vouloir rester yakusa ? Tu serais formidable dans un corps d'armé, ensemble on formerait une équipe parfaite. Et tu ne serais pas une criminelle.Proposa Marjorie.

  • Non. J'ai besoin de la liberté que m'offre se poste, je ne suis pas soumise a Kuro, je suis un élément libre qu'elle envois quand la situation est compliqué, elle a crer ce rôle sur mesure pour moi. J'aime cette vie, dans ses aspects les plus violent comme les expéditions punitives que dans ses aspects les plus bienveillant, comme l'aide pendant les catastrophe. Ma vie est violente, douloureuse, dure mais je l'aime comme ça, je ne peux pas vivre en paix, ni en cage. J'ai trouvé mon équilibre.

  • Je respecte ta décision. Même si j'aurais aimé travailler avec toi maintenant que tu es rentré. Avoua Marjo

Zélie pausa sa fourchette, visiblement mal a l'aise

  • Parce que tu es rentré ? Hein, tu va rester ?

L'espoir dans la voix de Medhis lui tordait le ventre.

  • Non. Au contraire, je devais régler des affaires en France mais je repars dans 3 semaines. Et je ne suis pas sure de revenir.

  • Donc tu ne verra pas Tora grandir Realisa Tear l'air triste en regardant sa fille dormir.

  • Non, mais toi non plus tu ne la verra pas... attend, Tora ?

  • On était pas sur de te revoir un jour, on voulait un prénom qui te rende hommage.

Un sourire illumina le visage de Zélie. Elle se leva

  • Je vais devoir vous laisser, j'ai un rdv. Ça m'a fais plaisir de vous revoir. Elle récupéra sa veste et se pencha sur le berceau.

  • Toi avec ces parents et ce prénom je suis sure que tu iras loin dans la vie.

Tear lui adressa un sourire taquin :

  • T’inquiète pas, si elle s’éloigne du droit chemin, je lui ferais les gros yeux.

Zélie éclata de rire, DD demanda

  • Tu veux repasser plus tard ? Qu'on se fasse un truc ensemble ? Il avait l'air triste

  • Oui, mais tu sais ne soit pas triste, durians ces 3 semaines je vais devoir manger, et puis vous êtes toujours avec moi dit elle en levant le bras gauche

  • Gravé dans ton tatouage S’exclama Thomas

  • Non. Directement dans mon cœur gamin! S'exclama zélie avant de disparaître dans la rue.

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Bon, a l'origine ça devait être un petit épilogue et... je suis un peu partie en cacahuète sur les irezumi... mais j'ai trouvé le sujet fascinant, et je vois tellement Zélie en faire (et essayer de rattraper le fiascos de son premier tatouage ><) que je devais les détailler tous ! pour ceux qui veulent connaître la signification des tatouage et en apprendre plus, venez ici http://www.inkage.fr/blog/iv-histoires-naturelles/ et http://www.inkage.fr/blog/v-des-hommes-et-des-dieux/#ancre-3.

PS : Tora veut dire tigre en japonais.

erci d'avoir lu

Epilogue principal

Publié le 05/01/2018 à 00:53 par pasdoue
Epilogue principal

Je pense que je vais faire plusieurs petits épilogues (au minimum un pour la bande à Tiger et peu être deux ou trois sur d'autre sujets) mais celui ci c'est celui que j'ai écris en avril 2013 et c'est vraiment celui qui clos la fiction. Au début il était en mode « keurkeur et bisounours » genre tout le monde est heureux, personne n'as eu de vrais blessures ils avaient tous des enfants parce qu'a l'époque j'avais complétement intériorisé le fait que forcement, on se devait un jour d'avoir des enfant et que c'était OBLIGATOIREMENT notre plus grande source de bonheur.

Maintenant j'ai pas mal grandit et, si je ne nie pas que ça peux être effectivement notre première priorité dans la vie, je pense qu'on peut en avoir d'autre et que c'est pas un drame de ne pas vouloir d'enfant .Donc certains perso n'ont pas eu d'enfants et n'en auront jamais. D'autre par contre sont profondément ancré dans leur vie familiale, et certain aurait mieux fait de juste ne pas en avoir tellement se sont des parents pourris :p

 

***

Amu rajusta la jupe de sa fille en demandant :

  • Jiu ?! Comment tu fais pour réussir à déchirer ton collant alors que nous sommes là depuis moins d'une minute ?

  • Mais maman, j'étais dans l'arbre avec Ira !

  • Justement, je t'ai déjà dit des centaine de fois d'arrêter de grimper sur tout ce que tu trouves, et NON, Ira est loin d'être un exemple !

  • Mais, papa a dit que...

  • Je vais lui parler moi à ton père !

  • Tu veux me dire quelque chose mon cœur ? Demanda un voix taquine. Amu n'eut même pas besoin de se retourner pour savoir qu'en ce moment même il lui adressait ce sourire insolent, celui dont sa petite Jiu avait hérité. Ikuto attrapa sa femme par les hanche et l'embrassa dans le cou.

  • Papa ! La petite Jiu s'agrippa à sa jambe pendants que Uteki, son jumeau, agrippait avec force l'autre jambe. Une furie bondi sur lui et entrepris d'escalader son dos et brayant joyeusement

  • Oh ! Je suis attaqué par une bande de chenapans ! Amu, mon amour aide moi !

  • Débrouille toi tout seul ! Tu n'avais qu'a pas leur filer tes manies de chat farceur ! Puis elle lui tira la langue et s'installa sur une souche d'où elle pu contempler le spectacle.

    Son cher et tendre était assailli de partout, les jumeaux s'accrochaient à ses jambes. Ils était adorable, un garçon une fille, ayant tout les deux hérité des cheveux de leur papa et des yeux de leur maman, mais Jiu, la fille, était aussi farceuse et vive que son père, contrairement a son frère, Uteki qui lui s'emportait aussi facilement que sa mère, pour le plus grand plaisir de sa sœur et sa cousine, Ira qui le faisait sans cesse marcher.

    Ira quand à elle avait cette mèche caractéristique dans les cheveux, hérité de sa maman, et de beau yeux gris hérité probablement de son père mais ça c'était une supposition : Il y a bientôt neuf ans Zélie était venus passer une semaine chez son frère pour fêter la nouvelle de la grossesse D'amu. Mais surprise ! Son ventre à elle aussi c'était arrondit sans qu'elle sache d'où venais exactement cet enfant, comme il etait trop tard pour avorter Ira Serena Proserpine Thunfisch Kelci Lleya Valentine Tsukyomi était née un mois après les jumeaux.

    A vrais dire Zélie s'occupait peu de sa fille qui passait la moité de son temps chez Ikuto et Amu/ La plus part des gens du quartier les pensait triplet tellement ils avait l'habitude de voir les trois tètes aux reflet bleuté ensembles.

    A la joyeuse bande qui torturait Ikuto par terre, c'était mêlé cet amoncellement de bras et jambes la petite Nami qui du haut de ces trois ans aidait vaillamment sa cousine à chatouiller son pauvre papa. Puis la petite fut soulevé dans les air et une voix entonna

  • Mes petits onigris, on ne dit plus bonjours à papi ?

    Les enfant cessèrent l'attaque pour se jeter sur Aruto qui malgré son lumbago les accueillis à bras ouvert, derrière lui Souko salua sa belle fille puis aida son fils à se relever avec un grand sourire. Même avec les rides qui parsemait son visage elle restait une des plus belle femme qu'il fut donné de voir a Amu.

    A la suite des grand parents, Tsukasa arriva et embrassa Amu sur les deux joues avant de désigner la bataille à laquelle Ikuto c'était mêlé, pour prêter main forte à son père

  • Tu crois vraiment que sur les 6 il y en a un pour rattraper l'autre ?

  • Rassure toi, Nami est presque raisonnable, et il y a de moment ou je me dit que nous réussirons peu être a faire quelque chose de Uteki, si il arrête de croire tout ce que les filles lui disent.

Souko lui adressa un sourire amusé en serrant Nami, qu'elle avait arraché de la bataille, dans ses bras. Avec ses cheveux violet (conséquence du mélange bleu/rose, selon Zélie) et ses grands yeux elle était adorable et faisait craquer tout le monde. D'ailleurs une paire de bras se saisirent de la petite pour la couvrir de baisé

  • Mais c'est la petite Nami à son tonton Kukai ! Hein que c'est la jolie nami !

    Utau leva les yeux au ciel puis salua tout le monde, sauf Aruto et Ikuto qui semblaient occupé. Souko pris sa fille dans ses bras, Kukai et Utau habitait loin, elle les voyait rarement

    Pendant ce temps un nouveau couple était arrivé, Tadase rayonnant tentait de retenir de sa main valide le petit Ichigo qui déjà ce précipitait sur le joyeux tas que formait les Tsukiyomi. A ses coté Danya tenait prothèse qu'il avait a la place de la main Elle était tout aussi rayonnante et enceinte jusqu'au yeux

Mais ils eurent a peine le temps de saluer qu'un joyeux bordel envahit l'espace sonore(déjà bien occupé par les bruits de la terrible bataille que les enfants avaient engagé contre les deux violonistes). Yaya et sa marmaille arrivait. Les six rejetons saluèrent rapidement puis se jetèrent dans la bataille avec force pendant que Yaya et son époux discutait avec les autres adultes présents. Hellin traversa le mur, souhaita la bienvenus dans le manoir a tout le monde, leur demandant comment ça allait depuis l'année dernière pour ceux qui n'étaient pas revenus depuis.

Zélie apparut, couverte d'écorchures et de blessure bénigne, mais avec un sourire immense. Ira cessa immédiatement le combat pour ce jeter dans ces bras

  • MAMAN !

    Zélie la serra contre elle et lui demanda :

  • Quoi de beau mon p'ti thon ? Tu t'es amusé ?

  • Oui, mais tu me manque.

    L'ainée de tsukiyomi croisa le regard réprobateur de son cadet qui avait finit la bataille, suite a une victoire écrasante (au propre comme au figuré) des enfant. Elle savait qu'il lui reprochait de trop souvent disparaître dans la nature, non pas que garder Ira le gêne, il adorais sa filleule, mais par ce qu'il voyait qu'elle soufrait des absence de sa mère; hélas Zélie était incapable de rester en place, ce malgré tout l'amour qu'elle avait pour sa fille et son frère. 

  • Rima et Nagi ne sont pas la ? Demanda Danya

  • Je suppose que Rima va encore faire exprès d'arriver après lui, ça fait une décennie qu'elle nie leur relation

  • je ne nie pas, il n'y a pas de relation Bougonna une nouvelle arrivante dont vous devinerez aisément l'identité

  • C'est vrais, il n'y a rien entre nous Approuva Nagi, puis il pris Rima par les épaules, Pas vrais chérie ?

L'ancienne reine se dégagea de son étreinte avec une mine boudeuse, ce qui fit rire tout les invités. C'était comme un jeux depuis qu'elle avait embrassé Nagi au mariage de Yaya, (depuis ce jours elle c'était juré de ne plus boire une goutte d'alcool... Puis il puis a avis eu l'anniversaire de Tadase et...bref...).

N'empêche on les voyaient souvent ensemble. Après plusieurs casting raté, principalement a cause de la cicatrise qui lui barrait le visage, Rima c'était reconvertie dans le cirque. De son coté les cheveux de Nagi avaient mis 6ans a repousser, même si ceux qui poussaient sur les endroits brulé était devenus blanc et plus fin. Sa crise d'identité avait été plus longue encore, mais maintenant que ses amis savaient pour son double genre il avait reprit la danse avec plus d'ardeur et faisait des spectacles une moitié de l'année en tant que Nadeshiko, et enseignait en tant que Naghiko les six mois suivants. Puis les grandes mèches blanches dans ses cheveux lui donnait maintenant une certaine prestance.



A midi piles, heure officielle du rendez-vous, Kuro Hime fit son entrée suivit de quelques suivantes en kimono gris. Le silence ce fit puis elle salua l'assemblé d'une signe de tète. Sans ce concerter ils regardèrent tous vers la petite tombe qui se dressait dans le jardin du manoir. Kuro Hime déclara

  • Je demande une minute de silence pour un homme extraordinaire. Une homme qui n'a pas hésité a sacrifier sa vie pour sauver la notre. Kerai.

    Il baissèrent tous la tète et se turent. Même les enfant avaient compris que c'était LE moment a ne pas interrompre. Chaque année, le jours de l'anniversaire de sa mort, ils se retrouvaient tous ici, pour être sur de ne jamais se perdre de vus. Qu'importe qu'Utau et Kukai vivent a l'étranger, que Rima soit tout le temps débordé par son travail ou que Zélie disparaisse régulièrement. Ce jour là ils se retrouvaient tous pour ne pas oublier.

    Pour ne pas s'oublier dans leur vies d'adulte et parce que être tous au manoir du thon impérial, c'était un peu comme si ils retrouvait leurs chara et leur enfance...

La minute pris fin et la brouhaha reprit ses droits quand les enfants reprirent leur jeux.

Hellin les amena a table, autours d'un de ces repas gargantuesque dont elle avait le secret, ils se mirent à table et parlèrent, racontant les vielle anecdote qui malgré le temps les faisait encore rire :

Leur découverte de manoir, les entrainements, les disputes, la « bataille »d'Utau et Kukai, les entrainements, les fou rire, le jour ou ils avaient decouvert le tatouage de Zélie, les 12 fille que Tadase avait prensenté au groupe persuadé qu'il allait les epouser pour au final comprendre que la femme de ses reve etait avec lui depuis ses 10ans...Zélie racontait quelques anecdote aux enfant sur tout ce que leur parents préférait leur cachés. Aruto et Tsukasa en rajoutait allègrement une couche sous les regard faussement fâché de Souko et Kuro qui ne purent retenir un regard complice; Le temps passait, mais certaines choses ne changeaient pas...



Puis une silhouette discrète vêtu d'un kimono gris s'approcha et se glissa derrière Kuro Hime. Hélas malgré toute sa discrétion, il se fit repérer

  • KAIRI !

    Yaya sautât dans les bras de l'ex valet avec enthousiasme

  • As. Je ne ne crains de ne pas avoir de temps a vous accorder, je suis ici pour transmettre un message de première importance a Dame Ku....

  • Tchu tchu tchu ! Pose tes fesse sur une chaise et viens parler avec nous !

Sans même avoir une chance de protester il se retrouva coincé entre Tadase et Yaya.

Même si au début ça avit surprit tout le monde, il semblait maintenant logique que Kairi est finit au service de kuro Hime. Ils étaient tout deux aussi fanatique des traditions et si désireux de suivre leur voie...

Kairi jeta un regard enamouré a l'une des suivante, une femme brune aux yeux mauves, peut-être aussi qu'il avait trouvé encore plus noble que la voie du samouraï parmi les Yakusa...

La journée s'écoula, ils sortirent un peu dehors, se baignèrent au lac, rigolèrent. Comme d'habitude ils se relayairent en silence pour ne pas laisser Yaya seule.

Depuis la chute d'easter elle faisait de terrible crises d'angoisse quand elle se sentait seule, mais aujourd'hui pas de soucis, ses amis veillaient sur elle.

Puis finalement ils se remirent a table après avoir mit un film pour que les enfant leur laisse un peu la paix et discuter tranquillement.

  • Alors comme ça, et comme par hasard, la troupe de Nagi c'est associé a celle de Rima pour monter un spectacle. Et vous êtes tout les deux étranger à cette initiative ? Questionna Tadase, perplexe.

  • Totalement Affirma Rima.

  • Aussi étranger à cette initiative que toute les fois ou on vous a retrouvé dans le même lit ? Ou ce baisé a mon mariage ? Ou ces « vacances à la montagne » juste Nagi et toi ?

  • Ce ne sont que des coincidences. Assura la reine

  • Allé Rima, c'est plus drôle ! On sait tous que tu aime Nagihiko ! Finit par s'emporter Utau

  • C'est complètement faux : Je ne suis pas amoureuse de Nagihiko, et je n'en serais jamais amoureuse. Répondit l'interpellé. Les convives connaissaient tous assez bien Rima pour savoir quand elle mentait, et quand elle ne mentait pas.

    Là elle était parfaitement sincère.

    Nagi détourna le regard, lui aussi avait comprit qu'elle ne mentait pas, et cette vérité lui faisait mal. Elle avait toujours refusé éclaircir la situation mais tout ces moment passé ensemble, a s'embrasser, parler, rire, faire l'amour...il avait prit ça pour des déclarations silencieuse. Discrètement il retira sa main du genou de la comédienne, mais une petite main se posa dessus

  • Mais je suis sincèrement amoureuse de Nadeshiko.

    La déclaration fut suivit d'un un silence étonné, rapidement brisé par Zélie qui esclaffa en donna une bourade amicale a Rima

  • J'l'ai toujours dis : Le mieux, c'est de se taper des filles !

    Ira regarda sa mère et demanda

  • Maman ! Pourquoi il faut taper les filles ?

  • Pour les même raison que celle pour lequel il faut taper les garçons ma crevette !

    La petite eu un hochement de tète joyeux puis elle recommença a tirer consciencieusement les cheveux de sa voisine(fille de Yaya n°4, il me semble.) en regardant le film

La soiré continua, les enfants finirent par s'endormir dans une des multiples chambres du manoir, le lendemain ils devrons les chercher comme on cherche les œuf de pâque.

Mais pas tout de suite.

Tout de suite Rima c'était lancé das une improvisation dont elle avait le secret, tout de suite il y avait Danya qui s'empiffrais et Ikuto qui murmurait à l'oreille d'Amu des chose qui la faisait rougir. Tout de suite il y avait Souko qui empêchait Aruto de boire du saké. Tout de suite Zélie, suite a un paris débile lancé par Yaya était en train de faire tenir un raisin sec en équilibre sur son nez, tout de suite Utau chantait une chanson paillarde qui semblait heurter la sensibilité de Tadase. Tout de suite ils n'était pas des adulte responsable.

L'espoir sportif national du japon, l'acrobate, Tsukiyomi-sensei, la rodeuse, la chocolatière, le grand danseur, le violoniste indépendant, le nouveau directeur de l'accadémie seyo, le vieux directeur et ses chats ou encore la chanteuse de variété japonaise...

tout cela n'existait plus.

Ils étaient Kukai, Rima, Amu, Zélie, Yaya, Nagi, Ikuto, Aruto, Tadase, Tsukasa, Utau et tout de suite ils s'offraient un voyage a une époque ou tout n'était pas rose, mais ou la douceur de l'enfance addoussisait les angles.

Une époque avant les prothèses, les gens qui fixe votre cicatrice avec dégoût, les antidépresseurs en guise de bonbon et les cauchemars en forme de flash-back.

Aucun n'osa jamais l'avoué aux autres, mais ils était sur que si il fermaient les yeux et étaient attentif, ils pouvait entendre les chara se mêler a eux.



Puis le soleil se leva.

Kuro Hime se leva la première et les salua gracieusement. Zélie cassa sa très classe sortie en beuglant

  • KUROOOO ! J'passe demain, j'ai des truc qui pourrais vous intéresser avec Souko ! Genre les meuf le cass du siècle ! Ensemble on va déboiter des p'ti cul et s'en foutre pleins les poches !

  • Je ne serais pas là.

  • Pas ici ma grosse (Oui, 7 saké dans les dents ne vont pas du tout a Zélie...), j'te rejoins a l'autre endroit secret que faut pas que je parle parce que Danya a eu la putain de fucking mauvaise idée de devenir flics, une enfoirée de fils de mascu de flic putain. Ma propre sœur !

  • Je ne serais pas la je... Pour la première fois depuis trèèès longtemps Kuro hime hésita avant de dire, a voix basse et en baissant les yeux, comme si c'était une honte; Je... je laisse temporairement les renes à Souko et je...prend une semaine de congé.

    Le silence se fit plus épais, Kuro hime eu presque l'air gêne. Finalement Tadase demanda :

  • Il y a des congé payé a la mafia ?

  • La question est plutôt : Kuro prend des congé ? Pour l'arracher a son boulot il faut vraiment un cas de force majeur : plus de thé dans les réserves mondiales ou une super promo sur la maison close du coin. Répondit Utau, sans prendre garde aux regard noir que lui lancèrent les mafieux

  • C'est drôle, tu prend tes seul et unique congé la semaine au Tsuka part en vacance ! Renchérit Tadase

  • C'EST UNE PURE CONINCIDANCE Rugis froidement la mafieuse avait de faire un demis tour très, digne, classe et super kuro-himenen quoi...

Personne n'osa la contredire



Tsukasa prétexta une valise urgente a finir avant de s'éclipser et de quitter le manoir a bord d'une limousine noire. Conduite par un homme en kimono.

Ce fut comme le coup de depars  Ils se levèrent, commencèrent déjà à parler de se revoir, cette année, d'aller ensemble à la plage un de ses quatre et puis il faut absolument que vous veniez dans notre pied à terre à Venise, c'est un ville magnifique, vous viendrez nous voir a la maison, puis vrais mes betteraves d'amour, oui, oui, bien sur... et autre promesse qu'on échange en voulant y croire.

Les parents voulurent se mettre a la recherche des enfants. Mais les enfants les trouvèrent. Enfin, les 3 ainée Tsukiyomi... Amu fut très surprise quand Uteki bondit dans ses bras en hurlant

  • MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAN ! Les filles elles veulent me les prendre, elle disent que c'est a elles, mais c'est les mien, je l'ai trouvé dans mon lit a moi, et puis elle aussi elle en ont, et puis même que elles disent qu'elle veule manger les miens, mais moi je veux pas il sont jolis et puis...

  • Chut mon ange, calme toi. De quoi tu parle ?

    Ira et Jiu arrivèrent en criant

  • C'est pas juste, il en a plus !

  • De quoi, calmez vous et expliquez nous. Demanda Souko

    Jiu prit la parole

  • Bin, ça, ce matin on les a trouvé dans notre lit, dit Jiu en lui montrant un œuf décoré de goutes d'eaux.

    Ira en tenait un orné de flammes et Uteki serrait contre lui 2 œufs, l'un mauve, l'autre turquoise.

Amu sentit le cadenas qui avait toujours sa place autours de son cou se réchauffer pendants qu'une larme coulait sur sa joue.



La vie est une boucle, rien n'est jamais perdu : tout recommence un jour ou l'autre.

***

 

(J'ai fini par trouver Gasha Studio sur pc (merci Artemis) et j'ai fait les chibi des perso de la dernière génération. Vous pouvez vous amuser à retrouver quel enfant est à qui et à me le dire en commentaire ^^)

146 : Point final.

Publié le 30/12/2017 à 01:31 par pasdoue
146 : Point final.

Une petite image de Rapto pour conclure.

Bonne lecture.

 

***

 

Il ne resta que le bruit de l'eau qui coule et les gémissement de douleur de Nagi. Danya s'assit a son chevet. Elle fit le même constat qu'avec Tadase : Ils avaient dilué un oeuf X dans le carburant du lance flamme : la blessure allai devoir être soignée par moyen traditionel.

 

En silence ils sortirent.

C'était fini. Ils avaient gagnés, ils étaient vivant.

Il n'y avait rien à dire.

 

Il rentrèrent au point de ralliement. Dehors la situation n'était pas mieux, le terrain avait du être un vrais champ de bataille. Il y avait ça et là des débris de voitures explosés, des bouts de métal et de verre jonchaient le sol

En sortant le scientifique avait prévenu ses camarades que le combat était fini, easter c'était enfuit dans les 10 minute qui avait suivit, laissant divers cadavres derrière eux.

 

Au point de ralliement les attendait Amakawa.

  • Les enfant ? Vous êtes tous la ? Vous ne pouvez pas savoir combien je suis heureux de vous voir. J'étais tellement inquiet. Heureusement qu'il y avait assez de gilet pare balle pour tout le monde, ils nous ont tous sauvé la vie.

  • Tout va bien tonton, on est vivant.

  • Tadase ta main c'est...

  • Rien de mortel. On est vivant.

Souka arriva derrière lui, accompagnée de son maris et Kuro Hime, et lança un regard circulaire :

- Les enfants sont tous vivant et à l'abri, c'est l'important.

D'un geste solennel Zélie sortie le détonateur et regarda les autres

  • Ils ont du avoir le temps de fuir. On y va ?

Les autres hochèrent la tète. Doucement ils leur main sur le bouton, puis pressèrent ensemble.

L'explosion fit un bruit monumental. Le sol trembla sous la masse de l'immeuble qui s'effondre. Et le nuage de fumée que s'éleva les fit tout tousser.

Ils se sentirent comme envahis d'une grande lassitude.

Sauf Zélie

Qui se sentit envahis d'une grande satisfaction.

C'était fais.

Fini.

 

*

 

La voix d'Hana vient briser ce moment particulier

  • Kuro hime sama ? Il faut que vous veniez.

La yakusa parus intrigué mais la suivit. Les autres lui emboitairent le pas juste à 20m de là Kerai était négligemment assit contre un poteau.

  • Kerai. Lève toi, tu me fais honte à te prélasser de cette maniérer Pesta Kuro Hime

Il ne réagis pas.

  • Kerai. Je t'ordonne de te lever.

  • Kuro hime sama, L'interrompue Hana. Je pense que...

  • Toi tu ne pense rien et tu te tais. Il va se relever. Je lui ordonne. Son ton commença à monter. Tu l'entend Kerai ? Tu va te relever.

Seul le silence lui répondit. Elle hurla:

  • KERAI ARRTE DE JOUER ET LEVE TOI !

Elle s'approcha et lui attrapa les épaules

  • Tu m'entend ? Tu vas te lever Kerai. Tu va te lever parce que ca fait 20ans qu'on travaille ensemble. Lève toi. Tu dois te lever...

Sa voix se brisa :

  • T'as pas le droit. On de bas cote a cote depuis trop longtemps, tu ne m'a jamais abandonné, t'as pas le droit de commencer.

Ses jambes se dérobèrent sous elle quand un sanglot étouffa sa voix.

  • S'il te plait Kerai. Je t'en supplie, lève toi. Je ferais ce que tu veux mais lève toi.

Aruto d'accroupis derrière elle et mit la main sur son épaule.

  • Kuro. Il ne va pas se relever. Plus jamais.

La danseuse se retourna pour se jeter dans ses bras. Son visage d'ordinaire impassible était baigné de larme, sa bouche déformé par les sanglots et ses main s'agrippaient compulsivement à Aruto. Ce dernier pleurait aussi. Amakawa se blottit contre eux, Souko vient à leur suite.

C'est en regardant ces adultes qu'ils admirait, qu'ils prenaient un peu pour des héros que les enfants comprirent définitivement qu'une page c'était tournée, et qu'ils n'était plus des enfants.

Pas après ce qu'ils avaient vécus.

 

*

 

Une fois rentré au manoir Zélie se frotta le visage, pour en enlever ce mélange poisseux à base du sueur, poussière et sang qui la gênait.

- C'est bon c'est finit, tu as vaincu easter, tu es vengé. murmura un voix satisfaite en elle.

Et sa soif de vengeance, celle qui l'animait depuis si longtemps disparut, laissant un grand vide en elle

Elle regarda ses frères et sœurs d'armes.

Iles étaient épuisé, vidés

Un peu à l'écart Kuro Hime était aussi stoïque de d'habitude mais on voyait encore sur ses joue les trace qu'avait laissé les larmes, et elle gardait sa main droite posé sur le corps de Kerai, juste a coté de celle de Tsukasa. Aruto le couvait d'un regard inquiet, en tentant d'éviter Souko qui patiemment retirait des éclat de verre de la peau de son mari, qu'elle posait à coté du petit tas formé par ceux qu'elle avait retiré de son propre bras.

 

Les chara étaient tous retourné dans leurs œufs et se régénéraient depuis plusieurs heures.

Le beau visage de Rima était défiguré d'une immense balafre, elle ne retrouverais jamais son visage d'ange et garderait toujours une hideuse cicatrice, mais elle semblait n'en avoir cure et tenait d'une main assuré une compresse froide contre le crane brulé de Nagihiko qui c'était laissé aller contre la reine. Zélie se demanda si ses cheveux repousserait un jour maintenant que le cuir chevelu avait brulé.

A coté Kukai tenait un bandage serré contre sa cuisse blessé et essayait d'obliger Utau à faire de même son bras pendant que Yaya en état de choc essuyait ses mains.

Elle avait beau s'être lavée plusieurs fois les mains elle avait toujours l'impression de ressentir le sang sur sa peau.

Amu, armée d'une compresse d'alcool et de pansement essayer tant bien que mal de nettoyer les blessures de son amie. Ikuto était assis derrière elle, un bandage autour de la peau à vif sur ses poignets fixait un point dans le vide sans même remarquer qu'il pleurait.

Mais le plus impressionnant restait Danya qui continuait à babiller d'une voix douce en arrangeant le garrot au poignet de Tadase, pendant que ce dernier serrait sa main gauche autours des bouts de chair sanguinolent qui lui servait actuellement de doigts à la droite.

La petite voix dans le tète de Zélie reprit, plus acide, plus narquoise :

  • C'est bon : Tu es vengée. Et en voilà le prix. »

 

***

 

 

Voilà. C'est fini.

Je posterais plus tard des épilogues, mais la fin, la vrais fin elle est ici.

Ce n'est pas une bonne fin.

Il ne pouvait pas y avoir de bonne fin.

Pas si je laissais des enfants aller au combat. Et comme toute la fic tourne autours de leur entrainement ils devaient se battre.

Donc, la fic devait finir comme ça.

Avec Tadase qui va perdre sa main, Nagihiko ne récupèrera jamais sa chevelure et Yaya qui mettra des années à sortir de son traumatisme et auras une peur panique d'être seule.

 

Avec cette fiction je tourne une page importante de ma vie. Ceux ont fait l'expérience de lire l'histoire du début a la fin voir, au fil des chapitre, toute les évolutions que j'ai subit, de mes 16 a mes 24ans.

J'ai écrit plein d'histoire, en ai imaginé plus encore mais celle ci est pour moi la plus importante.

Parce qu'elle m'a suivit de tellement loin. Parce qu'elle est une des pierre angulaire de ma relation avec Shini Rapto, amis si profondément ancré dans mon cœur que je vais les encrer dans ma peau. Parce qu'elle a affiné mon style d'écriture qui est surement ma plus grande, et seule, fiertés.

Mais cette histoire elle n'est pas qu'a moi.

Si je suis celle qui a tout mis en œuvre mais j'ai puisé dans pleins d'autre personne pour l'écrire.

Alors elle est aussi à Peach-pit qui m'a donné la matériaux de base, même si il y a aujourd'hui autant de shugo chara dans la fic que de viande dans une chips goût barbecue. A Shini et Rapto pour tant de raisons. A chacun des amis avec qui j'en ai parlé. A tout les compositeur dont la musique a accompagnée mais longue nuit d'écriture. A mon chat et à sa présence passive.

Et elle est à vous.

A Laurie, Niini, Aya-chan, M-A-F-love, Valerie, Melodi-x-Malitu, Amuto, Bakaa-chi, Elphie11, BEMA-ttitude, Luka Megurine, Wataru, Mel, Ikura, Shugo-Yuuki, Mely-mina, Greynounet, Emilie, Lilipop,ErzaScarlett,Catangels4,Sunnydog, Kuro Tsuky, Utau-Kukai, Lea, Yoru, Elanie, MéliZa, Kana-chan, Lanafi, Stefy, Ellya, Candy, Libellule, Dana, Otaku, Shugocharahistoire, Lola à chacun des anonymes qui m'ont lu sans se manifester et a ceux que j'ai oublié de noter.

Et plus particulièrement à Shugo-Sarah, ma première lectrice sans qui j'aurais abbandonné qu chapitre 2 mais aussi àKaede, Patate de l'espace, Setsunna, Petit suchi, Mana, Lilipdlgb69, Lovegood, So', Grâce, Artémis qui avec tout leur commentaire m'ont souvent donné du courage et du baume à cœur, m'ont parfois fait pleurer de reconnaissance ou étonné (notamment Artémis qui devine la suite les deux tiers du temps).

Merci de m'avoir suivie, encouragée et soutenue.

Bonne année a tout-e-s.

Je vous aime. 

Chibicolat du 24 décembre 2017 : Danya

Publié le 24/12/2017 à 23:42 par pasdoue
Chibicolat du 24 décembre 2017 : Danya

Voila le dernier chibicola, Danya ^^

Je vous souhaite a tout-e-s de trés belles fetes de fin d'année, puisiez vous vous baffrer comme Danye elle meme le ferait. 

145 : Dans le feu de l'action

Publié le 23/12/2017 à 03:53 par pasdoue
145 : Dans le feu de l'action

image de Sea-Flow 

Merci a ceux qui m'ont laissé de gentil petits mots la semaine precedente, pleins de bisous !

***

D'un geste négligent Danya retira son arme du corps du directeur.

Zélie s’écria :

  • Si tu savais comme je suis heureuse de te voir !

Contre toute attente Danya ne sautilla pas sur place, la prit pas dans ses bras, ne souris même pas. Elle repoussa sa « grande sœur » et lui mis une gifle monumentale.

  • POURQUOI TU AS CHOISI A MA PLACE

  • Danya calme toi

  • NON ! C'est ma vie, mon combat, mes douleurs. Si je m'en sens capable tu DOIS me laisser venir. T'as voulu me droguer. Puis tu m'a enfermée dans ta chambre, j'ai dus faire du stop pour venir. Tu sais combien de gens prennent une petit fille en stop ? AUCUNS ils appellent tous la police avant de te demander ou sont tes parents.

  • Mais...comment t'es sortie tu...

  • Zélie, il va falloir que tu arrête de me prendre pour une conne. Tu ne m'a quasiment JAMAIS offert de nourriture, tu croyais que j'allais accepter ton chocolat au somnifère sans me pauser de question ? Je l'ai vidé dans ta table de nuit et j'ai dus recracher les cookies. J'ai GASPILLÉ de la nourriture avec tes conneries. Vociféra l'épéiste en passant derrière Zélie

  • Mais la serrure ?

  • Bordel mais j'ai GRANDIT avec des cambrioleurs ! Tu t'en rappelle pas, parce que c'était TOI ! Et t'as crus qu'un simple loquet pouvait me retenir quelque part ? Persifla Danya tout en crochetant les menottes de Tiger. En 30 seconde la guerrière retrouva sa libertés de mouvement.

Danya aida les autres a se relever. Elle se mit face a Amu et lui offrit un sourire sincère.

  • Merci Amu.

  • Heu, c'est à nous de te remercier.

  • Regarde moi. Demanda Danya. Regardez bien.

Tadase fus le premier a comprendre.

  • Danya est ce que... Tu es en chara change ?

Les larme d'émotion envahirent les yeux verts de la petite et de derrière ses cheveux sortirent Hygie et Lucie.

  • «  Je pensais qu'un chara ne disparaissait que si on y croyait pas » Répéta Danya. Je t'ai entendu quand vous tu as dis ça Amu. Et pendant que je marchais j'y ai pensé et... les chara sont là si on y crois. C'est l'essence même des charas. En voyant easter les tuer j'ai CRUS qu'elles étaient mortes. Parce que la logique veut que quand on coupe la tête d'un être vivant il meurt mais... les chara sont pas des êtres logiques. La seule chose qui peut le tuer c'est le manque de foi. Et quand j'ai réalisé ça, elles sont revenu.

Zélie oublia toute pudeur et serra Danya sur son cœur.

  • Pardon.

Quand elles eurent fini leur accolade Zélie reprit :

  • On sort Ikuto de sa prison et on part. Toutes les bombes sont mises, on peut rentrer.

Ils retrouvèrent le scientifiques blottit dans un coin. Après avoir récupéré leurs armes ils n'eurent même pas à insister pour qu'il inverse le processus et ouvre la porte de la cellule. Amu se précipita à l'intérieur pour détacher et embrasser son amoureux.

  • C'est fini, c'est bon, chaton t'es libre.

  • Le directeur ne va pas revenir ?

  • Non. Il ne reviendra plus jamais.

Ils partagèrent une baisé aussi soulagée que douloureux.

Danyachara changea avec Higie et regarda la blessure de Tadase.

  • Je ne comprend pas. Je ne peux pas la soigner. Tu t'es blessé comment ?

  • La porte en métal X c'est refermé sur ma main.

  • Je pense que l’énergie X bloque l’action des chara. On va devoir recourir à la méthode classique. Tu pourra tenir ?

  • Heureusement que t'a insisté pour que j’apprenne a me battre de la main gauche alors.

Danye eu un sourire tendre.

  • Je suis désolé de vous interrompre mais on doit monter, je ne sais pas quand Suguru va revenir mais je ne compte pas le croiser. Lança Zélie à la cantonade. Elle avait retrouvé sa combativité en même temps que sa dague. Sa vengeance ne serait complète qu'une fois cette histoire finie.

  • Et le scientifique ? On le laisse ici ? Demanda Amu. Le bâtiment va s'effondrer.

  • Il pense qu'arracher les œuf du cœurs de enfants pour en faire un métal radioactif est un métier respectable. Souligna Zélie. T'as vraiment envie de lui sauver la vie ?

  • Tu pensais qu'enlever une petite fille était un moyen cool de se faire de l'argent Rappela Danya.

Tadase se pencha sur le scientifique :

  • Monsieur, vous devez y aller, réveillez les garde sur votre chemin, dite leur que vous avez perdu et que vous devez partir. Le bâtiment va exploser. Il faut sortir

L'homme ne se le fit pas redire et partit en courant, des exclamations et des bruits de pas leur apprirent qu'il avait suivit leur conseil.

Sur le chemin du retour ils furent plus long, réveillant les garde qui devaient l’être qui fuirent sans demander leur reste. Certain essayèrent de se rebeller ;il apparut rapidement que c'était une mauvais idée pour eux.



*

Douleur.

Le monde et douleur

La vie et douleur.

Son nom est douleur.

C'est ainsi qu'Utaut voit le monde pendant qu'elle joue son requiem.

Le chant et si triste qu'il donne envie de pleurer a tout ceux qui l’entendent, ils n'ont plus ni la force ni l'envie de se relever.

Puis tout d'un coup quelque chose percute son front.

C'est un grava

  • HO ! La poule en chemise de nuit !

QUI ? Qui ose troubler son hommage à son ange gardien.

La douleur redeviens colère, elle ouvre les yeux, prête a détruire celui qui trouble son chant.

A ses pied se tiens Danya.

Danya peut la comprendre, elle aussi a perdu des chara.

Mais elle a avec elle deux chara inconnus. La jalousie de voir qu'elle a des chara alors qu'elle même n'en a plus qu'un est si violente qu'elle pourrait la tuer.

  • Tu me reconnais ? Je suis Danya. Et la seule personne a pouvoir te comprendre. Utaut décide de l'ecouter. Quand ils ont tué mes chara j'aurais voulu mourir. J'aurais voulu les tuer. Tu sais pendant longtemps j'en ai voulu a tout le monde. A moi de ne pas les avoir sauvé, à eux de les avoir tué, à Easter d’être des saligots, à Zélie ne pas être venue avant, à la bande de ne pas m'avoir aidée, à mes chara d’être mort. Mais les chara ne sont pas des humains. Se sont des rêves vivant. Et on ne tus pas un rêve. S'il te plais viens ici, je vais t'aider.

Intrigué Utau se pausa au sol A peine eu elle mis un pied a terre qu'elle dechanarisa.

Et se remis instatenement a pleurer

Danya lla serra dans ses bras en caressant ses cheveux.

  • Chuuut. Ne pleure pas

  • Mais j'arrete pas e penser a elle !

  • C'est très bien, continue ; Pense a elle. Appelle la. Elle est quelque part

  • Mais ou ?

  • En toi.

  • Je ne comprend pas...Murmura la chanteuse

  • Que représente Iru ?

  • Iru ? Utau réfléchi longuement avant de répondre : Elle est la représentation de mon orgueil, de mon ambition, mais aussi de ma malice et de ma combativités.

  • Et Eru ? Elle est quoi ?

  • Eru c'est... Les part que j'ai plus de mal a accepter. Eru c'est... mon romantisme, mais surtout ma douceur, mon optimisme. Et mon coté têtue aussi. C'est toute ces chose que j'ai en moi que j'ai eu si mal a accepter.

  • Et la, tu n'es plus ni romantique, ni douce, ni même têtue?

Il y eu un silence. Utau chuchota finalement

  • Si. je pense.

  • Alors elle vit encore. Pense juste a elle.

Il y eu un silence insoutenable, brisé par des exclamations de surprise quand l'œuf d'Eru se matérialisa dans les main d'Utau.

Quand le X disparut de la tenue d'Iru.



Il furent tout comme réveillé après un électrochocC'est comme si le temps c'etait figé et venait soudainement de reprendre

  • S'il vous plais. Amu monta sur un comptoir. Garde d'easter comme gardien. Le combat et fini. Le directeur est mort, vos machines sont sabotés. Et le bâtiment va s'effondrer. Partez, fuyez on ne vous poursuivra pas, prenez vos camarades estropiés, sauvez vos vie, nous sauvons les notre.

Les garde s'entre regardèrent. Leur convictions n'était pas assez grande pour risquer de mourir en tuant les petits, ils commencèrent à fuir.



  • BANDE DE LACHE ! Subaru apparut, bloquant la porte a ceux qui voulaient partir, il tenait à la main un énorme lance flamme. Aucun d'entre vous n'a la moindre paroles, vous cramerez tous !

Ils se jetèrent à couvert quand une gerbe de flamme balaya la salle.

  • UTAU VIENT ICI ! Hurla l'homme pendant qu'Utau, encore sous le choc c'était jetée derrière un meuble Je vais te faire connaître un autre feu que celui des projecteurs ! Tu va voir, t'aurais pas du me voler Yuukari.

Rima regarda autours d'elle. Elle essayait désespérément de trouver une solution. Les flèche d'Utau étaient au milieux de la fournaise, ses propres couteaux dispatché à travers la pièce. Elle devait faire quelque chose. Ses yeux rencontrèrent ceux de Yaya aussi apeurés que les siens

Étaient ils condamnés à mourir ici comme des lapins dans un feu de foret ?

Après tout ce qu'ils avaient vécus ? Après s’être battu aussi longtemps ?

Puis Yaya vit pas loin de la reine un objet rouge.

Comme une lueur d’espoir.

La comique suivit son regard :

L’alarme incendie était la, à 20m d'elle.

Au milieu, il y avait le pyromane.

Ensemble elles jaugèrent la distance

C'est impossible, si elle fait ça, elle va mourir. Pensa Yaya, cherchant déjà une autre solution.

Difficile pensa Rima. Mais pourquoi pas essayer.



Nagi vit le temps se découper, comme on découpe les pas d'une danse.

L'horreur sur le visage de Yaya qui avait compris ce qu'allais faire Rima.

Résignation sur celui de Rima. Qui avait compris ce qu'il fallait faire.

Rima s’élança avec la souplesse d'une acrobate.

Subaru la vit, leva le canon.

Il ne vit pas Nagi débouler vers lui éventail toute lames sorties

Il se reçu le 40kg du danseur en plein dans le ventre et bascula vers l'arrière.

La gerbe de flamme fut déviée, Rima pus facilement l'éviter avant de se jeter sur l'alarme. Des trombe d'eau jaillirent du plafond et des fissures et trous causé par l'explosion de la cuisines.

Rima se retourna, pleine d'une poussé d'adrénaline, prête à aider le valet.

Son enthousiasme fut douché.

Aucune danse n'avait préparé Nagi a ce combat, et les flammes qui n'avaient pas touché Rima avaient embrasé les cheveux du garçon. Il se roulait au sol, espérant apaiser la douleur de son crane brûlé.

Subaru se relava, fou de rage et se jeta vers Nagi, couteaux X en avant.

  • Dégage gros pleins de soupe ! Lui cria Rima en lui envoyant un coup de pied.

Quand il se retourna vers elle, elle se rappela qu'elle mesurait même pas un mètre quarante et ne savait se battre qu'a distance.

L'arme s’abattit sur elle sans qu'elle puisse l'esquiver complétement, d'un bond elle sauta en arrière, au lieux de l’égorger la lame se contente d'entailler profondément son visage, passant de son front a sa joue droite.

Yaya elle ne s'embarrassa pas de subtilité. Elle lança sa hache qui atterrit en travers du crane de l'homme.

 

Son hurlement d’agonie fut le dernier de cette bataille avant que tout ne retourne au calme.

 

***

 

C'était plus ou moins le dernier chapitre, le prochain sera court et est plus une conclusion qu'un véritable chapitre.

Je me sens toute bizarre d'enfin le poster...

N'hésitez pas a me dire ce que vous en pensez. C'est vraiment important pour moi

 

je vous souhaite de très belles fêtes de fin d'année et vous fait pleins de bisous 

 

Chibicolat du 23 décembre 2017 : Hellin

Publié le 23/12/2017 à 03:50 par pasdoue
Chibicolat du 23 décembre 2017 : Hellin

avez vous remarqué qu'elle n'a pas d'ombre ?

Chibicolat du 22 décembre 2017 : Utau

Publié le 23/12/2017 à 03:48 par pasdoue
Chibicolat du 22 décembre 2017 : Utau

genre elle est glamour. 

hey si t'as capté qu'il y a des inscriptions cachées case discrétement le mot fraise en commentaire 

Chibicolat du 21 décembre 2017 : Yaya

Publié le 23/12/2017 à 03:46 par pasdoue
Chibicolat du 21 décembre 2017 : Yaya

il n'y avait pas de hache de guerre, du coup j'ai fini par trouver un autre truc profondement bourrin ^^

Chibicolat du 20 décembre 2017 : rima

Publié le 23/12/2017 à 03:44 par pasdoue
Chibicolat du 20 décembre 2017 : rima

dur d'etre drole et impassible 

Chibicolat du 19 décembre 2017 : Ikuto

Publié le 19/12/2017 à 02:43 par pasdoue
Chibicolat du 19 décembre 2017 : Ikuto

Aprés le pére, le fils !