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Date de création : 29.11.2015
Dernière mise à jour : 07.03.2021
51 articles


sans louer la terre

Publié le 12/12/2019 à 11:11 par tierache

2 VERSIONS A VOIR

 

 

Pourquoi les promoteurs éoliens louent-ils la terre  au lieu de l’acheter ?

Vue de la route des Montagnes au Cayrou Grand

vue-1.jpg

 

Achat du terrain
Le prix d’achat d’un hectare dans les planèzes de Trizac est de 10 à 15 000 €
Il faut au maximum 2 hectares pour un aérogénérateur (= éolienne industrielle) et son chemin d’accès.
Le coût total d’achat serait donc de 30 000 € maximum par éolienne industrielle.

Location du terrain
La location annuelle pour une éolienne industrielle est d’environ 6 000€ brut payés par le promoteur éolien au propriétaire terrien s’il exploite lui-même sa terre, ou 3 000€ pour le propriétaire et 3 000€ pour le fermier (ou GAEC, EARL …).

Vue de la route des Montagnes au Cayrou Grand (photomontage)

 

vue-2.jpg

Avec une promesse de bail emphytéotique signé sous seing privé (= sans notaire, notaire qui pourrait renseigner le propriétaire sur le risque qu’il prend en signant) de 30 ans, le coût total de location pour le promoteurest de 180 000 € par éolienne industrielle (= 6 000 x 30), soit 6 fois plus cher que l’achat des 2 ha nécessaires (30 000 €), alors pourquoi louer au lieu d’acheter ?

Parce qu’il faut penser à inclure dans le calcul du prix de revient d’une éolienne le coût de son démantèlement obligatoire en Franceà l’issue du bail de 30 ans (voire avant, car les éoliennes industrielles ont une durée de vie de 15 à 25 ans et surtout elles ne sont plus rentables, puisque le contrat qui oblige EDF à acheter leur électricité 2 fois le prix normal du kilowattheure ne dure que 15 ans).

Coût total d’un aérogénérateur pour le promoteur éolien
La construction d’une éolienne revient à environ 2 000 000 €
Le rapport annuel net d’une éolienne est d’environ 350 000 €
soit pour 30 ans : 10 500 000 € (= 30 x 350 000)
Le gain net est donc de 10 500 000 – 2 000 000 = 8 500 000 € par éolienne.

Le démantèlement d’un aérogénérateur de 150 m de haut coûtait en 2014 près de 414 000 € 1. Dans 20 ou 30 ans, pour des machines plus puissantes, on peut penser qu’il en coûtera environ 500 000 €.

Le démantèlement est théoriquement à la charge du propriétaire de l’engin. Le bénéfice net pour le promoteur serait donc ramené à 7 970 000 € (= 8 500 000 € de gain net – 500 000 € de démantèlement – 30 000 € d’achat) pour chaque éolienne industrielle, si le promoteur avait acheté le terrain du paysan.

Mais le promoteur loue le terrain (ce qui lui coûte pourtant 6 fois plus cher que de l’acheter). À l’issue du bail de 30 ans, voire avant, l’aérogénérateur n’est plus rentable, donc le promoteur met sa filiale qui gère la centrale éolienne en faillite et il disparaît (à Trizac, le promoteur est un fonds de pension canadien, la filiale qui gère la future centrale éolienne est inscrite au registre des sociétés sans capital ni salarié, donc facile à fermer). Le propriétaire de l’éolienne (= le promoteur) ayant disparu, la responsabilité du démantèlement revient donc à la charge du propriétaire du terrain.

Coût total d’un aérogénérateur pour le propriétaire du terrain                        Le promoteur paie la location du terrain à son propriétaire au prix brut de 6 000 €/an. Après déduction des charges (CSG … et impôts) payées par le propriétaire du terrain, et la diminution des subventions (les terrains loués par le promoteur passent dans le domaine industriel et ne sont plus des terres agricoles), le gain est ramené au mieux à 4 000 € net par an, soit un bénéfice sur 30 ans de 120 000 € (= 30 x 4 000).

Mais comme la filiale du promoteur est mise en faillite après 30 ans d’exploitation, le propriétaire du terrain est l’unique responsable du démantèlement de l’aérogénérateur (= 500 000 €), donc le propriétaire qui pensait faire un bénéfice net de 120 000 € se retrouve en fait avec un passif de 380 000 € (= 120 000 – 500 000).

Conclusion
Si le terrain est acheté :
le promoteur gagne : 7 970 000 € par éolienne
le paysan gagne :             30 000 € par éolienne

Si le terrain est loué :
le promoteur gagne plus : 8 500 000 € par éolienne
le paysan perd tout :            – 380 000 € par éolienne

voir le devis publié par le Département de l’Aisne sur :http://www.aisne.gouv.fr/content/download/19851/134809/file/Devis%20démantèlement%20Eolienne%20E10.pdf?fbclid=IwAR1vUU8wb6uW3cS9Sz4EgfnBXjg85vgvlRRTELWjSh4Ql9KyXHzv7jJZlco Le promoteur assure avoir mis 50 000€ de côté par éolienne en prévision de son démantèlement obligatoire. Non que cette entreprise soit généreuse ou prévoyante, mais simplement parce qu’une loi récente oblige tous les promoteurs à bloquer sur un compte 50 000€ par éolienne en prévision de leur démantèlement. Et ces 50 000€ sont très largement insuffisants.

 

 

 

 

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Pourquoi les promoteurs éoliens louent ils la terre au lieu de l'acheter

 

Posted: 19 Jan 2018 11:06 AM PST

Achat du terrain
Le prix d’achat d’un hectare dans l’Aisne est d’environ 7000 €
Il faut environ  0,33 hectare pour 1 aérogénérateur (= éolienne industrielle).
Le coût total d’achat serait donc de 2333 € par éolienne industrielle.
 
Location du terrain
La location annuelle du terrain pour une éolienne industrielle est d’environ 6.000€ brut payés par le promoteur éolien au propriétaire terrien s’il exploite lui-même sa terre, ou 3000€ pour le propriétaire et 3000€ pour le fermier (ou GAEC, EARL …).
Avec une promesse de bail emphytéotique de 15 ans, irréversible, signée sous seing privé (= sans notaire, notaire qui pourrait renseigner le propriétaire sur le risque qu’il prend), le coût total de location pour le promoteur est de 90.000€ par éolienne industrielle (= 6.000 x 15), soit 38 fois plus cher que l’achat des 0,30 ha nécessaires (2333 €), alors pourquoi louer au lieu d’acheter ?
Parce qu’il faut penser à inclure dans le calcul du prix de revient de l’éolienne le coût de son démantèlement obligatoire à l’issue du bail de 15 ans (les éoliennes industrielles commencent à vieillir et surtout elles ne sont plus rentables, car le contrat qui oblige EDF à acheter leur électricité 2 à 2,5 fois le prix normal du kilowattheure sera caduc dans 15 ans).
 
Coût total d’un aérogénérateur pour le promoteur éolien
La construction d’une éolienne  de 3Mw revient à environ 4.200.000 €.
Le rapport annuel net d’une éolienne de ce type peut être estimé  à 480 000 € soit pour 15 ans : 7.200.000 € (15 x 480 000)
Le gain net est donc de 7 200 000 – 4 200 000 = 3 000 000 € par éolienne.
Le démantèlement d’une éolienne [1] de 180 m de haut et 3MWh coûte, à ce jour, environ 600.000 (en moyenne : 200.000 € par mégawattheure installé).
 
Le démantèlement serait théoriquement à la charge du propriétaire de l’engin. Le bénéfice net pour le promoteur serait donc ramené à 2.400.000 € (3.000.000 – 600.000) par éolienne industrielle, s’il avait acheté le terrain du paysan.
Mais le promoteur loue le terrain (ce qui lui coûte pourtant 38 fois plus cher que de l’acheter). À l’issue du bail de 15 ans, l’éolienne n’est plus rentable, donc le promoteur peut, soit ne pas renouveler le bail et s’en aller, soit mettre en faillite sa filiale du parc éolien. La responsabilité du démantèlement de chaque éolienne revient donc à la charge du propriétaire du terrain où elle se trouve ! (spécificité du bail emphytéotique)
 
Coût final  d’un aérogénérateur pour le propriétaire du terrain
Pour une location au prix brut d’environ 6.000 €/an, compte tenu de la diminution des subventions ou des primes (les terrains loués passent dans le domaine industriel et ne sont plus des terres agricoles), et après déduction des charges payées par le propriétaire du terrain & éventuellement de son fermier (CFE, RSG, CSG et impôts), le gain est ramené au mieux à 4.500 € net par an, soit un bénéfice sur 15 ans pour le propriétaire exploitant de 67.500 € (=15 x 4.500) ou la moitié pour lui, l’autre pour le fermier.
Mais comme le promoteur et/ou sa filiale qui gère le parc risque fort de disparaître après 15 ans d’exploitation, le propriétaire du terrain est légalement l’unique responsable du démantèlement obligatoire de l’éolienne (600.000 €). Donc le propriétaire qui pensait faire un bénéfice net de 67.500 €, se retrouve en fait avec un passif de 532.500 € (= 67.500 – 600.000). Il ne lui reste plus qu’à vendre sa ferme … s’il trouve un acheteur, qui lui en donnera 0€ parce qu’il devra faire démanteler l’éolienne !
 
Conclusion :
 
Si le terrain est acheté par le promoteur :
 
·        le promoteur gagne : 2.400.000 € par éolienne
 
·        le propriétaire terrien gagne : 2330  € par éolienne
 
 
Si le terrain est loué :
 
·        le promoteur gagne plus : 3.000.000 € par éolienne
 
·        le propriétaire terrien perd tout : – 532 500 € par éolienne
 
[1] Le promoteur assure avoir mis 50.000€ de côté par éolienne en prévision de son démantèlement obligatoire. Non que cette entreprise soit généreuse ou prévoyante, mais simplement parce qu’une loi récente oblige tous les promoteurs à bloquer sur un compte 50.000€ par éolienne pour leur démantèlement. Et ces 50.000€ sont très largement insuffisants.

 

sans articles parut

Publié le 12/12/2019 à 11:11 par tierache

 

 

Les vraies énergies renouvelables arrivent (il était temps !)

Une multiplication des événements des véritables énergies renouvelables apparaît partout en France et en Europe dès l’automne avec OSE à Sophia Antipolis, Fcell à Stuttgart, les journées hydrogène des territoires à Toulouse, power2gas à Copenhague ou Zero emission à Cologne.

De vrais industriels ont persévéré dans les énergies renouvelables depuis dix ans. Patiemment, ils ont poursuivi le développement de procédés réellement performants dont le temps de retour est de 3 à 7 ans, alors qu’il est du double au triple avec l’éolien-solaire, (et encore avec subventions). Enfin, nous disposons d’une vraie définition non biaisée des énergies renouvelables, zéro carbone, mais aussi d’un taux de disponibilité qui ne soit pas de 20% mais au-delà de 80-90%. Ces procédés apportent une baisse des coûts au lieu de les augmenter. La rentabilité est de trois à huit fois supérieure à l’éolien-solaire, et elle existe aujourd’hui.  Les filières hydrogène, PAC, etc, arrivent sur le marché à coût compétitif.

Déjà de grands groupes comme Bouygues, L’Air Liquide, Dassault ou Michelin les utilisent. Avec ces nouveaux procédés, l’énergie s’adapte aux usages, et non l’inverse. De plus elle est fournie là où elle doit l’être et au moment où c’est nécessaire. Le gaspillage n’existe plus avec  un approvisionnement adapté à la variabilité et aux changements de consommation. Ces nouveaux procédés permettent un gain de place et une réduction des coûts pour l'utilisateur, exactement l’inverse de la filière éolien-solaire.  En France, plus de 40 sites développent cette année des solutions énergies renouvelables zéro carbone selon la nouvelle filière hydrogène, alors qu'ils étaient une poignée il y a peu de temps.

C’est également vrai pour les véhicules. Hyundai produit désormais en série un véhicule PAC, autonomie 800km zéro carbone, plein en 4 minutes, à la place des véhicules sur batterie qui ne sont qu’une solution de transition. Honda et Renault s’engagent également dans cette voie. Les véhicules rechargeables posent de graves problèmes écologiques par les matériaux utilisés, leur mode d’extraction, leur recyclage et un mauvais bilan carbone. Le désastre Autolib à Paris est arrivé aussi en raison de ses mauvaises performances sur un procédé obsolète.

Désormais des efforts de communication désespérés ne peuvent plus masquer l'évidence. Nous entrons dans une nouvelle ère des énergies renouvelables où la spéculation financière va devoir rendre des comptes après nous avoir leurrés pendant dix ans, où les tarifs de l'énergie ne sont pas systématiquement à la hausse, où les équipements ne marchent pas un jour sur cinq mais constamment, où on implante les installations près des besoins et non dans des endroits perdus pour y faire tranquillement des affaires.

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Éoliennes: (sa coûte les yeux de la tête, ça ne crée pas d’emploi et sa détruit nos paysages ;)  s'oppose Xavier Bertrand

 

cliquez sur le lien pour voir L’interview 

attention en haut à gauche cliquer sur la croix du haut-parleur pour activer le son si celui-ci est barré d'une croix

 

https://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/eoliennes-ca-coute-les-yeux-de-la-tete-ca-ne-cree-pas-d-emploi-et-ca-detruit-nos-paysages-s-oppose-xavier-bertrand-1094621.html

 

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 Une éolienne s’envole d’un parc éolien lorrain

 

Uneéolienne s’envole d’un parcéolien lorrain 

ACCIDENT – C’est un accident insolite qui s’est produit le 18 avril, dans un village Lorrain : une éolienne du parc éolien du Haut-Vent s’est envolée à plus de 2km en raison d’une forte bourrasque de vent !

 

 L’accident est inédit et effrayant. Une éolienne du parc éolien du Haut-Vent, en Meurthe-et-Moselle, s’est envolée en raison d’une bourrasque de vent soudaine et très violente. Les conditions météorologiques étaient en effet très mauvaises en Meurthe-et-Moselle en ce 18 avril, comme nous l’explique Hélène Héaux, météorologue :

 

“On a constaté de forts grains – c’est-à-dire des bourrasques de vents soudaines – dans la région dite du “Haut-Vent”. Ces grains ont formé des rouleaux. Ces rouleaux se sont engouffrés dans les pales d’une des éoliennes. Les pales de l’éolienne ne pouvaient donc plus tourner et la force générée par les vents ont littéralement ‘déraciné’ l’éolienne. Libérée du sol, les pales de l’éolienne ont tourné à nouveau grâce à la force du vent et l’éolienne s’est alors envolée dans les airs”.

 

L’éolienne a en effet été projetée très loin puisqu’elle a atterri 2 km plus loin. Joseph Vernal, propriétaire du terrain où a atterri l’éolienne, n’en revient toujours pas :

 

“Depuis chez moi, je vois très bien mon champ où sont mes génisses. D’un seul coup, elles se sont mises à courir comme des folles et j’ai vite compris pourquoi : j’ai vu atterrir une éolienne dans mon champ ! Ça a fait un de ces boucans ! Je me demandais ce qu’il se passait ! Maintenant, mon champ est complètement détruit !”

 

Il a fallu 5 heures pour dégager l’éolienne du terrain. Un dédommagement a été proposé à l’agriculteur, toujours choqué.

 

Suite à cet accident inédit d’éolienne, un contrôle de toutes les éoliennes va être effectué. Mais comme nous l’explique Jean-Denis Némot, gérant d’une société de vente et installation d’éolienne :

“On a beau assurer des fondations en béton armé, profondes, larges et extrêmement solides à nos éoliennes, on ne peut être à l’abri de phénomènes météorologiques exceptionnels qui entraîneraient leur déracinement.”

 

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Pourquoi, en France, la production éolienne est-elle une erreur ?

Cette volonté politique de jeter l’argent des Français par la fenêtre pour de l’éolien est une erreur politique, scientifique, technique et financière

cliquez sur le lien ci dessous

http://fr.friends-against-wind.org/advice/la-production-eolienne-est-une-erreur

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Pièces à conviction :Éoliennes : le vent du scandale

 

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L'éolien on vous ment

Cliquez pour agrandir

On-vous-ment.jpg

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Qu’elle était belle ma

Thiérache !

 

Cliquez sur le lien ci-dessous

https://isabelleittelet.fr/2016/08/28/quelle-etait-belle-ma-thierache/

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Cela ce passe en Allemagne

Cela ce passe en Allemagne vous désirez la même chose en France et bien laissez faire nos bienfaiteurs de dirigeants et vous aurez ces mêmes parcs éoliens au pied de chez vous. c’est prévu,si le gouvernement veut réaliser ses engagements

 

Pensez que d’autres moyens existent, dont certains sont en nette progression et éviteraient une grosse partie des déchets des centrales nucléaire. Ces moyens sont freinés par le trop de subvention donnés à l’éolien.

15 à 20 ans une vie d’éolienne !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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Les éoliennes menacent-elles Votre Santé ?

 

 

Les sons et infrasons émis par les éoliennes ont un impact certain sur la santé de l'homme et peuvent gâcher la vie des gens et des Animaux...
 Au stade des observations cliniques, on sait qu'il y a des risques, et des sensibilités différentes en fonction des personnes.
 Les troubles sont réels, constatés dans des pays voisins qui ont plus de recul que nous : Allemagne, GB, Suède, Irlande...et les nuisances sont déjà reconnues par le corps médical en France, je cite , un article du Concours Médical 42 compare plusieurs nuisances des éoliennes: Certaines (nuisances) sont plus réelles, comme le bruit prolongé autant que dure le vent, les infrasons,...
 Des plaintes ont toujours précédé les études scientifiques. Sur les infrasons des éoliennes, celles-ci commencent à l'étranger. Des instances gouvernementales en Europe et même l'association britannique de l'Energie éolienne ont commandité des études épidémiologiques qui doivent être menées à long terme sur les riverains des éoliennes. Mais, elles n'ont pas encore donné leurs résultats.
 
 Ne nous laissons pas berner par des propos apaisants !
 On peut se poser des questions...

 
 Au Danemark, où les éoliennes ont été introduites en masse depuis 30 ans, le gouvernement a réagi à la demande publique par précaution en arrêtant l'installation de nouvelles éoliennes terrestres, notamment à cause de risques pour la santé.
 

Le meilleur moyen de prévenir ce risque est d'éloigner les habitations de la source sonore. Mais une règle simple ne peut être appliquée, car "la propagation du son dépend des éléments topographiques et environnementaux propres à chaque site". Dans l'attente d'études épidémiologiques, l'Académie de médecine recommande donc, "par précaution, que soit suspendue la construction des éoliennes d'une puissance supérieure à 2,5 mégawatts situées à moins de 1.500 m des habitations". Et dans d'autres pays une distance bien supérieure : Californie -> 3 km ( 2 miles ) !

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L'éolien: une c'est peut être beau mais 20 cela deviens irréaliste

 

« Une éolienne n’est pas plus laide que /un pylône/, une autoroute, /et surtout une centrale nucléaire «

 

On détourne ainsi l’observation hors du sujet, car il s’agit bien de savoir si l’éolienne est belle ou laide, et non de s’appuyer sur un autre objet contestable pour récuser l’accusation initiale. Ce n’est pas parce qu’un pylône est laid qu’une éolienne ne l’est pas. On peut aussi lire dans cette proposition l’aveu implicite que la machine « est aussi laide que. »

 

Que la peste soit un fléau n’empêche pas le choléra d’en être un autre. La médecine examine l’une puis l’autre sans les confondre.

 

L’examen des éoliennes doit se porter sur le cas intrinsèque et non sur un autre rapproché artificiellement.

 

2° Détournement du constat : « Une éolienne n’est pas laide »

On peut en convenir. L’éolienne procède du design contemporain et sa rationalité lui confère une ligne sans heurt. Mais c’est réduire l’observation car il ne s’agit pas d’UNE éolienne.

 

Mais bien de la suite que forme une centrale- [et non d’un parc ou d’une ferme, mots choisis à dessein pour leur connotation bucolique-] de plusieurs machines.

 

Les éoliennes se présentent toujours comme un ensemble et non comme un objet isolé. On aborde ici un problème de sitiologie et non d’esthétique artistique. La multiplication implique un effet de masse qu’il faut prendre en compte,10 n’est pas 10 fois 1 mais bien un ensemble 10.

A cette réponse il faut rattacher un argument qui revient comme un leitmotiv.

« Une éolienne n’est pas (toujours cette négation) plus haute que : la Tour Eiffel. »

Oui, mais la Tour est un objet d’art, unique, gratuit, avec une histoire, un nom propre, une silhouette sans réplique.

Son créateur a -t-il un jour imaginé en voir 10 ou 20000, sur notre territoire ? La réponse va de soi.

Par contre les éoliennes, elles, sont toutes semblables, leur dessin issu de la technique appliquée est reproduit du Danemark à l’Espagne sans la moindre relation avec leurs contextes géographiques. Les praticiens du « Land-art » insèrent leurs créations spatiales en un seul point choisi, ils ne les reproduisent pas en tous lieux. Création signifie intervention originale d’un créateur, Eiffel

Par exemple, toute copie ne saurait dépasser le statut d’objet banalisé.

En outre, ces affirmations de la beauté des éoliennes font abstraction des sites qui les entourent.

On ne peut juger de leur élégance que si on prend en compte le lieu qui doit les recevoir. Si une éolienne n’est pas laide sur plan, on ne peut la lire sans la considérer dans le contexte. Une série de machines colossales, visibles du Mont St-Michel ou des Salines d’Arc et Sedans ou, comme on le lit ces jours, depuis la Montagne Sainte –Victoire chère à Cézanne, et donc tous sites constitutifs de notre richesse culturelle, oblige à une contestation radicale de leur gigantisme et de leur incongruité. 

 

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Onze raisons qui conduisent la FED à refuser l’éolien industriel.

 


L’éolien en France. Pourquoi faire ?


Diminuer les rejets de gaz à effet de serre ?

 

NON : 95% de notre électricité est produite par un parc qui n’émet pas de gaz à effet de serre (record des pays industrialisés). Il est difficile de faire mieux. Au contraire, l’intermittence des éoliennes  augmente ces émissions à cause du soutien obligatoire de centrales thermiques à gaz et à charbon comme en Allemagne (1)  

Accroître la sécurité d’approvisionnement ?  

    

NON : Leur disponibilité fantaisiste ne permet pas de compter sur les éoliennes  (jours sans vent signifie  « pas d’électricité », car cette dernière n'est pas stockable à l'échelle d'un pays).
Les scénarios RTE : 50% de nucléaire en 2050, ou celui de l’Ademe (100%), mettent en danger  la  sécurité d’approvisionnement de l’électricité en France. 
Les énergies renouvelables déséquilibrent le réseau par les brusques variations de production, avec des risques grandissants.   
On constate en comparant les 4 scénarios de RTE que, plus on diminue la part du nucléaire, plus le risque de coupure est élevé. (3)

 

Réduire le coût de l’électricité ?


NON : Le courant acheté prioritairement et obligatoirement est payé aux producteurs deux à sept fois plus cher que le « mix » EDF.         
Ce coût est compensé par une ponction : la CSPE sur notre facture EDF.       
Elle dépassera 8 milliards d'euros  en 2018, et  elle atteindra 20 milliards d'euros par an dans dix ans.           
Le prix de l'électricité « explose », au détriment du pouvoir d’achat des Français. 
Les 8 millions de ménages les plus démunis et en situation énergétique précaire seront les victimes. Seuls quelques affairistes profitent de ce système immoral.

 

Produire une électricité de proximité ?


NON :
 l’éolien industriel est raccordé au réseau. Des milliers de pylônes et de transformateurs électriques supplémentaires ainsi que 4000 km de lignes à haute tension sont nécessaires pour connecter ces dizaines de milliers de points de production d’électricité intermittente.

 

Améliorer notre balance des paiements ?


NON :
 Et c'est même catastrophique. Presque tout le matériel est importé, principalement, d’Allemagne, du Danemark, et maintenant de Chine.           
La France subventionne des emplois dans ces pays et en détruit en France en affaiblissant la compétitivité des industries consommatrices d’électricité.


Améliorer l’environnement ?


NON : 
Bientôt 25.000 socles de béton armé, pesant chacun 1.500 tonnes, soit un total de 
35 millions de tonnes de béton armé qui ne sera jamais retiré du sol.

Les parcs naturels, les forêts, les zones protégées et les lieux de mémoire sont violés.                         La faune est menacée par des pales tournant à plus 300 km/h. L’atteinte à la biodiversité est catastrophique. Compte tenu du coût exorbitant du démantèlement des éoliennes, le territoire conservera de multiples friches industrielles. (4)

      

Créer de l’emploi ?

NON : La main d’œuvre, généralement importée car moins chère, se déplace au gré des chantiers de montage. Même les centres de contrôle des éoliennes implantées en France sont pour la plupart situés en Allemagne, voire au Canada.

Au contraire, le renchérissement du coût de l'électricité par les énergies renouvelables détruit de l'emploi dans l'industrie en France comme dans l’économie touristique. 

 Les 2 sociétés qui fabriquaient du matériel ou des éoliennes sont en faillite (France Eole et Vergnet,  sans compter le fiasco d’Areva dans l’eolien  offshore)

 

Protéger les paysages, le patrimoine historique et celui des particuliers ?


NON :
 Le patrimoine historique et les paysages sont massacrés partout en France. (5)(6)(7)
                       

Concernant les particuliers des moins-values de 10 à 30% sont estimées pour les maisons des riverains dans un rayon de plusieurs kilomètres.           
(La FED a été  auditionnée le 5 février 2018 sur ce sujet par la Chambre de Notaires)

 

Garantir la santé ?


NON
 : Voir les conclusions de l’Académie de médecine sur les gênes occasionnées par les éoliennes dans son rapport du 3 mai 2017    
(http://www.academie-medecine.fr/).            

Cette Académie recommande – entre autres -          
de ne pas installer d’éolienne à moins de 1500 m des habitations, et de diminuer sensiblement le bruit.

 

Développer  le tourisme ?


NON
 : Les touristes désertent les zones « décorées » d’éoliennes. Seule la menace par l’UNESCO de retirer son « classement au patrimoine mondial » pour le Mont-Saint Michel a fait reculer la soumission de l’autorité environnementale et préfectorale au lobby éolien.

 

Mais alors pourquoi ?

· Parce que le business des énergies intermittences éoliennes est particulièrement rémunérateur, grâce aux subventions publiques financées par les consommateurs d’électricité.
Il y trop d’argent dans l’éolien sans aucun contrôle des circuits financiers. Même en transformant  les diverses subventions actuelles en certificats  ou primes, ce programme  consisterait  à vouloir nier les  fraudes  et  la spéculation.  La commission Lecornu prendrait la responsabilité de cautionner un système opaque. (8)

· Parce que certaines ONG comme WWF ou  Greenpeace promoteur eolien déguisé (8) se sontinfiltrées dans les services de l’Etat, notamment à travers l’ADEME,  au service du lobby des renouvelables. Ils contrôlent les médias et par  la «  pensée unique »  ils tentent de criminaliser les opposants en faisant  croire depuis plus de 15 ans que seuls le vent et le soleil produiraient une électricité « propre ». (9)      


 En résumé :


En réponse à sa prise de conscience écologique, l'opinion publique découvre que les gouvernements successifs ont jeté  leur dévolu sur l'éolien sans avoir pris le temps d'en peser préalablement ni les contraintes d'exploitation, ni les vrais impacts sur l'environnement.  

Il serait extrêmement regrettable que la France continue dans cette voie éolienne, non seulement pour des raisons anti économiques et de son impact négatif sur  l’écologie, mais aussi à cause de ses effets néfastes sur les riverains.  
       
Laisser implanter des éoliennes qui dépassent maintenant 200 mètres de haut à 500 mètres des habitations n’est pas acceptable. La distance de protection doit être immédiatement augmentée, comme l’ont fait certains pays, en la portant à 10 fois la hauteur en bout de pâle. 
(
Allemagne Bavière notamment)                        
La FED rappelle aussi que le Sénat avait voté une loi pour imposer 1.000 mètres

 

L’ensemble de ces constatations est à l’origine d’un grand désordre, tant dans l’application locale de la politique énergétique de l’État que dans le financement.          
La création de groupes autonomes de défense, telle les ZAD anti-éoliennes de l’Aveyron (Amassada) et celle de Bourriège dans  l’Aude, ne sont que la conséquence de cette politique gouvernementale à la solde du lobby des promoteurs éoliens

 Si ce programme est poursuivi il appartiendra aux juges de rétablir ce que le gouvernement aura omis de faire, avec toutes les conséquences néfastes prévisibles.

 

 On peut, en tant que citoyen :


- combattre les  mécanismes qui ont  asservi  la Transition énergétique à l’industrie éolienne.


- refuser que des pays soient  sous l'emprise d’une idéologie qui a réussi à culpabiliser les citoyens, contrôler certains services publics nationaux et détourner l’ écologie véritable de ces buts fondamentaux.


- dénoncer un  mensonge écologique

 
- tenter de sauver la nature et la biodiversité dans des zones non industrialisées ou banalisées.


- lutter sans merci pour protéger le patrimoine, et la  richesse de la France pour lui garder ses spécificités et ses atouts historiques dans un monde de plus en plus « marchandisé ».    

Les citoyens français n’accepteront jamais la destruction de leur environnement et de leur patrimoine par des éoliennes inutiles et ruineuses.  

L’espace, la nature, le silence, la lumière, l’air, la pureté de l'eau, la biodiversité sont des trésors précieux qui ont de plus en plus de valeur dans un monde de plus en plus industrialisé.   


Références

 

 (1) Motion d’orientation de la FED

« Pas d'usines éoliennes ici ou ailleurs » 
La FED réaffirme son opposition totale à l'implantation d'usines éoliennes tant sur terre que le long des côtes.          
            
 La FED s'oppose par tous les moyens légaux à sa disposition aux arrêtés ministériels et aux directives européennes qui conduisent à une industrialisation des espaces ruraux et accordent des avantages réglementaires et financiers, des effets d'aubaine indus, sans résultats réels sur la diminution des gaz à effet de serre. Elle utilise tous les moyens juridiques nationaux et européens pour combattre le programme du gouvernement français éolien terrestre et offshore.         
            
La FED soutient tous ses adhérents. Elle apporte ses conseils aux habitants et à leurs associations anti-éoliennes, en particulier dans leurs recours juridiques et si nécessaire judiciaires contre les projets éoliens.  
          
Elle mettra tout en en œuvre pour que le code de la santé publique et le bien être des riverains soient respectés. 

Elle défend toutes associations petites ou grandes situées dans toutes les régions de France depuis les plus beaux sites emblématiques à la plus petite commune d’une zone défavorisée.

La FED considère que tous ceux qui luttent contre les éoliennes sont égaux.

 

 

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 ÉOLIENNES ABANDONNÉES AUX USA !

eolien-amerique.jpg

 

En France nous sommes toujours un peu en retard et là, en voyant ce désastre, nous pourrions prendre un peu d'avance.

Eh bien non, nous y allons, droit dans le mur.

Vive le vent de la connerie !
On est perplexe! là aussi !

14.000 ÉOLIENNES ABANDONNÉES AUX USA !

27 septembre 2013
Les États Américains ont été très tôt, les premiers bernés par la « religion » du vent, et ses apôtres !
Dès 1981, sous la poussée des « Évangélistes verts », les gouvernements de différents états américains, dont entre autres la Californie et Hawaï ont lancé la construction de ce qu’ils appellent les « Wind Farms ».
Les financements de ces mégaprojets ont été évidemment payés par les taxes des contribuables. Comme en Europe, des taxes payées par les Citoyens….

Il a fallu dix ans pour se rendre compte que les éoliennes n’étaient pas rentables pour des raisons évidentes : énergie intermittente donc rendements totalement insuffisants, coûts de maintenance

et coûts de fonctionnement faramineux… car pour que les mécanismes des éoliennes ne se dégradent pas, il faut qu’elles tournent.
Le comble, c’est de devoir les faire tourner quand il n’y a pas de vent !

Et comment me direz-vous ? en consommant de l'électricité bien sûr !

Un autre dilemme s’est présenté, il a fallu arrêter les éoliennes quatre mois par an, car elles décimaient des milliers d’oiseaux migratoires. Un des sites d’éoliennes a recensés plus de 10.000 oiseaux tués sur une année !
Les financiers américains et les contribuables US sont des gens pragmatiques. Ils ont fait leurs comptes. La bulle énergétique éolienne n’était valable qu’avec les subsides des gouvernements, des différents états. Et au grand désespoir de tous les lobbies et associations d’illuminés verts, les gouvernements ont décidé de tout arrêter.


Le résultat global est apocalyptique en plus d’être une énorme perte financière. Donc, depuis des années 14.000 éoliennes, croupissent, se déglinguent, rouillent

sans accident eolien

Publié le 12/12/2019 à 11:10 par tierache

 

 Posé le 27 mars 2019

Vous voulez voir des accidents éoliens suivez le lien ci-dessous  vos en aurez plein les yeux   

https://mail.google.com/mail/u/0/?tab=wm#inbox/FMfcgxwBWSvRhHqVjKcFLrVqhPKlNLSK

Si certains lien ne s'ouvrent pas grisaillez/ copiez et collez ,dans la barre de votre navigateur, ouvrez !!

 

 

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Une éolienne s'est effondrée dans le Pithiverais

Publié
le 06/11/2018 à 13h35

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Une éolienne s'est effondrée dans la nuit de lundi à mardi, entre Guigneville et Charmont-en-Beauce, au nord de Pithiviers. 

Un monstre de 90 mètres, pâles non-comprises, et 50 tonnes d'acier tombées à terre. Image saisissante qui s'offre aux yeux depuis ce mardi matin, entre Guigneville et Charmont-en-Beauce, ce mardi dans le Pithiverais.

Ce sont des riverains d'un des hameaux de Guigneville, situé à quelques centaines de mètres qui ont donné l'alerte vers 6 heures ce mardi matin lorsqu'ils ont constaté qu'une des 16 éoliennes exploitées par l'entreprise EDP Renewables sur la zone, dans le parc de la Mardelle, s'était effondrée. La turbine, la sixième dans un alignement de dix qui longe la RD 22, s'est écroulé à l'aube.

La chute de l'engin n'a pas fait de blessé ni endommagé d'autres appareils. Une distance de sécurité de 500 mètres est requise entre chaque éolienne.

Les causes de cet effondrement ne sont pour le moment pas connues. Aucun épisode météorologique particulier ne semble en cause : Météo France n'avait pas prévu et n'a pas relevé de vent particulièrement violent dans la nuit de lundi à mardi.

Les équipes d'EDP Renewables sont sur place pour leurs investigations. « L'important était d'abord de sécuriser la zone, ce qui est fait. Nous devons maintenant enquêter pour savoir ce qui s'est passé et s'assurer que ce n'est pas une raison de fabrication commune, qui pourrait toucher d'autres éoliennes ». Aucune piste n'est privilégiée. « Des contrôles sont effectués très régulièrement. Mais le risque zéro n'existe pas » pointe Patrick SImon.

Les quinze autres éoliennes du parc du Vieux-Moulin ont été mises immédiatement à l'arrêt dans l'attente des résultats de l'enquête. EDP« s’engage à communiquer de plus amples informations sur cet événement dès que celles-ci seront disponibles

 

Dimitri Crozet

 

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Une éolienne en travers d'une autoroute  

LÀ C'EST L'ALLEMAGNE ! CELA ARRIVERA EN FRANCE , VENEZ NOUS AIDER À STOPPER CES SALOPERIES D'ÉOLIENNES ! MOBILISEZ VOUS ! QUAND IL Y AURA DES MORTS IL SERA TROP TARD ! BANZAÏ !

 

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 En images. Tempête Carmen : une éolienne de Bouin s’est écrasée au sol

La tempête Carmen touche en ce moment les côtes vendéennes. À Bouin, une des huit éoliennes du parc installé sur la commune est tombée.

Cette éolienne de 62 mètres de hauteur s’est fracassée au sol dans le parc éolien. Sur place, les dégâts sont impressionnants. « On dirait un avion qui s’est écrasé au sol, avec beaucoup de débris partout autour. Le choc a dû être violent», décrit notre correspondant.

 

 

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1500 accidents et incidents sur les parcs éoliens britanniques

L'industrie de l'énergie éolienne a admis que 1 500 accidents et autres incidents ont eu lieu dans des parcs éoliens au cours des cinq dernières années.

Charles Anglin, le directeur des communications de RenewableUK, a souligné que les incidents de la semaine dernière ont été causés par un «mauvais temps». L'organisation a déclaré qu'aucun membre du public n'avait jamais été blessé à la suite d'un accident d'éolienne.

 

Un dossier d'incidents, compilé par un groupe de campagne opposé aux parcs éoliens, comprend des cas où des lames, pesant chacune 14 tonnes, ont été cisaillées et écrasées au sol.

 

Des résidents vivant à proximité d'un parc éolien ont déclaré avoir été hébergés chez eux lorsque des morceaux de glace ont été projetés sur une turbine de 410 pi près de Peterborough, dans le Cambridgeshire.

 

 

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AllemagneTempête "Burglind": l'éolienne détruite

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Dans le district d'Amberg-Sulzbach mercredi, la tempête "Burglind" a endommagé une éolienne.

Dans le parc éolien d'Illschwang, une partie d'un rotor de cinq tonnes s'est rompue.

Pourquoi le rotor n'a pas résisté à la tempête n'est toujours pas clair ! Personne n'a été blessé par la chute de la partie rotor. Les systèmes sont maintenant vérifiés.

 

Attention si vous avez une éolienne à 500 mètres de chez vous en temps de tempête réfugiez-vous à la cave on ne sait jamais maintenant quelles sont de plus en plus hautes les morceaux peuvent aller loin

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La tempête Carmen, qui a balayé l’ouest de la France lundi, a provoqué la chute d’une éolienne de 62 mètres de haut installée à Bouin.

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« On a l'impression qu'une carcasse d'avion s'est écrasée au milieu du champ. » Après la chute lundi d'une éoliennede 260 t dans un champ de sa commune, le maire de Bouin (Vendée), Jean-Yves Gagneux, a toujours du mal à comprendre comment ce pylône de 62 m de haut a pu plier sous les coups de boutoir dela tempête Carmen. « Lors du passage de Xynthia, nous avions pris de plein fouet la tempête et avions dû investir au lendemain de son passage 2,5 MEUR dans des travaux de restauration de nos digues, confie l'élu local. Du coup, lundi, j'avais plutôt l'oeil sur les digues et j'ai été surpris que l'on m'appelle pour.. une éolienne. »

 

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Allemagne : série noire pour les éoliennes

En moins d'un mois, quatre éoliennes géantes ont été détruites en Allemagne. En cause : un mécanisme complexe qui régule mal la puissance des turbines.PARFRÉDÉRIC THERIN, À MUNICH
Publié le 10/03/2017 à 12:01 | Le Point.fr

Pale tordue par le vent, nacelle écrasée sur le sol en raison du bris du mât…Les images d'éoliennes géantes détruites en Allemagne sont impressionnantes et inquiétantes. Une route nationale a même dû être fermée pendant une demi-journée pour permettre aux techniciens de démonter une pale qui risquait de s'effondrer.

La loi des séries n'explique pas tout. Les enquêtes ont montré que les quatre accidents qui se sont produits entre le 11 décembre et le 3 janvier dans quatre régions éloignées les unes des autres avaient tous la même cause. Le système de régulation aérodynamique actif (« pitch control ») de ces modèles assez anciens, construits entre 1999 et 2002, ne limite pas assez rapidement la puissance des éoliennes lorsque le vent souffle trop fort. Ce mécanisme, qui permet de faire varier l'angle de calage des pales sur le moyeu à l'aide de vérins hydrauliques, est complexe et exige un entretien régulier.

Les deux modèles quasiment identiques impliqués dans les quatre accidents « réagissaient trop lentement », a expliqué au magazineSpiegelun des porte-parole d'Enertrag, un sous-traitant en charge de la maintenance de deux des quatre turbines détruites. Ces systèmes de régulation potentiellement défectueux seraient aujourd'hui présents sur environ 1 950 éoliennes enAllemagne. La Fédération fédérale de l'énergie éolienne (BWE) estime qu'il n'est pas forcément nécessaire de changer ces pièces coûteuses si les opérateurs les révisent régulièrement, mais le doute commence à s'installer outre-Rhin.
 

********************************************************************************************************Les experts étaient toujours à Bouin ce mardi, autour de l'éolienne abattue par la tempêteCarmen.

 

De leur côté, les militants de la Fédération Vendée Tempête affirment avoir ramassé des débris à plus de 500m à la ronde, et relancent le débat sur les distances de sécurité.

Un débris à 519m

Sans attendre les conclusions des experts, la Fédération Vendée Tempêtes estime que "cet accident relance le débat sur les distances de sécurité". Evidemment, les militants se sont rendus sur place pour mesurer l'étendue des dégâts. Ils affirment avoir ramassé des débris à 500 mètres autour de l'éolienne couchée par Carmen. "On en a trouvé un jusqu'à 519 mètres, avant d'être refoulés par les agents de sécurité gardant le périmètre", affirme Robert de Lépinay de l'association Vent de Furie.

 

L'un des morceaux de pales d'éolienne, ramassé par la Fédération Vendée Tempêtes © Radio France - Emmanuel Sérazin

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Faut-il doubler la distance de sécurité ?

Aujourd'hui, la loi française impose une distance de 500 mètres minimum entre une éolienne et la première habitation. Depuis longtemps, la Fédération Vendée Tempêtes milite pour le doublement de cette distance. Mais après l'accident de Bouin, sa présidente May Prate estime que ce n'est plus seulement une question de cadre de vie, mais de sécurité de la population...

 

L'ostréiculteur pas inquiets face au risque de pollution...

En plus de la sécurité, les militants dénoncent le risque de pollution de la nappe phréatique. La tête de l'éolienne, qui relie les pales au mât, pèse presque 100 tonnes, et renferme un carter contenant 500 litres d'huile. En tombant d'environ 60m de hauteur, elle s'est encastrée dans le sol sur une profondeur estimée à 3m. Les militants s'inquiètent donc de voir l'huile se répandre dans la nappe phréatique. "Si j'étais l'ostréiculteur d'en face, je me poserai des questions", lance Robert de Lépinay. Justement, la société Vendée Naissain est installée de l'autre côté de la route, juste en face du champ où est tombée l'éolienne. On y produit les naissains, ensuite utilisés par les ostréiculteurs pour produire des huîtres creuses. Et le directeur n'a pas la moindre inquiétude pour la qualité de l'eau et l'avenir de ses " bébés huîtres"

mon avis: j'en dirais autant sinon comment les comercialiser

 

sans propriétaires

Publié le 12/12/2019 à 11:09 par tierache

PROPRIETAIRES, VOUS INTALLEZ DES EOLIENNES SUR VOS TERAINS: LISEZ BIEN CECI :

 

Responsabilité du propriétaire terrien en fin d'exploitation d'une éolienne


"Le propriétaire d’un terrain sur lequel des déchets ont été abandonnés peut être considéré comme le détenteur et être ainsi responsable de leur élimination..."

 

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Lettre reçue de 

Madame PESTRE Isabelle.

Maire de La Chaussée Sur Marne.

Conseillère régionale GRAND EST.

Alsace Champagne Ardenne Lorraine.

Aux adhérents et sympathisants de la Fédération Environnement Durable

 

Cette lettre résume l'immense scandale et la duperie écologique de l'éolien en France


Agriculteurs vous êtes concernés lisez bien l'encadré bleu du texte

 

Madame, Monsieur,

Je suis Maire d’un village du département de la Marne qui possède sur son territoire 10 éoliennes MAIS aussi et surtout le poste électrique ENEDIS qui reçoit la production éolienne de tous les villages alentour.

Le village était déjà doté d’un superbe poste RTE construit dans les années 50.

Tous cela à 15 m de la première habitation qui elle, date de 1810.

Autant dire que nous sommes ravis car en plus nous ne percevons pas les IFER car nous sommes dans un EPCI en FPU.

L’EPCI encaisse 377000€ annuels d’IFER et notre village ne perçoit que 35000€ / an ( 5000 € de la première éolienne avant la réforme de la taxe pro, donc dans notre transfert de charges avec l’EPCI et 30 k€ négociés aux forceps avec la com com. = Soit 9%.)

Mis à part le peu de retombées économiques , alors que nous avons toutes les nuisances, nous sommes confrontés à un nouveau problème et pas des moindres

La première éolienne de Champagne Ardennes a été installée sur le territoire de La Chaussée sur Marne , elle vient d’être démantelée pour que le propriétaire puisse en construire une plus haute et donc plus puissante. Et à 30 m des fondations de l’ancienne car techniquement il est impossible de se reposer sur les anciennes fondations.

Lors du dépôt de permis de construire,je me suis renseignée sur le devenir des fondations de l’ancienne éolienne.

Et là , catastrophe, je découvre que la Loi occulte cette problématique des fondations en béton armé.

La Loi stipule arasement à moins un mètre en zone de culture et moins deux mètres en zone boisée.

Ce qui est une catastrophe écologique , des milliers de tonnes de béton armé vont donc rester en sous-sol !

Ce n’est pas avec un mètre de terre (sur une surface de 400 m2) que l’on peut cultiver du blé, des betteraves de la luzerne…

« Il n’y a qu’un gars de la ville pour croire à une telle ineptie ! »

Des racines de blé descendent à 1m20 de profondeur.

De la luzerne entre 2 et 3 m

Du maïs à 1m80

Et pour que la terre soit nourricière il faut que l’eau puisse s’infiltrer et remonter par capillarité

,les fondations ne permettent plus ces échanges d’eau , la terre est donc MORTE.

Si donc tous les 15 ans , les éoliennes sont déplacées de 30 m pour en reconstruire une plus grande à côté, on va multiplier les surfaces de terre mortes .

Quand j’en parle autour de moi, je me rends compte que les politiques sont loin d’avoir tous compris le danger.

Je lis souvent vos mails et , ne vois pas encore ce sujet abordé.

Pourriez-vous communiquer sur ce sujet ?

De mon côté, j’ai déjà alerté le préfet de la Marne, la sous-préfète de Vitry le François, le vice-président de la région Grand Est en charge de la transition énergétique ( Franck Leroy, maire d’Epernay), le Président Jean Rottner, le député Charles de Courson qui m’a promis une question au ministre de l’écologie mais cela tarde à venir.

Bien cordialement.

 

Madame PESTRE Isabelle.

Maire de La Chaussée Sur Marne.

Conseillère régionale GRAND EST.

Alsace Champagne Ardenne Lorraine.</p

sans demolition

Publié le 12/12/2019 à 11:08 par tierache

 

Démolition = pollution

pensez qu'une éolienne contient environ 800 litres  d'huile des terres rares très polluantes tout cela pulvérisé par un coup de dynamite 

 et le bloc de béton reste en terre 

 

 

sans terre rares

Publié le 12/12/2019 à 11:07 par tierache

Éoliennes, Terres rares et désastre environnemental : une vérité qui dérange

 

Le développement de technologies vertes telles que les éoliennes reposent sur les « terres rares », dont l’exploitation en Chine se fait dans des conditions sanitaires et environnementales scandaleuses.

L’appellation « terres rares » regroupe un ensemble de 17 éléments chimiquescomprenant le scandium, l’yttrium et les 15 lanthanides (en gros tous les éléments chimiques allant du numéro atomique 57 au 71). Évidemment, à moins de maitriser la chimie comme un Walter White, ces éléments ne vous disent probablement rien. Pourtant, ceux-ci sont présents en petites quantités depuis longtemps dans la plupart des produits high-tech qui garnissent notre quotidien.

 

Si le développement des nouvelles technologies tend à pousser la demande de terres rares à la hausse, une industrie s’est nettement démarquée du lot pour sa demande exponentielle de terres rares ces dernières années : j’ai nommé l’industrie éolienne ! Pourquoi donc ?

eolienne.jpg

Comme vous le voyez ci-dessus, une éolienne cache dans ses entrailles toute une panoplie d’équipements dont un alternateur à aimants permanents. Ces fameux aimants permanents – extrêmement couteux au passage – sont généralement en partie composés d’un alliage de terres rares (néodyme-fer-bore dans la majorité des cas, avec de plus petites quantités de dyprosium et depraséodyme). Ainsi, pour fabriquer une éolienne de 3 MW, la compagnie Frontier Rare Earths, spécialisée dans le domaine des terres rares, cite des quantités de terres rares allant jusqu’à 2 700 kg! Avec le développement de l’éolien au niveau mondial, l’industrie des terres rares s’attend donc à une demande de plus 8 000 tonnesde la part de l’industrie éolienne en 2014.

Sur la route des terres rares…

Si les terres rares sont assez uniformément réparties au sein de la croûte terrestre (on en a trouvé sur tous les continents), la Chine en est aujourd’hui incontestablement le premier producteur mondial avec 97% de part de marché! D’autant plus surprenant quand on sait que jusqu’au cours des années 80, les États-Unis étaient les premiers producteurs mondiaux avec le dépôt de Mountain Pass en Californie.

Dans un marché en pleine augmentation comme celui-ci, comment les Chinois ont-ils fait pour conquérir la quasi-totalité du gâteau ? En broyant les prix, pardi ! Et là, arrive la question qui fâche : comment ont-ils broyé les prix ? Tout d’abord, la main d’œuvre chinoise est relativement abordable, même si les mineurs travaillant dans le domaine des terres rares sont relativement mieux payés que leurs compatriotes d’après un envoyé spécial du Daily Mail). En fait, le gros des économies réalisées par les compagnies minières chinoises vient du non-respect systématique de l’environnement et de la sécurité de leurs travailleurs, et comme vous allez le voir, la situation est réellement peu réjouissante.

En Chine communiste, les informations sensibles sont strictement contrôlées. De fait, il est extrêmement dur d’accéder aux fameuses mines de terres rares, et encore plus ardu d’en ramener des images. Cependant, le Daily Mail a réussi à réaliser deux reportages exclusifs dans l’une d’elles, en Mongolie Intérieure en 2010, reportage dont j’aimerais reprendre ici les faits saillants et les images.

terres-rares-1.jpg

 

Ce poison toxique du lac des agriculteurs chinois, Il est ce qui reste derrière, après avoir fait les aimants pour les dernières éoliennes de grande-bretagne... et, comme une enquête spéciale en direct révèle, c’est simplement l'un d'une multitude de péchés environnementaux commis au nom de notre nouvelle vie verte

terres-rares-2.jpg

Autant vous dire que les photos ci-dessus n’ont pas été approuvées par les autorités chinoises ! En ce qui concerne, l’extraction des terres rares, celle-ci a lieu dans des conditions complètement impensables pour un Occidental, je me permets ici de traduire un passage du reportage du Daily Mail:

À l’intérieur de l’usine, de l’acide sulfurique à ébullition coule dans des tranchées ouvertes et de la lave jaune en fusion jaillit des fourneaux rotatifs. L’air remplit de sulfure piquait les yeux et brûlait les poumons. Les vêtements des ouvriers étaient parsemés de tâches d’acide.

« On nous donne des uniformes au début mais ils se font rapidement ronger par l’acide » m’a dit un des travailleurs dont le pantalon était couvert de brûlures d’acide. « On nous donne des gants et des masques. Mais les masques ne font pas grand chose. J’ai du mal à respirer après mes shifts de 12 heures. »

À l’intérieur de ces ateliers, les conditions de sécurité sont inadéquates et le matériel rudimentaire

 

Évidemment, cette accumulation de négligences et d’irresponsabilité totale se devait de produire son lot d’effets pervers dans les régions minières de la Mongolie Intérieure. En premier lieu on pourrait citer le fait que tous les habitants de la région portent désormais des masques partout où ils vont, ou encore le fait que des villages entiers aient été déplacés, ou encore que les radiations radioactives du bassin de résidus (photo 2) sont 10 fois supérieures à ce que l’on mesure aux alentours (l’exploitation des terres rares met à nu des roches relativement radioactives habituellement enfouies). On pourrait encore parler des cas de cancer surabondants, des cas d’ostéoporoses, des enfants qui naissent avec des malformations osseuses, etc. En fait, dans cette région, c’est l’environnement entier qui est devenu inhabitable, même les eaux de surface ont été jugées impropres à l’irrigation ! Ce désastre environnemental, c’est le prix à payer pour produire du néodyme à des prix ridiculement bas comme les font les Chinois.

Voilà la face cachée de l’industrie éolienne, une industrie dont les produits, déjà hors de prix et peu performants,souvenez-vous, ne pourrait sûrement pas se relever d’une augmentation substantielle du prix des terres rares du fait de la mise en place de règles environnementales sérieuses en Chine. Alors, comme vous l’imaginez, dans l’industrie on se garde bien d’évoquer le sort des régions reculées de la Chine où le précieux néodyme est extrait dans des conditions absolument catastrophiques.

 

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   Métaux rares pour fabriquer des éoliennes: catastrophique!

 

Cliquez sur le lien ci dessous pour visualiser

http://fr.friends-against-wind.org/realities/face-cachee-des-enr

 

"LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE EST LA PLUS FANTASTIQUE OPÉRATION

DE GREENWASHING DE L’HISTOIRE", SELON GUILLAUME PITRON

 

 unnamed.jpg

 

C’est un livre choc sur la transition énergétique. Guillaume Pitron,

journaliste indépendant, a enquêté pendant six ans dans une douzaine

de pays pour découvrir d’où viennent les métaux utiles à nos

éoliennes, nos panneaux solaires ou encore nos batteries de voitures

électriques. Dans "La guerre des métaux rares", il lève le voile sur une

industrie qui se veut verte côté pile, mais qui est particulièrement

polluante coté face.

 

Guillaume Pitron a enquêté pendant six ans pour remonter la trace de

nos métaux stratégiques.

 

Novethic : Pourquoi la transition énergétique a-t-elle des impacts

environnementaux encore plus importants que ceux générés par

l’extraction pétrolière ? 

 

Guillaume Pitron : La transition énergétique a été pensée hors-sol car

on a complètement occulté ce qu’elle allait coûter en matières

premières. Or, pour extraire un seul kilo de lutécium (une des 30 terres

rares), il faut extraire 1 200 tonnes de roche. Pour les séparer, il faut de

grandes quantités d’eau, de l’acide chlorhydrique, et énormément

 

d'énergie produite majoritairement à partir de combustibles fossiles.

Selon le Blacksmith Institute qui établit un palmarès des industries les

plus polluantes, il apparaît que l’industrie pétrolière est de moins en

moins polluante tandis que les activités minières (charbon inclus) le

sont de plus en plus. Nous sommes donc en train de nous débarrasser

du pétrole – à raison – pour une solution encore plus polluante.

 

Les mines sont si polluantes que ça ?

 

Une mine, c’est un véritable choc visuel, un derrick à côté ce n’est rien.

Nous avons pu approcher des mines en Chine et des lacs de rejets

d'effluents toxiques d'usines de raffinage en Mongolie. C’est l’enfer de

Dante. Tout est pollué là-bas, les sols, les airs, les nappes phréatiques.

Les eaux chargées en métaux lourds sont déversées dans des lacs

artificiels qui débordent régulièrement et polluent les fleuves, tels que

le Fleuve jaune. Dans la région de Baotou, capitale mondiale des terres

rares, on parle de villages des cancers. D’un bout à l’autre de la chaîne

de production de métaux rares, quasiment rien n’y a été fait selon les

standards écologiques et sanitaires les plus élémentaires.

 

Comment a-t-on pu passer à côté de cet aspect ?

 

Tout simplement parce que les conséquences environnementales et

sociales de cette extraction métallifère ne se font pas ressentir

cheznous. Dans les années 80, nous nous sommes débarrassés de

notre industrie minière - extraction et raffinage - justement parce

qu’elle était sale. L’exemple le plus emblématique en France est celui

de Rhône-Poulenc (aujourd’hui Solvay), l’un des deux grands chimistes

mondiaux des métaux rares. L’entreprise se fournissait en terres rares

en Australie et gérait la partie raffinage sur notre territoire. Mais

l'entreprise accusée par les ONG d'avoir laissé échapper des éléments

radioactifs dans la baie de La Rochelle, a préféré se tourner vers la

Chine

 

Un choix hypocrite selon vous…

 

Dissimuler en Chine l’origine douteuse des métaux a permis de

décerner aux technologies vertes et numériques un certificat de bonne

réputation. C’est du blanchiment écologique et certainement la plus

fantastique opération de greenwashing de l’histoire. Car nous

connaissions très bien le coût d’accès à des métaux rares à peu près

propres. Nous avons alors choisi de délocaliser la pollution mais aussi

notre savoir-faire en laissant partir une industrie stratégique. Un choix

que nous allons payer cher puisque nous sommes aujourd’hui en

quasi-totalité dépendants de la Chine qui fait avec les métaux rares ce

que les Saoudiens ont fait avec le pétrole depuis les années 70. Ce

manque de vision et ce court-termisme est affolant.

La solution serait l’ouverture de mines ailleurs, y compris en France ?

Les besoins en métaux vont exploser. Il faudra ouvrir une nouvelle mine de terres rares par an d’ici à 2025 pour y répondre. Pour le cobalt par exemple, la demande devrait être multipliée par 24 entre 2013 et 2030. Il va donc falloir ouvrir des mines à tous les étages. Barack Obama a déjà posé les bases juridiques pour l’exploitation de métaux présents dans les astéroïdes ! En France, il y aurait un intérêt stratégique mais aussi environnemental à rouvrir des mines car nos réglementations sont plus strictes et mieux appliquées qu’en Chine. Il faudrait aussi relancer toute la filière pour arriver à un produit fini 100 % Made in France. Car je ne dis pas qu’il ne faut pas faire la transition écologique, mais il faut essayer de faire en sorte qu’elle soit la moins sale possible. 

 

sans syndrome

Publié le 12/12/2019 à 11:06 par tierache

Syndrome des éoliennes

 

Communiqué de presse Paris 19 mai 2017 

L’Académie médecine confirme que les éoliennes provoquent une maladie nommée le « syndrome des éoliennes »

 Il se caractérise par une atteinte visuelle, sonore et psychologique

L'Académie de Médecine avait auditionné la Fédération Environnement Durable qui lui avait remis une étude regroupant un échantillon de centaines de témoignages de riverains français présentant des troubles majeurs ainsi qu’un rapport de synthèse sur études internationales concernant ce phénomène.

Dans son rapport publié le 9 mai 2017.

>L’Académie de Médecine a bien conclu que les éoliennes portent gravement atteinte A LA SANTÉ ET AU BIEN - ÊTRE des habitants, ce qui se manifeste par:

-Des troubles auditifs: le bruit généré par l’éolienne se compose en partie d’infrasons. Inaudibles par l’humain, ceux-ci ne font pas plus de bruit que le battement du cœur transmis dans notre corps par l’oreille interne. Mais en provoquant « des phénomènes de résonance dans les cavités thoraciques ou de pulsations ressenties », ces infrasons peuvent se traduire en vibrations, constantes donc entêtantes ;

-Une fragilité visuelle : la stimulation lumineuse fractionnée à cause de la rotation des pales peut induire un risque épileptique. Les clignotements des feux de signalisation viennent aussi perturber le confort visuel des personnes fragiles ;

-Une sensibilité psychologique se manifestant par l’altération de la qualité du sommeil, des épisodes de stress, de dépression, d’anxiété, des troubles de la mémoire, une perte d’intérêt pour autrui, une baisse des performances professionnelles.

En demandant de prendre des mesures immédiates pour protéger en urgence les riverains l’Académie propose aussi de lancer une étude épidémiologique nationale sur les nuisances répertoriées pour étudier à grande échelle l’impact de ce « syndrome des éoliennes ».

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 LETTRE D'INFORMATION :  15 juillet 2017

(Cour de cassation, Troisième chambre civile, 29 juin 2017, Z 16-19.337).

(©AFP / 07 juillet 2017 

 

Le bruit de nouvelles éoliennes peut justifier l’annulation de l’achat d’une maison si l’acquéreur la réclame.


Paris – Le bruit de nouvelles éoliennes peut justifier l’annulation de l’achat d’une maison si l’acquéreur la réclame.

L’acquéreur, confronté à cette nuisance, peut en effet invoquer sa propre erreur d’appréciation qui a vicié son consentement, surtout s’il s’est montré préoccupé par l’environnement avant d’acheter, juge la Cour de cassation.

Bien que personne ne soit fautif, l’erreur d’une des parties entraîne un défaut de son consentement qui justifie la remise des choses dans leur état antérieur, c’est-à-dire la restitution réciproque de la maison et de son prix, admettent les juges.

La construction d’éoliennes n’étant pas une question d’urbanisme, elle peut ne pas être signalée à ce titre au futur acquéreur qui chercherait à s’informer à la mairie sur les projets d’urbanisme, observent les juges.

Ce futur acquéreur ne peut donc pas se plaindre qu’elle ne lui ait pas été signalée. Il lui aurait fallu poser précisément la question d’un projet d’implantation d’éoliennes. Mais quoi qu’il en soit, même informé du projet, le vendeur pouvait commettre une erreur quant à l’importance de ses conséquences.

 

En somme vendeur, acquéreur, notaire et administrations sont excusables puisque, tout en connaissant le projet, personne ne pouvait imaginer l’ampleur des nuisances. Ce n’est qu’à leur apparition que l’acquéreur a pu constater que s’il avait su, il n’aurait pas acheté.

 

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 Les éoliennes menacent-elles Votre Santé?

 

cliquez sur le lien ci-dessous

 

http://www.eoliennesatoutprix.be/default.cfm?source=sante

 

 

 

sans ribemont

Publié le 12/12/2019 à 11:05 par tierache Tags : centerblog image sur

une délégation de Thiérache éolien est venu en soutiens à cette manifestation

 samedi 18 novembre  l'aisne nouvelle 

 

Cliquez sur l'image pour agrandir

parc-eolien-inaugure_1.jpg

 

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sans mensonges

Publié le 12/12/2019 à 11:04 par tierache

Mensonges sur l'éolien

 

  

FED

LETTRE D'INFORMATION :  25 mai 2017   

background: #fefefe; padding: 0cm;">

 
Paris 23 mai 2017


N'hésitez pas  faire connaître ce document. Il dénonce en quelques phrases tous les principaux mensonges qui font croire que les éoliennes sont la solution de la Transition Energétique .
En réalité ces machines sont une erreur stratégique majeure.



L’éolien en France ? Pour quoi faire ?


Quelques questions simples


Diminuer les rejets de gaz à effet de serre ?             
NON 95% de notre électricité n’émet pas de Gaz à effet de serre (record des pays industrialisés) et on ne peut pas faire mieux. L’intermittence des renouvelables les augmente à cause du soutien obligatoire de centrales thermiques.

 

Accroître la sécurité d’approvisionnement ?             
NON Leur disponibilité fantaisiste ne permet pas de compter sur les renouvelables (jours sans vent, pas d’électricité).

 

Réduire le coût de l’électricité ?        
NON Courant acheté prioritairement (que l’on en ait besoin ou pas) payé aux promoteurs 2 à 4 fois plus cher que le « mix » EDF. Compensé par une ponction sur votre facture EDF : Voir la CSPE, de 7 milliards cette année, mais qui atteindra 20 milliards par an d’ici 10 ans. Le prix de notre électricité « explose », au détriment du pouvoir d’achat des Français et de leur industrie. 
Seuls quelques affairistes près du pouvoir (le lobby éolien) profitent de ce système immoral


Produire une électricité de proximité ?         

NON Nécessité de raccordement au réseau, avec 4000 km de lignes haute tension et des milliers de pylônes et de transformateurs électriques supplémentaires

 

Bon pour notre balance des paiements ?      
NON Et même catastrophique : Tout le matériel (ou presque) est importé, principalement, d’Allemagne, du Danemark et maintenant de Chine.

 

Bon pour l’emploi ?    
NON Peu d’emploi, sauf pour les chantiers de montage, avec de la main d’œuvre généralement importée car moins chère. Même les centres de contrôle de « nos » éoliennes sont pour la plupart situés en Allemagne, voire au Canada.

 

Équilibrer le réseau ? 
NON Les renouvelables déséquilibrent le réseau par les brusques variations de production des éoliennes, avec des risques grandissants de « black-out ».

 

Bon pour l’environnement ?   
NON Bientôt 25000 socles pesant chacun 1500 tonnes de béton armé indestructible, enterrés à perpétuité dans nos champs. Et les forêts, les zones protégées ? Les espèces « protégées »,  voire en voie de disparition, auxiliaires précieux de l’agriculture, hachés par des pales tournant à 300 km/h. Les parcs naturels infestés, les lieux de mémoire violés… Une atteinte à la biodiversité catastrophique.

 

Bon pour le patrimoine ?       
NON Paysages dégradés, patrimoine massacré partout en France. Impact catastrophique sur nos monuments historiques, et moins-value de 20 à 40% pour les maisons particulières dans un rayon de plusieurs km.

 

Bon pour la santé ?    
NON Voir les conclusions alarmantes de l’Académie de médecine, dans son rapport du 3 mai 2017, consultable sur http://www.academie-medecine.fr/, recommandant – entre autres - de ne pas installer d’éolienne à moins de 1500 m des habitations, et de diminuer sensiblement le bruit.

 

Bon pour le tourisme ?          
NON Les touristes désertent les zones « décorées » d’éoliennes. Sur terre, comme en littoral. Il faut se battre pour éviter l’invasion d’éoliennes près des lieux historiques (Mont St-Michel, plages du débarquement, etc.). Seule la menace par l’UNESCO de retirer son « classement au patrimoine mondial » fait céder le lobby éolien. 

MAIS ALORS POURQUOI DONC ?


• Parce que cet "écolo business" éolien est particulièrement rémunérateur, grâce aux subventions publiques financées par les consommateurs d’électricité.

 

• Parce que certaines ONG et les partis « verts », au service du lobby des renouvelables qui contrôlent pratiquement les médias font croire depuis plus de 15 ans que, seuls le vent (et le soleil) produiraient une électricité « propre ».

 

• Parce que, de ce fait, des  politiques plus préoccupés par des considérations locales que par l’intérêt général rabâchent,dans le domaine de l'électricité,le message « les renouvelables sont complémentaires du nucléaire, et vont bientôt le remplacer " et que "nous sommes en retard sur l'Allemagne".

 

• Parce que des affairistes sous l’appellation de promoteurs éoliens qui produisent de l’électricité soi disant verte alors qu’elle est intermittente et polluante, exercent une pression sur les municipalités et les propriétaires de terrain, dissimulant les vastes problèmes à venir.  Pourtant ils ne sont que les agents d’intérêts financiers privés, voire parfois occultes.

 

• Parce ces promoteurs cachent le coût du démantèlement futur de ces machines  
Provisionné (officiellement) 50.000 € par éolienne, il revient en fait à plus de 400.000 € et en cas de défaillance (très probable) de l’exploitant, ce sera à l’agriculteur propriétaire du terrain de payer la différence, soit largement plus que ce qu’il aura engrangé pendant les 20 ans de son bail. À défaut, ce sera la commune ou la communauté de commune qui paieront (donc, encore le contribuable). Mais le socle, lui, restera à perpétuité, … prêt pour la remplaçante ?

À moins que d’ici-là, la raison l’emporte enfin dans notre pays 
qui était si beau ?

 

 

 

Cordialement

Jean-Louis Butré
Président

Fédération Environnement Durable

http://environnementdurable.net

contact@environnementdurable.net
tel 06 80 99 38 08

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la vérité sur le coût exorbitant de l'énergie éolienne

 

 

 

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Des éoliennes pour sauver le climat ? Un mensonge d’État !

 

Parc éolien Belgique Liège

Construire en France des éoliennes pour sauver le climat est une absurdité technique et écologique.

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Par Bernard Durand et Michel Gay.

 

Des éoliennes gigantesques défigurent de plus en plus nos campagnes. Elles seront bientôt imposées aussi en mer, au large de nos côtes. La révolte gronde. Ces moulins à vent ne seront d’aucune utilité pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, comme l’a démontré l’Allemagne. La Grande-Bretagne vient même de prévoir de supprimer toutes les subventions pour les nouveaux projets d’énergies renouvelables.

Mais notre gouvernement autiste continue à les soutenir puisqu’il s’agit de « sauver le climat ».

La consommation d’électricité française stagne et décroît même légèrement depuis 10 ans. Personne n’a besoin de ce surplus d’électricité produit par les éoliennes (ni par les panneaux photovoltaïques). Au contraire, leurs productions erratiques nuisent au bon fonctionnement du réseau électrique.

C’EST BON POUR LA PLANÈTE ?

Pourquoi alors tant d’éoliennes ? « C’est bon pour la planète ! » annoncent les médias et nos politiciens à l’unisson.

Pourtant, en raison du volume important de matériaux qu’il faut extraire et transformer pour les construire (béton, métaux, terres rares), l’électricité produite (à quantité égale) par les éoliennes n’émet pas moins de CO2 que celle produite par nos centrales nucléaires. Pour être cohérent, les émissions des centrales à gaz ou à charbon de secours (les jours sans vent) devraient aussi être ajoutées.

Notre parc nucléaire permet à la France d’être le grand pays industrialisé qui produit le moins de CO2 (dix fois moins que l’Allemagne où règnent les centrales à charbon…).

 
Construire en France des éoliennes pour sauver le climat est donc une absurdité technique et écologique. La puissance publique a tous les moyens à sa disposition pour le savoir. En continuant à soutenir sciemment le développement des éoliennes, elle se rend complice d’un mensonge d’État puisqu’elle connaît cette absurdité.

 

LES ÉOLIENNES JOUETS DE LA MÉTÉO

De plus, les élus refusent de voir que, faute de pouvoir stocker l’électricité en quantités suffisantes, aucun pays ne peut prendre le risque de remplacer des centrales pilotables (comme le sont les centrales nucléaires) par des éoliennes, dont la production dépend des caprices de la météo. Les « pannes » de vent (et de soleil) peuvent durer plusieurs jours consécutifs sur l’Europe entière.

Pour éviter la grande panne d’électricité, le black-out, la puissance pilotable disponible en secours doit être suffisante pour faire face à  la consommation la plus élevée de l’année qui a lieu en hiver, lors de la pointe de consommation (vers 19 heures). À ce moment-là, les panneaux photovoltaïques ne sont d’aucun secours.

En Allemagne, la puissance totale installée des centrales thermiques « fossiles » n’a donc pas diminué de 2002 à 2016 lors du  développement massif de l’éolien et du photovoltaïque. La puissance installée des centrales à charbon (lignite incluse) est restée stable à 48 gigawatts (GW), mais celle des centrales à gaz est passée de 20 GW à 30 GW durant ces quinze années.

LE PRIX DE L’ÉLECTRICITÉ A DOUBLÉ EN ALLEMAGNE

La production d’électricité issue des énergies fossiles a même légèrement augmenté en seize ans (passant de 347 TWh en 2000 à 349 TWh en 2016).

Les productions erratiques de l’éolien et du photovoltaïque n’ont fait que s’ajouter à celles des centrales thermiques pilotables sans permettre aucunement de diminuer leur puissance installée, ni leur production. Le charbon, un peu de biomasse, et le gaz principalement ont compensé la baisse de production du nucléaire.

Sans aucun bénéfice sur les émissions de CO2, le prix de l’électricité pour les ménages allemands  a doublé en quinze ans  par rapport à celui des ménages français à cause :

1.                du double investissement (éoliennes plus centrales thermiques),

2.                de la diminution de rentabilité des centrales pilotables (qui doivent produire moins avec les mêmes charges fixes),

3.                et de la transformation du réseau électrique rendue nécessaire pour assurer l’acheminement de ces flux énergétiques supplémentaires.

UNE ÉNERGIE ÉOLIENNE INSUFFISANTE

En France, comme en Allemagne, l’éolien (même assisté du solaire) ne permettra pas de supprimer des centrales thermiques pilotables (nucléaires ou fossiles).

De plus, éolien et solaire sont importés en France. Leur développement implique des dépenses importantes qui, pour l’essentiel, profitent à des entreprises étrangères sans créer d’emplois dans notre pays à la hauteur des sommes investies, tout en dégradant notre balance commerciale.

Les capacités supplémentaires (encore possibles) d’hydraulique et de biomasse sont limitées par la nature (sites favorables, forêts disponibles).

Diminuer notre nucléaire nécessiterait de le remplacer par des centrales pilotables à combustibles fossiles (comme en Allemagne). Il en résulterait de nouvelles importations de gaz (ou de charbon), et donc une augmentation des émissions de CO2 et de la pollution atmosphérique au niveau élevé de l’Allemagne aujourd’hui.

Les pays dont la production d’électricité émet peu de CO2 ont recours soit à l’hydroélectricité (quand c’est possible), soit à un mix d’hydroélectricité et de nucléaire.

En Europe, il s’agit de la France, de la Norvège, de la Suisse et de la Suède, ces pays n’étant pas ceux qui ont misé le plus sur l’éolien.

La Commission européenne semble beaucoup se soucier du réchauffement climatique et des émissions de gaz à effet de serre. Au lieu de persévérer à mentir sur l’intérêt des éoliennes pour sauver le climat, elle devrait demander à l’Allemagne de parvenir au niveau actuel des émissions de COde la France (pour sa production électrique) dans… 10 ans. Pour atteindre cet objectif, l’Europe pourrait utilement encourager l’Allemagne à redémarrer rapidement son programme nucléaire.

Voilà une action qui, enfin, serait efficace pour sauver le climat !

 

 

sans moyens pour produire Electricité

Publié le 12/12/2019 à 11:03 par tierache Tags : centerblog image background sur france roman monde mer article saint société animaux haie dessous

 

RENOUVELABLES. La filière hydrolienne française vit encore, dans les fleuves.

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 Ce vendredi 21 décembre 2018 est inaugurée la première ferme pilote comptant quatre machines immergées dans le Rhône à la Caluire-et-Cuire. Le Syndicat des énergies renouvelables rappelle les vertus de cette technologie.

Après l'abandon du secteur de l'hydrolien par Naval Energies, la France dispose encore de champions de plus petites catégories. Outre Sabella, dont la machine est testée au large d'Ouessant, plusieurs entreprises planchent sur des turbines aux dimensions plus modestes. Parmi elles, Hydroquest est l'une des plus avancées : 
après avoir déployé son prototype dans la Loire, à Orléans entre 2014 et 2018, elle inaugure ce vendredi 21 décembre 2018, une ferme pilote de quatre engins dans le Rhône avec le concours d'Hydrowatt et de Voies Navigables de France. L'installation de 320 kW produira annuellement 1 GWh d'électricité, couvrant l'équivalent de consommation de 400 foyers tant en évitant l'émission de 300 tonnes de CO2. Une première mondiale qui, selon le Syndicat des énergies renouvelables(SER), "confirme le positionnement de la France à l'avant-garde du développement technologique des énergies marines renouvelables".
La géographie du territoire français, avec ses nombreux fleuves et des zones de forts courants marins, lui offrirait de nombreuses opportunités pour expérimenter ces technologies et exploiter des ressources propres. "L'installation qui sera inaugurée dans le Rhône confirme ainsi les débuts prometteurs de cette nouvelle filière industrielle et propice à l'export, car adaptée aussi bien aux besoins énergétiques croissants des pays industrialisés que des pays émergents". Rappelons que les hydroliennes fluviales peuvent être facilement déployées, sans travaux de gros œuvre et sans impact environnemental. Les machines Hydroquest sont embarquées sur des barges qui permettent de les remonter au sec pour les opérations de maintenance. Energétiquement, le facteur de charge des turbines serait supérieur à 65 %, un niveau rarement atteint dans le monde de la production électrique par des sources renouvelables (21 % pour le solaire, 40 % pour l'éolien). Les modèles proposés par la société développent une puissance unitaire de 40 ou 80 kW (deux roues sur un ou deux étages) pour une vitesse d'écoulement de l'eau de 3,1 m/s, et nécessitent une profondeur de 2,2 à 4,2 mètres. Le coût estimé de production varie de 200 à seulement 50 €/MWh "suivant les sites et la taille des fermes", précise Hydroquest. Les quatre machines, construites à Cherbourg par le groupement Hydroquest-CMN, ont été assemblées sur le Port Edouard Herriot avant d'être acheminées par voie fluviale entre les parcs de Feyssine (Caluire-et-Cuire) et de Saint-Clair (Villeurbanne). L'autorisation d'occupation temporaire du site a été délivrée pour une période de 18 ans.

 

Une ferme de 40 machines l'an prochain

 

Jean-Louis Bal (président du SER) et Marc Lafosse (président de la commission EMR), soulignent que "pour conserver leur précieuse avance technologique et industrielle, les acteurs du secteur de l'hydrolien demandent au Gouvernement de confirmer son soutien, notamment en donnant dès maintenant des perspectives de développement en France, à moyen terme, en mer comme dans les fleuves". C'est à cette condition que les coûts pourront baisser et décider des investisseurs et financeurs pour se lancer dans de nouveaux projets. Hydroquest devrait, en 2019, passer à l'étape supérieure, en déployant, toujours dans le Rhône, près d'une quarantaine d'engins de 40 et 80 kW pour une capacité totale de 2 MW. Elles seront groupées par trois et espacées de 150 mètres, sur une zone du fleuve longue de 2 km et située près de la frontière suisse. D'autres sociétés travaillent également à des turbines comme Bertin Technologies, Eel Energyou Guinard Energies.

 

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Peut on envisager d'autres moyens

de se chauffer ou de produire de l'électricité

 

Propositions constructives

 

La Thiérache n’a t’elle pas d’autres atouts à mettre en avant

 

 Les autres pistes pour développer de l’énergie :

 

- Le photovoltaïque :

 

-Les turbines Hydo-électriques : dont plusieurs installations en     Thiérache aux résultats très positifs

 

-la biomasse :

 

-Valorisation des bois de haie :

 

-la méthanisation :

 

-d’autres pays  se sont tournés vers de nouveaux réacteurs

 

voir le lien ci-dessous

http://www.rtflash.fr/reacteurs-4eme-generation-produire-l-hydrogene-avec-nucleaire/article

 

 

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Alternatives.

Les énergies renouvelables

L’hydroélectricité

 

L'énergie hydroélectrique, ou hydroélectricité, est une énergie renouvelable obtenue par conversion de l'énergie hydraulique, des différents flux d'eau naturels' en électricité.

L'énergie cinétique

du courant d'eau est transformée en énergie électrique par une turbine hydraulique, puis en énergie électrique par un alternateur

 

La micro hydraulique

Elle permet de produire de l’électricité dans de petites installations , en particulier des usines dites « au fil de l’eau » qui n’ont pas de retenue d’eau : c’est le débit de la rivière qui actionne directement une turbine couplée à un alternateur.

Les usines hydroélectriques présentent l’avantage de produire avec un minimum de nuisances, une électricité bon marché et facilement mobilisable quand la demande est forte, ce qui permet d’économiser la consommation de combustibles fossiles.

La biomasse et le bois

La biomasse est constituée par l'ensemble des matières organiques d'origine végétale (algues incluses), animale ou fongique (champignons) pouvant devenir source d'énergie par combustion (ex :bois énergie), après méthanisation (biogaz) ou après de nouvelles transformations chimiques (agro carburant).

La méthanisation

Processus naturel biologique de dégradation naturel biologique de dégradation de la matière organique en absence d’oxygène. Il se produit naturellement dans certains sédiments, les marais, les rizières, ainsi que le tractus digestif de certainsanimaux : insectes (termites) ou vertébrés (ruminants).

Le photovoltaïque

L’énergie solaire photovoltaïqueest une énergie électrique produite à partir du rayonnement solaire

 

L'énergie produite par une centrale solaire photovoltaïque est dite renouvelable. En revanche, la fabrication des panneaux photovoltaïques, leur installation et leur exploitation consomment de l'énergie qui en général est en grande partie de source non renouvelable : la Chine qui produit la plupart des panneaux photovoltaïques produits en Europeconsomme 89 % d'énergies non renouvelables

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l'ydroélectrique

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