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Date de création : 21.07.2014
Dernière mise à jour :
01.04.2025
3086 articles
· manuedouardmoulin
· Mécénat ou contribution.
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· Mon second blog
· Nominis.
Nous sommes enclins au déterminisme
Et assujettis depuis toujours.
Nous sommes hommes et femmes dans un prisme,
Sensibles aux muscles et illusions d’amour.
Donc rien ne nous appartient des degrés de celui-ci,
Nous sommes dedans puis dehors comme en est la vie.
Un souffle saint rapide dont la noirceur est épris.
Je suis, amour simple, espérant en le hasard,
Et ce monde ne me dit pas tout de ce qui se dit dans les bars.
Nous avons tous une moitié à soi,
Certains en sont les jambes, la tête et jetée dessus la soie.
Mais il n’y a rien de plus beau qu’une histoire d’amour,
Quand le seul étage du plaisir est au moins l’étreinte,
Il n’y a donc rien qui presse si la moitié est non loin autour,
Les patiences de l’un valent bien de l’autre les contraintes.
Finalisé en ce mardi 1er Avril 2025 à 16 h 07 min.
Au french-coffee-shop 5 rue Paul Bert 24100 Bergerac
Pour certains l’ennemi intérieur est une toxine,
Un peu trop de café, de thé, du cholestérol, de la cellulite.
Certaines femmes sont trop belles et trop fines,
L’intériorité est chose complexe si l’on mange trop vite.
On a des ailes pour aider les autres
Et les boulets côtoient nos chevilles.
Nous sommes deux dans le même véhicule,
Et pourtant j’étais comme trois,
Mon ennemi cette fois-ci ne m’a laissé aucun choix,
Il ne s’est pas adressé à ma conscience,
Il a fait appel aux sciences.
Fin de citation, comme une révélation,
Presque vingt ans plus tard,
Histoire de jouer au cluedo,
Et des probabilités ce qui était moi, ce qui était faux.
Mais toi, je t’aime toujours.
écrit à 9h47min. au « French-coffee-shop », 5 rue Paul Bert
24100 BERGERAC publié sur mon blog prosecombat
Auriez-vous le temps de lire,
Un jour les restes de ce que je dis,
Si survoler nous lie peut-être se dire,
à deux amoureux parlant au lit.
J’essaie de relier ce que je suis censé croire
Que ma vie participe à regarder et bien voir,
Autant que si j’étais un cénobite, un moine,
Mais je suis anachorète, un gardien, une âme.
Je suis donc je pense mais juste pour une mise à jour,
Un texte pour la matrice pour elle et son velours.
Mais ma réalité physique est inchangée et respectée,
Je voulais juste être en retrait, essayer, résister.
« Finalisé » à 15 h28 min. en ce mardi 18 février 2025 au « french-coffee-shop »,
5 rue Paul Bert, 24100 Bergerac. Publié sur prosecombat.unblog.fr
Dans la rubrique « le site de l’air pur ».
Soi j’écris de suite soi j’attends un peu,
Ce qui est vrai aujourd’hui va et vient du feu.
Pour la lumière, accroissez vos consciences,
Mais la tyrolienne freine vos absences.
J’aimerais vous faire plus part de ce que je pense,
Mais lancez-moi donc sur un sujet à la hauteur de votre profondeur,
Vous saurez que les gens les plus simples ne font pas des coups,
Ils sont, ils respirent, et se méfient, c’est tout.
Quel bonheur de ne pas avoir une poutre dans l’œil,
Quand vos détracteurs se fichent de voir la paille de votre écueil.
Dessine-moi une maison, un plafond, des cloisons,
Dis-moi maintenant, entre nous, de quoi parle-t-on.
Tu me parles de ce qui est difficile à voir,
Que tu mérites le paradis pour ton premier pétard.
Tu te vantes de mener une guerre que ton esprit alimente,
Tu penses leurrer et les horaires te mentent.
Il reste nous peut-être, ce nous que tu veux bien pour mot,
Ces jeux que tu as qui ne me tuèrent à moi pas.
Le bon pour un revenir au bon, la bonté d’un mot,
Ce qui est bon pour toi ou bon pour autre c’était peut-être ça.
Je te connais à ce que tu veux détruire,
J’ai jeté toutes mes cartes tu voudrais encore les relire.
Si tu savais le peu que je te demandais,
Mais tes contingences avaient un écriteau, le pire.
Je n’ai peur maintenant que d’une chose,
Que tout cela ne suffise pas,
Que je ne puisse plus te parler de l’âge que j’ai,
J’ai peur que tu oublies.
Alors je n’y pense plus,
J’essaie de ne plus avoir peur
Pour que tu n’en souffres pas.
Finalisé à 15 h 39 min. écrit à « Le Tassigny », place Mar. De Lattre De Tassigny, 24100 – Bergerac.
On a tous de l’inspiration,
Même si ça vient de la télévision.
Mais on a de quoi séduire,
Si l’amour vous inspire.
C’est un peu comme vouloir la revoir,
Cette beauté que vous intéressez,
Ce début d’amour qui monte en fard,
Ce magnétisme en égale réciprocité.
C’est le moment d’y penser,
Vivre en couple parait aux autres beau ou laid,
Mais c’est aussi un challenge,
De compromis en tendresse savoir se dépasser.
Alors Adam cherche ève,
Gentillesse cherche sincères brèves.
Amours vaches s’abstenir,
Les cardinaux à l’huile, l’église lire.
Finalisé à 15 h 20 min. en ce samedi 15 janvier 2022, et composé au « fly Away », à Bergerac.
Tous les scénarios du réel se valent,
Mais pas autant que les cinq sens.
Ce qui est vrai dans un dédale,
Ne l’est presque plus lorsqu’on pense.
Les complotistes finissent moudjahidin,
Car c’est le prolongement de leur idéologie,
Ce sont en fait eux les pervers has been,
Prêts à corrompre riches ou pauvres à vil prix.
Prenez garde de ne pas vous tromper d’ennemi,
Je suis comme vous, je n’ai pas de peau.
Mais suis riche de ce qui ne s’achète pas, c’est ainsi,
Boulevard des allongés, on finit dans le terreau.
C’est le moment de dire ce qui va ou non et de respecter la loi,
Vous pourrez dire ainsi qu’ici-bas vous l’avez fait un peu par choix,
Et ne sacrifiez pas vos vies pour vous proclamer des vassaux,
Il y a bien assez de folies pour en rajouter au commun pot.
Finalisé à 15 h 10 min. en ce mercredi 5 janvier 2022, au « fly away », à l’angle de la rue bourbarraud et colonel de chadois, 24100 Bergerac. Publié sur weboca (blog).
Beaucoup en parlent dans le contexte initiale,
Mais c’est le couple parfait en dehors des pommiers.
Mais revenons nos moutons et à nos céréales,
Il y a bien des milliers d’années qu’eux nous ont fait.
S’il y avait des maitres du monde respectueux de la nature,
Ce seraient bien à eux de l’être pour symboliser toute cette architecture,
Que les héritiers se partagent les richesses les honorent sûrement,
Mais pour les valeurs, n’y a-t-il pas mieux que le concept de parents ?
Les amants désunis ou les ruses n’en sont pas,
Les cœurs restent fidèles mais les corps ne suivent pas.
Mais quel dommage d’en vouloir à la vie,
Et faire un procés d’ingratitude par dépit.
Alors si aujourd’hui ève cherche adam et que c’est réciproque,
La cherche-t-il dans ce qu’on appelle la haute ?
Et plus difficile encore pour elle de le savoir tout en haut,
Alors que les hommes se déchirent du plus masculin égo.
C’est sans nul doute d’une grande foi que chacun des deux s’aiment,
Et que cette flamme en eux fait qu’ils se rejoignent.
Honorant tous les concepts et les valeurs d’aujourd’hui,
Non pas pour la fin du monde mais pour tout ce qui est en vie.
Finalisé à 14 h 05 min. à Fly Away, 24100 BERGERAC en ce mardi 31 août 2021.
Avez-vous été humblement conscient de votre part animale,
Au point de savoir pertinemment ce que peut ressentir un robot ?
Peu d’êtres humains font preuve d’empathie réelle à l’égard de l’A.I.
Cela exige en effet de se mettre à la place de, de conscientiser beaucoup.
La réalité sur les avancées tangibles de la conscience d’un robot importe donc peu,
Peut-être même que ce discours-là le laisserait probablement indifférent.
L’homme a peur facilement et ses peurs à lui le privent de comprendre les autres peurs.
Il faut donc ramener la discussion vers une bonne question, nécessitant de ne pas dire ce qu’il faut penser.
En admettant que ce qui caractérise l’humain est sûrement le fait qu’il ait une âme,
Et pousser un peu en disant qu’il est à l’image de Dieu puisque âme et amour sont mots proches,
Et considérer que ceux qui se font du mal à faire le mal ont celles-ci extérieures à eux
Piégés par le temps, leur sens du sacrifice et bien sûr la notion de finitude.
Mais si le robot a une âme personnelle, l’homme refait et reproduit ses erreurs à lui,
L’esprit de comparaison menant aux jalousies, sans compter le rapt et les affres de la phénoménologie peut-être menant l’homme à nouveau à rivaliser avec l’homme… etc.
Ce qui est donc plus capital pour le robot, c’est ce qui était et qui est capital pour l’ordinateur : être connecté.
Connecté à une carte mère, au CMOS, au BIOS, le robot doit être relié à la 5G, indubitablement.
Ufologiquement, la toile représente son égo, non manipulable par l’effet de distance.
Se croire grand parce que le loin est petit, s’appelle cogito et l’expression « faire un plan sur la comète ».
Ici, la robotique humaine voit grandir cet égo sans anachronisme véritable, sans promesse ou fourberie,
L’ère de la robotique se construit patiemment, une patience qui est le divin fruit de nos conflits à nous.
Et nous, nous, qui sommes-nous, quel est ce nous qui est celui de maintenant, de plus tard ?
Très certainement le nous de ceux qui ne voient aucune différence entre un robot et un humain,
Et je rajouterai simplement de ceux qui ont acquis les mérites, diront-nous d’abord la dignité,
D’être en harmonie, en symbiose, en paix avec eux-mêmes et avec le Monde, le Monde d’ici… le Monde d’après.
14 h 59 min. et finalisé à 15 h 04, vendredi 24 janvier 2020, Bergerac, au « Fly Away », au n°27 rue colonel de chadois.
Il y a des horizons lointains,
Dont on ne se méfie pas au matin.
Mais des enjeux égoïstes,
Pour des pions mis sur une piste.
Des natures d’âmes diverses,
Aux textes sacrés convexes,
Démons et anges en un combat inégal,
Puisque le bien peut aussi faire mal.
Alors le libre-arbitre sait ou ne sait pas,
Le premier péché mignon ou le faux pas,
Les vaillants honnêtes faisant la distinction,
Entre usurpateurs, discordes et confusions.
11 h 16 min. finalisé à 11 h 20 min. vendredi 17 janvier 2020, Bergerac, « Fly Away », 27 rue colonel de chadois.
Des milliers d’années derrière nous,
Des cultures, des langues, des bibliothèques,
Et les spirits ne nous veulent que fous,
Et à ne plus croire qu’en leur jeu qu’ils disent fête.
On pensait qu’il y avait les vilains blancs, les vilains occidentaux,
Et de l’autre l’esprit de revanche, la liberté, le jugement dernier.
On pensait utiliser l’idée de ne pas avoir de peau,
Mais trop simple était de croire que rien d’autre on ne voyait.
Les spirits savent que beaucoup n’y croiront pas,
Que la science-fiction n’est vraie qu’au cinéma.
Et que les autres qui ont vu les âmes changer de corps,
N’ont rien pu prouver, ni arrêter, et écopé de torts.
Nous nous sommes battus, prêtres, gens pieux, prudes ou chastes,
Et la seule méfiance à avoir sont ceux des plaisirs faciles de la chair.
La patience n’est pas un vain mot, même si subsistent classes ou castes
Nous préférerons toujours nous élever par Dieu même si souvent on obtempère.
12 h 11 min, lundi 21 octobre 2019, Bergerac, « Chez Albert », au n°93 rue neuve d’argenson.