Antoine Coysevox
Antoine Coysevox ([kwazəvo][1] ou [kwazvo][2]) né à Lyon le , et mort à Paris le , est un sculpteur français.
Naissance | |
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Décès |
(à 80 ans) Paris |
Période d'activité |
- |
Nom de naissance |
Quoisevaux ou variantes |
Nationalité |
Français |
Activité | |
Maître | |
Élève | |
Mouvements | |
Mécène |
Louis XIV de France |
Père | |
Mère |
Ysabeau Morel (d) |
Fratrie | |
Parentèle |
Nicolas Coustou (oncle) Guillaume Coustou (oncle) |
Biographie
modifierLe nom de famille Quoyzeveau se trouve écrit d'une quantité de façons aussi différentes que Coëzevau, Coiseveau, etc.. Antoine Coysevox a inauguré la graphie Coysevox et l'a adoptée définitivement à partir de 1679[3].
L'éloge funèbre d'Antoine Coysevox attribue la qualité particulière de son talent à une origine espagnole. Il s'agit d'une équivoque : Antoine Coysevaux est né à Lyon où son père Pierre, maître-menuisier, s'était fixé environ cinq ans avant sa naissance, venant de Franche-Comté, possession espagnole jusqu'à 1678[4].
Il vint à Paris à dix-sept ans travailler dans l'atelier de Louis Lerambert (1620-1670), dont il épousa en 1666 la nièce, fille du peintre Noël Quillerier, Marguerite, d'un an plus âgée que lui, et qui mourut un an après leur mariage. Il se remaria en 1680 à Claude Bourdict, lyonnaise comme lui[5] ; il eut de nombreux enfants[6].
En 1667, l’évêque de Strasbourg, François-Egon de Fürstenberg, prince-abbé de Stavelot, le chargea de la décoration du château de Saverne (Zabern), qui l'occupa quatre ans.
De retour à Paris en 1671, il fut employé à la décoration du château de Versailles et de ses jardins, produisant des copies des marbres antiques tels la Vénus de Médicis, la Vénus accroupie, la Nymphe à la coquille ou Castor et Pollux, soit en marbre, soit en bronze fondu par les frères Keller.
L’Académie royale de peinture et de sculpture l'admit comme professeur adjoint, « en considération du dessein qu'il avait d'établir à Lyon une école académique et d'aller y faire sa demeure »[7] le , avec comme pièces de réception un buste du peintre Charles Le Brun (1619-1690), premier directeur de l'Académie, et un de Colbert (remis en 1679). Restant à Paris, il fut cependant nommé professeur l'année suivante, recteur en 1694, chancelier en 1716, il fut directeur de l'Académie de 1703 à 1705. Guillaume et Nicolas Coustou, fils de sa sœur aînée Claudine[8], furent les élèves de Coysevox, comme François Coudray, Jean-Baptiste Lemoyne et Jean Thierry[a].
Auteur de nombreux portraits sculptés en buste, spécialité nouvellement en vogue au XVIIe siècle[10] pour laquelle il fut très demandé[11], il sculpta aussi des portraits en pied, dont un du roi Louis XIV pour l'hôtel de ville de Paris, aujourd'hui au musée Carnavalet, et des portraits équestres, pour lesquels il étudia particulièrement les chevaux, leur anatomie, leurs mouvements. En 1689, le Parlement de Bretagne lui demanda une statue équestre du monarque, qui fut fondue pendant la Révolution.
Au premier Salon de peinture et sculpture qui se tint au Louvre en 1699, il exposa quatre bustes, dont un en bronze, du roi Louis XIV. Au suivant, en 1704, six autres bustes de grands personnages contemporains.
Il fut le décorateur du navire de guerre le Foudroyant construit à Brest en 1690, qui devint le Soleil royal en 1692 après la destruction du premier vaisseau de ce nom. Une maquette au 1/40 se trouve au musée de la Marine à Paris.
Coysevox reçut en 1705 la commande royale des sculptures du château de Marly, travail qui allait l'occuper pendant plusieurs années. Parmi ses sculptures, la série des Quatre Fontaines et le groupe formé par Flore, Hamadryade et Le Berger flûteur, tous commandés en 1707 et datés de 1709, placés initialement dans le parc de Marly, au fer à cheval, en bas de la rivière, passèrent au jardin des Tuileries à Paris dès 1716, et sont désormais conservés au musée du Louvre. Depuis 2010, des moulages à la poudre de marbre occupent à Marly l'emplacement d'origine. Il en est de même des moulages des chevaux de Marly de son neveu Guillaume Coustou, dont les emplacements sont ceux occupés jusqu'en 1719 par ses deux chefs-d'œuvre : La Renommée et Mercure chevauchant Pégase.
Style
modifierContrairement à de nombreux sculpteurs de son époque qui modelaient la terre ou le plâtre, laissant des praticiens[b] tailler le marbre, Coysevox travaille lui-même la pierre, et ne répugne pas à revenir sur une œuvre dans le lieu où le commanditaire l'a fait installer. Ce comportement contrarie l'ambition de l'Académie de détacher les beaux-arts des métiers manuels.
Travaillant dans une période de transition, entre le style classique défendu par Poussin et, à l'époque de la formation et de l'activité de Coysevox, par l'Académie royale de peinture et de sculpture que dirige Le Brun et celui, plus libre et aimable, de la Régence et du règne de Louis XV, Coysevox produit des ouvrages difficiles à caractériser[12], mais aisément identifiables, même sans la signature[13]. Sa carrière ne prit véritablement son essor qu'après la disgrâce de Le Brun en 1683[14].
Coysevox est d'abord apprécié, de son temps, comme portraitiste. Ce genre, classé en second dans la hiérarchie des genres de l'Académie, est relativement peu affecté par l'évolution du style, et la capacité rare de Coysevox de transmettre un caractère avec la physionomie relègue l'analyse au second plan.
Le portrait de Marie-Adélaïde de Savoie, duchesse de Bourgogne, en Diane (1710), au Louvre, participe du classicisme par le thème ; mais le sourire, la volonté de rendre le mouvement, l'imbrication des lignes du chien et de la femme, la composition qui ne privilégie pas la frontalité, ressortent du Baroque tel que le définit Wölfflin[15]. On peut en dire autant de sa Vierge à l'enfant de l'église Saint-Nizier de Lyon (1676).
Œuvre
modifierParis
modifierMusée du Louvre
modifierCoysevox partage avec les frères Coustou la Cour Marly au musée du Louvre.
- La Renommée du Roi montée sur Pégase[16] et Mercure monté sur Pégase (1699 - 1702)[17], deux groupes en marbre originellement destinés au parc du château de Marly[18]
- Le Berger flûteur[19], qui, avec l’Hamadryade[20] et la Flore[21], formait un groupe consacré à la forêt, placé dans le parc du château de Marly
- Amphitrite (1705), marbre[22]
- Neptune (1705), marbre[23]
- La Marne (1706), statue allégorique, marbre[24]
- La Seine (1706), statue allégorique, marbre[25]
- Nymphe à la coquille, statue, marbre[26]
- Vénus accroupie (1685 - 1686), statue, marbre[27]
- Portrait du peintre Antoine Coypel (1661-1722), buste, marbre[28]
- Portrait du peintre Charles Le Brun (1619 - 1690) (1679), buste, marbre[29]
- Portrait de Jean-Baptiste Colbert (1619 - 1683), buste, marbre[30]
- Portrait de Louis II de Bourbon dit Le Grand Condé (1688), buste, bronze[31]
- Portrait de Louis XV à l'âge de neuf ans (1719), buste, terre cuite[32]
- Portrait de madame du Vaucel (avant 1712), buste, terre cuite[33]
- Portrait de Marie Serre, mère du peintre Hyacinthe Rigaud (1706), buste, marbre[34]
- Portrait de Charles d'Albert d'Ailly, duc de Chaulnes, avant 1698, buste, marbre, 74.5 x 66 cm[35].
- Autoportrait, buste, marbre
- Marie-Adélaïde de Savoie, duchesse de Bourgogne, en Diane (1685-1712) (1710), statue, marbre[36]
-
La Renommée du Roi montée sur Pégase
-
Le triomphe d'Amphitrite, venant des jardins de Marly, fut donnée à la ville de Brest en 1801[37] et transférée au musée du Louvre à la Libération après avoir été évacuée pendant la guerre[38].
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Neptune, détourné des jardins de Marly et donné à Brest en 1801 puis transféré au musée du Louvre à la Libération.
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La Marne, détournée des jardins de Marly et donnée à Brest en 1801 puis transférée au musée du Louvre à la Libération.
-
Charles Le Brun, buste, musée du Louvre.
- Les quatre vertus : La Force, La Justice, La Tempérance, La Prudence, ainsi que Charlemagne, statues en pierre
-
Louis XIV dans la cour du musée Carnavalet.
-
Autre vue de la statue.
- Louis XIV en empereur romain, statue, bronze, cour de l'Hôtel Le Peletier de Saint-Fargeau
- Louis XIV implorant la Vierge
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Monument funéraire de Colbert, Paris, église Saint-Eustache.
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Statue de gauche : la Fidélité.
- Tombeau de Colbert
Institut de France - Paris
modifier-
La Prudence, tombeau de Mazarin.
Versailles
modifier- Portrait du Grand Dauphin, fils de Louis XIV - représenté en 1679, buste, marbre
- Allégorie de la Garonne (1686), groupe, bronze, parc du château, le parterre d'eau, bassin nord, margelle est
- Allégorie de la Dordogne (collaboration avec Jean-Balthazar Keller) groupe, bronze, parc du château, le parterre d'eau, bassin nord, margelle est
- Le Vase de la Guerre (allégorie à la soumission de l'Espagne et à la défaite des Turcs en Hongrie), marbre, parc du château, terrasse, côté jardins
- Clio écrivant l'histoire du Roi, salon de la guerre
- Louis XIV en empereur romain vainqueur, salon de la guerre, 1715
- Buste de Marie-Adélaïde de Savoie, appartements du dauphin et de la dauphine, première antichambre du dauphin, 1710
- Castor et Pollux, demi-lune du parterre de Latone
-
Allégorie de la Garonne, parterre d'eau.
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Allégorie de la Dordogne, parterre d'eau.
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Buste de Louis XIV dans la chambre du roi.
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Clio écrivant l'histoire du Roi, salon de la guerre.
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Louis XIV en empereur romain vainqueur, dans le salon de la guerre.
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Buste de Marie-Adélaïde de Savoie dans les appartements du dauphin et de la dauphine.
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Castor et Pollux, parterre de Latone.
- Portrait de Marie-Adélaïde de Savoie, duchesse de Bourgogne, épouse de Louis de France (1682-1712), buste, marbre.
- Deux statues de fleuves à la Grande cascade du parc.
- Profil en médaillon de Louis II de Bourbon, prince de Condé, 1686, bronze doré[39]
- Portrait de Louis II de Bourbon, prince de Condé, vers 1688, buste, terre cuite[40]
- Louis II de Bourbon, prince de Condé, 1689, statue, marbre[41]
- Portrait d'Armand-Jean du Plessis, 2e duc de Richelieu, 1700, buste, marbre[42]
- Buste de Louis XIV, marbre, 89 x 80 cm, musée des beaux-arts de Dijon
- Portrait du maréchal de Vauban, buste
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Buste de Vauban
Au Château fort de Sedan
modifier- Le Maréchal de Villars, buste en plâtre
Église Saint-Nizier à Lyon
modifierVierge à l'Enfant, destinée dans un premier temps au coin de son immeuble d'habitation, puis acquise par la confrérie de Notre-Dame-de-Grâce et placée depuis 1771 dans le croisillon sud du transept de l'Église Saint-Nizier[43].
-
Vierge à l'Enfant
- Tombeau d'Henri de Lorraine-Harcourt[44].
-
Tombeau de Henri de Lorraine-Harcourt.
Œuvres disparues
modifier- Monument funéraire de Jules Hardouin-Mansart, 1712, marbre, Paris, église Saint-Paul-des-Champs démolie pendant la Révolution française de 1796 à 1799[réf. nécessaire].
- Monument à Louis XIV, statue équestre destinée à la ville de Nantes, mais qui fut finalement installée à Rennes au centre de la place royale du Parlement de Bretagne. Les autorités firent fondre la statue pendant la Révolution pour réutiliser le bronze à la fabrication de canons. Seuls les bas-reliefs du socle restent conservés au musée des Beaux-Arts de Rennes ; ils retracent l'histoire de la sculpture (La Bretagne offrant à Louis XIV le projet de sa statue équestre)[45] et célèbrent le Triomphe de la France sur les mers[46],[47].
- Il existe également un modèle réduit de la statue, en bronze, d'une hauteur de 94 cm, datant des années 1690, propriété d'un aristocrate britannique[48]. La statue était jusqu'alors connue qu'à travers les gravures et dessins de « l'ingénieur du Roy » Jean-François Huguet. Un appel au mécénat d'entreprise[49] a été lancé le par le Ministère de la Culture afin de financer l'acquisition de la statue à hauteur de 2 370 000 euros pour enrichir les collections du Musée des Beaux-Arts de Rennes[50]. La statue a pu être acquise par la ville de Rennes, grâce au mécénat d'entreprise du groupe agroalimentaire breton Norac et va rejoindre en septembre 2022 les collections du musée[51].
Élèves
modifier- François Coudray
- Guillaume Coustou
- Nicolas Coustou
- René Frémin
- Jean-Baptiste Lemoyne I
- Guillaume Hulot
Bibliographie
modifier- Alexandre Maral et Valérie Carpentier-Vanhaverbeke, Antoine Coysevox. Le sculpteur du Grand Siècle, Arthena, , 580 p. (ISBN 978-2-903239-66-4).
- Lucien Bély (dir.), Dictionnaire Louis XIV, Paris, Éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1405 p. (ISBN 978-2-221-12482-6, BNF 44408175)
- ouvrages anciens
- Bellier et Auvray, Dictionnaire général des artistes de l'École française « Coysevox », p. 317–319. Gallica.
- Henry Jouin, Antoine Coyzevox : sa vie, son œuvre et ses contemporains, Paris, Didier, (lire en ligne)
- Georges Keller Dorian et Paul Vitry (Introduction), Antoine Coysevox (1640-1720) Catalogue raisonné de son œuvre, Paris, L'auteur, (lire en ligne)
- Luc Benoist, Coysevox, Paris, Plon, coll. « Les Maîtres de l'art »,
- M. Fermel'huis, « Éloge funèbre de M. Coysevox, sculpteur du Roi », dans Dezallier d'Argenville, Vies des fameux sculpteurs depuis la renaissance des arts : avec la description de leurs ouvrages, Paris, Debure l'aîné, (lire en ligne), p. 234 sq.
Iconographie
modifier-
Portrait par François Jouvenet.
(1701) -
Portrait par Hyacinthe Rigaud.
(1704) -
Portrait par Gilles Allou.
(1711)
- Un buste d'Antoine Coysevox par Bosio se trouve à Versailles.
- On doit au statuaire Philippe Besnard, 1885-1971, le buste du sculpteur qui orne l'extérieur du chevet de la primatiale Saint-Jean de Lyon.
Liens externes
modifier
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Ressource relative à la recherche :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
Notes et références
modifier- Jean Thierry, né à Lyon en 1669, reçu à l'académie en 1717, employé par Philippe V d'Espagne de 1721 à 1728, mort à Lyon en 1739[9].
- Les praticiens sont des artisans spécialisés taillant la pierre, éventuellement en agrandissant ou en réduisant, suivant un modèle « mis aux points », c'est-à-dire où l'on a enfoncé des clous aux points caractéristiques, de sorte qu'on puisse vérifier l'exactitude de la reproduction quant à leur espacement.
- Selon le Petit Robert 2.
- Selon le Petit Larousse.
- Jouin 1883, p. 22.
- Natalis Rondot et Henri Stein, « Pierre et Antoine Coyzevox », Revue de l'art français ancien et moderne, , p. 301 (lire en ligne).
- Auguste Jal, Dictionnaire critique de biographie et d'histoire : errata et supplément pour tous les dictionnaires historiques, Paris, Plon, (lire en ligne), p. 443 « Coustou ».
- Jouin 1883.
- Fremel'huis, Éloge funèbre, 1721.
- Jouin 1883, p. 24, Jal 1872.
- Émile Bellier de La Chavignerie, Dictionnaire général des artistes de l'École française : ouvrage commencé par Émile Bellier de La Chavignerie ; continué par Louis Auvray, t. 2, 1882-1885, p. 563.
- René Schneider, L'art français, XVIIe siècle (1610-1690), Paris, H. Laurens, (lire en ligne), p. 33.
- « […] & on peut dire que dans ce genre, personne ne l'a surpassé. », Fremel'huis, Éloge funèbre, 1721, p. 240 ; « Avec Coysevox commence la véritable série des portraitistes en sculpture », Histoire du portrait en France, Paris, Rouquette, (lire en ligne), p. 400.
- Schneider 1925, p. 121.
- Schneider 1925, p. 209.
- Geneviève Bresc-Bautier, « La statuaire sous Louis XIV », Revue de l'Art, vol. 69, no 1, , p. 69-72 (lire en ligne).
- Heinrich Wölfflin (trad. Claire et Marcel Raymond), Principes fondamentaux de l'histoire de l'art, Presses Pocket, (1re éd. 1915).
- Notice no 16911, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 16904, base Atlas, musée du Louvre.
- Déplacées en 1719 à l'entrée occidentale du jardin des Tuileries puis installées en 1986 au musée ; des moulages les ont remplacées aux Tuileries.
- Notice no 4391, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 4388, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 4396, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 3679, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 3681, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 3682, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 3673, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 768, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 770, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 4253, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 4181, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 4179, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 4250, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 4337, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 4334, base Atlas, musée du Louvre.
- Notice no 4119, base Atlas, musée du Louvre.
- Valérie Carpentier-Vanhaverbeke, La physionomie d'un bœuf et l'esprit le plus délicat - Le duc de Chaulnes par Antoine Coysevox, in Grande Galerie - Le Journal du Louvre, juin/juillet/août 2017, no 40, p. 18.
- Notice no 782, base Atlas, musée du Louvre.
- Dictionnaire biographique de Coysevox.
- Fiche de la Statue Amphitrite, Notice no 3679, base Atlas, musée du Louvre.
- culture.gouv.fr.
- culture.gouv.fr.
- culture.gouv.fr.
- culture.gouv.fr.
- Association les Amis de Saint-Nizier
- Aubin-Louis Millin, Antiquités nationales, ou, Recueil de monumens, tome 2, Paris, 1791.
- « La Bretagne offrant à Louis XIV le projet de sa statue équestre », notice sur mba.rennes.fr.
- « Triomphe de la France sur les mers », notice no 000SC024350, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Catalogue des tableaux, dessins, bas-reliefs et statues exposés dans les galeries du musée de la ville de Rennes, Rennes, , 5e éd. (lire en ligne), p. 98 ; Simon Thomassin (1655-1733), « Statue équestre en bronze de Louis XIV érigée sur la Place Royale de Rennes, commandée le 9 juin 1686 par les États de Bretagne, exécutée par Antoine Coysevox en 1686-1693, estampe, planche 57 », in Recueil de cinquante des plus belles figures antiques et modernes… de Versailles…, 1699.
- B. Bonnet Saint-Georges, Le musée de Rennes veut acquérir une réduction du Louis XIV à cheval par Coysevox, La Tribune de l'Art (6 novembre 2019).
- Légifrance, « Avis d'appel au mécénat d'entreprise pour l'acquisition d'une œuvre présentant un intérêt majeur pour le patrimoine national dans le cadre de l'article 238 bis-0A du code général des impôts », sur legifrance.gouv.fr, (consulté le ).
- Agnès Le Morvan, « La statue de Louis XIV reviendra-t-elle à Rennes ? », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
- Ministère de la Culture, « Acquisition du modèle réduit de la statue équestre de Louis XIV réalisée par Antoine Coysevox, œuvre reconnue d'intérêt patrimonial majeur », sur culture.gouv.fr, (consulté le ).