Oriens, Poésie de Charles Florentin Loriot
Oriens, Poésie de Charles Florentin Loriot
Oriens, Poésie de Charles Florentin Loriot
POESIES
DE
CH FLORENTIN-LORIOT
Visitavit
nosOriensexalto.
Luc,I, 78.
PARIS
ALPHONSE LEMERRE, ÉDITEUR
PASSAGE
CHOISEUL
MDCCCXCV
Oriens
DE L'AUTEUR
David Livingstone.
Explorations et missions dans l'Afrique équatoriale.
La tour de Bonvouloir.
Nitocris. histoire africaine.
Essai sur les mégalithes.
L'évolution en archéologie.
La fresque de l'église Saint-Julien.
Une église champêtre.
Conférences.
Oriens
POESIES
DE
LORENTIN LORIOT
CH.
nosOriensexalto
Visitavit
Luc,I, 78.
PARIS
ALPHONSE LEMERRE, ÉDITEUR
CHOISEUL
PASSAGE
MDCCCXCV
STELLAE MATVTINAE
AFrédéric
PLESSIS.
I
I
LA CROIX
A M.l'abbéACKERMANN.
KHNOUM
BOUCHOR.
AMaurice
LE PAYSAGE DE GISEH
MYCÉRINOS
MENKEARA
A LéonDIERX.
I.
10
LA TOMBE DE TI
MEMPHIS
ALouisLECARDONNEL
SAQQARAH
MEMPHIS
AJOSÉ DEHEREDIA.
MARIA
CHANT DE PLEUREUSES
SURLE NIL
LA MOMIE
A Fernand
ENGERAND
I
II
HARMAKHIS
A OscarHAVARD.
THERMONTHIS
A ESTÈVE.
PAROLES DE THERMONTHIS
A Gaston
RAGEOT.
INQUIÉTUDE DE THERMONTHIS
AH.DEREGNIER.
CHANT DU SACRIFICE
MEROE
AU PASSANT DU KAIRE
AuComte
G.DECONTADES.
LA REVANCHE DE CARTHAGE
A PierreDENOLHAC.
TABERNACLES DE SEM
29
LE SEIN D'ABRAM
A PaulHAREL.
2
30
ABRAM
KERINOU.
AFleuriot
L'ANCIENNE JÉRUSALEM
LE TEMPLE DE JÉRUSALEM
I
VUELOINTAINE
AuR. P. HELLO.
II
L'ARRIVÉE
III
VUE DE PRÈS
LE MONT SAINT-MICHEL
A PierreDENOLHAC.
SOUVENIR D'HOMÈRE
39
D'APRÈSL'ODYSSÉE
A Diogène
MAILLART.
A Anatole
FRANCE.
3.
46
HOMMAGE DE L'AUBE
AAnatole
FRANCK.
LA SOURCE
AuR.P. CONSTANT
genus
Nymphtoe undeest.
amnibus
VIRGILE.
Lorsque le Tibre, roi des eaux occidentales,
Mêlait sa jaune arène aux flots Tyrrhéniens,
Quand l'Eridan tombait des monts helvétiens,
Virgile, au large azur de tes plaines natales !
Curieux de la cause en ton désir d'enfant,
Tu cherchais le secret de leurs ondes naissantes
Et d'où pouvait sortir le Mincius dormant;
Sur les berges en fleur des rives décroissantes
Tu poursuivais la source, et tu trouvas parfois,
Au plus épais de l'ombre, au plus profond du bois,
Souriante et le front étoile de pervenche,
La vierge dans sa main tenant l'urne qui penche.
NAZARETH
A Octave
FAGLIN.
AuR. P. BAILLY.
quiddenocte
Custos, ?
EZECHIAS
ESAIAS
Il n'importe que l'ombre expire, ou que l'aurore
Pour les vivants ingrats s'épanouisse encore ;
Pour ceux qui sont couchés dans les monuments sourds
Les matins sont passés, et c'est la nuit toujours,
Et les heures ont beau mener leur char de gloire
A travers les ardeurs du midi radieux,
Les morts n'ont pas souci de leur cours glorieux,
Et tout le jour pour eux, c'est la nuit froide et noire.
Depuis le vieil Adam pas un ne s'est levé
Et pourtant quelques-uns sont morts dans l'espérance!
Beaucoup ont ennobli leur suprême souffrance
D'un cri victorieux de leur coeur envolé
Ou gravé, comme Job, héros de l'Idumée,
De leur stylet de fer sur les rochers en deuil :
« Tu revivras, ô chair, que les vers du cercueil,
Tes frères et tes soeurs, ont en vain consommée; »
La foi, paix de leurs coeurs, fit la paix de leurs os,
Mais l'ennui les a pris de l'éternel repos.
EZECHIAS
Sentinelle des nuits antiques, parle encore :
Dis, si des habitants du pays inconnu
54
Dans le calme des nuits, dans l'éclat de l'aurore,
Sur la terre natale aucun n'est revenu.
ESAIAS
EZECHIAS
ESAIAS
Je vois
Cette ombre ambitieuse envahir à la fois
Les morts et les vivants : la veilleuse nocturne,
La mourante raison vacille dans son urne,
Seb, Osiris, Ammon, Bel. Oannès, Istar,
Ces démons l'un sur l'autre entassés par les races,
Usurpent les encens de Tyr jusqu'à Cédar,
Où donc est Dieu ? Leur ombre a recouvert ses traces
Et c'est de rayons noirs que vont semant leurs cours
Ces astres, par le mage adorés sur les tours,
Car la tombe est aux morts, aux vivants l'ignorance.
EZECHIAS
Quoi de neuf sous les nuits ?
ESAIAS
Satan que rien n'endort
Par la voix du prophète évoqué dans Endor,
Jette à Saül déchu le mot « désespérance » !...
Mais elle n'eût jamais de ces cris décevants
La voix, fraîche toujours, des immortels vivants.
Révélateur promis garde-nous de ces pièges
Où, puissant de sa ruse et de ses sortilèges,
56
EZECHIAS
ESAIAS
— Encore? Eh bien,
« Jésus ! que veux-tu que je fasse !
— Mais un Dieu
vengera ce forfait odieux :
Voir le juste périr et détourner la face !
— La faveur des César est la faveur des dieux. »
4
62
AFleuriot
KERINOU.
A PierreDENOLUAC.
TITUSET L'ECCEHOMO
4-
66
COURTISANE JUIVE
ACamille
GABIAT.
ALéonPATRIE.
LA !
ÉCRITSUR L'ESPLANADE
DU HARAM
AM.l'abbéGAUCHER.
II
A Maurice
FAUCON.
ÉPOQUE FÉODALE
73
LE THEATRE DE JUBLAINS
AubaronAm.delaBARRE
DENANTEUIL.
GLOIRE DU CERF
A MarcLEGRAND.
MORT DU CERF
PITIE DE LA DAME
A Mme deCONTADES.
lacomtesse
RÉVEIL DE LA DAME
Sequuntur
inania
saepe
Cervorum
simulacra dedita
quasi
fugoe cernant.
LUCRÈCE.
CHASSE AU CYGNE
AGaston
LATOUCHE.
S.
82
DIVERTISSEMENT CYNÉGÉTIQUE
LE SAPIN TOMBÉ
UNE RENCONTRE
A L. DIERX.
LE PUITS BYZANTIN
OMBRE ET SILENCE
LE ROCHER DE CAROLLE
INDIFFERENCE
A Frédéric
PLESSIS.
— Je suis,
répond la nef avec placidité,
L'image de la tombe et de l'éternité
Et je ne sais parler ni du temps ni de l'heure...
94
SECURITE
ACEDIA
... tristifummo
dolce,chedalSols'allegra,
Nell'aere
Portandodentro accidioso
fumo.
Inf.VII.
DANTE,
DANS LA NEF
LE CHATEAU DE TALVAS
ALOUIS
BLANCHETIERE.
LE DONJON
A Auguste
CANIVET.
Chambois,
1895.
105
Fulbertus episcopus
Carnotensis,in
scripturisdivinis
cruditissimus,
etinsecu-
larium omnium
disciplinis,
litterarum suo
temporedoctorumdoctissimus
; poeta
clarus
et dialecticus multis
subtilissimus, annis
scoloe
publicoe
praesidens,
plurimosdoctis-
simos auditoresenutrivil.
Vitaquoque
sanctissimus,
multis
legitur
miraculiscorus-
casse.
TRITHEMIUS.
LA CITE
A HenriONFROY.
Caen,Saint-Etienne-le-Vieux,
1894.
7
110
LE LOGIS
AJ. Germain Lacour.
obsoleta
silentis
O vetustatis !
oblivio
Au recueillement de la terre
Le silence du coloris
Se mariait dans un mystère,
Quand tout à coup je découvris
LeChesnay, 1894.
Janvier
114
LES BLASONS
AHenriONFROY.
L'ALCHIMISTE
AJulesAPPERT.
Mais nous, levons les yeux plus haut que la tour même,
Vers l'espace sans fin qu'argente au loin la nuit ;
Ce n'est pas sur la terre, astre fragile et blême,
Qu'il faut chercher le grand mystère qui nous fuit !
Etoile, tu nous dis que là haut s'élabore
Un grand oeuvre, aux creusets d'un puissant Travailleur,
120
APierredeNOLHAC.
LES MARGELLES
AMaurice
FAUCON.
TERREUR
DE CAEN
ÉCRITDEVANTSAINT-ÉTIENNE
CHARTRES
Al'abbéGOUSSARD.
L'EGLISE OGIVALE
A Mme
la baronne
deSte-Preuve.
L'EPOPEE DU TEMPLE
A FRANÇOIS
COPPÉE.
A DU BARTAS
AU BLESSE D'IVRY
CHANTS DE VAUCOULEURS
143
LE MONT ARCHANGÉLIQUE
Montem
sanctum tuum
ettabernacula
tua.
Ps. 42.
L'Océan montueux près du mont Saint-Michel
M'a parlé d'Orient parfois dans les vêprées,
O Sion ! j'ai rêvé de voir loin de ton ciel
Tes monts de sable rose et tes portes dorées.
A EmileLEMAOUT.
A JEANNE D'ARC
9
146
LA VIERGE PACIFIQUE
A PaulVIOLET.
LE BRUIT DU TORRENT
TEMPS PRESENT
Lefleuvedes joursroule,efface
Toutce que l'hommeméditait.
Quepeut sur l'étrangerqui passe
Unpauvrelivrequi se tait ?
A LéonPATRIE.
gloriatua.
quumapparuerit
Satiabor
DAVID.
LES ARCHIVES
A Reynold
DESCOUTURES.
FUNERAILLES INDIGENTES
AV.HUGO.
1885.
153
L'EX-VOTO
AFrançoisCOPPÉE.
visaduci
Ingeus patriae
trepidantis
imago.
LUCAIN.
Or l'amiral Courbet, plein d'un regret amer,
Inutile vainqueur, s'éloigne sur la mer;
L'immensité l'entoure, et la mélancolie
Du monde reculé qu'il fuit et qu'il oublie,
Et qu'il voudrait quitter pour des astres meilleurs
Lui parvient dans la brise et le transporte ailleurs.
Alors la vision que ce croyant contemple,
C'est le mont des martyrs, au nord de la cité,
Elevant la blancheur et la sérénité,
D'un front marmoréen couronné par un temple :
« Portez, » dit-il, « portez vers ces parvis sacrés
Mon épée impuissante, indignée et trahie;
Elle n'a pu sauver les Français massacrés :
Qu'elle devance au moins mes os dans ma patrie ! »
9-
154
deBONNIÈRES.
ARobert
LES EXPULSES
LAMY.
AEtienne
O déshérités de la France,
Consolez-vous dans l'espérance
D'un pays encore meilleur,
Où, consolés comme en un rêve,
Vous apprendrez comme s'achève
En félicité la douleur.
LE VILLAGE ABANDONNE
AGustave
LEVAVASSEUR.
Si touslesbrasperdus
venaient auxgerbes
s'offrir !
Sileflotdesabsents
remontait
leschemins!
PaulHAREL.
LES PRESAGES
QUINZEANSVUSDANSUN SONGE
1881-1895
AuBranLouisRAMBAUD.
10
170
APRES L'ÉPREUVE
L'INERRANCE
DEMUN.
AuCteALBERT
10.
175
PREDICATION DE LA RUINE
Lapides
clambunt.
STYLE FUTUR
AL. PARENT.
L'EGLISE IMPALPABLE
II
182
LE BEFFROI
AuneSoeur.
IMPRESSION
AHenriCHEGUILLAUME.
AMme
la Ctesse
D'ANGELY
SERILLAC.
A Frédéric
BEAUDOUIN.
NÉNUPHARS
A Ch.MARTEL.
IMPATIENCE
II.
190
A LA NATURE
L'ART SACRIFICATEUR
A l'ARÉOPAGITE.
ENVOI
erantpedes
Stantes inatriistuis,Jerusalem.
nostri
A Daniel DELAGARDE.
BEDJÉ
LA RELIQUE
Alamémoire
d'Ernest
MILLET.
L'ELUE
A la mémoire
deHenriette tuéeen
Bonnevie,
la chapelle
défendant deChateauvillain.
DU BARTAS
LACORDAIRE
12.
210
AU TROUVÈRE ALEXANDRE
A ALEXANDRE DE BERNAY
FLEUR D'ORIENT
A MlleL.
A MADEMOISELLE L...
Nullen'asilongtemps danslacité
porté
Cette nomme
fragilefleurqu'on labeauté.
A Mme
HONORAT.
Vivez
prospères,
Etgardez
purslagloire
etlesangdevospères.
CAZALIS.
L'ÉPOUX
S'il n'est pas à l'amour de lointain sur la terre,
Et si son vol immense ignore la frontière,
Si les monts et les eaux n'ont jamais arrêté
Le tendre élan du coeur vers le coeur emporté,
Venez où la douceur d'un ciel clair vous devance,
Je vous donne ma terre illustre, ma Provence.
221
L'ÉPOUSÉE
Je vous donne les fleurs des paradis normands,
L'ombre que le poirier tisse à mes jeunes ans ;
Je vous donne au printemps les floraisons écloses
Autour des pommiers noirs, ronds en coupoles roses;
Je vous donne le fruit automnal du verger.
L'ÉPOUX
Les fleurs de nos lilas et de nos orangers
Embaumeront vos jours de leurs parfums légers;
A vous l'enchaînement si bleu de nos montagnes
Que frange à leurs sommets le parasol des pins,
L'arche des aqueducs à travers les campagnes
Cheminant de la grève aux contreforts alpins,
Les flots au pied des monts, la neige au haut des cimes !
L'ÉPOUSÉE
A vous nos chemins creux, leurs ombres sont intimes.
L'ÉPOUX
Moi je vous offrirai l'ombre de l'olivier ;
Cet arbre n'est jamais stérile et solitaire...
Près de lui ses rejets prennent racine en terre :
Nous en couronnerons la table et le foyer.
222
L'ÉPOUSÉE
A vous soient mes parents, mon frère aîné, ma mère;
Mon absence pour eux sera sans doute amère ;
Je devrais leur rester pour tant de biens reçus,
Pour tant de soins aussi que je n'ai jamais sus ;
Sans doute ils vont sentir de cruelles alarmes.
Faut-il que ma corbeille ait pour perles leurs larmes ?
Mais ces pleurs, gardez-les dans les écrins du coeur!
L'ÉPOUX
Ma famille est la vôtre, et votre amour vainqueur
A reçu de ma mère une blanche couronne.
L'ÉPOUSÉE
Auprès d'elle, que sont mes biens? Je vous les donne.
L'ÉPOUX
Je vous donne les fruits des ans laborieux,
Et ce trésor aussi que, longtemps à l'avance,
J'ai gardé d'un sang pur hérité des aïeux!
L'ÉPOUSÉE
Ah ! souffrez qu'en vos dons ma beauté vous devance,
Mes pères me l'ont faite et vous la tiendrez d'eux.
223
L'ÉPOUX
L'ÉPOUSÉE
L'ÉPOUX
L'ÉPOUSÉE
L'ÉPOUX
BULLE DE SAVON
Acelleducoeur.
13-
226
ARMOIRIES NUPTIALES
AMme la Vtesse
DU MOTEY.
« d'urgent
à l'oranger
desinople,
fruitéd'or.»
AMOUR VEILLEUR
AFernand
ENGERAND.
AMOUR ET AMITIE
c'estla veilleuse
L'amitié
LouisRAMBAUD.
et à sa fiancée.
LOUVEL
A Georges
De la merveille de n'avoir,
En deux corps, qu'un esprit, qu'une âme,
A deux, le même sort que trame
La constance d'un seul vouloir,
Myosotis de l'amitié,
Qui scintille dans l'herbe grêle,
Tigelle débile, azur frêle,
Ne te flétris pas par pitié,
LA FEMME
A Adrien
REMACLE.
L'EPEE A LA MER
AuBronLouisRAMBAUD.
DERNIER AMOUR
Sonnet liminaire I
I. — DANSL'AUBE
DESJOURS
La Croix 5
Khnoum 6
Le paysagede Giseh 7
Mycérinos 8
Sur la grande pyramide 9
La tombe de Ti 10
Saqqarah. 11
Chant de pleureuses 12
La momie 14
Harmakhis 16
Thermonthis 17
Paroles de Thermonthis 18
Inquiétude de Thermonthis 19
Chant du sacrifice 20
Méroé 22
Au passantdu Kaire. 23
La revanchede Cartilage 24
236
II. — TABERNACLES
DESEM
Le sein d'Abram 29
Abram 30
L'ancienneJérusalem 31
Le temple de Jérusalem 32
Lemont Saint-Michel 35
III, — SOUVENIR
D'HOMÈRE
IV. — AUFAITEDESTEMPS
V. — AUSONDESTROMPES
FÉODALE
ÉPOQUE
Les cheminscreux 73
Le théâtre de Jublains 76
Gloire du cerf 77
Mort du cerf. 78
Pitié de la dame 79
Réveilde la dame 80
Chasse au cygne 81
Divertissementcynégétique 82
Le sapintombé 83
Une rencontre 84
VI. — LESASSISES
DEPIERRE
ROMANE
ÉPOQUE
Le puits byzantin 87
Ombre et silence 90
Le rocher de Carolle 91
Indifférence 93
Sécurité 94
Acédia 95
Dans la nef. 96
Le châteaude Talvas 97
Le donjon 103
Le pilier de saint Fulbert 105
La cité 109
Le logis 110
Lesblasons 114
L'alchimiste 115
238
VII — AUCHANT
DESORGUES
VIII.— CHANTS
DEVAUCOULEURS
IX. — LEBRUITDUTORRENT
CONTEMPORAINE
ÉPOQUE
X. — BRISESDUTEMPSFUTUR
XI. — POURLESHEUREUX
Relique 203
L'élue 205
Du Bartas 208
Lacordaire 209
Au trouvèreAlexandre 210
Au même 211
Fleurd'Orient 212
A MlleL 213
A deux qui s'aimèrent sous les palmiers 214
Épithalamede Normandieet de Provence 220
Bulle de savon 224
Armoiriesnuptiales 226
Amour veilleur 227
Amour et amitié 228
La femme 232
L'épée à la mer 233
Dernier amour 234
—Imprimerie
Chartres. rueFulbert.
DURAND,
ÉDITEUR,
A. LEMERRE, CHOISEUL
23-31,PASSAGE
POÈTES CONTEMPORAINS
— IMPRIMERIE
CHARTRES. DURAND.