Antonioli. Lévinas Et Blanchot, Trace, Énigme Et Illéité
Antonioli. Lévinas Et Blanchot, Trace, Énigme Et Illéité
Antonioli. Lévinas Et Blanchot, Trace, Énigme Et Illéité
Presses
universitaires
deParis
Ouest
EmmanuelLvinasMauriceBlanchot,penserla
diffrence|ricHoppenot,AlainMilon
EmmanuelLvinas
etMaurice
Blanchot:trace,
nigmeetillit
http://books.openedition.org/pupo/897 1/18
30/11/2016 EmmanuelLvinasMauriceBlanchot,penserladiffrenceEmmanuelLvinasetMauriceBlanchot:trace,nigmeetillitPressesuniversitair
ManolaAntonioli
p.319332
Texteintgral
Aprslamortduncertaindieuhabitantlesarrire
mondes,lasubstitutiondelotagedcouvrelatrace
critureimprononabledecequi,toujoursdj
passtoujoursilnentredansaucunprsent
etquineconviennentpluslesnomsdsignantdes
tres,nilesverbesorsonneleuressencemais
qui,Pronom,marquedesonsceautoutcequipeut
porterunnom.
EmmanuelL,Autrementqutreouaudelde
lessence.
LAutre:laprsencedelhommeencecimmeque
celuicimanquetoujourssaprsence,commeil
manquesonlieu.
MauriceB,LEntretieninfini.
1 L de Lvinas et celle de
Blanchot nat de l amiti , dans le sens que Blanchot
donneceterme,quiimpliqueenmmetempsuneidede
distance et une exigence de proximit. Malgr le dsir
rciproquederapprochementdesdeuxamis,ilsagitde
deux expriences de pense et dcriture qui restent
distinctesethtrognes.Laproximit,indniable,entreces
deuxauteursneserduitpasuncertainnombredethmes
communs (le il y a, le langage, autrui, etc.), mais sinscrit
plutt dans la complexit dun questionnement
philosophique partag et dans une communaut de style et
dcriture.
2 Je voudrais ici interroger les figures de la trace, de
lnigmeetdelillitquiapparaissentprincipalementdans
deuxessaisdeLvinas(Latracedelautreetnigmeet
phnomne1 ) et sous des modalits diffrentes mais
comparablesdansLEspacelittraire,LEntretieninfiniet
LePasaudeldeBlanchot.
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3 Dansleprolongementduquestionnementthiqueinaugur
par Totalit et Infini2, Lvinas analyse dans La trace de
lautre et nigme et phnomne les modalits de
signifiance du visage, travers les notions de trace,
diachronie,nigme.TotalitetInfinidcrivaitdjlanon
phnomnalitduvisage,dontlasignifiancenestpascelle
dusigne(mmesiLvinasnexplicitaitpassadfinition
du signe). Limpossibilit de rduire le visage une simple
fonction smiotique, l abscondit et le secret du
visageetlepassabsoludanslequelilsesituedeviennentle
thmeprincipaldecesdeuxessais:
Quelle peut ds lors tre cette relation avec une absence
radicalementsoustraiteaudvoilementetladissimulation
et quelle est cette absence rendant la visitation possible,
mais ne se rduisant pas labscondit, puisque cette
absencecomporteunesignifiance,maisunesignifiancedans
laquellelAutreneseconvertitpasauMme3?
4 Levisagetrahituneabsence(unAbsent)quilnervlepas,
quil nindique pas. La signifiance du visage est lie la
dimension temporelle dun pass absolument rvolu .
Cettenigmatiquesignifianceestcelledelatrace.Onassiste
doncunchangementdeperspectiveimportantdelapense
de Lvinas : ce qui dans Totalit et Infini pouvait encore
releverdelaprsence(leprsentdelaparoleetlaprsence
du visage dans lexpression) relve maintenant dun pass
immmorialetdelatraceduneabsence.Lerapportausens
danslarencontreduvisageestdsormaisconucommeun
rapport oblique, latral : La relation entre signifi et
signification est dans la trace non pas corrlation, mais
lirrectitudemme[...]lasignificationdelatracenousplace
dansunerelationlatrale,inconvertibleenrectitude(cequi
estinconcevabledanslordredudvoilementetdeltre)et
quirpondunpassirrversible4.
5 Si la dimension ouverte par le visage est une dimension
personnelle,ellenestjamaisdelordredelaproximitetde
lintimit dune relation JeTu. La rencontre du visage est
rencontrelatroisimepersonne,rencontredunetroisime
personne travers le prochain, rencontre dun Il . La
traceestdonctoujourssituedansladimensiondelillit :
La suprme prsence du visage est insparable de cette
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suprmeetirrversibleabsencequifondelminencemme
de la visitation5. Les mots Transcendant, Il, Absent,
gardenttoujours,commeAutrui,unemajusculequinepeut
que renvoyer en dernire instance un Autre divin, ou au
moinssatraceinscritedanslevisagedelautre.
6 Lvinasaffirmequelasignifiancedelatracesesitueaudel
delaphnomnologie(lasignifiancedelatraceconsiste
signifiersansfaireapparatre),maisilessaiecependantde
sen approcher partir de la phnomnologie quelle
interrompt.Latracenestjamaisunsignecommeunautre,
maisellepeuttreprisepourunsigne:ledtectiveexamine
comme signe ce qui marque luvre volontaire ou
involontaireducriminel,lechasseursuitlestracesdugibier,
lhistorien tudie les vestiges des civilisations anciennes.
Quandonlitlestracescommedessignesordinaires,toutse
range en un monde organis, o chaque chose rvle
lautreouservleenfonctiondelle6.Mais,mmedanssa
dimensiondesigneordinaire,latraceaencoreuncaractre
exceptionnel en effet, elle signifie en dehors de toute
intentiondefairesigneetendehorsdetoutprojetdontelle
serait la vise7 . La trace drange un ordre prexistant,
sinscrit dans un pass irrparable et ineffaable qui ne
rpond aucun projet, comme les traces laisses par le
criminel sur le lieu du crime. Cependant, Lvinas reconnat
que, dans ce sens, tout signe a une dimension de trace : le
signe signifie, mais il est aussi la trace du passage de celui
qui la dlivr. Lexemple de cette dimension de trace qui
subsiste en tout signe est choisi dans le domaine de
lcriture,domainedelatraceparexcellence:celuiquicrit
unelettrelaissesatracedanssoncritureetsonstyle.Cette
signifiancedelatracepeutnouveautretudiecommeun
signe ordinaire : un graphologue ou un psychanalyste
pourront ainsi interprter ces traces pour dchiffrer les
intentionsoulapersonnalitdelauteurdelalettre,fairede
la comprhension dAutrui et de ses traces une
hermneutique et une exgse. Mais, pour Lvinas, la trace
authentiqueouauthentiquementcomprise,lavraietrace
delAutre,nesignifie,nervleetnedvoilerien,elleestle
tmoignagemuetdunpassabsolumentrvolu.
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7 PuisqueLvinasnedfinitjamaisprcismentlesdiffrentes
acceptionsdumotsignedanscetexte,onpourraitsuivre
ses indications initiales et resituer la signifiance de la trace
danslespacephnomnologique,partirdelapremiredes
RechercheslogiquesdeHusserletlaidedelalecturedece
textedveloppeparDerridadansLaVoixetlephnomne8.
8 Husserl commence par dnoncer lambigut du mot
signe (Zeichen), qui rassemble dune part le concept
d expression (Ausdruck) et de lautre celui d indice
(Anzeichen). Selon Husserl, lindice ne transporte rien qui
soituneBedeutung,termequeDerridaproposedetraduire
parvouloirdire.linverse,lexpressionestdotedune
intentionnalit vivante. Ces deux dimensions du signe (le
vouloirdire de lexpression et lindication) coexistent
toujours, mais Husserl considre quil est toujours possible
de les distinguer de droit et que cette distinction est une
distinction dessence. Il procde ainsi une progressive
rductiondeladimensiondindicationquiaccompagne
toute expression, puisque lindication ouvre la dimension
dune fragilit et dune prcarit du sens, introduit un
manque de ncessit et dvidence incompatible avec le
projetphnomnologique.LelienentreunlmentAetun
lment B dans lexprience, le renvoi de lindice (par
exemple le lien entre les canaux de Mars et la prsence
dtresintelligents,lamarquelacraiesuruneardoiseetla
chosequelleindique)nestjamaisdelordredesvritsde
raison mais de celui des vrits de fait , de la
contingence.Lindicationintroduitunrisqueradicalpourle
sens et la comprhension, une distance entre le sujet et
lobjetindiqu,entrelesujetetluimme.Silexpressionest
uneextriorisationvolontaire,dcide,conscientedepart
en part, intentionnelle9 , dans lindication la volont du
sujet connaissant rencontre les limites de la rsistance
physique du signe et dun indiqu qui existe de faon
extrieure lunivers de significations matrises qui fonde
laconnaissance.
9 La possibilit dune expression comme vouloirdire est
lieladimensionmtaphysiqueduneconsciencetoujours
prsenteellemme:cequiveutdire,cequelevouloir
dire veut dire, la Bedeutung, est rserv qui parle et qui
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sexprimaitdanslevisageetdanslediscours,olavoixtait
lelieuduprsentvivantetdelaprsence,alorsquelcriture
semblait se situer entirement du ct de la mort et de
labsencedesens.Danscecourtessaionassisteparcontre
llaboration dune premire tape vers la complexit de
lentrelacs entre le Dire (visage, passivit, diachronie) et le
Dit(criture,synchronie,histoire)quiservleen1974dans
Autrement qutre ou audel de lessence12. Dans cet
ouvrage le Dire et le Dit ne sopposent plus simplement
(commelaparolevivanteetlcrituremorteetvidedesens)
mais sinscrivent dans une stratgie complexe qui vise
ouvrirunedchiruredanslatramecompactedutextedela
philosophieoccidentale,deltreetduLogosquilepenseet
le dit13. Paradoxalement, la tentative datteindre le Dire au
del du Dit doit se traduire dans une extrme tension de
lcriture, dans une extrme matrise du Dit, tmoignant
ainsi du lien essentiel qui existe entre les deux dimensions
du langage. Lvinas abandonne dans Autrement qutre
toute apparence de progression linaire et choisit un lent
mouvement de retour et de reprise de lcriture, de
rptition sans redondance, qui chappe la prise de la
pense conceptuelle et qui rend illusoire toute tentative
dexposition linaire ou de rcit de la rencontre de lAutre.
Peuttre estce surtout cette criture insaisissable et
incessante qui rapproche le plus Lvinas de Blanchot, ce
jeu du dplacement sans place, du redoublement sans
doublement,delaritrationsansrptition14,quidevient
chez Blanchot lenjeu mme de son questionnement du
langageetdelalittrature.
13 Le rapport dindication (et donc celui lcriture) pourrait
paratre en mesure dunifier les diverses dimensions de la
trace:lerapportautrui,sonretraitetsonsecret,lepass
immmorial do lAutre provient, le pass et le passage de
celuiquisesttoujoursdjretir.EtpourtantLvinascrit
que si signifier quivalait indiquer, le visage serait
insignifiant15.
14 La trace authentique est pour lui toujours irrductible au
signe, mme dans sa dimension dindice, puisque la trace
introduit une dimension infinie entre le visage dautrui et
lAbsentauquelilrenvoie.
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19 Une pense de lnigme est trs prsente galement dans
lcrituredeMauriceBlanchot,jusqudevenirundesmots
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clsdeLEntretieninfini.DanslEsthtiquedeHegel(auteur
trs souvent interrog par Blanchot) lnigme soppose au
symbolecausedelaclartdesasignification:
Maislnigmefaitpartiedusymbolismeconscientetdiffre
du symbole proprement dit par le fait que celui qui pose
lnigme en connat bien et dune faon trs claire la
signification et quil a choisi intentionnellement la forme
destine la masquer et travers laquelle il sagit de la
deviner.Lessymbolesproprementditsrestenttoujourssans
solution, tandis que lnigme porte en ellemme sa
solution21.
LercitdeKafkametenjeuleneutre:latroisimepersonne
nest pas simplement une personne, ni le signe de
limpersonnalitdunarrateur.Leilneprendpaslaplace
dunsujet,maisilmodifie,fragmentationmobile,cequon
entend par place : lieu fixe unique ou dtermin par son
emplacement30 . Le il est un dfaut de place, et en
mme temps une place en excs, lieu dune atopie et dune
hypertopie.
27 La rflexion de Blanchot sur le statut des pronoms dans la
narration nest pas simplement une thorie critique du
roman,maisunepropositionphilosophiquequiconcernele
statut de lidentit. Si pour Lvinas la trace relve toujours
dupersonnel(Ilesttroisimepersonne31),leildont
parle Blanchot est impersonnel, le il du il y a ou du
neutre, la forme nonpersonnelle de la flexion verbale.
Lexprience de lcrivain et le il du roman branlent
lide mme dun sujet comme substance et comme
personne.Ltrangeautonomiedurcitlittrairenouslaisse
pressentirquecequiseracontenestracontparpersonne.
Lespersonnages,aulieudtredesporteursdeparoleoudes
sujets daction sont dans un rapport de nonidentification
avec euxmmes. Ils perdent le pouvoir de dire je et de
matriser ce qui leur arrive et ses consquences. Ce il
impersonnel et anonyme devient lun des centres du
questionnement du Pas audel32 . Le il dtient une
pluralit qui ne se rduit aucune marque extrieure de
pluralit:ilsdsigneraitencoreunensembleanalysable,
par consquent maniable33 . Dans lespace ouvert par le
il , cest le je qui accepte de navoir quune identit
de fonction ou de fiction . La fiction littraire et la
narrationnesontdoncjamaistrsloignesdelapenseet
de lcriture qui essaient dinterroger cette dimension
impersonnelle : lidentit fictionnelle dun je qui se sait
dsormais illusoire demande tre raconte. Le il est
donc le lieu dun risque, dun danger constant au bord du
langage, la marque dun changement de sens qui
surviendraitlintrieurdetoutmoiilestlenom
anonymedudehorsquihabitelededansdusujet.
28 SileilchappelaloiduMmequirgitlidentit,ilne
peutcependantdevenirsimplementlautreentantquautre
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ilannonceetpermetlachance,lala,lehasard,lejeu,ilest
la condition impossible de tout vnement et de toute
rencontre. Un peuttre infini ddit de lintrieur
lcrituredeBlanchot.
L
31 Pour Blanchot, la voix narrative porte le neutre : elle
parletoujoursdistance,sansrienrvlerniriencacher,se
soustrayant lopposition visible/invisible, lumire/ombre.
Lvinas croit reconnatre plusieurs reprises38 dans le
neutre de Blanchot la mme impersonnalit quil attribue
ltreheideggerien,maisleneutreblanchotienestpluttune
dimension anonyme du langage qui tend suspendre le
rapportltre,cestlimpensablequidoittrepens,proche
decequiestnonhumaindanslhumain,delafatigue,dela
mort,delasouffrance,delanuit.Lesanalysesdelilya,de
la mort, de lexprience impossible de la fatigue et de la
souffrancedanslestextesdesannesquarantedeLvinas39
exploraientcemmeterritoiredelexprience,maislesdeux
itinraires de pense se sparent partir du moment o
Lvinas humanise la mort travers la fcondit et retrouve
unespacepersonneletunevoiedvasiondanslthique.
32 Limpersonnel chez Blanchot nest pas simplement un
attribut de ltre et de la pense ontologique quil faudrait
aspirersurmonterdanslthique,maiscequiesttoujours
luvre dans la rencontre de lautre, dans lexprience
littraire,dansleschangeslinguistiques.
33 Unhumanismedelautrehommeseraittrsimprobable
dans la perspective de Blanchot, puisque la dimension
humaine et personnelle du langage ctoie toujours le non
humain et limpersonnel. Lillit et lnigme constituent
ainsi une dimension du langage (mise en uvre dans la
littrature)avantdtrelelieudunethique.Cestpourquoi
cette pense doit devenir rcit, roman, fiction, doit trouver
dans la littrature son temps sans origine et son espace
impossible. Chez Blanchot le statut du sujet est pens
jusqu ses limites, jusqu une dimension nomade et
anonyme.
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Notes
1.Latracedelautre(1963)etnigmeetphnomne(1965),in
EndcouvrantlexistenceavecHusserletHeidegger(1949),Paris,Vrin,
1967,p.187202etp.203216.
2.LEmmanuel,TotalitetInfini(1961),Paris,LeLivredepoche,
Biblio/Essais.
3.Latracedelautre,op.cit.,p.197.
4.Ibid.,p.198.
5.Ibid.,p.199.
6.Ibid.,p.199.
7.Ibid.,p.199.
8.DJacques,LaVoixetlephnomne,Paris,PUF,1967.
9.Ibid.,p.35.
10.Ibid.,p.36.
11.Ibid.,p.40.
12. L Emmanuel, Autrement qutre ou audel de lessence,
Paris,LeLivredepoche,Biblio/Essais,1974.
13. ce sujet, je renvoie la lecture de Paul R dans Autrement,
Paris,PUF,1997.
14.BMaurice,LEntretieninfini,Paris,Gallimard,1969,p.497.
15.Latracedelautre,op.cit.,p.197198.
16.Ibid.,p.201.
17.Ibid.,p.202.
18.VoircesujetD Jacques, Violence et mtaphysique. Essai
surlapensedEmmanuelLvinas,inLcritureetladiffrence,Paris,
Seuil,1967,p.117128.
19.nigmeetphnomne,op.cit.,p.210.
20.Ibid.,p.209.
http://books.openedition.org/pupo/897 16/18
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Auteur
ManolaAntonioli
ManolaA
Docteur en philosophie et sciences sociales lEHESS, ancienne
responsable de sminaire au Collge International de Philosophie
(Paris).Elleapubli:LcrituredeMauriceBlanchot.Fictionetthorie
(Kim, 1999) Deleuze et lhistoire de la philosophie (Kim, 1999) et
http://books.openedition.org/pupo/897 17/18
30/11/2016 EmmanuelLvinasMauriceBlanchot,penserladiffrenceEmmanuelLvinasetMauriceBlanchot:trace,nigmeetillitPressesuniversitair
PressesuniversitairesdeParisOuest,2008
Conditionsdutilisation:http://www.openedition.org/6540
Rfrencelectroniqueduchapitre
ANTONIOLI,Manola.EmmanuelLvinasetMauriceBlanchot:trace,
nigme et illit In : Emmanuel LvinasMaurice Blanchot, penser la
diffrence [en ligne]. Nanterre : Presses universitaires de Paris Ouest,
2008 (gnr le 30 novembre 2016). Disponible sur Internet :
<http://books.openedition.org/pupo/897>. ISBN : 9782821826885.
DOI:10.4000/books.pupo.897.
Rfrencelectroniquedulivre
HOPPENOT, ric (dir.) MILON, Alain (dir.). Emmanuel Lvinas
Maurice Blanchot, penser la diffrence. Nouvelle dition [en ligne].
Nanterre : Presses universitaires de Paris Ouest, 2008 (gnr le 30
novembre 2016). Disponible sur Internet :
<http://books.openedition.org/pupo/845>. ISBN : 9782821826885.
DOI:10.4000/books.pupo.845.
CompatibleavecZotero
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