Risques Microbiologiques Alimentaires
Risques Microbiologiques Alimentaires
Risques Microbiologiques Alimentaires
l’agroalimentaire afin de leur apporter les connaissances et savoir-faire indispensables à leur pratique professionnelle.
S&T SCIENCES & TECHNIQUES
AA AGROALIMENTAIRES
Elle fait appel à de nombreux experts pour proposer des ouvrages de référence et des guides pratiques centrés sur les
AA
grandes filières et les principaux domaines de recherche de l’agroalimentaire. Chaque ouvrage offre une synthèse complète
d’un sujet présentant les dernières innovations et est illustré de nombreux exemples et cas pratiques.
La collection est dirigée par Marie-Noëlle Bellon-Fontaine, professeur à AgroParisTech.
Risques
sant par la transformation, sont indis- tances officielles) ainsi qu’aux ensei-
pensables. gnants-chercheurs et aux étudiants dans
Cet ouvrage de référence traite des dan- le domaine de la microbiologie appli-
gers microbiologiques alimentaires quée à l’agroalimentaire et des risques
microbiologiques
majeurs (microorganismes infectieux ou sanitaires.
toxines d’origine microbienne) et des
risques associés pour l’Homme.
Illustré de nombreux schémas et tableaux
alimentaires
de synthèse, il fait un point complet sur
les notions fondamentales de micro-
MURIELLE NAÏTALI est maître de conférences
biologie générale, de physiologie en microbiologie à AgroParisTech,
microbienne et de modélisation, en département Sciences et procédés des
les appliquant aux microorganismes aliments et bioproduits (Massy).
pathogènes des aliments et en y inté-
grant les dernières avancées. Il présente LAURENT GUILLIER est chargé de projets
ensuite les outils de gestion du risque recherche au Laboratoire de sécurité des
microbiologique mis en place au niveau aliments de l’Anses (Maisons-Alfort).
européen et français. Enfin, les micro- FLORENCE DUBOIS-BRISSONNET est
organismes avérés ou émergents d’inté- professeur de microbiologie et sécurité
rêt font l’objet de monographies claires
editions.lavoisier.fr
-:HSMHOD=UWVU[V:
978-2-7430-2106-1
newsletters.lavoisier.fr/9782743021061
MURIELLE NAÏTALI
LAURENT GUILLIER
FLORENCE DUBOIS-BRISSONNET
Risques
microbiologiques
alimentaires
editions.lavoisier.fr
Photo de couverture : Bacillus cereus sensu lato (en vert) dans une matrice alimentaire
multiphasique modèle (phase lipidique en rouge) (photo de Julien Deschamps,
Institut Micalis INRA/AgroParisTech, équipe B2HM/plateforme MIMA2)
Coordonnateurs
Murielle Naïtali
Docteur en microbiologie, ingénieur AgroParisTech
Maître de conférences en microbiologie, département Sciences et procédés des aliments
et bioproduits (SPAB), AgroParisTech, Massy
Laurent Guillier
Docteur en microbiologie des aliments
Chargé de projets recherche, laboratoire de Sécurité des aliments, Anses, Maisons-Alfort
Florence Dubois-Brissonnet
Docteur en biologie et biochimie appliquées, ingénieur Montpellier SupAgro
Professeur de microbiologie et sécurité sanitaire des aliments, département Sciences et
procédés des aliments et bioproduits (SPAB), AgroParisTech, Massy
Auteurs
Jean-Christophe Augustin
Docteur en microbiologie des aliments, habilité à diriger des recherches
Professeur, École nationale vétérinaire d’Alfort, Maisons-Alfort
Frédéric Auvray
Docteur en microbiologie, habilité à diriger des recherches
Chef d’unité adjoint (SBCL – staphylocoques, Bacillus, clostridies et lait), responsable
de l’équipe staphylocoques, Anses, Maisons-Alfort
Eugénie Baril
Docteur en microbiologie des aliments
Chargée de projet, direction de l’évaluation des risques, Anses, Maisons-Alfort
Vincent Béringue
Docteur en microbiologie
Directeur de recherche, unité Virologie et immunologie moléculaires, INRA, Jouy-en-Josas
Isabelle Berta-Van Rullen
Épidémiologiste et toxicologue
Chef de projet surveillance épidémiologique, direction des laboratoires, unité de coor-
dination et d’appui à la surveillance, Anses, Maisons-Alfort
Karine Boquet
Docteur vétérinaire, docteur en sciences économiques, corps des inspecteurs de la santé
publique vétérinaire
Secrétaire interministérielle du Conseil national de l’alimentation, Paris
Marion Bordier
Docteur vétérinaire
Chargée d’études, Direction générale de l’alimentation (DGAL), ministère de l’Agricul-
ture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt (MAAF), Paris
Abdelkader Boubetra
Ingénieur d’État et titulaire d’un Mastère spécialisé
Directeur scientifique et technique, Bipea, Paris, Expert près la Cour d’appel de Paris
et Expert auprès de l’AIEA, Vienne
Zineb Boumart
Docteur en microbiologie
Institut national de la recherche agroalimentaire (INRA), Nouzilly
Multi-chemical industry, santé animale (MCI), Mohammedia, Maroc
Olivier Boutou
DU Responsable qualité et sécurité des aliments
Expert AFNOR, Mérignac
Romain Briandet
Docteur en physico-chimie et qualité des produits, habilité à diriger des recherches
Directeur de recherche, INRA, Jouy-en-Josas
Frédéric Carlin
Docteur-ingénieur en sciences agronomiques
Directeur de recherche, INRA, Avignon
Corinne Danan
Docteur en microbiologie, ingénieur AgroParisTech
Adjoint chef de bureau d’appui à la surveillance de la chaîne alimentaire, Direction
générale de l’alimentation (DGAL), ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et
de la Forêt (MAAF), Paris
Henriette de Valk
Docteur en médecine
Responsable de l’unité Infections d’origine alimentaire, zoonoses et maladies à transmis-
sion vectorielle, InVS, Saint-Maurice
Shaynoor Dramsi
Docteur en microbiologie
Directrice de recherche et chef de groupe, unité de Biologie des bactéries pathogènes à
Gram positif, Institut Pasteur, Paris
Guillaume Duflos
Docteur ès sciences
Chef de l’unité des produits de la pêche et de l’aquaculture, laboratoire de Sécurité des ali-
ments, département des produits de la pêche et de l’aquaculture, Anses, Boulogne-sur-Mer
Michel Federighi
Docteur en microbiologie, habilité à diriger des recherches
Professeur, laboratoire de Sécurité des aliments et microbiologie, Oniris, Nantes
Carole Feurer
Docteur en écologie microbienne de l’INA-PG
Chargée de projets en microbiologie moléculaire, pôle viandes et charcuteries, IFIP –
Institut du porc, Le Rheu
Florence Forget-Richard
Docteur en biochimie
Directrice de recherche, directrice adjointe de l’UR Mycologie et sécurité des aliments,
INRA, Villenave d’Ornon
Christophe Gantzer
Doctorat en biologie et santé
Professeur des universités, directeur adjoint du laboratoire de Chimie, physique et micro-
biologie pour l’environnement (LCPME), UMR 7564, CNRS/Université de Lorraine,
faculté de Pharmacie, Nancy
Pascal Garry
Docteur en écologie microbienne
Cadre de recherche en microbiologie, Ifremer, Nantes
Muriel Gugger
Docteur en interactions toxiques dans les écosystèmes et biotechnologies liées aux toxines
Responsable du centre Collection des cyanobactéries à l’Institut Pasteur de Paris et
curatrice de la Pasteur Culture Collection of Cyanobacteria (PCC)
Florence Guillier
Responsable du Laboratoire national de référence pour les staphylocoques à coagulase
positive, laboratoire de Sécurité des aliments, Anses, Maisons-Alfort
Jacques-Antoine Hennekinne
Docteur ès sciences
Chef de l’unité SBCL (staphylocoques, Bacillus, clostridies et lait), Anses, Maisons-Alfort
Sabine Herbin
Docteur en biotechnologies et industries alimentaires
Responsable d’équipe, laboratoire de Sécurité des aliments, Anses, Maisons-Alfort
Dominique Hervio-Heath
Docteur en microbiologie, habilitée à diriger des recherches
Cadre de recherche en microbiologie, responsable adjoint du laboratoire Santé, Envi-
ronnement et Microbiologie, Ifremer, Plouzané
Didier Hilaire
Docteur en microbiologie et chimie de l’eau
Expert confirmé en biologie, adjoint au chef de la division Biologie de DGA maîtrise
NRBC, Vert-Le-Petit
Angélique Igel-Egalon
Docteur ès sciences
Chercheur, unité Virologie et immunologie moléculaires, INRA, Jouy-en-Josas
Gaëlle Inglebert
Ingénieur en biotechnologies et bio-industries
Technicienne, laboratoire de Sécurité des aliments, département des produits de la pêche
et de l’aquaculture, Anses, Boulogne-sur-Mer
Renaud Lailler
Microbiologiste et épidémiologiste
Chef d’unité « Listeria Salmonella E. coli », laboratoire de Sécurité des aliments, Anses,
Maisons-Alfort
Laurent Laloux
Ingénieur AgroParisTech
Directeur du laboratoire de Sécurité des aliments, Anses, Maisons-Alfort
Isabelle Oswald
Docteur en sciences biologiques
Directrice de recherche, directrice adjointe de l’UMR de Toxicologie alimentaire, INRA,
Toulouse
Pascal Piveteau
Docteur en microbiologie, habilité à diriger des recherches
Enseignant-chercheur, UMR Agroécologie, université de Bourgogne Franche-Comté,
Dijon
Michel Robert Popoff
Docteur vétérinaire, docteur ès sciences spécialité microbiologie
Directeur de recherche, unité des bactéries anaérobies et toxines, Institut Pasteur, Paris
Gérard Poumeyrol
Docteur vétérinaire de Maisons-Alfort
Christine Saura
Docteur en pharmacie
Responsable de la cellule de l’InVS Rhône-Alpes, InVS, Lyon
Véronique Vaillant
Docteur en médecine
Médecin épidémiologiste, InVS, Saint-Maurice
Philippe Velge
Docteur en sciences de la vie et de la santé
Directeur de recherche, Institut national de la recherche agroalimentaire (INRA), Centre
Val de Loire, Nouzilly
Isabelle Villena
Professeur des universités, praticien hospitalier
Chef de service du laboratoire de parasitologie-mycologie et directeur de l’EA 3800,
CHU Reims et université de Reims Champagne-Ardenne, Reims
Isabelle Virlogeux-Payant
Docteur en microbiologie
Directrice de recherche, Institut national de la recherche agroalimentaire (INRA), Nouzilly
DLUO
Date limite d’utilisation optimale
DME
Dose minimale efficace
DMI
Dose minimale infectieuse
DNEP
Dispositif national d’enquêtes programmées
DO
Densité optique (chapitre 4) ou Déclaration obligatoire (autres
chapitres)
DON Déoxynivalénol
DPA Degré de protection approprié (ALOP en anglais)
Dps DNA-binding protein from starved cells (protéine de liaison à
l’ADN des cellules en carence nutritionnelle)
DRAAF Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt
DTX Dinophysistoxine
DVM Durée de vie microbiologique
EAEC EnteroAggregative Escherichia coli (E. coli entéro-agglutinant)
EAHEC EnteroAggregative Haemorrhagic Escherichia coli (E. coli entéro-
agglutinant et hémorragique)
EAT Étude de l’alimentation totale
ECDC European Centre for Disease Prevention and Control (Centre
européen pour la prévention et le contrôle des maladies)
ECFF European Chilled Food Federation (fédération européenne des
produits réfrigérés)
EDTA Ethylene Diamine Tetraacetic Acid (acide éthylène diamine
tétraacétique)
EFSA European Food Safety Authority (AESA en français)
EGF Epidermal Growth Factor (facteur de croissance épidermique)
E/H Eau dans huile
Eh Électrode à hydrogène (potentiel d’oxydoréduction)
EHEC EnteroHaemorrhagic Escherichia coli (E. coli entérohémorragique)
EIEC EnteroInvasive Escherichia coli (E. coli entéro-invasif )
EILA Essais interlaboratoires d’aptitude
ELFA Enzyme-Linked Fluorescent Assay (dosage enzymatique
par fluorescence)
ELISA Enzyme-Linked Immunosorbent Assay (dosage immuno-enzymatique
sur support solide)
EMAP Equilibrium Modified Atmosphere Packaging (emballage à
atmosphère modifiée équilibrée)
ENHPB European Network for Highly Pathogenic Bacteria (réseau européen
des bactéries hautement pathogènes)
ENNS Enniatines
EPA Environmental Protection Agency (Agence de protection de
l’environnement)
EPEC EnteroPathogenic Escherichia coli (E. coli entéropathogène)
ES Entérotoxine staphylococcique (SE en anglais)
ESB Encéphalopathie spongiforme bovine
ESB H Encéphalopathie spongiforme bovine High (haute)
ESB L Encéphalopathie spongiforme bovine Low (basse)
ESF Encéphalopathie spongiforme féline
ESIA® Enterobacter sakazakii Isolation Agar® (gélose d’isolement
d’Enterobacter sakazakii)
PbTX Brévétoxine
PC Performance Criterion (CP en français)
PC-PLC Phosphatidylcholine phospholipase C
PCR Polymerase Chain Reaction (réaction de polymérisation en chaîne)
PCR-RFLP Polymerase Chain Reaction – Restriction Fragment Lenght
Polymorphism (réaction de polymérisation en chaîne –
polymorphisme de longueur des fragments de restriction)
PCT Peste-Charbon-Tularémie
PDCA Plan Do Act Check (planifier, faire, agir, vérifier)
Pdécès Probabilité de décès
Pdécès/mal Probabilité de décès sachant la maladie
PFGE Pulsed Field Gel Electrophoresis (électrophorèse en champ pulsé)
PgdA Peptidoglycane N-acétylglucosamine déacétylase
pHe pH extracellulaire
pHi pH intracellulaire
PIA Polysaccharide Intercellular Adhesin (adhésine polysaccharidique
intercellulaire)
Pinf Probabilité d’infection
PI-PLC (ou PLcA) Phosphatidylinositol phospholipase C
pKa Constante d’acidité
PLcA (ou PI-PLC) Phosphatidylinositol phospholipase C
PLcB Phosphatidylcholine phospholipase C
PLH PLant Health (santé des plantes)
PlTX Palytoxine
Pmal Probabilité de maladie
Pmal/inf Probabilité de maladie sachant l’infection
PMA-PCR Propidium MonoAzyde-Polymerase Chain Reaction (réaction de
polymérisation en chaîne avec du propidium monoazyde)
PMS Plan de maîtrise sanitaire
PNNS Programmes nationaux nutrition santé
PO Performance Objective (OP en français)
PP Préparation en poudre
PRA Probabilistic Risk Analysis (analyse de risque probabiliste)
PrfA Positive regulator factor A (facteur A de régulation positive)
PRP PreRequisite Program (programme de prérequis)
PrPC Conformère physiologique de la protéine prion
PRPo PRP opérationnel
PrPSc Conformère pathogène de la protéine prion
PS/PC Plan de surveillance/plan de contrôle
PSM Phénol-Soluble Modulin (moduline soluble dans le phénol)
PTS PhosphoTransferase phosphoenolpyruvate dependant System (système
de phosphotransférases dépendant du phosphoénolpyruvate)
PTT Purpura thrombotique thrombocytopénique
PTX Pecténotoxine
pX Probabilité de croissance de X %
QAC Quaternary Ammonium Compound (composé d’ammonium
quaternaire ou CAQ)
qPCR Quantitative Polymerase Chain Reaction (réaction de polymérisation
en chaîne quantitative)
C H A P I T R E 2
Développement des microorganismes pathogènes dans les aliments (Murielle Naïtali,
Florence Dubois-Brissonnet) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
1. Les principales phases de la croissance bactérienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
1.1. La latence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38
C H A P I T R E 3
Inactivation des microorganismes pathogènes dans les aliments et les environnements
industriels agroalimentaires (Murielle Naïtali, Florence Dubois-Brissonnet). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87
1. L’inactivation des microorganismes : concepts généraux communs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88
1.1. Modèle primaire d’inactivation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88
1.2. Notions de stérilisation, de pasteurisation et de désinfection. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89
1.3. Mécanismes d’inactivation et facteurs d’influence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91
1.3.1. Méthodes d’étude. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92
1.3.2. Résistances microbiennes aux traitements d’inactivation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92
1.3.3. « Efficacité apparente » de l’inactivation en fonction de la méthode d’évaluation
des survivants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93
2. L’inactivation thermique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94
2.1. Mode d’action des traitements thermiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94
2.2. Quantification de l’efficacité des traitements thermiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94
2.2.1. Impact de la température : modèle secondaire d’inactivation thermique . . . . . . . . . . . . . . 94
2.2.2. Valeurs stérilisatrice et pasteurisatrice : F et VP. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95
2.2.3. Conséquences pratiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96
2.3. Résistance naturelle des microorganismes aux traitements thermiques et impact
des conditions physiologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97
2.4. Autres facteurs influençant l’efficacité d’une inactivation thermique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99
2.4.1. Facteurs liés au procédé. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99
2.4.2. Facteurs liés à l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99
2.4.3. Hiérarchisation des différents facteurs d’influence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100
2.5. Inactivation des toxines microbiennes par des traitements thermiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101
3. D’autres traitements physiques d’inactivation microbienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101
3.1. Contexte législatif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102
3.2. Ionisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102
3.3. UV et lumière pulsée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105
3.4. Hautes pressions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107
4. La désinfection avec des composés chimiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110
4.1. Mode d’action des désinfectants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110
4.2. Réglementation et substances autorisées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111
C H A P I T R E 4
Prévoir le comportement des bactéries pathogènes dans les aliments (Laurent Guillier,
Eugénie Baril, Jean-Christophe Augustin) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133
1. L’acquisition de données et les plans d’expérience. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 134
1.1. Préambule à l’acquisition de données et la conception d’un plan d’expérience. . . . . . . . . . . . . . 134
1.1.1. Le nombre de données et les plans d’expérience. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135
1.1.2. Les données issues de méta-analyses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 136
1.2. Le choix des conditions expérimentales : aliments ou milieu de culture ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 136
1.2.1. L’étude du comportement microbien dans les aliments. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 136
1.2.2. Les milieux de culture. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137
1.2.3. Un compromis à trouver entre aliments et milieux de culture ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137
1.3. Les méthodes utilisées pour suivre l’évolution de la densité microbienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . 138
1.3.1. Les unités formant colonies (UFC). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 138
1.3.2. La densité optique (DO) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 138
1.3.3. Les autres techniques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140
2. Les modèles primaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141
2.1. Les modèles primaires de croissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141
2.1.1. Les modèles déterministes de croissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 142
2.1.2. Les modèles stochastiques de croissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144
2.2. Les modèles primaires d’inactivation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144
2.2.1. Le modèle log-linéaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144
2.2.2. Le modèle de Weibull . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145
2.2.3. D’autres modèles primaires d’inactivation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146
3. Les modèles secondaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146
3.1. Les modèles secondaires pour le taux de croissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146
3.1.1. Les modèles polynomiaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 147
3.1.2. L’approche progressive. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 147
3.1.3. Les autres modèles secondaires pour le taux de croissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 150
3.2. Les modèles secondaires pour le temps de latence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 150
3.3. La modélisation des interactions entre espèces bactériennes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151
3.3.1. Les différentes approches de modélisation des interactions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151
3.3.2. Le cas particulier des modèles d’interaction de type « Jameson » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 152
3.4. Les modèles secondaires pour l’inactivation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153
3.4.1. La modélisation de l’influence de la température. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153
3.4.2. La modélisation de l’influence d’autres facteurs environnementaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . 153
3.4.3. La combinaison de facteurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 154
3.4.4. L’influence du milieu de recouvrement des cellules ayant subi un traitement
d’inactivation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 154
3.4.5. L’influence des conditions environnementales antérieures au traitement d’inactivation. . . 154
C H A P I T R E 5
Adaptation au stress, tolérance et persistance des bactéries pathogènes dans les environne-
ments alimentaires (Florence Dubois-Brissonnet, Murielle Naïtali, Romain Briandet ). . . . . . . . . . . . 171
1. Le stress microbien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 172
1.1. Définition du stress et des traitements générateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 172
1.2. Mécanismes généraux de réaction au stress . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 173
1.3. Conséquences du stress bactérien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 176
1.3.1. Induction de tolérance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 176
1.3.2. Problème de détectabilité des cellules stressées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 176
1.3.3. Génération d’une hétérogénéité cellulaire par mutagenèse adaptative. . . . . . . . . . . . . . . 178
1.3.4. Modification de la virulence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 178
1.4. Stress thermique : mécanismes spécifiques de réponse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 179
1.4.1. Réponses physiologiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 179
1.4.2. Thermotolérance et autres tolérances induites. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 180
1.5. Stress acide : mécanismes spécifiques de réponse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 181
1.5.1. Réponses physiologiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 181
1.5.2. Induction de tolérance à l’acide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183
1.6. Stress osmotique : mécanismes spécifiques de réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183
1.7. Stress oxydatif et chimique : mécanismes spécifiques de réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 184
1.8. Stress nutritionnel : mécanismes spécifiques de réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
2. Les bactéries viables mais non cultivables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
2.1. Caractéristiques générales de l’état VNC. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 186
2.2. Entrer et sortir de l’état VNC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 187
2.3. Des formes de persistance potentiellement pathogènes ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 188
3. Les spores bactériennes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 189
3.1. Structure et composition des spores . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 190
3.2. Sporulation et germination . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 190
3.3. Conséquences de l’état sporal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192
3.3.1. Des formes de résistance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192
3.3.2. Des formes de dissémination. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 194
3.3.3. Une virulence conservée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 195
4. Les biofilms . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 195
4.1. Biofilms et sécurité microbiologique des aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 195
4.2. Formation d’un biofilm microbien. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 196
4.3. Résistance des bactéries en biofilm. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 199
4.4. Biofilms et pathogénie microbienne. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 202
5. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 203
C H A P I T R E 6
Évolution des risques microbiologiques (Florence Dubois-Brissonnet). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 213
1. Un peu d’historique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 214
2. Évolution des microorganismes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 215
2.1. Acquisition de nouveaux facteurs de virulence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 215
2.2. Souches multirésistantes aux antibiotiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 215
C H A P I T R E 7
Bioterrorisme et risque alimentaire (Didier Hilaire, Valérie Morineaux). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 231
1. Exemples d’utilisation malveillante d’agents biologiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 232
2. Aliments et risque biologique intentionnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 232
2.1. Risque biologique intentionnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 232
2.2. Risque biologique alimentaire intentionnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 233
2.2.1. Objectifs et cibles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 233
2.2.2. Contamination de la chaîne de production des aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 234
3. Agents biologiques du risque intentionnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 236
3.1. Propriétés des agents biologiques : critères de Rosebury. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 236
3.2. Classification des agents biologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 237
3.2.1. Classification du groupe Australie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 237
3.2.2. Classification américaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 237
3.2.3. Classification française . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 238
3.3. Agents biologiques du risque intentionnel alimentaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 238
3.3.1. Propriétés particulières des agents biologiques liés au vecteur aliment . . . . . . . . . . . . . . 238
3.3.2. Agents biologiques susceptibles d’être utilisés pour un vecteur aliment. . . . . . . . . . . . . . 240
3.4. Disponibilité des agents biologiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 242
3.5. Mise en œuvre des agents biologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 242
4. Mesures de prévention et de gestion du risque intentionnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
4.1. Mesures générales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
4.1.1. Le « livre vert » et ses conséquences. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
4.1.2. Les plans nationaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244
4.2. Mesures liées à la filière alimentaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244
4.2.1. Le Paquet Hygiène, le PMS et l’HACCP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244
4.2.2. Le guide interministériel et la VACCP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 245
4.3. Détection et identification des agents biologiques lors d’un événement intentionnel. . . . . . . . 246
5. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 247
C H A P I T R E 9
PMS et HACCP (Olivier Boutou). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 275
1. Le plan de maîtrise sanitaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 275
1.1. Les exigences réglementaires relatives à la sécurité sanitaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 275
1.2. Des outils d’aide à l’élaboration du PMS. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 276
1.2.1. Les Guides de bonnes pratiques d’hygiène et d’application des principes HACCP . . . . . 277
1.2.2. Des normes et autres textes ISO et AFNOR. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 277
1.2.3. Des codes d’usage du Codex Alimentarius . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 279
1.3. Au-delà du PMS : des démarches contractuelles ou volontaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 279
2. Les programmes prérequis du PMS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 280
2.1. Phase de planification des PRP. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 281
2.2. Phase de mise en œuvre des PRP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 283
2.3. Phase de contrôle, vérification des PRP. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 283
2.4. Phase d’amélioration des PRP. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 284
3. L’HACCP. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 284
3.1. Les 7 principes et 12 étapes de l’HACCP. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 286
3.2. Les 12 étapes de l’HACCP. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 286
3.2.1. Étape 1 : constituer l’équipe HACCP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 286
3.2.2. Étape 2 : décrire le produit. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 287
3.2.3. Étape 3 : identifier l’usage prévu pour le produit. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 287
3.2.4. Étape 4 : construire le diagramme du procédé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 288
C H A P I T R E 1 0
HACCP en pratique : aspects managériaux et études de cas (Maryvonne Lassalle-de Salins,
Elisabeth Morelli, Véronique Noël, Gérard Poumeyrol, Florence Dubois-Brissonnet). . . . . . . . . . . . . 299
1. Aspects managériaux et organisationnels de l’étude HACCP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 300
1.1. Les choix initiaux : le périmètre et la structure de l’étude, les participants . . . . . . . . . . . . . . . . . . 300
1.2. Un travail pluridisciplinaire à organiser . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 301
1.3. La définition collective de ce qui est « acceptable » : l’établissement de critères et
la fixation des limites critiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 302
1.4. Les ressources à mettre en œuvre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 304
2. Étude de cas : terrine de viande . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 305
2.1. Préparation à l’analyse des dangers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 306
2.2. Analyse des dangers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 306
2.2.1. Identification des dangers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 306
2.2.2. Évaluation des dangers. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 307
2.3. Définitions des mesures de maîtrise. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 308
2.4. Établissement des actions de surveillance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 310
3. Étude de cas : biscuit à la cuillère. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 310
3.1. Préparation à l’analyse des dangers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 310
3.2. Analyse des dangers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 310
3.2.1. Identification des dangers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 310
3.2.2. Évaluation des dangers. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 311
3.2.3. Définitions des mesures de maîtrise pertinentes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 312
3.3. Établissement des actions de surveillance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 313
4. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 313
C H A P I T R E 1 1
Dispositif de surveillance des microorganismes dans la chaîne alimentaire : finalités et
organisation en France (Bertrand Lombard, Corinne Danan, Marion Bordier, Laurent Montaut,
Isabelle Berta-Van Rullen, Renaud Lailler, Laurent Laloux). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 317
1. Notions relatives au dispositif de surveillance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 318
1.1. Définition et objectifs de la surveillance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 318
1.2. Enjeux de l’organisation de la surveillance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 318
1.3. Organisation de la surveillance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 318
1.3.1. Étapes de la surveillance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 318
1.3.2. Systèmes de recueil des données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 319
1.3.3. Mutualisation et exploitation des données. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 320
1.4. Représentation schématique du dispositif de surveillance en France. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 321
2. Contrôles officiels. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 322
2.1. Cadre réglementaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 323
2.1.1. Règlements (CE) n° 882/2004 et 854/2004 relatifs aux contrôles officiels . . . . . . . . . . . . . 323
2.1.2. Règlement (CE) n° 2073/2005 concernant les critères microbiologiques applicables
aux denrées alimentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 323
2.1.3. Directive 2003/99/CE sur la surveillance des zoonoses et des agents zoonotiques. . . . . 324
C H A P I T R E 1 2
Méthodes d’analyse pour le contrôle microbiologique des aliments : cas des bactéries
pathogènes (Murielle Naïtali, Abdelkader Boubetra) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 337
1. Le contexte réglementaire de l’analyse microbiologique des aliments :
le règlement européen (CE) n° 2073/2005 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 338
1.1. Les plans d’échantillonnage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 338
1.2. L’interprétation des résultats et ses limites. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 340
2. Les méthodes de référence et les méthodes alternatives validées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 340
3. La recherche des bactéries pathogènes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 343
3.1. Le rôle et les améliorations actuelles des différentes étapes d’une méthode de recherche. . . 343
3.1.1. Le pré-enrichissement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 344
3.1.2. L’enrichissement sélectif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 345
3.1.3. La détection. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 346
3.1.4. La confirmation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 352
3.2. Des méthodes de recherche en perpétuelle évolution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 352
3.2.1. Détecter les microorganismes émergents. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 352
3.2.2. Intégrer les progrès scientifiques et techniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 354
4. Le dénombrement sélectif des faibles nombres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 355
4.1. La revivification associée au dénombrement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 357
4.2. Le dénombrement des faibles nombres en milieu liquide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 358
4.3. Le dénombrement des faibles nombres en milieu solide. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 359
5. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 361
C H A P I T R E 1 3
Systèmes français de surveillance des maladies d’origine alimentaire : sources, méthodes,
apports, limites (Véronique Vaillant, Christine Saura, Henriette de Valk). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 367
1. La déclaration obligatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 367
2. La surveillance par les Centres nationaux de référence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 370
3. Les autres systèmes de surveillance et de signalement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 372
3.1. Les réseaux volontaires de surveillance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 372
3.2. Les autres dispositifs contribuant au signalement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 373
4. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 374
C H A P I T R E 1 4
Analyse des risques microbiologiques (Laurent Guillier). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 377
1. L’appréciation quantitative des risques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 378
C H A P I T R E 1 5
Gestion d’une crise sanitaire : récit d’un épisode relatif à E. coli O157:H7 fin 2005
(Maryvonne Lassalle-de Salins, Karine Boquet). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 403
1. Les principales étapes de la crise liée à une souche d’E. coli entérohémorragique en octobre
2005 : des premiers signalements de malades à l’identification des produits contaminés. . . . . . . 404
1.1. L’épidémie et l’identification des cas. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 404
1.2. L’identification des produits contaminés et de leur circuit. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 405
2. La gestion de la crise par les autorités sanitaires et les entreprises concernées. . . . . . . . . . . . . 406
2.1. Le rôle des pouvoirs publics pendant la crise. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 406
2.2. La gestion de la crise par la chaîne de grande distribution. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 407
2.3. La gestion de la crise par l’abattoir à l’origine de la contamination . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 408
3. La gestion post-crise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 408
3.1. Les conséquences économiques à court et à moyen terme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 409
3.2. Les décisions de l’administration : recommandations et surveillance tout au long de la filière. . 409
3.2.1. La mise en place de la surveillance et de l’évaluation quantitative des risques . . . . . . . . 409
3.2.2. Des recommandations pour la restauration collective et les consommateurs :
la cuisson comme mesure de maîtrise. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 410
3.2.3. L’encadrement des autocontrôles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 411
3.3. Du côté du transformateur impliqué . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 411
3.3.1. Des mesures pour améliorer la maîtrise des risques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 411
C H A P I T R E 1 7
Escherichia coli producteurs de Shiga-toxines (STEC) (Estelle Loukiadis) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 437
1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 437
1.1. Nature et taxonomie de l’agent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 437
1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 439
1.3. Principales caractéristiques physiologiques de croissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 440
1.4. Caractéristiques de résistance aux traitements de stabilisation et de destruction . . . . . . . . . . . 441
2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 443
2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 443
2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 444
2.2.1. Organisation de la surveillance en Europe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 444
2.2.2. Méthodes de détection des STEC. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 445
2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 447
2.3.1. Stratégies de prévention lors de l’élevage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 447
2.3.2. Stratégies à l’abattoir et lors de la traite. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 448
2.3.3. Stratégies à la distribution et chez le consommateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 449
3. Maladie humaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 449
3.1. Nature de la maladie : mécanisme de pathogénie et effets sur l’Homme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 449
3.2. Relations dose-réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 451
3.3. Diagnostic et traitement médical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 452
3.4. Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 453
4. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 454
C H A P I T R E 1 8
Campylobacter jejuni et autres Campylobacter thermotolérants responsables d’intoxications
alimentaires (Soumaya Messaoudi, Michel Federighi). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 461
1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 461
1.1. Taxonomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 461
1.2. Nature de l’agent. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 463
C H A P I T R E 1 9
Listeria monocytogenes (Pascal Piveteau) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 481
1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 481
1.1. Nature de l’agent et taxonomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 481
1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 482
1.3. Principales caractéristiques physiologiques de croissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 483
1.4. Caractéristiques de résistance aux traitements de destruction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 484
2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 485
2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 485
2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 488
2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 490
3. Maladie humaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 490
3.1. Nature de la maladie : mécanisme de pathogénie et effets sur l’Homme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 490
3.2. Relations dose-réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 493
3.3. Diagnostic et traitement médical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 493
3.4. Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 493
3.5. Évolution du risque dans le temps. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 494
4. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 495
C H A P I T R E 2 0
Yersinia enterocolitica et Yersinia pseudotuberculosis (Carole Feurer, Laurent Guillier) . . . . . . . . . . . . . 503
1. Nature et caractéristiques de l’agent pathogène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 503
1.1. Nature et taxonomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 503
1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 504
1.3. Principales caractéristiques physiologiques de croissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 505
1.4. Caractéristiques de résistance aux traitements de destruction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 506
2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 507
2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 507
2.1.1. Modes de transmission. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 507
2.1.2. Prévalence dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 508
2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 509
2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 509
C H A P I T R E 2 1
Cronobacter spp. (Enterobacter sakazakii sensu lato) (Alexandre Leclercq). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 519
1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 519
1.1. Nature de l’agent et taxonomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 519
1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 521
1.3. Principales caractéristiques physiologiques de croissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 523
1.4. Caractéristiques de survie et de résistance aux traitements technologiques . . . . . . . . . . . . . . . . 523
2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 525
2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 525
2.1.1. Définition des préparations en poudre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 526
2.1.2. Fabrication des préparations en poudre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 527
2.1.3. Contamination des préparations en poudre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 528
2.2. Réglementation et surveillance dans les aliments. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 529
2.2.1. Réglementation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 529
2.2.2. Méthodes de détection. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 530
2.2.3. Méthode de typage moléculaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 535
2.2.4. Surveillance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 535
2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 535
2.3.1. Au niveau des ingrédients . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 537
2.3.2. Au niveau de l’hygiène de production. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 537
2.3.3. Au niveau des préparations reconstituées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 538
3. Maladie humaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 538
3.1. Nature de la maladie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 538
3.1.1. Effets sur l’Homme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 538
3.1.2. Mécanisme de pathogénie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 539
3.2. Relations dose-réponse et dose-effet. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 540
3.3. Diagnostic et traitement médical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 541
3.4. Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 541
4. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 542
C H A P I T R E 2 2
Vibrio, espèces pathogènes (Dominique Hervio-Heath, Pascal Garry). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 547
1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 548
1.1. Nature de l’agent et taxonomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 548
1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 549
1.3. Principales caractéristiques physiologiques de croissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 549
1.4. Caractéristiques de résistance aux traitements de destruction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 549
2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 550
2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 550
2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 551
2.2.1. Réglementation relative au danger Vibrio . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 551
2.2.2. Méthodes de détection et de dénombrement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552
2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 553
2.3.1. Recommandations aux opérateurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 553
2.3.2. Recommandations aux consommateurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 553
3. Maladie humaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 553
C H A P I T R E 2 3
Bacillus cereus (Christophe Nguyen-The, Frédéric Carlin). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 561
1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 561
1.1. Nature de l’agent et taxonomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 561
1.1.1. Caractéristiques générales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 561
1.1.2. Situation taxonomique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 562
1.1.3. Autres espèces de Bacillus agents d’intoxications alimentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 565
1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 565
1.3. Principales caractéristiques physiologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 566
1.3.1. Caractéristiques de croissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 566
1.3.2. Conditions de production des toxines exogènes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 568
1.3.3. Conditions de sporulation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 569
1.3.4. Conditions de germination des spores. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 569
1.4. Caractéristiques de résistance aux traitements de destruction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 570
1.4.1. Résistance des spores. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 570
1.4.2. Résistance des cellules végétatives. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 571
1.4.3. Résistance des toxines préformées dans l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 571
2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 572
2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 572
2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 573
2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 574
3. Maladie humaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 574
3.1. Nature de la maladie : mécanisme de pathogénie et effets sur l’Homme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 574
3.2. Maladie diarrhéique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 574
3.3. Maladie émétique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 575
3.4. Relations dose-réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 575
3.5. Diagnostic et traitement médical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 576
3.6. Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 576
4. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 577
C H A P I T R E 2 4
Clostridium perfringens (Michel Robert Popoff) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 585
1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 586
1.1. Nature de l’agent et taxonomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 586
1.1.1. Caractéristiques générales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 586
1.1.2. Génétique des C. perfringens. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 586
1.1.3. Entérotoxine de C. perfringens. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 587
1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 589
1.3. Principales caractéristiques physiologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 589
1.3.1. Caractéristiques de croissance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 589
1.3.2. Conditions de sporulation et de germination des spores. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 589
1.4. Principales caractéristiques de résistance aux traitements de destruction. . . . . . . . . . . . . . . . . . 590
2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 591
2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 591
2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 591
2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 592
3. Maladie humaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 593
C H A P I T R E 2 5
Clostridium botulinum et autres Clostridium producteurs de neurotoxines botuliques
(Michel Robert Popoff) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 601
1. Nature et principales caractéristiques des agents pathogènes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 602
1.1. Nature des agents et taxonomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 602
1.1.1. Situation taxonomique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 602
1.1.2. Caractéristiques générales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 604
1.1.3. Génétique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 605
1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 607
1.3. Principales caractéristiques physiologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 607
1.3.1. Caractéristiques de croissance et de production de toxine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 607
1.3.2. Conditions de sporulation et de germination des spores. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 608
1.4. Principales caractéristiques de résistance aux traitements de destruction. . . . . . . . . . . . . . . . . . 609
1.4.1. Résistance des spores. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 609
1.4.2. Résistance des toxines botuliques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 610
2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 611
2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 611
2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 612
2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 612
3. Maladie humaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 613
3.1. Nature de la maladie : mécanisme de pathogénie et effet sur l’Homme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 613
3.1.1. Mode d’action des toxines botuliques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 613
3.1.2. Symptômes du botulisme humain. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 614
3.1.3. Formes de botulisme d’origine alimentaire chez l’Homme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 615
3.2. Relations dose-réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 616
3.3. Diagnostic et traitement médical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 616
3.3.1. Diagnostic. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 616
3.3.2. Traitement médical . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 618
3.4. Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 619
4. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 620
C H A P I T R E 2 6
Staphylococcus aureus et autres staphylocoques producteurs d’entérotoxines
(Jacques-Antoine Hennekinne, Florence Guillier, Sabine Herbin, Frédéric Auvray) . . . . . . . . . . . . . . . . 625
1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 626
1.1. Nature de l’agent. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 626
1.1.1. Taxonomie et caractéristiques générales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 626
1.1.2. Entérotoxines staphylococciques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 627
1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 629
1.3. Facteurs influençant la croissance et la production d’entérotoxines staphylococciques
par S. aureus. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 630
1.4. Caractéristique de résistance à la destruction de S. aureus et des entérotoxines
dans l’aliment et chez l’hôte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 631
2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 632
2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 632
2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 632
2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 633
C H A P I T R E 2 7
Histamine et bactéries histaminogènes (Guillaume Duflos, Gaëlle Inglebert). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 639
1. Nature et principales caractéristiques de l’histamine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 640
1.1. Nature, origine et fonction de l’histamine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 640
1.2. Origine et fonction de l’histamine dans l’organisme humain. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 640
1.3. Origine et production de l’histamine dans les aliments. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 640
1.4. Flore histaminogène et décarboxylases microbiennes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 641
1.4.1. Flore histaminogène des aliments non fermentés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 642
1.4.2. Flore histaminogène des aliments fermentés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 643
1.4.3. Rôle des décarboxylases chez les microorganismes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 644
1.4.4. Facteurs influençant l’activité des décarboxylases . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 645
2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 645
2.1. Principaux aliments impliqués . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 645
2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 647
2.2.1. Réglementation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 647
2.2.2. Méthodes de détection et de quantification. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 647
2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 648
2.3.1. Cas des poissons. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 648
2.3.2. Cas des aliments fermentés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 649
3. Maladie humaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 650
3.1. Nature de la maladie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 650
3.1.1. Effet sur l’Homme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 650
3.1.2. Mécanisme de pathogénie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 650
3.1.3. Facteurs d’influence sur les effets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 652
3.2. Diagnostic et traitement médical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 653
3.3. Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 653
4. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 653
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Virus pathogènes alimentaires (Christophe Gantzer). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 659
1. Nature et principales caractéristiques des agents pathogènes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 659
1.1. Nature et taxonomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 659
1.2. Réplication des virus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 661
1.3. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 662
1.4. Principales caractéristiques de survie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 663
1.4.1. Méthodes d’études. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 663
1.4.2. Survie dans l’environnement et chez l’hôte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 663
1.5. Caractéristiques de résistance aux traitements technologiques de destruction . . . . . . . . . . . . . 664
2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 665
2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 666
2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 667
2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 667
3. Maladie humaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 668
3.1. Nature de la maladie : mécanisme de pathogénie et effets sur l’Homme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 668
3.2. Relations dose-réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 669
3.3. Diagnostic et traitement médical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 670
3.4. Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 671
4. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 672
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Parasites alimentaires (Isabelle Villena). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 675
1. Parasites contaminant les aliments. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 675
2. Entamoeba histolytica. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 676
2.1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 676
2.1.1. Nature de l’agent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 676
2.1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 677
2.1.3. Caractéristiques de résistance aux traitements de destruction et de conservation . . . . 677
2.2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 677
2.2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 677
2.2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 677
2.2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 677
2.3. Maladie humaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 678
2.3.1. Nature de la maladie : mécanisme de pathogénie et effets sur l’Homme . . . . . . . . . . . . . 678
2.3.2. Relations dose-réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 678
2.3.3. Diagnostic et traitement médical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 678
2.3.4. Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 679
3. Cryptosporidium. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 679
3.1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 679
3.1.1. Nature de l’agent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 679
3.1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 679
3.1.3. Caractéristiques de résistance aux traitements de destruction et de conservation . . . . 680
3.2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 680
3.2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 680
3.2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 680
3.2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 680
3.3. Maladie humaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 681
3.3.1. Nature de la maladie : mécanisme de pathogénie et effets sur l’Homme . . . . . . . . . . . . . 681
3.3.2. Relations dose-réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 681
3.3.3. Diagnostic et traitement médical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 681
3.3.4. Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 682
4. Giardia duodenalis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 682
4.1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 682
4.1.1. Nature de l’agent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 682
4.1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 682
4.1.3. Caractéristiques de résistance aux traitements de destruction et de conservation . . . . 683
4.2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 684
4.2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 684
4.2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 684
4.2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 684
4.3. Maladie humaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 685
4.3.1. Nature de la maladie : mécanisme de pathogénie et effets sur l’Homme . . . . . . . . . . . . . 685
4.3.2. Relations dose-réponse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 685
4.3.3. Diagnostic et traitement médical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 685
4.3.4. Épidémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 685
5. Cyclospora. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 686
5.1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 686
5.1.1. Nature de l’agent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 686
5.1.2. Habitat et réservoir du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 686
5.1.3. Caractéristiques de résistance aux traitements de destruction et de conservation . . . . 686
5.2. Mode de transmission à l’Homme par l’aliment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 686
5.2.1. Principaux aliments impliqués et prévalence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 686
5.2.2. Surveillance dans les aliments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 687
5.2.3. Moyens de maîtrise et bonnes pratiques d’hygiène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 687
5.3. Maladie humaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 687
C H A P I T R E 3 0
Prion : un agent infectieux de nature protéique (Angélique Igel-Egalon, Vincent Béringue,
Thomas Maignien) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 717
1. Nature et principales caractéristiques de l’agent pathogène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 717
1.1. Nature de l’agent pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 717
1.2. Propagation chez l’hôte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 719
1.3. Effets chez l’hôte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 721
1.4. Habitats et réservoirs du pathogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 722
2. Transmission d’une EST à l’Homme par l’aliment : cas de la variante de la maladie de
Creutzfeldt-Jakob. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 723
2.1. Apparition du vMCJ chez l’Homme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 723
2.2. Progression de l’ESB à l’origine du vMCJ. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 724
2.3. Risque ESB chez les petits ruminants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 724
2.4. Bilan actuel de l’épidémie de vMCJ, un bilan définitif ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 725
3. Principales mesures de maîtrise du risque EST. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 726
3.1. Destruction des prions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 726
3.2. Interdiction de l’utilisation des farines de viandes et d’os en alimentation animale . . . . . . . . . . 727
3.3. Retrait et destruction des tissus les plus infectieux : matériels à risque spécifiés . . . . . . . . . . . . 728
3.4. Surveillance des EST. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 730
3.5. Police sanitaire relative aux EST. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 731
4. Évolution épidémiologique de l’ESB classique : une résultante des mesures de maîtrise. . . . 732
5. Problématiques des EST animales autres que l’ESB classique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 732
5.1. Découverte d’autres souches d’ESB. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 732
5.2. Risque zoonotique des autres maladies à prion animales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 733
6. Perspectives sur les mesures de gestion du risque EST. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 735
7. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 736
C H A P I T R E 3 1
Mycotoxines et moisissures toxinogènes (Florence Forget-Richard, Isabelle Oswald). . . . . . . . . . . . 743
1. Nature et origine de la contamination des denrées alimentaires par des mycotoxines. . . . . . 744
1.1. Principales mycotoxines susceptibles d’être retrouvées dans l’alimentation et moisissures
toxinogènes associées. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 744
1.2. Structure chimique des mycotoxines et voie de biosynthèse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 747
1.2.1. Mycotoxines issues de la voie des polyacétates. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 748
1.2.2. Mycotoxines dérivées des acides aminés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 748
1.2.3. Mycotoxines dérivées des terpènes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 749
1.3. Conditions conduisant à la contamination des denrées alimentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 749
1.3.1. Conditions de croissance des moisissures toxinogènes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 750
1.3.2. Conditions de production des mycotoxines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 751
2. Exposition de l’Homme aux mycotoxines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 752
2.1. Voies d’exposition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 752
2.2. Réglementations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 753
2.3. Moyens de maîtrise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 755
2.3.1. Plans de surveillance et méthodes analytiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 755
2.3.2. Prévention de la contamination (plein champ et stockage) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 757
2.3.3. Décontamination des produits alimentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 759
C H A P I T R E 3 2
Toxines produites par les microalgues et cyanobactéries (Muriel Gugger, Aurélie Ledreux). . . . . 767
1. Cyanotoxines dans les eaux de boisson et récréatives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 769
1.1. Diversité des cyanotoxines et des organismes producteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 769
1.2. Neurotoxines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 771
1.2.1. Anatoxines-a . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 771
1.2.2. Anatoxine-a(S). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 772
1.2.3. Saxitoxines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 772
1.3. Hépatotoxines et cytotoxines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 773
1.3.1. Microcystines et nodularines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 773
1.3.2. Cylindrospermopsines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 774
2. Toxines de microalgues et dérivés dans la chaîne trophique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 774
2.1. Diversité chimique des phycotoxines et organismes producteurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 774
2.2. Toxines hydrophiles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 775
2.2.1. Saxitoxines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 775
2.2.2. Acide domoïque et ses dérivés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 777
2.2.3. Palytoxines et analogues . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 777
2.3. Toxines lipophiles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 779
2.3.1. Toxines diarrhéiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 779
2.3.2. Azaspiracides. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 780
2.3.3. Yessotoxines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 780
2.3.4. Brévétoxines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 781
2.3.5. Ciguatoxines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 782
2.3.6. Imines cycliques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 783
3. Réglementation sur les phycotoxines et cyanotoxines dans notre alimentation . . . . . . . . . . . . 784
3.1. Recommandations liées aux cyanotoxines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 784
3.2. Réglementations et méthodes officielles d’analyses pour les phycotoxines . . . . . . . . . . . . . . . . . 784
4. Conclusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 786
Index. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 793
C et ouvrage propose une nouvelle approche de la dernière édition des deux tomes du
livre Microbiologie alimentaire de 1996 (Bourgeois et al., 1996 ; Bourgeois et Larpent,
1996). Il a été choisi de ne plus traiter conjointement des deux aspects de la microbio-
logie alimentaire, à savoir les flores technologiques et les contaminants microbiens, mais
de consacrer un ouvrage complet aux risques microbiologiques dans les aliments. Celui-ci
traite des dangers microbiologiques alimentaires majeurs (microorganismes infectieux ou
toxines d’origine microbienne) et du risque associé (fonction de la gravité du danger et de
la probabilité d’apparition des effets délétères) pour l’Homme.
Les maladies humaines infectieuses ou toxiques d’origine alimentaire sont pour la plupart
des anadémies, c’est-à-dire des maladies épidémiques non contagieuses contractées à partir
d’une source commune. Le nombre de cas par foyer est généralement faible, entre 3 et 30
(InVS, 2016), mais il peut être beaucoup plus important dans certaines circonstances parti-
culières. Par exemple, 10 000 cas au Japon ont été constatés en 2000 lors d’une intoxication
liée à une entérotoxine de Staphylococcus aureus dans du lait reconstitué (Ikeda et al., 2005).
Les maladies d’origine alimentaire sont généralement peu mortelles mais peuvent avoir un
impact économique important, d’une part à cause du coût lié aux soins et d’autre part par
les répercussions au niveau de la filière concernée (chute des ventes, fermeture d’usines,
etc.). Les maladies dues à des agents biologiques entéropathogènes sont regroupées sous le
nom de toxi-infections alimentaires collectives (TIAC) et sont soumises à une déclaration
obligatoire commune si au moins deux personnes sont atteintes à partir d’une même source
alimentaire. Depuis une dizaine d’années, le nombre de TIAC en France est relativement
constant avec environ 10 000 cas/an (12 109 cas en 2014 parmi lesquels 2 997 seulement
ont permis la confirmation de l’agent impliqué) (InVS, 2016). Les maladies provoquées
par des agents non entéropathogènes sont généralement déclarées séparément (listériose,
botulisme, etc.). D’après les estimations du rapport Morbidité et mortalité dues aux maladies
infectieuses d’origine alimentaire en France publié en 2004 par l’InVS et l’Afssa, les chiffres
correspondant aux maladies déclarées seraient largement sous-évalués. Le nombre réel de
maladies bactériennes d’origine alimentaire en France se situerait plus probablement entre
52 000 et 82 000 cas/an, auxquels on peut ajouter environ 70 000 cas liés à des virus et
117 000 cas liés aux parasites, ce qui donne un total d’environ 250 000 cas (InVS et Anses,
2004). Des travaux récents sur l’estimation de l’incidence « réelle » dans la population
générale des infections à Campylobacter et Salmonella réalisés à partir de différentes sources
de données (telles que des bases médico-administratives et des systèmes de surveillance)
indiquent que le nombre de cas pourrait être encore plus élevé (Van Cauteren et al., 2015).
La première partie du livre fait le point sur les notions fondamentales relatives aux
dangers microbiologiques en lien avec les aliments. Nous avons tenté de répondre aux
questions suivantes :
• Comment l’ingestion d’un aliment peut-elle provoquer une maladie d’origine micro-
bienne ? Ceci amène à traiter du cycle de contamination depuis l’habitat/réservoir des
microorganismes pathogènes à l’origine de la contamination des aliments jusqu’à l’Homme
où ils expriment leur pouvoir pathogène (chapitre 1).
• Quels sont les moyens permettant la maîtrise des microorganismes pathogènes durant
la transformation et la conservation des aliments ? Cette maîtrise peut passer par une
inhibition du développement microbien (chapitre 2) ou par une inactivation des microor-
ganismes pathogènes (chapitre 3). La maîtrise est souvent multifactorielle et combine ces
deux aspects. La microbiologie prévisionnelle qui modélise la croissance et l’inactivation, et
les bases de données associées sont des outils supplémentaires qui se sont considérablement
développés ces dernières années (chapitre 4). Ils aident notamment à la détermination de
la durée de vie microbiologique des aliments qui constitue un élément fondamental de
maîtrise du risque microbiologique.
• Comment les microorganismes peuvent-ils engendrer un risque pour la sécurité des ali-
ments malgré les moyens de maîtrise mis en place ? Trois axes de réponse à cette question
sont abordés. Le chapitre 5 concerne des aspects de physiologie microbienne relatifs à la
persistance des bactéries pathogènes dans les environnements agro-industriels, à savoir le stress
microbien (réponse adaptative des cellules végétatives à des conditions sub-optimales) et la
formation de structures particulières unicellulaires ou pluricellulaires de résistance (cellules
viables non cultivables, spores et biofilms). Le chapitre 6 explique les facteurs d’évolution
du risque microbiologique en intégrant des notions liées aux microorganismes, aux modes
de transformation, de conservation ou de consommation des aliments et à la sensibilité des
consommateurs. Enfin, le risque alimentaire peut parfois être d’origine intentionnelle (bio-
terrorisme), ce qui nécessite des moyens de maîtrise et de gestion particuliers (chapitre 7).
Cette première partie reprend ainsi des notions fondamentales de microbiologie générale,
de physiologie microbienne et de modélisation, en les appliquant aux microorganismes
pathogènes des aliments et en y intégrant les dernières connaissances relatives à ces sujets.
La deuxième partie présente les outils de gestion du risque microbiologique au niveau
européen et français. La mise sur le marché de denrées alimentaires passe par des décisions
politiques (traduites par des textes juridiques et la mise en place de structures étatiques) basées
sur des connaissances scientifiques (issues d’avis d’experts) (Debure, 2012). Différentes crises
sanitaires chimiques et biologiques ont conduit l’Union européenne à mettre en œuvre un
nouveau fonctionnement se traduisant par la mise en place d’institutions (telles que l’Autorité
européenne de sécurité des aliments) et de réglementations (Food Law, Paquet Hygiène)
pour assurer la qualité sanitaire, notamment microbiologique, des aliments ; celles-ci sont
présentées dans le chapitre 8. Pour permettre des échanges internationaux, des méthodes de
sécurité sanitaire sont définies par des organisations internationales intergouvernementales
ou privées telles que la Commission du Codex Alimentarius (CAC, Codex Alimentarius
Commission) (Debure, 2012). Cette dernière a promulgué le développement de la méthode
d’analyse des dangers et des points critiques pour leur maîtrise (HACCP, Hazard Analysis
and Critical Control Points) (Debure, 2012). Intégrée dans le Paquet Hygiène, c’est un des
trois points, avec les bonnes pratiques d’hygiène et la traçabilité, de ce qui est nommé
en France le plan de maîtrise sanitaire (PMS). Le PMS et l’HACCP sont présentés dans
le chapitre 9. Le chapitre 10 traite des aspects managériaux de l’HACCP et décrit deux
exemples concrets d’application.
Pour tenter de maîtriser la sécurité microbiologique des aliments et de prévenir les
crises sanitaires alimentaires, la surveillance des microorganismes depuis la production
primaire jusqu’à la distribution des denrées alimentaires, en passant par la transformation,
est indispensable. Elle nécessite des organisations institutionnelles et la mise en place de
plans de contrôle et de surveillance qui sont décrits, en ce qui concerne la France, dans le
chapitre 11. En pratique, cette surveillance est basée en partie sur l’utilisation de méthodes
d’analyses microbiologiques normalisées ou validées (chapitre 12). Ces méthodes sont
également utilisées pour vérifier et valider le bon fonctionnement des plans HACCP mis
en place par l’exploitant. La surveillance des maladies d’origine alimentaire est un autre
moyen d’évaluer l’efficacité des mesures préventives adoptées tout au long de la chaîne
de production alimentaire et de les faire évoluer le cas échéant. Le chapitre 13 décrit ce
système de surveillance tel qu’il est mis en place en France.
Le chapitre 14 explicite l’analyse et la gestion des risques, promues depuis une dizaine
d’années par la CAC afin de ne pas entraver injustement le commerce international, et
intégrées dans la Food Law. Celles-ci permettent de lier les actions mises en place pour la
sécurité sanitaire à des objectifs en termes de santé publique (EFSA, 2007). Le chapitre 15
quant à lui analyse les différents aspects de gestion d’une crise sanitaire alimentaire d’origine
microbienne à travers un exemple national.
Un des piliers de la gestion des risques microbiologiques est la connaissance la plus
complète possible des dangers. La troisième partie de ce livre est donc constituée de mono-
graphies de microorganismes avérés ou émergents d’intérêt, qu’ils soient infectieux et/ou
toxinogènes. Ceux-ci incluent non seulement les principales bactéries pathogènes alimentaires
(chapitres 16 à 26) dont les microorganismes histaminogènes (chapitre 27), mais égale-
ment des virus (chapitre 28), des parasites (chapitre 29) et des prions (chapitre 30). Les
moisissures (chapitre 31), les cyanobactéries et les micro-algues (chapitre 32) toxinogènes
sont abordées bien que les myco-, phyco- et cyanotoxines soient habituellement considérées
dans le cadre des dangers chimiques. La plupart de ces agents pathogènes est classée dans
les groupes de pathogénie 2 et 3 tels que définis à l’article R. 4421-3 du Code du travail.
Cet article fixe les niveaux croissants de pathogénie de 1 à 4 en fonction de la possibilité
d’engendrer une maladie chez l’Homme, de se disséminer dans l’environnement et de
l’existence de moyens prophylactiques ou thérapeutiques (Anonyme, 2008). La liste des
agents pathogènes (groupes 2 à 4) est donnée par l’arrêté du 18 juillet 1994 modifié par
l’arrêté 17 avril 1997 et celui du 30 juin 1998 (Anonyme, 1994, 1997, 1998). Les mono-
graphies présentées traitent des microorganismes pathogènes ou des métabolites d’origine
microbienne les plus importants en termes de prévalence et/ou d’effet sur la santé. Elles
ne sont pas exhaustives et ne considèrent par exemple ni Shigella ni les Escherichia coli
entéropathogènes autres que ceux producteurs de Shiga-toxines.
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Anonyme (1994). Arrêté du 18 juillet 1994 fixant la liste des agents pathogènes. JORF n° 175 du
30/07/1994, 11078-11081.
Anonyme (1997). Arrêté du 17 avril 1997 relatif à la liste des agents pathogènes et modifiant l’arrêté du
18 juillet 1994. JORF n° 98 du 26/04/1997, 6361-6362.
Anonyme (1998). Arrêté du 30 juin 1998 relatif à la liste des agents pathogènes et modifiant l’arrêté du
18 juillet 1994. JORF n° 167 du 22/07/1998, 11207.
Anonyme (2008). Article R. 4421-3 créé par décret n° 2008-244 du 7 mars 2008 – Article V. Code du
travail, partie réglementaire, 4e partie, livre IV, titre II, chapitre Ier.
Bourgeois CM, Mescle JF, Zucca J (1996). Microbiologie alimentaire. Tome 1 – Aspect microbiologique de
la sécurité et de la qualité des aliments. Lavoisier Tec&Doc, Paris.
Bourgeois CM, Larpent JP (1996). Microbiologie alimentaire. Tome 2 – Aliments fermentés et fermentations
alimentaires. Lavoisier Tec&Doc, Paris.
Debure A (2012). Crédibiliser pour expertiser : le Codex Alimentarius et les comités d’experts FAO-OMS
dans la production réglementaire internationale de sécurité sanitaire des aliments. Thèse de doctorat en
sociologie. École des hautes études en sciences sociales, Paris.
EFSA (2007). Microbiological criteria and targets based on risk analysis. EFSA J, 462 : 1-29.
Ikeda T, Tamate N, Yamaguchi K, Makin S (2005). Mass outbreak of food poisoning disease caused
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InVS (2016). Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives. Données de la déclaration obligatoire
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Maladies-a-declaration-obligatoire/Toxi-infections-alimentaires-collectives/Donnees-epidemiologiques.
InVS, Anses (2004). Morbidité et mortalité dues aux maladies infectieuses d’origine alimentaire en
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non-typhoidal salmonellosis, France, 2008-2013. Foodborne Path Dis, 12 : 664-666.
AA
grandes filières et les principaux domaines de recherche de l’agroalimentaire. Chaque ouvrage offre une synthèse complète
d’un sujet présentant les dernières innovations et est illustré de nombreux exemples et cas pratiques.
La collection est dirigée par Marie-Noëlle Bellon-Fontaine, professeur à AgroParisTech.
Risques
sant par la transformation, sont indis- tances officielles) ainsi qu’aux ensei-
pensables. gnants-chercheurs et aux étudiants dans
Cet ouvrage de référence traite des dan- le domaine de la microbiologie appli-
gers microbiologiques alimentaires quée à l’agroalimentaire et des risques
microbiologiques
majeurs (microorganismes infectieux ou sanitaires.
toxines d’origine microbienne) et des
risques associés pour l’Homme.
Illustré de nombreux schémas et tableaux
alimentaires
de synthèse, il fait un point complet sur
les notions fondamentales de micro-
MURIELLE NAÏTALI est maître de conférences
biologie générale, de physiologie en microbiologie à AgroParisTech,
microbienne et de modélisation, en département Sciences et procédés des
les appliquant aux microorganismes aliments et bioproduits (Massy).
pathogènes des aliments et en y inté-
grant les dernières avancées. Il présente LAURENT GUILLIER est chargé de projets
ensuite les outils de gestion du risque recherche au Laboratoire de sécurité des
microbiologique mis en place au niveau aliments de l’Anses (Maisons-Alfort).
européen et français. Enfin, les micro- FLORENCE DUBOIS-BRISSONNET est
organismes avérés ou émergents d’inté- professeur de microbiologie et sécurité
rêt font l’objet de monographies claires
editions.lavoisier.fr
-:HSMHOD=UWVU[V:
978-2-7430-2106-1