Hamza
Hamza
Hamza
THEME :
« ETUDE ET DIMENSIONNEMENT DE LA CHARPENTE
METALLIQUE DU MAGASIN DE STOCKAGE DE PRODUITS
COSMETIQUES SITUE A BAGUIDA AU TOGO ».
Jury :
Directeur de mémoire :
Dr Dany AYITE
RESUME
Le présent travail est réalisé dans le cadre du Projet de Fin de
formation pour l’obtention du Brevet de Technicien Supérieur.
L’objectif fixé par ce projet est la conception et le dimensionnement
d’une charpente à ossature métallique sis à BAGUIDA.
Les hypothèses, les méthodes, et les formules qui ont permis de faire le
dimensionnement des éléments structuraux de la toiture ont donné ce
qui suit :
Merci !
RESUME............................................................................................ i
DEDICACE ....................................................................................... ii
INTRODUCTION ................................................................................ 1
CHAPITRE I : GENERALITES............................................................. 3
CONCLUSION ................................................................................. 83
BIBLIOGRAPHIQUE ........................................................................ 86
ANNEXES ....................................................................................... 88
LISTES DES TABLEAUX
Tableau 1 : Cadre logique ................................................................ 22
Tableau 2 : Dispositions à respecter lors de la conception des
couvertures et du choix des entraxes entre les appuis...................... 24
Tableau 3 : Valeurs des pressions dynamiques de basses pour le Togo.
....................................................................................................... 28
Tableau 4 : Valeurs de Ce des parois inclinées dans le cas de vent
normal
....................................................................................................... 33
Tableau 5 : Valeurs de C1 ............................................................... 41
Tableau 6 : Longueur de flambage des éléments d’un treillis ............ 50
Tableau 7 : Courbe de flambage....................................................... 51
Tableau 8 : Les principales caractéristiques géométriques des boulons
....................................................................................................... 54
Tableau 9 : Entraxe des boulons et pinces ....................................... 55
Tableau 10 : Résultats de la conception ........................................... 62
Tableau 11 : Pressions dynamiques calculées .................................. 64
Tableau 12 : Charge permanente G et d’exploitation Q sur les pannes
....................................................................................................... 65
Tableau 13 : Valeurs des charges à l’ELU et à l’ELS ......................... 65
Tableau 14 : Valeurs des charges linéaires sur les pannes ............... 66
Tableau 15 : Valeurs des efforts décomposés ................................... 66
Tableau 16 : Valeurs de Iy et Iz........................................................ 67
Tableau 17 : Vérification de la résistance des pannes ....................... 67
Tableau 18 : Vérification des pannes à l’effort tranchant .................. 68
Tableau 19 : Vérification du déversement ........................................ 68
E : Module d’élasticité
e : Epaisseur
fy : Limite élastique
I : Moment d’inertie
i : Rayon de giration
LK : Longueur de flambement
M : Moment fléchissant maximal appliqué dans une section
P : Poids appliqué
𝜒K : Coefficient de réduction
𝜆K : Elancement
𝜆K : Elancement réduit
METALLIQUE [�]
Les structures métalliques regroupent l'ensemble des disciplines visant
à utiliser toutes formes de métaux quels que soient les métaux et
quelle que soit leur forme. Il s'agit ici de transformer la
matière première constituée de profilé de toutes formes ou de tôles
en objets manufacturés, charpentes, appareils à pression, objets de
consommation.
La figure suivante indique les différentes parties d’une structure
métallique.
METALLIQUE [�]
La construction métallique constitue un domaine important
d’utilisation
des produits laminés sortis de la forge. Elle emploie, en particulier, les
tôles et les profilés. Les structures constituées à partir de ces éléments
nécessitent des opérations préalables de découpage, de perçage et de
soudage en usine. L’emploi de l’acier pour des domaines très
spécifiques a permis de mettre en valeur des qualités telles que : la
légèreté, la rapidité de mise en œuvre, l’adaptation aux
transformations ultérieures et les propriétés mécaniques élevées
comme : la limite élastique, la ductilité et la résistance à la fatigue.
Les domaines d’application des constructions métalliques sont très
nombreux et concernent d’abord les bâtiments, les ouvrages d’art
(ponts, grandes couvertures) et les structures porteuses (pylône,
château d’eau, installations industrielles). Dans le cas des bâtiments,
les halles industrielles lourdes ou légères constituent un secteur ou
l’emploi de l’acier est fréquent pour la réalisation des ossatures et des
bardages recouvrant celles-ci et aussi pour l’utilisation des ponts
roulants. En Afrique, on remarque que les charpentes industrielles se
montrent compétitives grâce à la facilité du montage et de l’expédition
des éléments constitutifs par voie maritime ou terrestre ce qui permet
d’économiser des frais financiers importants par rapport à des
solutions plus ordinaires.
1.3 PHENOMENES D’INSTABILITE DES STRUCTURES
METALLIQUES [�]
Le calcul d’une structure exige que, sous toutes les combinaisons
d’actions possibles, définies réglementairement, la stabilité soit
assurée,
- Tant globalement, au niveau de la structure
On admettra dans ce cas que les sollicitations ne varient pas (ou peu)
sous l’effet des combinaisons ; il suffira de vérifier que les contraintes
restent inférieures à la contrainte de ruine.
Le flambage
Le déversement
Les actions sont des forces et moments dus aux charges et aux
déformations imposées à la construction. Les actions agissant sur une
structure sont de trois types :
Les actions permanentes G : poids propres, actions de la
précontrainte, déplacement différentiel des appuis, déformation
imposée à la construction
Les actions variables Q : charges d’exploitation, action du vent,
action de la neige, action de la température
Les actions accidentelles A : explosions, chocs, séismes.
Couvertures métalliques :
Longueurs : 2 à 3 m
Largeur : 0.86 m
Longueurs : 2 à 12 m
Longueurs : 1.5à 2 m
Largeur : 0.90 m
Longueur : 0.50 m
Largeur : 0.25
Résistance mécanique :
2.2 INCONVENIENTS
Prix : coût élevé (concurrentiel avec le béton armé pour les grandes
portées)
Résistance à la compression : moindre que le béton s’il y a
flambement.
La longueur de la structure : 50 m
La largeur de la structure : 20 m
Le cadre logique ;
OBJECTIFS
ACTIVITES RESULTATS ATTENDUS
SPECIFIQUES
Détermination de la pression
Étude du vent Collecte des données météo
aérodynamique
Tableau 2 : Dispositions à respecter lors de la conception des couvertures et du choix des entraxes entre les
appuis
Vérifier la résistance ;
��
(1)
�� = 𝛒
��
Kouma
Atakpamé
Lomé Aéroport
Dapaong
Niamtougou
Tabligbo
Mango
Kara
Sokodé
Stations météorologiques
Masse volumique de l’air 1,175 1,173 1,188 1,180 1,179 1,178 1,176 1,171 1,173
�𝐇 = �, � 𝐇 + �� (�)
H = hauteur à partir du sol environnant sensiblement horizontale dans
un grand périmètre en plaine autour de la construction
(H = 10 à 500 m).
Effet de site ( �� )
Ce facteur tient compte de la nature du site d’implantation de la
construction. On distingue :
Effet de masque ( �� )
Il y a masque lorsqu’une construction est masquée partiellement ou
totalement par d’autres constructions ayant une grande probabilité de
durée.
Effet de dimension ��
�� = �� ( �𝐇 × �� × �� × 𝛅 ) (�)
Avec :
�� ≥ �, �� ��
Action résultante sur une paroi
(�)
Avec
𝐂 = 𝐂𝐞 + 𝐂𝐢
(�)
�� = 𝐂 ∗ ��
(�)
�𝐞 = �, �� 𝐂 ∗ �𝐂 (�)
extérieures ( 𝑪� )
Cas des toitures (parois inclinées)
|� 𝑪�
|� | |� |
− 2 (0,25 + ) − 1,5 (0,333 − )
Versant 0° ≤ |�| ≤ 10°
100 100
plan |� | |� |
− 2 (0,45 − ) − 0,5 (0,60 + )
10° ≤ |�| ≤ 40°
100 100
° °
0 ≤ |�| ≤ 10 |� |
− 1,8 (0,4 + ) |� |
− 1,8 (0,40 − )
100
Avec min = - 0,80
100
Voûte
|� | |� |
− 2 (0,50 − ) − 1,8 (0, 40 − )
10° ≤ |�| ≤ 40°
100 100
Avec max = 0, 27
actions intérieures ( 𝑪𝒊 )
o Constructions fermées
Surpression :
Figure 14 : Coefficient ɣ0
1- Pour un vent normal à la grande face Sa :
Compte tenu de la pente des versants, les pannes sont posées inclinées
d’un angle (α) et de ce fait fonctionnent en flexion déviée (figure 15).
A l’ELU
1,35� + 1,5𝑄 ) x d
�� = ��� (
(10)
������ − 𝑊�
Avec
G : la charge permanente
Q : la charge d’exploitation
A l’ELS
�+𝑄
���� = ��� ( )xd (11)
������ − 𝑊�
Avec
G : la charge permanente
Q : la charge d’exploitation
f = n cos α (12)
Suivant l’axe zz’ par :
t = n sin � (13)
A l’ELU, on a :
tu = nu x Sinα (14)
fu = nu x Cosα (15)
A l’ELS, on a :
5 x f��� x
(19)
�4
���� =
384 x � x 𝐼�
5 x tser x �4
���� = (20)
384 x � x 𝐼�
�4
2.05 x tser x ( 2 )
���� = Dans le
plan
384 x � x 𝐼� maximal :
De ces formules on tire le moment d’inertie correspondant :
(21)
5x 200 x f�� � x �ᶟ
𝐼� ≥ ( )
(22) 384 x 𝐸
(23) 384 x 𝐸
ᶟ
𝐼� ≥ ( 2
) (24)
384 x 𝐸
E : module de YOUNG
A partir des relations Iy et Iz, on choisit le profilé IPE qui convient dans
l’abaque des IPE à l’annexe.
Cette vérification tient compte du type d’effort qui est appliqué dans la
section et de la classe de section du profilé. Le schéma statique d’une
panne sur deux appuis est illustré par la figure suivante :
2
( ⁄2 )
�� = �� x � (Dans le cas où il y a des liernes) (26)
Moment dû à f.
� 2
�� = �� x (27)
8
Avec
α=2, β=1
𝑊 ��� x
���� = (29)
��
(30)
𝛾��
𝑊 ��� x
���� =
��
����
Avec
lecture
sur abaque
����� : module de résistance plastique dans le plan z donné par
lecture
sur abaque
M ≤ Mb.Rd
(34)
Où
Avec
2
ϕLT = 0,5 [1 + αLT (λ̅ LT − 0,2) + λ̅ LT ] (38)
π E
λ E = √ f2 (40)
y
Tableau 5 : Valeurs de C1
Panne faîtière
L4 T4
L 3 T3
Fe
rm
L2 T2 es
L1 T1
Panne sablière
Calcul de la réaction R :
R = 1.25 × Qysd × l/2 (42)
T1 = R/2 (43)
Calcul de l’effort tranchant dans les tronçons L2, L3, L4, L5, L6
T2 = R + T1 (44)
T3 = R + T2 (45)
2T4 × cosθ = T3
3
T4 = T (46)
2cosθ
entrax e
Θ = tg-1 ( l⁄ ) (47)
2
L’effort maximal :
A × fy
Nsd = Tmax ≤
ɣMo
ɣ Mo × Tm ax
A≥ fy
π ϕ2 ɣ Mo × Tm ax
A= ≥
4 fy
ɣMo ×f T×𝜋
max ×4
𝝓≥√ y
(51)
Les nœuds.
𝒈 = (𝑮 x �𝒕) (52)
Avec
Lt : largeur tributaire
� = 𝑸 ∗ �𝒕
(53)
Avec
Lt : largeur tributaire
A l’ELU :
A l’ELS:
𝑊��� = � + � (55)
Avec
Il s’agit de déterminer les charges P0, P1, et P2 à l’ELU qui agissent sur
les nœuds des poutres à treillis. Ces différentes charges s’appliques à
la moitié de l’entraxe entre pannes. Elles sont obtenues par les
relations
suivantes :
Avec i = 1, 2, …, n
Lorsque les charges sont appliquées aux nœuds, les barres sont
sollicitées par des efforts normaux de tractions ou de compressions.
Σ F/x = 0
Σ F/y = 0
Σ M/A = 0
CALCULS DES EFFORTS INTERNES DANS CHAQUE BARRE
Pour le calcul des efforts dans les barres, nous nous reporterons au
cours de Structures. Il existe plusieurs méthodes de calcul des efforts
dans les barres. Pour notre étude, nous utiliserons la méthode de
coupes. Cette méthode consiste à couper un treillis en deux parties
distinctes en extériorisant uniquement 3 inconnus.
Avec :
A × fy
NPL = (Résistance plastique de la section brute) ; (59)
ɣM
o
Conception et Dimensionnement d’une charpente à ossature métallique
N Ed × ɣ
A≥ (62)
Mo
fy
Avec :
fy : limite élastique
Avec :
𝜒k : coefficient de flambage
A : l’aire de la section de l’élément comprimé
fy : limite élastique
LK = L × K (65)
Longueur de Longueur de
Elément porteur flambage dans le flambage hors
plan du treillis (zz’) plan (yy’)
Membrures 0.9L L
Montants 0.8L L
Courbe de
A b c d
flambage
Dimensionner l’échantignole.
L’EXCENTREMENT « t »
Panne
Echantignole
(73)
2×(�⁄2) ≤ t ≤ 3×(�⁄2)
b : largeur du profilé choisi
La charge vaut :
QZ = ����� − 1.5 𝑊� (74)
La réaction de la panne sous la combinaison ����� − 1.5 𝑊�, vaut :
���
R= (75)
�
2
Mr = 2R × t (76)
Msd = Mr
Msd ≤ Mrl,rd { fy × W (77)
Mrl,rd
el
=
ɣM0
b × e ɣ M0 × Mr
Wel = 2
≥
6 f
y
L’épaisseur de l’échantignole est définie par la relation :
6 ×ɣM0 ×Mr
e≥√ (79)
b .fy
2.3.7 Assemblage
(6 pans)
d (mm) 8 10 12 14 16 18 20 22 24
d0 (mm) 9 11 13 15 18 20 22 24 26
A (mm2) 50,3 78,5 113 154 201 254 314 380 452
𝝓 rondelle 16 20 24 27 30 34 36 40 44
(mm)
𝜙 clé (mm) 21 27 31 51 51 51 58 58 58
M12 40 25 20 35 20 15
M16 50 35 25 40 25 20
M20 60 40 30 45 30 25
M24 70 50 40 55 35 30
M27 80 55 45 65 40 35
n : nombre de boulons
µ : coefficient de frottement
ɣMs = 1.25 pour les trous à tolérance normale et pour les trous oblongs
dont le grand axe est perpendiculaire à l’axe de l’effort
Il faut vérifier que les pièces peuvent supporter les pressions latérales
auxquelles elles sont soumises. La résistance à la pression latérale est
influencée par :
(83)
n
t
Fb = 2.5 × fu × d × α × ɣ (84)
Mb
Avec :
�1 �1 1 �𝑏�
α = min [ ; − ; ; 1]
Par contre, les trous de fixation des boulons doivent être prise en
considération dans les zones en traction. Il faut vérifier la résistance de
la section nette au moyen de la relation suivante :
0. 9 × fu × Anet
NEd ≤ = Nu
(87) ɣM2
Avec :
Nombre de pannes 5
Poids de
10
couverture
Charges
permanentes 16
G (daN/m2)
Poids des
6
pannes
Max{� + 𝑊� ; 1,35� +
ELU 171,60
1,5𝑄}
Valeurs en daN/m
Effort pondérés
ELU ELS
F 561,95 379,87
T 140,11 94,71
suivant et Iz obtenus
Tableau 16 : Valeurs de Iy et Iz
Moment Valeurs
Axes Le profilé
d’inertie (mm4)
�
�� ��
Vérifiée
( ) +( )≤�
� � 0,64≤ 1
��� ���
2.2.3 Vérification de l’effort tranchant
V 14478.75
Vpl 111319.93
h (mm) 160
tf (mm) 7,4
iz (mm) 18,4
C1 1,132
�K 147,88
�E 94
�K 1,57
�K ≤ 0.4 Non
��� 1,88
𝝌K 𝐓≤ 1 0,34
βw 1
My (daN.m) 737,85
Fy (MPa) 235
My ≤ Mb, Rd - Stable
Longueur de la panne
5
en m
R 437.84
T1 218.92
T2 656.76
T3 1094.6
T4 805.55
Tmax T3 = 1094.6
𝝓 = 10 mm.
III. PRESENTATION DES RESULTATS DU DIMENSIONNEMENT
DES POUTRES EN TREILLIS
3.1 CALCUL DES CHARGES APPLIQUEES
Poids de la
10
Charges couverture
permanentes 250
Poids charpente
50 5
G (daN/m²) métallique 40
(fermes, pannes)
P0 12.02
P1 1087.5 26.70
P2 29.36
Σ F/x = 0 ⟹ RXA = 0 KN
1 et 28 413.77 Compression
2 et 29 401.48 Traction
3 et 27 0 Neutre
4 et 24 353.04 Compression
5 et 25 60.1 Compression
6 et 26 401.48 Traction
7 et 23 12 Traction
8 et 20 292.33 Compression
9 et 21 64.63 Compression
11 et 19 26.67 Traction
12 et 16 231.63 Compression
13 et 17 71.94 Compression
14 et 18 283.72 Traction
15 82.72 Traction
Eléments
Barres Efforts Nature
porteurs
Membrure
1 413.77 KN Compression
supérieure
Membrure
2 401.48 KN Traction
inférieure
Désignations Valeurs
aire de la section A
387.20 1879.27
(mm²)
Désignations Valeurs
L’aire de section A
336.74 1936.80
(mm²)
Axe (yy’)
Eléments porteurs
2L 2L 2L 2L
50×50×5 80×80×8 110×110×10 120×120×12
Longueur de
flambement 3202 2210
(mm)
�E 94
𝛂� (Courbe c) 0.49
fy (MPa) 235
t 120
Désignations Valeurs
au vent Qz 2058.6
(N/m)
Mr (N.m) 1235.20
4.2 DIMENSIONNEMENT DE L’ECHANTIGNOLE
Le tableau suivant donne la valeur de l’épaisseur de l’échantignole.
Désignations Valeurs
Mr (N.mm) 1235.20
Montant
{
Diagonale ⇒ 2L 80 × 80 × 8
Membrure supérieure
{ ⇒ 2L 120 × 120 × 12
Membrure inférieure
La vérification de la résistance des boulons précontraints nous permet
de déterminer le nombre de boulons nécessaires pour l’assemblage. Le
tableau suivant résume le nombre de boulons calculés.
Tableau 32 : Nombres de boulons
Eléments porteurs
Epaisseur (mm) 8 8 12 12
Choix de « d »
14 14 22 22
(mm)
Effort sollicité V
82.72. 103 71.94. 103 413.77. 103 401.48. 103
(N)
Ks 1 1 1 1
m (nombre de
plan de 2 2 2 2
cisaillement)
n (nombre de
4 4 8 8
boulon)
Eléments porteurs
d (mm) 14 14 22 22
n 4 4 8 8
t (épaisseur
déterminante des 3.06 2.66 7.18 7.03
pièces) (mm)
Epaisseur (mm)
8 8 12 12
(cornières) « ép »
Choix : Gousset
8
ép(mm) ép ≥ t
Eléments porteurs
2L 80 × 80 × 8 2L 120 × 120 × 12
Pente 3‰
Pour chaque élément, les charges ont été évaluées puis les sections
dimensionnées suivant les démarches appropriées. Les résultats ont
permis d’avoir :
Désignations Valeurs
Désignations Valeurs
F/x = 0 ⇒ RxA = 0
RyB = 112.12 KN
D’où :
RyA = 224.24
RyB −= 112.12
112.12= 112.12 KN
KN
{
CALCUL DES EFFORTS DANS LES DIFFERENTES BARRES
Nœud 1 :
F1 = - 413.77 KN Compression
Σ F/x = 0 ⇒ F1x + F2 = 0
F2 = 401.48 KN Traction
Σ F/y = 0⇒ F3y = 0
F3 = 0 KN Neutre
Nœud 3 :
Nœud 4 :
Σ F/y = 0 ⇒ F7 – F5sin11.52 = 0
F7 = 12 KN Traction
F7 = 342.59 KN Traction
Nœud 6 :
Nœud 7 :
Σ F/y = 0 ⇒
F12 sin14 + F16 sin14 – F15 – P2 = 0
Montant
2L 80 × 80 × 8
A = 1230 mm2 1
Coupe 1-1
Membrure inférieure
2L 120 × 120 × 12
A = 2750 mm2
Anet == 864
(120mm
× 12)
2 -(�
2(24
) × 12)
e2 = 35 mm