Cours API L3
Cours API L3
Cours API L3
INDUSTRIELS
(API)
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I. INTRODUCTION
Les API sont apparus aux Etats-Unis vers 1969.
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I.2 Objectifs de l’automatisation
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II.2 Aspect extérieur des API
La structure interne d’un API est assez voisine de celle d’un système
micro-programmé.
Le compteur de programme est un simple séquenceur, qui met
cycliquement en communication, dans un ordre immuable, les mots
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de mémoire programmé avec le processeur.
L'automate programmable reçoit les informations relatives à l'état
du système et puis commande les pré-actionneurs suivant le
programme inscrit dans sa mémoire.
une mémoire ;
un processeur;
des interfaces d’entrées-sorties ;
une alimentation 230 V, 50/60 Hz (AC) - 24 V (DC).
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II.4 Rôle d’un automate
On distingue :
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III. DESCRIPTION DES ELEMENTS D’UN API
III.1 La mémoire
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III.3 Les interfaces
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- Saisie des informations : à l’aide des capteurs (de température,
pression, déplacement, impulsion, …) ;
- Interface d’entrée : pour la mise en forme du signal, système anti-
parasite, …
- Traitement logique : pour effectuer des opérations OU, ET, lire l’état
d’une variable, ranger le résultat, utiliser le système de
microprocesseur ;
- Interface de sortie : pour commander les actionneurs ( relais,
électrovannes, moteurs, …). 19
IV.1 Principe général de fonctionnement d’un API
Etc.
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V. JEU D’INSTRUCTIONS
En fin de cycle les sorties sont affectées d’un état binaire, par mise
en communication avec les mémoires correspondantes.
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Le processeur peut exécuter un certain nombre d’opérations
logiques; l’ensemble des instructions booléennes des instructions
complémentaires de gestion de programme (saut, mémorisation,
adressage ...) constitue un jeu d’instructions. 25
V.1 Opérations logiques de base
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V.3 Langages d'automates
On distingue :
VI.1 Principe
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En conformité avec la philosophie des automates, les besoins de
communication inter-automates sont couverts par des réseaux d'automates.
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VI.2 Différents types de réseaux d’automates
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VI.2.2 Réseau en anneau
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VI.2.3 Réseau hiérarchisé
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VII. Instructions spécifiques pour une
première mise en œuvre de l’API
Tester. 38
VII.2.2 Exploitation indirecte du grafcet
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VII.2.3 Présentation et raccordement automate
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EXEMPLE : automate de type ABB
L’automate schématisé ci-dessous est un ABB 07 KR 91 de la
gamme CS 31 dont voici le schéma :
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1 : Montage de l’automate sur un rail DIN
2 : Montage de l’automate avec des vis
3 : Connexion de terre
4 : Alimentation de l’automate
5 : Sortie 24 V DC pour alimentation des entrées
6 : Batterie de sauvegarde des données et des
programmes
7 : Emplacement pour batterie de sauvegarde
8-10 : 20 entrées réparties en trois groupes
isolés entre eux (8 + 8 + 4)
11 : Définition écrite des entrées
12-14 : 12 sorties réparties en trois groupes
isolés entre eux (4 + 4 + 4)
15 : Définition écrite des sorties
16 : Prise série pour programmation et
communication
17 : Connecteur pour réseau de terrain CS 31
18 : Trappe d’accès pour EEPROM
19 : Interrupteur programmation/marche
20 : Indicateur led pour alimentation et batterie
21 : Indicateur led pour fonctionnement et
erreurs
22 : Indicateur led pour réseau de terrain CS 31
23 : Indications pour isolation et mise à la terre
24 : Film plastique sur face avant amovible pour
écriture des entrées et sorties
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VIII. Le langage à contacts ou ‘Ladder
Diagramme’
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Symbolique Ladder
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Règle
Le ‘ET’ logique de plusieurs variables est représenté dans
le langage Ladder par la mise en série des symboles
associés à ces variables.
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