LINCINERATION
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Sommaire
- INTRODUCTION
- Collecte De Déchets
- L'incinération
- L'incinération simple
- La valorisation énergétique
- Un incinérateur
- Un fonctionnement en continu
- La matière traitée
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- Résidus de l’incinération des déchets
- Le rendement énergétique
- Impact écologique
- Conclusion
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INTRODUCTION
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Collecte De Déchets :
La première étape du traitement des déchets La gestion des déchets regroupe l'ensemble du
processus de traitement d'un déchet. Elle répond à la stratégie dite des 3 R :
réduire ;
réutiliser ;
recycler.
Le taux de réussite du principe des 3 R est encore insuffisant en France, faute de bonne
volonté, de moyens et de technologies nouvelles.
Elles mettent à disposition de tous les concitoyens un plan de tri des déchets :
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Déchets Procédure
Le ramassage Les résidences particulières ou collectives disposent de deux
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déchets classiques conteneurs spécifiques pour le tri des déchets.
1 à 3 fois par semaine, un camion vient vider l'un de ces conteneurs :
l'usager doit placer sa poubelle la veille au soir ou tôt le matin dans la
rue et la remettre dans sa propriété une fois vidée.
La collecte de l'eau Cette collecte s'effectue sans l'intervention du consommateur.
Les eaux usées sont évacuées vers les stations d'épuration.
La collecte des Pour éviter d'encombrer les trottoirs, il est interdit de poser un meuble
encombrants ou un objet volumineux (matelas, cycles, végétaux non volumineux,
ferraille) à collecter en dehors des heures et des jours de collecte.
La déchetterie Pour éviter les dépôts sauvages, la mairie peut aussi proposer quelques
mobile journées supplémentaires de collecte des encombrants.
Le camion sillonne la ville selon un parcours précis.
Pour accéder à la collecte, il faudra venir à lui muni d'un justificatif de
domicile.
La collecte sur La collecte des encombrants se fait sur rendez-vous téléphonique pour
rendez-vous éviter d'encombrer les rues.
La collecte des La mairie distribue des sacs en papier recyclable et solide.
déchets verts Après avoir tondu la pelouse ou taillé les haies, il faut mettre ses rebuts
dans les sacs et le placer dans la rue, le jour de la collecte.
La collecte des Il s'agit, en général, d'une déchetterie mobile. Le camion parcourt la
déchets toxiques ville et récupère les piles, pots de peinture, solvants, huiles, ampoules,
radiographies médicales ou les aérosols usagés.
La collecte de Une association met à disposition un conteneur ou se déplace sur un
vêtements lieu donné durant une journée.
Pour y déposer ses vêtements usagés, le consommateur doit se déplacer
sur place.
La collecte de Certaines mairies organisent la collecte des papiers et des cartons
papier ou carton usagés.
Ces derniers doivent être en bon état.
Le consommateur se déplace jusqu'au conteneur le plus proche de chez
lui.
La collecte des Pour les bouteilles et les bocaux en verre, les mairies placent des
verres conteneurs spécifiques sur l'ensemble de leur territoire.
Au consommateur de porter ses déchets en verre jusqu'au point de
collecte le plus proche de chez lui.
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L'incinération, c'est tout simplement le fait de brûler un objet. Sauf que pour l'incinération
des déchets,Les traitements thermiques, par l’action de la combustion, réduisent le volume et
la masse des déchets et conduisent à leur minéralisation. deux choix s'offrent à nous :
L'incinération simple.
La valorisation énergétique.
Incinération.
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Récupération de la chaleur émise lors combustion (dans le cas de la valorisation
énergétique).
Traitement des fumées avant le rejet de celles-ci dans l'atmosphère.
L'incinération simple :
Nous parlons d'incinération simple lorsque l'énergie qui est produite par la combustion
n'est pas récupérée. Le traitement thermique permet de brûler les déchets ménagers dans des
fours aménagés à cet effet. Nous savons que pour toute incinération, nous obtenons une très
forte réduction des volumes des déchets et une minéralisation de ceux-ci. Les principaux
polluants présents dans les déchets entrants se concentrent dans les fumées, qui sont ensuite
rejetées dans l'atmosphère. C'est pour cela que les fumées sont dépolluées avant d'être rejetées
dans l'atmosphère.
Les déchets traités par l'incinération simple sont des déchets de type organique, liquide ou
encore boueux. Nous y trouvons donc des hydrocarbures, des solvants, des déchets huileux,
des déchets de peinture, des vernis, des encres et des déchets de synthèses organiques.
La réalisation de l'incinération s'effectue à une température qui va de 1 000°C à 1 300°C.
A cette température, les molécules toxiques sont décomposées. Lorsque les fumées sortent de
la chaudière, elles sont acides et contiennent des métaux lourds, c'est pour cela qu'elles sont
stoppées lorsqu'elles sont au contact de chaux, de lait ou tout simplement d'eau.
La valorisation énergétique peut se traduire comme une incinération avec récupération
Le haut niveau de température atteint à la sortie du four permet de récupérer la chaleur
sous forme d'eau chaude ou de vapeur (qui est soit utilisée en interne par le centre de
traitement ou vendue à l'extérieur du centre dans le cas d'une valorisation énergétique).
L'énergie qui est dégagée lors de la combustion est ensuite récupérée.
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Incinération
Ainsi on produit de la vapeur pour alimenter des systèmes de chauffage. Nous
avons également une production d'électricité grâce à des turbo-alternateurs. La valorisation
qui permet la production de chaleur et d'électricité s'appelle la cogénération.
Cette méthode prend en compte tout type de déchets sauf les déchets dits "ultimes"
Un incinérateur :
C’est un dispositif qui détruit des objets par une combustion aussi complète que possible. Il se
présente généralement comme une sorte de four où la chaleur dégagée par les matériaux en
cours de combustion est suffisante pour enflammer les matériaux ajoutés.
Ce mot désigne souvent l'UIOM (Usine d'Incinération des Ordures Ménagères) ou l’UVE
(Unité de Valorisation Energétique).
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une Chaudière pour récupérer l’énergie
un filtre de traitement des fumées avec captage des polluants savants rejets dans
l’atmosphère (empêcher la propagation dans l'air).
Un fonctionnementen continu :
La combustion des déchets est autoalimentée, c’est-à-dire qu’aucun autre combustible
n’est nécessaire au maintien de la combustion. Toutefois, un brûleur (alimenté au gaz ou au
fioul la plupart du temps) est toujours nécessaire pour assurer trois fonctions :
La combustion qui a lieu dans le four ne peut être totale et ne transforme pas tous les
déchets en fumées : pour 1000 tonnes de déchets brûlés, environ 300 tonnes de résidus
solides, appelés mâchefers, sont recueillis à la base du four. Ils sont refroidis et envoyés en
centre de stockage ou utilisés en sous-couche routière après une phase de maturation, au
mépris de la protection de l’environnement (impacts sur l’eau et les sols).
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3. Les fumées et les résidus d’épuration des fumées (REFIOM)
L’incinération produit aussi des résidus gazeux. A la sortie du four, ces fumées sont
extrêmement toxiques, puisqu’elles contiennent en grande quantité métaux lourds, dioxines et
furanes, oxydes d’azote et de soufre, etc. Une partie de la chaleur véhiculée par les fumées
peut être récupérée par une chaudière à des fins de production d’électricité et/ou de chauffage.
Les fumées passent ensuite dans différents systèmes de filtration et d’épuration pour les
dépoussiérer et réduire la quantité d’un certain nombre de polluants. Pour cela, des produits
chimiques sous forme liquide et solide sont injectés dans les fumées. Leur épuration génère
ainsi des effluents liquides et des résidus solides très toxiques, les REFIOM, destinés à
l’enfouissement spécifique pour déchets dangereux.
Les fumées sont finalement évacuées dans l’atmosphère par une cheminée. A ce stade,
ce n’est pas de la vapeur d’eau qui sort : les fumées contiennent encore des particules fines et
ultrafines sur lesquelles se fixent les polluants (certains types de métaux lourds, etc.) qui n’ont
pas pu être captés par les systèmes de traitement, ainsi que de grandes quantités de CO2, gaz à
effet de serre contribuant au réchauffement climatique. Certains polluants doivent répondre à
des normes de rejet mais beaucoup d’entre eux ne sont toujours pas réglementés. Les
particules qui en sont chargées retombent dans l’environnement, bien au-delà de la zone
d’émission, s’accumulant dans la chaîne alimentaire pour aboutir dans nos assiettes.
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Types de four :
Plusieurs formes de technologies peuvent être mises en œuvre. Elles diffèrent selon le
type de four ou de chaudière utilisé. Le choix d'un four repose sur le rendement thermique
recherché mais aussi sur la qualité des rejets atmosphériques.
En effet, les rejets sont d'autant plus faibles que la combustion est bonne. Moins
d'équipements périphériques sont alors requis pour le traitement des effluents. Le choix
repose également sur d'autres éléments comme la capacité annuelle de l'installation, la
quantité et la qualité des cendres et des mâchefers produits.
On distingue ainsi :
les fours à grille : les déchets avancent dans le foyer du four sur une grille mobile au
travers de laquelle circule l'air nécessaire à la combustion. C'est le four le plus
répandu.
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Incinération
les fours tournants : les déchets entrent dans un four cylindrique incliné dans lequel
circule de l'air. Le four tourne et permet ainsi la progression des déchets dans le foyer,
dans le même sens ou à contre-courant de l'air de combustion.
les fours à lits fluidisés : les déchets sont broyés puis mélangés à un lit de sable. L'air
de combustion est insufflé vers le haut à travers le lit mis en mouvement et porté à
température élevée. Ce procédé peut être rotatif ou circulant.
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Incinération
Une fois refroidis, les gaz de combustion sont dépollués. Les polluants sont des poussières
(cendres volantes), des gaz acides (HCl, SO2/SO3et HF principalement), des métaux lourds et
des particules imbrûlées, On dénombre quatre procédés principaux de traitement des fumées :
-La voie sèche :les gaz de combustion contenant les polluants particulaires et gazeux sont
traités par voie sèche dans une gaine de réaction puis dépoussiérés avant d'être rejetés dans
l'atmosphère. Un réactif basique (principalement l’hydroxyde de calcium (Ca(OH)2) ou
l’hydrogénocarbonate de sodium (NaHCO3), appelés respectivement «chaux» et
«bicarbonate» dans l’industrie) finement broyé est injecté par voie pneumatique dans la gaine
de réaction où il est intimement mélangé aux gaz de combustion. Les gaz acides sont
neutralisés en phase sèche au contact du réactif basique. Un dispositif d'injection de charbon
actif permet de parfaire le traitement des métaux lourds encore sous forme gazeuse et des
composés organiques. Les particules solides (produits de réaction, cendres volantes et métaux
lourds condensés) sont séparées des fumées dans un dépoussiéreur. Les fumées épurées sont
rejetées dans l'atmosphère via un ventilateur et la cheminée.
- la voie semi-humide : les gaz de combustion contenant les polluants particulaires et gazeux
sont traités par voie semi-humide dans une enceinte de réaction, puis dépoussiérés avant d'être
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rejetés à l'atmosphère. Dans l'enceinte de réaction, les gaz acides réagissent d'abord en phase
liquide avec le réactif basique en solution finement pulvérisée par une turbine tournant à
grande vitesse. La vaporisation de l'eau entraîne la cristallisation des sels dissous dans les
gouttelettes et une diminution de la température des fumées. Ceci favorise les réactions de
neutralisation et la condensation des métaux lourds. Lorsque toute l'eau s'est évaporée, les gaz
acides résiduels sont neutralisés en phase sèche au contact du reste du réactif basique. La suite
du traitement est le même que pour la voie sèche.
- la voie humide : les gaz de combustion sont traités par voie humide après dépoussiérage
puis saturation en eau des fumées. Les gaz acides sont dissous dans une solution de lavage
circulant dans des tours, puis neutralisés par un ou plusieurs réactifs basiques. Le nombre de
tours et la nature des réactifs sont optimisés en fonction des performances recherchées. Des
dévésiculeurs installés à la sortie des tours arrêtent les gouttelettes en suspension dans les
fumées. Les fumées sont ensuite rejetées dans l'atmosphère via le ventilateur et la cheminée.
Les solutions de lavage neutralisées sont dirigées vers une installation de traitement afin
d'extraire les particules en suspension et les métaux lourds dissous. Les eaux épurées peuvent
alors être éliminées dans une installation d'évapo-cristallisation ou rejetées dans le milieu
naturel.
- la voie humide sans rejet liquide, ou voie mixte :ce principe de traitement des fumées
combine les systèmes de la voie humide et de la voie semi-humide dont il cumule les
avantages. Seul le traitement des effluents diffère de celui de la voie humide. Les solutions de
lavage neutralisées sont dirigées vers une enceinte d'évaporation pour y être mélangées aux
gaz de combustion qui contiennent les polluants particulaires et gazeux. La vaporisation de
l'eau entraîne la cristallisation des sels dissous dans les solutions de lavage et une diminution
de la température des fumées. Ceci favorise la condensation des métaux lourds. Un dispositif
d'injection de charbon actif permet de parfaire le traitement des métaux lourds gazeux et des
composés organiques (dioxines et furanes). Les particules solides (sels cristallisés, cendres
volantes et métaux lourds condensés) sont séparées des fumées dans le dépoussiéreur.
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L’incinération est techniquement délicate à maîtriser Empiriquement, on fait référence à la
règle des trois(T) Pour réaliser la combustion de déchets, il est nécessaire de contrôler trois
facteurs : la température de combustion, le temps de séjour et la turbulence.
2. Temps de séjour
En pratique, le temps de séjour moyen est déterminé par le rapport ts=Q/V, entre le
débit volumique de gaz Q produit par la charge incinérée et le volume V de la chambre de
combustion .Pour les solides, le temps de séjour dans le four peut varier entre une demi-heure
et trois heures et en moyenne 60 minutes. Ainsi, pour l’incinération de déchets solides on
choisit toujours une incinération multi chambré.
Le temps de séjour est la durée pendant laquelle les molécules sont exposées aux
hautes températures. Il doit être suffisamment long pour assurerle déroulement complet des
différentes réactions. Il sera d’autant plus cours qui les températures seront élevées. Pour les
liquides, ts est pratiquement réduit à quelque secondes.
3. Turbulence
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Diagramme ternaire de combustion
L’incinération a atteint un haut niveau technique, mais nécessite une infrastructure
importante ; La nature et la proportion de ces trois fractions confèrent aux déchets leur
caractéristiques thermiques soit :
La matière traitée
des matériaux contenant une fraction inerte valorisable, de type métaux, ceux-ci
n’étant pas oxydés lors du traitement pyrolytique, et donc recyclables. C’est le cas des
rebuts de fabrication de pièces composites métal-caoutchouc, pour l’élimination de
pneus usagés ;
des matériaux subissant des changements de phase, en fonction du niveau de
température, et donc entraînant des processus de ramollissement avec agglomération
de la charge à traiter. C’est le cas de déchets plastiques ou de déchets contenant des
métaux fusibles ;
des matériaux contenant une fraction volatilisable aux températures de l’incinération.
C’est le cas des déchets contenant des sels ou des métaux vaporisables ;
des matériaux fortement azotés, chlorés ou soufrés, leur pyrolyse limitant la génération
de polluants gazeux de type NOx, HCl et SOx ;
des boues biologiques contaminées, permettant leur séchage/ hygiénisation et
carbonisation de leur fraction organique.
les déchets ou résidus agro-alimentaires
les déchets de bois et autres rebuts d’exploitation forestière
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sont susceptibles d’être relâchés sous l’action de l’eau. S’ils sont issus de
l’incinération de déchets industriels, ils sont considérés comme des déchets dangereux.
2) les résidus d’épurations des fumées constitués des cendres de dépoussiérage et des
résidus de détoxication des fumées issus du traitement des gaz.
Les sous-produits
de la chaleur et de la vapeur
des effluents gazeux
des résidus solides
Parmi les sous- produits solides de l’incinération, on distingue les résidus sortant du four, les
mâchefers, et les déchets produits par les unités de traitement des fumées décrites
précédemment, les REFIOM.
Le rendement énergétique
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Deux types d’énergie sont produits dans une usine d’incinération : de la chaleur et de
l’électricité. Chacune obéit à un mode de production propre et leurs rendements se révèlent
inégaux.
la production de chaleur. Pour cela de l’eau, chauffée par la combustion des déchets,
suffit. Le rendement se révèle alors très bon : 70 à 80 % de la chaleur de combustion
sont récupérés après incinération, soit environ 1 500 kilowatts/heure thermiques par
tonne d’ordures. Il faut bien sûr lui trouver ensuite une utilisation dans les environs de
l’usine.
la production d'électricité. L’échangeur doit contenir de la vapeur à la plus
haute pression possible. Cette vapeur est dirigée vers une turbine qui entraîne un
générateur électrique. L’électricité produite peut être apportée au réseau électrique
toute l’année. Le rendement énergétique est de l’ordre de 20 à 25 % (300 à 400
kilowatts-heure).
1) Les avantages :
2) Les inconvénients :
Les fumées rejetées par les usines d'incinération contiennent des métaux lourds, de la
dioxine...qui sont une menace pour la santé de l'homme
Investissement élevés Coûts de fonctionnement en forte croissance
Pollution de l'air
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L'incinération produit des gaz d'échappement parfois toxiques (demande une filtration
efficace).
Les matériaux contenant du chlore ou des métaux ne doivent donc pas être incinérés
car les dioxines, les furanes et les métaux sont persistants et s'accumulent dans
l'environnement.
Efficacité pour l'élimination des déchets chimiques et pharmaceutiques satisfaisante
seulement dans les incinérateurs à four tournant.
Contrôle des températures (et par là l'efficacité du procédé) est très difficile dans des
incinérateurs simples.
Procédé très coûteux dans les cas de l'incinération à hautes températures.
Procédé demande un pré collecte consciencieuse car tous les déchets ne sont pas
convenables à l'incinération.
Impact écologique :
Peu à peu, nous avons pris conscience que les fumées des incinérateurs étaient très
toxiques ! L'incinération transforme les déchets en fumées mais également en gaz (gaz à effet
de serre), en vapeur métalliques (uniquement lorsque nous avons combustion du plomb ou du
mercure) et en résidus solides (mâchefers). Depuis le début de la mise en place des
incinérateurs, nous avons laissé ces derniers polluer l'atmosphère. Depuis peu, les états riches
prennent des mesures afin de rejeter le moins de pollution possible dans l'atmosphère. Mais
dans les états assez pauvres, aucune mesure n'est prise et ceci est un désastre pour
l'environnement.Ceci a aussi un impact sur la santé des personnes habitant proche de ces
incinérateurs. En effet, on a détecté une progression du nombre de cancers dû aux dioxines
présentes dans les fumées qui sont rejetées dans l’atmosphère.
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Conclusion
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Bibliographie :
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