L'audit Interne
L'audit Interne
L'audit Interne
1- Définition de l’audit.
2- Evolution historique du concept « audit ».
3- Objectifs de l’audit.
4- Différents sorte de « audit ».
5- Audit interne - audit externe.
6- La méthode de l’audit.
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3-) ETUDES ET RECHERCHES FAITES PAR LA STAGIAIRE AU
COURS DU TRIMESTRE :
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Objet du rapport :
- C’est pour cette raison que j’ai orienté mon rapport qui a pour objet de décrire
les éléments de méthodologie qui permettent d’aboutir aux équilibres existants
dans une entité entre la structure, l’organisation et les modes de fonctionnement
que sont le contrôle interne et l’audit.
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2-) EXPOSE SNTHETIQUE ET SUCCINCT DE L’ACTIVITE
PROFESSIONNELLE DURANT LE TRIMESTRE :
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Au 15ème siècle, les Médicis ont mené une réflexion sur le critère
d’amélioration du rendement en évaluant la perte de poids d’un stade de
fabrication à un autre ou d’une production à un autre.
Nous avons tenu dans cette partie à donner un aperçu sur l’histoire du
contrôle interne car cette notion revêt une importance capitale pour l’audit.
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Les moyens pour réaliser ces objectifs comprennent des principes, des
techniques, des moyens matériels, des hommes et un organe dédié à cette
fonction ”.
" Le contrôle interne est un processus qui permet à des organes dirigeants
d’une entreprise et à son personnel d’obtenir une assurance raisonnable que les
objectifs qu’ils se sont fixés seront atteints ".
Il se manifeste par :
- L’organisation.
- Les méthodes.
- Les procédures.
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- L’amélioration des performances.
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- Les instructions données doivent être claires et compréhensibles.
- Les instructions reçues doivent être comprises.
- Les instructions reçues ne doivent pas être déformées.
- Les instructions reçues doivent être correctement exécutées, ce qui
implique un contrôle de son exécution.
La rédaction et l’analyse des manuels de procédures, rédigés à l’attention
des personnes opérant dans l’entreprise, sont un des moyens permettant de
répondre aux cinq points précédents. L’ensemble des procédures écrites à
l’attention des membres du personnel de l’entreprise constitue " une sécurité
permanente " pour définir et appliquer les instructions de la direction.
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Il existe cependant certains principes généraux dont le respect conférera au
contrôle interne une qualité suffisante, parmi lesquels on peut citer :
- Le principe d’organisation.
- Le principe d’intégration.
- Le principe de permanence.
- Le principe d’universalité.
- Le principe d’indépendance.
- Le principe d’information.
- Le principe d’harmonie.
Ces principes doivent être entendus au sens de " moyens " permettant de
tendre vers les objectifs de contrôle interne.
Principe d’organisation :
- Etre préalable.
- Etre adaptée et adaptable.
- Etre vérifiable.
- Etre formalisée.
- Comporter une séparation convenable des fonctions.
Principe d’intégration :
- La préparation.
- L’autorisation.
- L’exécution.
- Le contrôle.
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Principe de permanence :
Principe d’universalité :
Principe d’indépendance :
Principe d’information :
- Pertinence.
- Utilité.
- Objectivité.
- Communicabilité.
- Vérifiabilité.
Principe d’harmonie :
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5- Le champ d’application du contrôle interne :
Une opération financière très élaborée et très rentable peut avoir des
résultats négatifs si le personnel est négligent dans l’exécution de certaines
tâches administratives et n’effectue pas tous les contrôles de base
indispensables.
- à priori et / ou à posteriori.
- Périodiques.
Les obstacles :
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- La crainte de la direction d’un effet contraignant, voire
bureaucratique du contrôle interne et qui engendre en conséquence
un accroissement inutile du travail ou un allongement des délais de
traitement. Or, un contrôle interne bien conçu n’exige pas, dans la
plupart des cas, un accroissement du personnel. Bien au contraire il
peut amener à un assouplissement de certaines tâches, et, par la
suppression d’erreurs, il entraîne un allégement des travaux des
personnes chargées de corriger ces erreurs.
Les limites :
Même un très bon contrôle interne ne peut empêcher les omissions, les
erreurs ou les fraudes. Cependant, si les moyens de détection adéquats sont mis
en place, il peut, sinon les prévenir, les dissuader, ou du moins en permettre une
détection sans retard.
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7- Evaluation du système de contrôle interne :
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Le praticien dégage ainsi les points forts et les points faibles du
système comptable. Il peut s’aider d’un questionnaire pour réaliser ce travail.
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8- Autres types de contrôle :
8.2- L’audit :
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I-2- INTRODUCTION A L’AUDIT :
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- L’Audit Interne s’étant orienté progressivement vers des domaines
d’intervention plus larges, s’est intéressé tout naturellement à toutes les
opérations de l’entreprise y compris celles relatives à la comptabilité… D’où
l’apparition de la notion d’Audit Opérationnel ou audit des opérations qui
s’intéresse plus particulièrement aux informations relatives à la gestion et dont
l’objectif principal est de promouvoir l’application.
A cet effet, il doit mettre en œuvre des contrôles qui permettent de répondre
aux diverses assertions relatives aux états financiers qui assurent leur qualité,
c'est-à-dire :
- Exhaustivité.
- Existence.
- Propriété.
- Evaluation.
- Comptabilisation.
L’exhaustivité :
Il s’agit de s’assurer que toutes les opérations réalisées par l’entreprise ont
fait l’objet d’une comptabilisation et sont reflétées dans les états financiers.
L’existence :
Elle signifie qu’il y a réalité physique des éléments matériels et que seules
les opérations de la période sont transcrites dans les états financiers.
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La propriété :
L’évaluation :
La comptabilisation :
4-1 Audit de direction : L’objectif principal est de « Trouver des solutions aux
problèmes posés dans le cadre d’une politique générale et Assurer a la direction
générale une qualité des conclusions et une bonne base de prise de direction ».
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intéressés en vue de vérifier la conformité de cette situation, aux dispositions
préétablies et la concordance de ces derniers a l’objectif recherché ».
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- Est un membre du personnel de - Un professionnel entièrement
l’entreprise indépendant qui na pas de relation avec
le personnels.
6) La méthode de l’audit :
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C’est une des singularités de l’audit, par rapport aux travaux d’études ou
d’organisation, quel que soit l’objet de la mission, la méthode est toujours la
même. Cette singularité qui assimile l’audit interne à une technique connue et
éprouvée est déjà l’indice d’une certaine maturité bien que la fonction en soit
encore à ses débuts. Tout comme la technique comptable ou comme celle de
production, la technique de l’audit obéit donc à des règles précises, qui doivent
être respectées si on veut fournir un travail clair, complet et efficace.
1.1)- La simplicité :
Il faut toujours partir de l’axiome " une bonne méthode est une méthode
simple ". Cette affirmation est importante lorsqu’elle s’applique à une technique
encore en cours d’élaboration, au sujet de laquelle se multiplient études, théories
et expériences diverses. La théorie pure est nécessaire ; c’est à partir d’elle que
la pratique va progresser. C’est pourquoi il n’y a lieu ni de l’oublier, ni de la
rejeter.
1.2)- La rigueur :
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méthode s’est dégagée dés l’instant où les objectifs de l’audit avaient été
clairement définis et où la notion de contrôle interne était sortie du brouillard.
Mais la période antérieure a encore laissé des traces et on trouve certains
services qui n’appliquent pas de méthodologie rigoureuse. On peut
raisonnablement penser que ces situations marginales vont peu à peu disparaître.
Si quelques termes fondamentaux sont admis et reconnus par tous, dés que
l’on approche les pratiques quotidiennes et le vécu des organisations on
rencontre des appellations différentes.
1.4)- L’adaptabilité :
La méthode est unique mais elle n’est pas identique. On retrouve ici le
lien nécessaire et déjà évoqué avec la culture qui constitue la grande force de
l’auditeur. Celui-ci est dans son milieu, travaille avec des collègues et tout
naturellement utilise une méthode qui doit être adaptable à ce milieu.
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Au préalable, précisons ce qu’il faut entendre par " mission d’audit ".
2.1.2)- La durée :
Une mission peut durer dix jours ou dix semaines, il n’y a pas de règles en
la matière et tout est fonction de l’importance du sujet à auditer.
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toujours l’apanage d’un seul et qui permettent d’affirmer que la meilleure
mission est toujours celle qui est réalisée à plusieurs.
Elle ouvre la mission d’audit, exige des auditeurs une capacité importante
de lecture, d’attention et d’apprentissage. En dehors de toute routine, elle
sollicite l’aptitude à apprendre et à comprendre ; elle exige également une bonne
connaissance de l’entreprise car il faut savoir où trouver la bonne information et
à qui la demander.
C’est au cours de cette phase que l’auditeur doit faire preuve de qualités
de synthèse et d’imagination. Elle peut se définir comme la période au cours de
laquelle vont être réalisés tous les travaux préparatoires avant de passer à
l’action.
Elle exige également et avant tout une grande faculté de synthèse et une
aptitude certaine à la rédaction, encore que le dialogue ne soient pas absentes de
cette dernière période.
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3-) ETUDES ET RECHERCHES FAITES PAR LA STAGIAIRE AU
COURS DU TRIMESTRE :
- Relever sur un état nominatif de tous les clients et les montants qui ont
fait l’objet d’une différence entre le service commercial et la
comptabilité
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Parmi les recommandations essentielles du maître de stage, les
vérifications doivent être axées essentiellement sur l’examen des comptes et des
pièces justificatives des opérations.
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4-) OBSERVATIONS DU STAGIAIRE SUR LE STAGE :
Par ailleurs, nous avons souligné que l’audit « l’audit interne » est différent
du contrôle interne. En effet, le contrôle interne n’est pas une fonction au sein de
l’organisation de l’entreprise mais un ensemble de dispositifs mis en place dont
la finalité est la maîtrise des activités, l’analyse, la surveillance, la détection et
donc la prévention des risques aux quels pourrait être confrontée l’entreprise.
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5-) APPRECIATIONS DU MAITRE DE STAGE :
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