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ISSN: 2550-469X
Numéro 7 : Décembre 2018
Abdelaziz BERDI
Docteur, chercheur en Sciences Economiques et Gestion
Université Sidi Mohamed Ben Abdellah, Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et
Sociales de Fès.
Laboratoire de recherche : Laboratoire d’Entrepreneuriat et Management des Organisations
(LABEMO)
Résumé :
Abstract
The rise of Information and Communication Technologies (ICT) impose banks to broaden
and develop a new channel distribution, such as the e-banking. This paper reflect about the
relashionship which binds electronic banking to tradional bank in the Moroccan bank sector.
In reality, if ICTs leds banks to develop the quality of their on-line services, the number of
bank branches, which grows continuously, make that the tradional banks always keep their
importance in the banking landscape, as a place of major customer attendance. We can
affirm that the tradional bank and e-banking are complementary. E-banking is a distribution
mode which is part multichannel strategy wich is implemented by the moroccan banks to
serve their customers.
Key words :
- Traditional bank, e-banking, channel distribution, multichannel strategy, complementariy
Introduction
Le secteur bancaire constitue le moteur de toute économie, dont la nôtre. C’est une industrie
ayant des impacts énormes sur le développement du pays, via sa contribution non négligeable
au financement de l’économie, à l’accompagnement des politiques publiques et sectorielles
menées par le gouvernement ou encore à la création des emplois.
La révolution technologique touche lourdement ce secteur, qui continue à subir ses effets à
tous les niveaux (financier, humain, etc.). Une nouvelle ère commerciale se développe. Elle
s’appuie sur les potentialités énormes des Technologies d’information et de communication
(TIC)1, qui deviennent le « système nerveux des organisations » (Nafzaoui, et al., 2018) et
dont l’internet est l’outil le plus important et le plus médiatisé. Il s’ensuit que, les banques
investissent massivement dans les technologies, qui deviennent des moyens incontournables
au développement de l’activité bancaire, voire modifient la nature des services bancaires et
financiers. Diverses études ont montré à ce niveau que l’introduction des TIC s’accompagne
d’une modification du processus de création de valeur, d’une réduction de la contrainte de
localisation spatiale, d’une transformation des relations avec la clientèle et de la mise en place
de différentes activités par le biais de transferts automatiques d’informations (Roux & Soulié,
1997).
Ceci étant, le secteur bancaire se voit totalement recomposé et connait, de plus en plus, une
multiplication et un élargissement des canaux de distribution, dont les effets sont jugés
incontestables. En effet, si avant, l’agence bancaire constituait le seul moyen de distribution et
de contact du client ; aujourd’hui une palette d’outils est mise à la disposition des clients qui
se trouvent face à un portefeuille distributif élargi. La banque se trouve, par conséquent, dans
l’obligation de fidéliser toute sa clientèle avec toutes ses catégories (internautes et autres).
Dans ce cadre, la banque électronique, comme facette de la stratégie multi-canal, gagne du
terrain au niveau du secteur bancaire marocain. C’est un nouveau mode de distribution dans
lequel les banques investissent déjà. Ces innovations nous laissent réfléchir à propos de
certaines questions, entre autres: Quels sont les apports de l’e-banking à l’activité bancaire, de
façon spécifique et à l’activité économique de manière générale ? Quelles stratégies adopter,
pour fidéliser les clients internautes? Est ce que l’e-banking vient compléter ou remplacer la
banque traditionnelle ?
1
-L’abréviation TIC sera désormais, utilisée tout au long de ce travail, comme référence aux
Technologies d’Information et de Communication.
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Cet article, en s’arrêtant sur le cas marocain, tend à apporter des réponses quant à la relation
qui lie les deux canaux de distribution, la banque traditionnelle et l’e-banking : une relation de
complémentarité ou de substitution ? Pour ce faire, nous nous arrêtons dans le premier point
sur le passage de la banque traditionnelle à l’e-banking, à travers la définition des concepts clé
ainsi que le contexte d’évolution de l’e-banking. Le deuxième point entame la relation entre
les deux canaux de distribution, tout en revenant sur le modèle multi-canal entrepris par les
banques et la place centrale de l’agence dans l’activité bancaire au Maroc.
Tableau n°1: Liste des établissements de crédit et leurs agences, jusqu’au fin Mars 2017.
L’agence bancaire est considérée comme un canal physique ou traditionnel. Par canaux
physiques, nous entendons l’ensemble des moyens de communication avec les clients utilisant
des infrastructures physiques. La production et l’offre de services par ce canal, est rendue
possible par l’interaction entre le client et le personnel en contact, soit en face à face, comme
dans le cas de l’agence, ou à distance comme dans le cas du téléphone, par exemple.
Le développement sans précédant des TIC, s’accompagne de la croissance du commerce
électronique, qui inclut plusieurs activités commerciales, telles que l’achat et la vente en
ligne. Ces changements ont eu comme conséquence, l’apparition de nouveaux modes de
distribution, entre autres, l’e-banking. Pour bien comprendre cette notion, nous reviendrons
sur les deux définitions suivantes :
- « L’e-banking est un service fourni par plusieurs banques. Il permet aux clients de mener des
transactions bancaires à travers l’internet, en utilisant un PC, mobiles, minitel, etc. Le client
pourra ainsi :
-Avoir accès aux comptes, tous les jours, même dans le weekend ;
-Voir les bilans directement et savoir la position de chèques, de cartes de crédits, des
comptes de placement sur le marché monétaires ;
-Transférer des fonds entre les comptes ;
-Télécharger des informations directement à travers les relevés, les rapports et aussi par
courrier électronique ou par un numéro d’appels gratuit ;
-Recevoir et payer des factures en ligne (sans chèques, enveloppes, timbres, …)
-Avoir un accès à la base de données des banques ;
-Avoir des conseils boursiers, comparaison des services bancaires, et ;
-Visualiser l’image scannée des chèques encaissés » (Diniz, 1997).
- La banque électronique peut être aussi défini comme « toute activité bancaire destinée à un
client ou à un prospect, se déroulant à partir d’un point de service électronique (téléphone,
micro-ordinateur, DAB, GAB2, téléviseur), et utilisant un système de télécommunication, tel
que le réseau téléphonique, la télévision par satellite, le minitel ou internet » (Villates, 1997).
A partir de ces définitions, nous retenons que l’e-banking consiste à utiliser des technologies
pour fournir des services en ligne à la clientèle. Il s’agit d’un canal virtuel ou électronique. Ce
dernier, comprend « l’ensemble des moyens de communication utilisant des technologies
avancées de l’information et de la communication, des technologies multimédias » (Sec,
2008). Le client se trouve ainsi, face à l’utilisation de l’internet et des bornes interactives.
Avec ces canaux, il interagit avec la banque à distance (internet) et/ou à proximité (bornes
automatiques) sans l’intervention du personnel en contact. Le service rendu est alors possible
par une interaction entre l’homme et la machine.
La montée en puissance de l’e-banking, nous amène à s’interroger sur le contexte de son
évolution.
1.2. L’e-banking : Contexte d’évolution
Le monde connaissait, il ya des années, un passage d’une économie traditionnelle (flux
matériels caractérisés par les échanges de biens et services) à une économie dite immatérielle
(caractérisée par l’échange d’informations numériques et les connaissances) grâce aux
transformations des TIC. L’économie du savoir est issue de la prise de conscience du rôle des
technologies dans la croissance de l’économie. Comme l’écrit Foray : « la science et la
technologie jouent un rôle important dans l’économie fondée sur la croissance » (Foray,
2000).
2
-Distributeurs Automatiques de Billets, Guichets Automatiques Bancaires.
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Du côté équipement en TIC (internet, groupware, Gestion de la Relation Clients (GRC), …)),
ces banques utilisent massivement les technologies et connaissent un degré d’automatisation
des opérations très élevé (Berdi, 2018). Ces changements apportés par les TIC, avec le
processus de virutalisation qui en résulte, ont facilité l’apparition d’un nouveau mode de
distribution à savoir, l’e-banking. Il importe, dans ce qui vient, d’analyser la relation qui lie ce
dernier à la banque classique dans le secteur bancaire marocain.
niveau, internet est perçu comme vecteur d’innovation économique et sociale (Vieira &
Pinède, 2005).
En réponse à ces changements, les banques restent obligées de répondre aux exigences de
cette nouvelle catégorie de clientèle. L’objectif visé est, d’ajouter plus d’éléments de
satisfaction possible en vue de fidéliser une part de clientèle de poids, qui trouve son apathie
dans les innovations acquises au niveau du système bancaire, surtout que la concurrence est
acharnée sur le marché.
Si nous nous intéressons à l’évaluation des apports des différents types de canaux, physiques
et virtuels, nous distinguons ce qui suit :
Tableau n°2: Evaluation des différents types de canaux de distribution
Quoi qu’il soit, la mise en place d’un modèle multi-canal vise la réalisation d’un certain
nombre d’objectifs, entre autres, la :
- création d’un contact relationnel : il s’agit d’établir des relations permanentes et durables
avec les clients ;
- segmentation : chaque client constitue un segment et dont une offre commerciale adaptée
doit être mise en œuvre ;
- diminution des coûts : les banques distribuent leurs produits et services avec plusieurs
canaux, ce qui permet d’obtenir des synergies et en conséquence, rentabiliser les
investissements. Les transactions sont désormais, menées à de meilleures conditions
d’efficacité et de coûts.
Pour résumer, la stratégie multi-canal entreprise par les banques marocaines, permet une
certaine complémentarité entre les différents modes de distribution utilisés pour l’offre de
différents services, bien que l’agence bancaire maintienne toujours sa place, comme acteur
central dans l’activité bancaire au Maroc.
Nous constatons que le nombre d’agences créées est en augmentation soutenue. Il passe de
3583 en 2009, à 6095 en fin octobre 2015 pour atteindre 6297 agences en mars 2017. Cette
situation revient à plusieurs facteurs, entre autres :
- Le facteur managérial : la création de nouvelles structures, telles que les agences, peut
s’explique par le style de supervision directif orienté vers le suivi, le contrôle, la soumission et
le respect du pouvoir central.
- Le facteur institutionnel : la faible communication des banques avec leurs clients à propos
des avantages apportés par l’utilisation des TIC les pousse à choisir l’agence. Le client a
besoin des actions d’accompagnement, de communication et de formation (en exploitant les
opportunités offertes par les réseaux sociaux, tels Facebook et Twitter, l’offre de prix pour les
internautes qui utilisent le plus les services en ligne, par exemple, etc.).
- Facteur sociologique : Les hommes sont par nature des êtres communicants. Le
consommateur marocain considère la visite d’une agence comme une sortie. Il préfère
communiquer, prendre conseil, contacter le personnel et chercher des informations (sans
effecteur, parfois une opération aucune 3 ). Ajoutons à cela, la place de l’argent dans la
3
-Point discuté avec une chargée de clientèle, au cours d’un stage que nous avons effectué dans une
banque en Mai 2008.
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représentation du client, qui a une certaine sacralité et qui nécessite une grande vigilance et
conservation.
- La politique d’emploi poursuivie, visant à éponger la demande additionnelle en main
d’œuvre pour résorber le chômage, en créant de nouvelles agences.
- Le poids important de l’analphabétisme, laisse comprendre que les clients ne détiennent pas
les compétences technologiques nécessaires pour utiliser les TIC et delà, bénéficier des
services en ligne, offerts par ces nouveaux outils.
- La fracture numérique existante, pèse lourdement sur le niveau d’utilisation des TIC. En
effet, outre la fracture territoriale (urbain-rural, par exemple), la fracture sociale dans le
domaine d’usage des TIC persiste. En effet, les populations rurales utilisent moins les
technologies que les populations urbanisées. Les couches sociales les plus aisées et bien
éduquées les utilisent mieux que les catégories les moins éduquées et dont le niveau de vie est
aussi faible. En outre, l’innovation technique crée de nouveaux écarts : les hauts débits sont
toujours plus hauts dans les centres villes, les nouveaux outils toujours plus puissants, mais
toujours aussi coûteux, complexes et mal pensés pour les utilisateurs affligés de handicaps
(www.culturemedias2030.culture.gouv.fr/annexe/15-fiches-culture2030-15-.pdf).
- L’usage de l’internet et les pratiques culturelles peuvent être en relation mutuelle. Comme le
montre Donnat : « L’usage de l’internet peut être la conséquence d’un intérêt préalable pour la
culture tout en étant à l’origine de son renforcement » (Donnat, 2007). En effet, les profils des
utilisateurs varient : les juvéniles aux pratiques intenses, utilisateurs de jeux de musiques etc.
Un public plus mûr avec des pratiques culturelles traditionnelles et numériques, ou encore une
population équipée, mais peu engagée dans la culture numérique et faible utilisatrice
d’internet, en terme temps comme en diversité des usages.
- La sensibilité vis-à-vis des risques liés à l’innovation technologique : le consommateur peut
rester réticent quant à l’utilisation des technologies et donc aux opérations en ligne et préfère,
au contraire, fréquenter son agence.
Au total, les agences bancaires sont en croissance considérable. Cela veut dire que, la
banque en ligne et traditionnelle iront de pair. La mise en place de l’e-banking n’avait pas
pour objectif de se substituer à la banque physique. Il s’agit simplement d’un nouveau mode
de distribution qui fait partie de la stratégie multi-canal mise en œuvre par les banques
marocaines pour satisfaire leur clientèle.
Conclusion
Intitulée « la relation entre la banque traditionnelle et l’e-banking : une tentative d’analyse à
partir du cas marocain », cette recherche, en se focalisant sur le secteur bancaire marocain,
avait pour objectif d’examiner la relation qui réunit deux canaux de distribution : la banque
traditionnelle et l’e-banking.
En effet, s’il est vrai que les TIC ont poussé les banques à une forte digitalisation et delà au
développement de nouveaux canaux de distribution, dont l’e-banking ; la banque
traditionnelle défend toujours sa positon comme lieu de fréquentation majeur par la clientèle.
En outre, l’e-banking s’inscrit dans la stratégie multi-canal développée par les banques, qui
cherchent à satisfaire au mieux leurs clients internautes, en leur offrant des services de qualité
appréciable.
Il s’ensuit alors que, les deux canaux ne peuvent être que complémentaires, sachant que la
mise en place d’une « banque sans guichets », ou banque purement en ligne4 demeure encore
loin à réaliser dans notre pays. Ceci étant, l’enjeu qui se pose aux banques est, de préserver un
dosage adapté à chaque segment de clientèle entre une relation physique et une relation
automatisée.
Quelle que soit la relation qui lie la banque traditionnelle à la banque en ligne, une chose est
sûre : la banque électronique est la voie de l’avenir. Les banques sont appelées à investir dans
ce nouveau chantier, car comme l’affirme Balantzian « les TIC sont le moteur de l’entreprise
de demain » (Balantzian, 2002) et ce qui distinguera un établissement bancaire d’un autre est
la qualité et l’efficacité qu’il est capable de promouvoir grâce à son système d’offre, en
déterminant un supplément de valeur ajoutée pour le client (Bettaib, 2001).
4
-Une banque purement en ligne est aussi appelée « Internet-only-bank » ou banque virtuelle. Elle
désigne une banque qui renonce à des locaux physiques, accessibles au public et propose ses
prestations exclusivement ou essentiellement par le biais d’Internet.
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