Géotech Proctor, Atterberg
Géotech Proctor, Atterberg
Géotech Proctor, Atterberg
-SALE-
Essai Proctor
les limites d’Atterberg
Encadré par:
Mme. K.BABA
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Année universitaire : 2010/2011
Reconnaissance du terrain
Etude cartographique du terrain
Prospection géophysique
Prélèvement des échantillons
Essais in situ
Essais en laboratoires
Les essais les plus couramment pratiqués en mécanique des sols sont les
suivants :
-Identification du sol : granulométrie, teneur en eau, densité,
-Analyse Granulométrique par tamisage.
-Les limites d’Atterberg
- Essai de proctor
-Bleu Methyléne
1ère manip :
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Essai Proctor
But : Le but de cet essai est de déterminer
expérimentale la teneur en eau optimale ,pour un sol
de remblai ou de plate forme à compacter donner avec
une énergie de compactage bien définie, qui conduit à
un meilleur compactage possible ou une densité sèche
maximale du sol analysé, pour permettre ainsi une
meilleur stabilité de la couche compactée sous les
différents chargements aux quelles elle est soumise
Définition :
On défini donc 2 types d’essai Proctor pour une énergie de
compactage bien définit
Essaie Proctor normal : elle est effectuée pour les couches dont
la résistance souhaitée est relativement faible
Principe :
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On définit alors
et où = puis
L’essai est répété plusieurs fois sur le sol analysé mais porté
à des teneurs en eau croissantes variantes l’une de l’autre de
2%(de préférence et recommandé) par rapport au poids sec
du matériau utilisé
MATÉRIEL NÉCESSAIRE
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Matériel spécifique Proctor
Moule Proctor avec embase et hausse
Ou moule CBR avec embase et hausse
Dame Proctor normal
Ou dame Proctor modifié
Règle à araser
Balance de portée supérieure à 6 kg
Une étuve de
séchage :
Mode Opératoire :
Briser les mottes si nécessaire, tamiser à l’aide d’une
passoire dont les trous ont un diamètre de 5mm et poser
3,5 kg à 2 g près, de la fraction qui est passée,
Ajouter au matériau la quantité d’eau précisée lors du TP.
On le malaxe l’ensemble jusqu’à obtenir un mélange
homogène ;
On prend une quantité de sol (1/3 ou 1/5 de la quantité
nécessaire) pour remplir le moule (équipé d’une embase
dans sa partie basse et hausse à la partie supérieure pour
permettre un bon compactage sur la dernière couche)
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puis on compacte (en 25 coups pour essai Normal ; en 55
coups pour essai modifié) successivement en n couches (3
pour essai Normal ; 5 pour essai Modifié).L’opération
continue pour les autres couches
A la fin du compactage on enlève la hausse et on arase et
on pèse l’ensemble (Moule+échantillon compacté) et on
en déduit le poids humides de l’échantillon sachant le
poids du moule. On prélève une quantité qu’on pèse et on
le met dans l’étuve après avoir démoulé le moule ; On
répète un autre essai avec la même procédure mais en
portant l’échantillon à une autre teneur en eau différente
et croissante (+2% par
rapport à l’autre
recommandé)
Résultats-analyse
Les données :
Moule : d=10cm, h=11.6cm
,vt=h*πd²/4=910.6 cm
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et où = puis
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Le tracé de la courbe ρd = f(w) permet de déterminer la valeur maximale
de la masse volumique sèche ρd c’est à dire l’optimum Proctor normal
ou modifié. Deux cas sont possibles
2ème manip :
Les limites d’Atterberg
Introduction :
En géotechnique, les limites d’Atterberg définissent à la fois
un indicateur qualifiant la plasticité d’un sol, mais aussi
l’essai qui permet de définir ces indicateurs. Cet essai a été
établi par l’agronome suédois Atterberg.
La teneur en eau d’un sol peut en effet beaucoup varier au
cours des opérations de terrassements.
Pour la fraction fine (graviers exclus), la cohésion tient à la
présence d'eau : parfaitement sec, le matériau serait
pulvérulent. Au-dessus d'une certaine teneur (limite de
plasticité), on peut le pétrir en forme de boudin, de boulette
ou de fil. Pour une teneur plus forte (limite de liquidité), il
forme un liquide, visqueux, qui ne conserve pas la forme
qu'on lui a donnée. La détermination, soigneusement
normalisée, de ces deux teneurs caractéristiques appelées
limites d'Atterberg, est un élément important
d'identification, et permet déjà de prévoir certaines
propriétés.
Limites d'Atterberg
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teneur en eau de façon homogène par malaxage, il passe
progressivement de l'état solide, à l'état plastique puis à
l'état liquide. Par définition, la teneur en eau w d'un sol est
le rapport entre le poids d'eau Ww et le poids de sol sec Ws.
Elle est exprimée en %. En 1905, Atterberg a défini des
teneurs en eau fixant les limites entre les 3 états
IP
O W W W
P L
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Le but de l’essai :
La limite de Plasticité Wp :
C'est la teneur en eau au-dessous de laquelle il n'est plus possible
de confectionner des boudins de sol de 3 mm de Ø sans qu'ils se
rompent ou s'émiettent.
Le but de l’essai
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L’indice de plasticité Ip
Résultats-analyse
Limites d'Atterberg
liquidité Wl : Plasticité Wp :
Nombre de 35 19 18 32 24
coups
N de la tare 1 2 3 4 5 1 2
Poids humide 32.6 27.6 34.2 27.6 29.5 2.8 3.2
Poids sec 21.5 18.4 26.8 21.3 21.6 2.4 2.8
Teneur l’eau ℅ 52.3 50 27 29 36.5 16 14
liquidité 0.544 0.48 0.25 0.29 0.36
w=f(N)
60
teneur en eau %
50
40
30
w=f(N)
20
10
0
0 10 20 30 40
Nbre de coup
11
-
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