HGE en 250 QCM - Khlidj Yahia

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MES QUESTIONS

EN HEPATO GASTRO ENTEROLOGIE

KHLIDJ YAHIA

emerciément au Dr.LAYAIDA le symbole d’excellence dans

R l’enseignement d’HGE à Alger et l’exemple de la modestie, Moi et tous


mes collègues nous sommes très reconnaissants à tous ces efforts .

2017/2018
Chapitre I : Pathologies de l’œsophage

1-Le reflux gastro œsophagien : réponse juste


A-S’accompagne toujours d’une œsophagite
B-Souvent symptomatique
C-Plus fréquent chez les femmes
D-Est un facteur de risque d’un cancer œsophagien épidermoide
E-Est de diagnostic surtout clinique

2-Le reflux gastro œsophagien : réponse juste


A-N’est pas pathologique s’il ne s’accompagne pas d’une œsophagite
B-La défaillance du SSO est parfois impliquée
C-Peut être secondaire à une hernie pariétale surtout chez les enfants
D-Souvent associé à une sécrétion acide normale
E-Est post prandial chez la majorité de la population

3-Le reflux gastro œsophagien: réponse fausse


1-Se manifeste typiquement par la remontée des liquides acides sans effort de
régurgitation
2-L’endoscopie est systématique si antécédent de crise d’asthme
3-Le vomissement chronique est un signe d’alarme
4-Nécessite une endoscopie si échec du traitement chez sujet ˂ 50 ans
5-Peut s’accompagner d’une anémie carentielle
A-2,3,4 B-1,2,4 C-1,4,5 D-3,4 E-1,2,3

4-Le reflux gastro œsophagien : réponse juste


1-La classification de Los Angeles permet de préciser son stade
2-La sténose peptique est une complication tardive
3-L’épithélium de Barret est une métaplasie œsophagienne intéressant la partie basse
de l’œsophage
4-L’épithélium de Barret est un état pré cancéreux irréversible
5-Les complications sont rares
A-1,4 B-2,5 C-1,2,3 D-2,3,5 E-2,4,5

5-Le reflux gastro œsophagien : réponse fausse


1-Le traitement est souvent symptomatique
2-La hernie hiatale n’est qu’un facteur aggravant
3-Les IPP sont moins tolérés au long cours
4-La PH métrie est indiquée dans les formes atypiques avec œsophagite
5-Les IPP sont recommandés dans les formes rapprochées car effet immédiat
A-3,4,5 B-1,3,5 C-2,4,5 D-2,3,4 E-2,3,5
6-Le reflux gastro œsophagien: réponse juste
1-En cas de sténose peptique la méthode de Nissen est la plus utilisée permettant la
dilatation
2-EBO avec dysplasie de bas grade ne nécessite aucun traitement seulement une
surveillance
3-Une éradication de l’Hélicobacter pylori est recommandée devant tout RGO
pathologique
4-EBO avec dysplasie de bas grade nécessite un traitement endoscopique avec
surveillance
5-Les IPP ont un effet rapide et prolongé
A-4,5 B-1,4 C-2,5 D-2,3,5 E-1,2

7-Brulures caustiques du tractus digestif supérieur : réponse fausse


1-Le risque de dégénérescence est lié à l’EBO
2-Intéressant également la sphère ORL si brulures volontaires
3-La chirurgie s’impose en cas de toute altération de la conscience
4-Endoscopie digestive est systématique
5-Chez les enfants les lestions sont souvent moins sévères
A-2,3,5 B-1,2,5 C-1,2,3 D-1,2,4 E-3,4,5

8-Brulures caustiques du tractus digestif supérieur : réponse fausse


1-L’alimentation orale doit être arrêtée
2-L’ingestion de l’eau de javel n’est pas une indication systématique pour l’endoscopie
3-Les bases sont des produits caustiques altérant en premier lieu la muqueuse gastrique
4-Les acides entrainent une nécrose de liquéfaction
5-Les acides entrainent une nécrose de coagulation
A-1,4 B-2,4 C-3,4 D-2,3 E-4,5

9-Suite à l’ingestion d’un produit caustique à tentative de suicide, Un œsophage IIb et un


estomac IIIc correspondent à quelle description des suivantes ?
A-Nécrose localisée de l’œsophage et nécrose étendue de l’estomac
B-Ulcérations linéaires de l’œsophage et nécrose en ilots de l’estomac
C-Ulcérations circonférentielles de l’œsophage et nécrose en ilots de l’estomac
D-Ulcérations circonférentielles de l’œsophage et nécrose étendue de l’estomac
E-Ulcérations linéaires de l’œsophage et nécrose étendue de l’estomac

10-Brulures caustiques du tractus digestif supérieur : réponse juste


1-Un lavage gastrique est fait en urgence
2-Devant une ingestion d’acide, il faut prescrire des bases fortes
3-L’interrogatoire du malade est une étape clé
4-La perforation de l’œsophage est une contre indication à l’endoscopie
5-Le téléthorax est systématique à la recherche d’une médiastinite
A-1,3,4 B-4,5 C-1,4 D-1,2,5 E-1,4,5
11-Brulures caustiques du tractus digestif supérieur : réponse juste
A-La jéjunostomie est une des stratégies nutritionnelles dans le stade IIIb
B-La sténose est une complication nécessitant une dilatation après endoscopie
C- Le stripping permet l’oesophagectomie par voie endoscopique
D-La dilatation répétée permet la protection contre la survenue du cancer
E-L’oesophagoplastie consiste en d’établir la continuité des culs de sac œsophagiens
après thoracotomie

12-L’achalasie : réponse juste


A-Due à une hyperexcitation vagale du plexus myentérique
B-Due à une stimulation parasympathique continue avec altération des voies inhibitrices
C-Due à un défaut d’inhibition vagale cholinergique
D-Est responsable d’un mégaœsophage secondaire
E-Une prédisposition génétique a été démontrée

13-L’achalasie : réponse juste


1-La dysphagie est paradoxale intéressant les solides puis les liquides
2-Peut évoluer vers une aphagie
3-L’amaigrissement peut être secondaire à l’anorexie
4-L’endoscopie suffit pour poser le diagnostic
5-Les niveaux hydro aeriques médiastinaux sur l’ASP sont très évocateurs
A-1,2 B-3,4 C-1,5 D-2,4 E-2,3

14-L’achalasie : réponse juste


1-La pseudo achalasie tumorale est souvent révélée par une endoscopie
2-La manométrie de haute résolution montre une augmentation de la pression au niveau
du SIO
3-La manométrie de haute résolution montre une chute de la pression au niveau du
corps œsophagien
4- La manométrie de haute résolution montre une augmentation de la pression au niveau
du corps œsophagien
5- La manométrie de haute résolution montre une chute de la pression au niveau du SIO
A-2,3 B-4,5 C-3,5 D-2,4 E-1,2,3

15-Toutes ces étiologies peuvent entrainer une achalasie secondaire sauf une, Laquelle :
A-Gastro-entérite éosinophile
B-Sarcoidose
C-Maladie de Chagas
D-Mucoviscédose
E-Amylose

16-Concernant le traitement de l’achalasie : réponse juste


A-La durée du traitement par la toxine botulique est de d’environ une semaine
B-La chirurgie consiste à une myotomie laparoscopique
C-Sildénafil est un antagoniste du NO à action myorelaxante
D-La dilatation endoscopique est rarement utilisée
E-Les récidives sont fréquentes après chirurgie
17-L’achalasie : réponse juste
1-La dysphagie, la régurgitation et les douleurs thoraciques sont les signes les plus
précoces
2-Une éventuelle tare est associée
3-La biopsie est indispensable
4-L’oesophagite de stase peut se compliquer de fausses routes
5-L’EOGD objective un œsophage dilaté avec aspect en radis
A-1,2,3 B-2,3 C-1,3,4 D-1,4,5 E-3,4

18-Exploration fonctionnelle de l’œsophage : réponse juste


1-La manométrie conventionnelle permet l’exploration du pharynx, du SSO, du corps de
l’œsophage et du SIO
2-La manométrie de haute résolution permet une mobilisation facile de la sonde lors de
l’examen
3-Dans le profil manométrique normal la pression dans l’œsophage est au maximum lors
de la déglutition
4-Dans le profil manométrique normal la pression dans l’œsophage se relâche au
maximum lors de la déglutition
5-Dans l’achalasie du cardia l’apéristaltisme s’accompagne des contractions répétées
d’amplitude très élevée
A-1,2,3 B-2,4 C-1,3 D-1,2,4 E-3,5

19-Exploration fonctionnelle de l’œsophage : réponse juste


1-Dans la maladie des spasmes diffus la relaxation du SIO est normale
2-Dans la maladie des spasmes diffus la relaxation du SIO est incomplète
3-Une hypertonie du SIO est observée lors de la sclérodermie avec un œsophage atone
4-La pression au niveau du SIO est très basse lors du reflux gastro œsophagien
5-La valeur normale du pH œsophagien est de 4 à 5
A-1,3 B-3,4 C-1,5 D-2,3 E-1,4

20-La pH métrie : réponse juste


A-Rarement utilisé en pratique courante
B-Ne méconnait pas le reflux
C-Indiquée en cas d’un RGO avec pyrosis chronique
D-Un reflux acide est défini par un pH œsophagien égal à 2
E-Inutile après traitement anti reflux

21-Devant un diagnostic d’un RGO : réponse fausse


A-La scintigraphie œsophagienne ne permet pas de préciser la nature acide ou alcaline
du reflux
B-L’impédancemétrie permet de différencier les bolus antérogrades des bolus
rétrogrades
C-Le test diagnostic aux IPP est une alternative de la PH métrie
D-L’impédancemétrie permet l’évaluation quantitative du reflux
E-La pH métrie peut être réalisée après un repas
22-Les cancers de l’œsophage : réponse fausse
1-Le diagnostic est assez simple
2-Le diverticule de Zenker est un facteur de risque
3-Le carcinome épidermoide associe un risque de cancer ORL ou pulmonaire
4-Le traitement est repose surtout sur la chirurgie palliative
5-L’adénocarcinome est le plus fréquent

23-Tous ces facteurs de risque prédisposent au carcinome épidermoide de l’œsophage


sauf un, Lequel ?
A- Sexe masculin
B-Ingestion de produit brulant
C-Aspergillose
D-Syndrome de Plummer-Vinson
E-Tylose

24-Les cancer de l’œsophage : réponse juste


1-L’adénocarcinome siège dans la moitié des cas dans le tiers inférieur de l’œsophage
2-La dysphagie est un signe constant
3-Se développent toujours sur une muqueuse métaplasique
4-La toux à la déglutition est un signe d’une paralysie du nerf récurrent
5-Un hoquet peut être associé
A-1,3 B-3,5 C-1,2 D-4,5 E-2,3

25-Les cancers de l’œsophage : réponse fausse


1-La coloration Lugol permet de préciser les limites de la tumeur
2-Un bilan pré thérapeutique doit comporter un bilan endoscopique, nutritionnel et
radiologique
3-L’echo-endoscopie permet une biopsie ganglionnaire en cas de métastase
4-L’echo-endoscopie donne un score usTNM (ultrasons)
5-L’examen ORL et pulmonaire sont indispensables
A-1,3 B-3,4 C-2,4 D-4,5 E-2,3

26-La classification TNM des cancers de l’œsophage : réponse juste


A-Dans les stades Ia, IIa, IIb il n’y a pas d’atteinte ganglionnaire
B-Une tumeur infiltrante de la muqueuse avec un ganglion de Troisier sans métastase
(T1N1M0) est classée IIb
C-L’œsophagectomie est le traitement de référence des cancers opérables T1-T2N0M0
D-Les complications sont souvent l’extension à distance de la tumeur
E-La fistule oeso-trachéale nécessite une contre indication au TOGD

27-Les cancers de l’œsophage : réponse juste


A-La radiochimiothérapie est le traitement de référence des cancers résécables sans
métastases
B-La chimiothérapie seule est le traitement de référence des cancers avec métastases
C-Une fistule oeso-trachéale ou oeso-bronchique contre indique une radiothérapie post
opératoire
D-La chimiothérapie adjuvante est à base de Cisplatatine et de 5-FU si tumeur N+
E-Toutes ces réponses sont fausses
28-Les cancers de l’œsophage : réponse juste
1-La survie est plus élevée après une résection complète R1 des formes non
métastatique
2-Après un traitement chirurgical curatif une endoscopie est indiquée pour la surveillance
3-Un sevrage tabagique n’est pas forcé après traitement non curatif
4-La survie est quasi nulle dans les cancers non opérables
5-Une endoprothèse est indiquée dans les tumeurs non résécables
A-2,3 B-1,4 C-3,5 D-4,5 E-3,4

29-L’endoscopie oeso-gastroduodénale : réponse juste


A-La vidéo-endoscopie permet une vision latérale en cas de suspicion d’un diverticule de
Zencker
B-Un vomissement est une contre-indication
C-Systématique en cas de péritonite
D-Ne permet pas le diagnostic d’une sténose
E-Est un examen de 1 ère intention en cas d’émission des selles noires

30- L’endoscopie oeso-gastroduodénale : réponse juste


1-Est un examen non invasif
2-La biopsie duodénale est inutile
3-La ligne Z est la ligne séparant la muqueuse œsophagienne de la muqueuse gastrique
4-Dans le duodénum les plis des valvules conniventes commencent après le bulbe
5-L’estomac plein est une contre-indication car vision difficile en présence de lac
muqueux
A-1,2 B-2,5 C-3,4 D-1,3 E-3,5

Corrigé:

1→E 4→B 7→D 10→B 13→E 16→B 19→E 22→D 25→B 28→C
2→D 5→C 8→A 11→A 14→A 17→B 20→B 23→A 26→C 29→E
3→E 6→C 9→D 12→E 15→D 18→E 21→D 24→D 27→D 30→C
Chapitre II : Gastrologie

31-Un patient R.S. âgé de 47 ans vient de consulter pour l’apparition d’une diarrhée
persistante avec des épigastralgies à caractère post prandial tardif, Il raconte la notion
de consommation prolongée du tabac, L’endoscopie exploratrice montre des ulcères
multiples au niveau du bulbe. Un traitement IPP (oméprazole) à forte dose a été prescrit
avec une bi-antibiothérapie à base d’amoxicilline et de clarithromycine. Après un mois, le
malade arrive aux urgences pour une douleur atroce siégeant au niveau de l’épigastre et
irradiant en barre, l’ASP retrouve un pneumopéritoine. Vous fêtes immédiatement :
1-EOGD
2-Réhydratation et aspiration
3-IPP par voie veineuse avec antibiothérapie à large spectre
4-Suture de l’ulcère
5-Toilette péritonéale
A-1,5 B-3,5 C-2,3 D-2,4 E-1,2

32-Devant cet échec thérapeutique l’indication chirurgicale s’impose, Quelle est la


technique de référence permettant le traitement définitif ?
A-Méthode de Taylor
B-Antrectomie avec anastomose gastro-duodénale (Péan)
C-Gastrectomie des 2/3 avec anastomose gastro-jéjunale (Finsterer)
D-Vagotomie tronculaire avec suture de l’ulcère
E-Exérèse de l’ulcère avec suture

33-Les mesures en post opératoire sont :


1-EOGD de contrôle après 6 semaines
2-Eradication systématique de l’Hélicobacterpylori
3-Poursuite des IPP à simple dose
4-Arrêt de tout traitement AINS ou aspirine
5-Vitamine B12 à vie
A-3,4 B-2,4 C-1,5 D-2,3 E-2,5

34-Après l’envoi de la pièce opératoire pour l’étude anatomo-pathologique, la biopsie


révèle l’absence de l’HP. Quel élément clé permet d’orienter vers un diagnostic bien
précis :
A-Résistance au traitement
B-Eradication de l’HP par tri thérapie préalable
C-Diarrhée chronique
D- Antécédent d’ulcère
E-Tabac
35-Quelle est la cause de l’ulcère à votre avis :
A-AINS
B-Hélicobacterpylori
C-Cancer de l’estomac
D-Syndrome de Zollinger-Ellison
E-Gastro entérite infectieuse

36-Un patient arrive aux urgences se plaint d’un rejet par la bouche du sang à l’effort de
vomissement survenant brutalement, Il présente une pâleur avec une TA chiffrée à
100/70mmHg et une FC à 80 bat/min, il est sous β-bloquants. Quelles sont les premiers
gestes à faire :
1-Interrogatoire du malade ou de son entourage
2-Remplissage vasculaire
3-Endoscopie digestive haute
4-Sonde nasogastrique
5-Un scope
A-2,3,4 B-2,4,5 C-1,2,3 D-1,3,4 E-1,4,5

37-L’interrogatoire recherche à préciser les éléments suivants sauf un, Lequel ?


A-Consommation d’alcool
B-Antécédents de maladie ulcéreuse
C-Prise d’AINS
D-Vomissements répétés
E-Abondance de l’hémorragie

38-Quels sont les examens complémentaires demandés systématiquement?


1-Artériographie sélective
2-Endoscopie digestive
3-ASP
4-Bilan hépatique
5-ECG
A-4,5 B-2,4,5 C-2,3,4 D-2,3,5 E-1,2,4

39-L’endoscopie retrouve un estomac érythémateux qui présente un aspect en


mosaïque, Cela évoque :
A-Syndrome de Mallory-Weiss
B-Ulcère de Dieulafoy
C-Lésions aigues de stress liées à une défaillance cardiaque
D-Gastropathie hypertendue
E-Lésions liées aux AINS

40-Quelle est la conduite thérapeutique adaptée en urgence ?


1-Ligature élastique
2-Sonde de Linton
3-TIPS
4-IPP
5-Traitement vaso actif : adrénaline
A-2,4 B-1,5 C-3,5 D-1,2 E-3,4
41-Il s’agit probablement de :
A-MUGD
B-Cirrhose compensée
C-HTP par insuffisance cardiaque
D-Angiodysplasie
E-Aucune de ces réponses

42-Une patiente R.L. âgée de 52 ans consulte pour une masse palpable siégeant au
niveau de l’hypogastre avec sortie du sang par la bouche en minime quantité et des
selles noires, Elle a un antécédent d’une gastrectomie partielle avec anastomose gastro
jéjunale. L’examen clinique retrouve une hépatomégalie. Quels sont les examens
complémentaires de première intention :
1-Endoscopie digestive basse
2-Endoscopie digestive haute
3-TDM injectée
4-Echographie
5-Laparoscopie
A-2,3,4 B-1,2,3 C-1,3,4 D-1,4,5 E-3,4,5

43-Quel est le diagnostic à évoquer dans ce conteste?


A-Kyste ovarien
B-Ascite de moyenne abondance
C-Métastase d’un cancer digestif
D-Cancer du sigmoïde
E-Carcinose péritonéale

44-Quel est le stade de la maladie :


A-Stade IIa
B-Stade IIb
C-Stade III
D-Stade IV
E-Toutes ces réponses sont fausses

45-Le bilan d’extension de la maladie doit comporter tous ces examens sauf un, Lequel ?
A-Cœlioscopie exploratrice
B-Echo-endoscopie
C-TDM
D-Bilan hépatique
E-Marqueurs tumoraux

46- Quel est le traitement de choix chez cette patiente :


A-Chirurgie + curage + splénectomie
B-Chimiothérapie
C-Chirurgie + chimiothérapie péri opératoire
D-Down staging par chimio radiothérapie puis chirurgie
E-Chirurgie + chimioradiothérapie en adjuvant
47-A propos de la gastrite : réponse juste
1-L’évolution vers un cancer gastrique est rare
2-Des épigastralgies intenses et répétées traduisent une irritation importante de la
muqueuse gastrique
3-La guérison spontanée est possible
4-L’endoscopie est le gold standard pour le diagnostic
5-La métaplasie est souvent retrouvée dans la gastrite aigue
A-1,2 B-1,3 C-3,4 D-2,4 E-1,5

48-L’Hélicobacter pylori : réponse juste


1-Une bactérie acidophile
2-L’estomac est un réservoir exclusif
3-Responsable d’un ulcère gastrique par hypersécrétion acide
4-L’éradication est indiquée devant un adénocarcinome gastrique
5-Le test respiratoire est utilisé généralement pour le contrôle
A-1,4 B-2,5 C-1,3 D-4,5 E-3,4

49-L’éradication de l’HP : réponse juste


A-Protège contre la survenue du cancer de l’estomac
B-Permet de réduire la symptomatologie en cas d’un RGO
C-Le contrôle se fait juste après l’arrêt du traitement
D-En cas d’échec, continuer à augmenter les doses
E-En cas d’échec, refaire des biopsies

50-La gastrite auto-immune : réponse juste


A-Le dosage de la gastrinémie est indispensable
B-Toujours associée à une anémie par carence en vitamine B 12
C-Peut se compliquer d’une tumeur endocrine maligne
D-L’histologie peut révéler une métaplasie antrale de la muqueuse fundique
E-Souvent il s’agit d’une pangastrite

51-Quelle est la réponse juste ?


A-Une gastrite lymphocytaire varioliforme impose la recherche des anticorps anti TTG à
type d’IgA
B-Une gastrite à PNE accompagne une infection virale en particulier chez les enfants
C-Une gastrite granulomateuse doit évoquer en premier lieu la maladie de Crohn
D-La classification de Sydney est basée sur l’histologie
E-Toutes ces réponses sont fausses

52-L’ulcère gastroduodénale : réponse juste


A-L’ulcère bulbaire se développe sur une métaplasie gastrique
B- Laisse des cicatrices scléreuses en guérissant
C- L’EOGD est n’est pas nécessaire devant une douleur ulcéreuse typique
D-Les abrasions est un diagnostic différentiel
E-Peut être asymptomatique
53- L’ulcère gastro duodénal : réponse fausse
1-L’éradication de l’HP est toujours indiquée
2-Siège souvent dans le bulbe
3-Peut être révélé par une carence en fer
4-Une des complications d’un cancer
5-La biopsie recherche en premier lieu à retrouver une infection par l’HP
A-4,5 B-1,3 C-2,4 D-2,3 E-1,5

54-L’ulcère gastro duodénal : réponse fausse


1-La maladie de Crohn est un diagnostic différentiel
2-La découverte endoscopique au stade de perforation n’est pas rare
3-La sténose du cardia est une complication fréquente
4-Les AINS anti cox 2 sont moins gastro toxiques et à action anti tumorale
5-Après un traitement d’un ulcère duodénal, le contrôle endoscopique n’est pas
nécessaire
A-2,3 B-1,4 C-4,5 D-1,5 E-3,4

55-L’hémorragie digestive haute : réponse fausse


A-Représente la principale urgence en hépato gastro entérologie
B-Peut se manifester par une rectorragie
C-Provient de tout le tube digestif en amont de l’angle duodéno-jéjunal
D-Plus fréquente chez les hommes
E-Une hématémèse ne traduit pas toujours une origine haute

56-La prise en charge immédiate d’une hémorragie digestive haute consiste à faire :
1-Un lavage gastrique
2-Une antibiothérapie
3-Une endoscopie avant tout pour confirmer
4-Un traitement IPP
5-Une crasse sanguine
A-1,2,4 B-1,3,4 C-1,4,5 D-1,3,5 E-3,2,4

57-En cas d’hémorragie digestive haute liée à une maladie ulcéreuse gastro duodénale :
réponse juste
A-Le risque de récidive est minime dans les stades I et II selon le score de Forrest
B-Dans le stade III la mortalité globale est à 10% en l’absence de traitement
C-Le traitement IPP sert à réduire le taux de comorbidité due aux récidives
D-L’injection endoscopique de l’adrénaline est à éviter chez les cirrhotiques
E-La chirurgie est un traitement définitif

58-En cas d’hémorragie digestive haute : réponse juste


1-La majorité des décès sont directement liés au saignement important
2-Le diagnostic est évident
3-Le toucher rectal est systématique à la recherche du sang rouge et/ou noir
4-La sonde naso gastrique permet d’éliminer les faux négatifs
5-La sonde naso gastrique a un intérêt diagnostic
A-3,4 B-1,4 C-2,3 D-1,5 E-3,5
59-L’hémorragie digestive haute : réponse fausse
1-Un taux d’hémoglobine conservé dans les premières heures suivant le saignement est
un signe de tolérance
2-Une élévation de l’urée avec créatinine stable est un fréquente
3-La perfusion de l’érythromycine avant l’endoscopie permet le lavage gastrique
4-La classification de Forrest a une valeur pronostique car corrélée aux risques de
récidives
5-Forrest III signifie une hémorragie récente
A-3,4 B-1,5 C-4,5 D-1,2 E-2,5

60-L’hémorragie digestive haute : réponse fausse


A-Souvent n’arrête pas sans traitement et nécessitant un traitement endoscopique
B-L’hémostase endoscopique est indiquée en cas de saignement actif
C-Rarement associée à un néoplasie
D-L’ulcération de Dieulafoy est de diagnostic difficile
E-Peut être secondaire à une wirsungorragie

61-Les hémorragies ulcéreuses massives siègent souvent dans : réponse juste


1-La face postérieure du bulbe
2-La grande courbure
3-La petite courbure
4-Le fundus
5-Le cardia
A-1,2 B-1,3 C-4,5 D-2,5 E-3,4

62-Les cancers de l’estomac : réponse juste


A-Touchent surtout l’estomac distal
B-Une gastrectomie prophylactique est indiquée chez les patients atteints du syndrome
de Lynch gastrique
C-Le risque de développer un adénocarcinome sur un moignon impose une surveillance
D-La linite gastrique est une lésion dysplasique pré cancéreuse
E-Toutes ces réponses sont fausses

63-Les cancers de l’estomac : réponse fausse


A-L’envahissement ganglionnaire est un facteur de mauvais pronostic car très
lymphophiles
B-Un syndrome de Trousseau peut être associé
C-Le cancer du cardia peut être révélé par une achalasie cardiale
D-Souvent d’aspect ulcéré
E-Se développe sur une muqueuse atrophique

64-On suspecte un cancer du cardia devant tous ces arguments sauf un, Lequel ?
A-Dyspepsie
B-Antécédent d’anastomose gastro-jéjunale
C-Masse vaginale
D-Anémie ferriprive réfractaire
E- Ascite
65-Un n’est pas un facteur de mauvais pronostic d’un cancer de l’estomac, Lequel ?
A-Linite gastrique
B-Cellules en bague à chaton
C-Surexpression de HER2
D-Résection tumorale R1
E-Cellules tumorales indifférenciées

66-L’écho-endoscopie a comme indications : réponse fausse


A-Mucosectomie
B-Biopsie profonde
C-Suspicion de linite gastrique
D-Envahissement ganglionnaire
E-Métastases hépatiques

67-Concernant la prise en charge d’un cancer gastrique : réponse fausse


1-La chirurgie d’exérèse n’est indiquée que dans les tumeurs symptomatiques non
métastatiques
2-Le dumping syndrome est une complication de la gastrectomie totale
3-La gastectomie des 4/5 avec anastomose gastro jéjunale est le traitement des cancers
du tiers inférieur de l’estomac
4-Pour les tumeurs HER2+ la chimiothérapie est à base d’herceptin
5-Une radiothérapie est proposée aux patients avec marges envahies
A-1,4 B-3,5 C-1,3 D-4,5 E-2,5

68-Un adénocarcinome de l’estomac HER2+ est classé stade IV (T3N3M1), chez un


patient opérable ayant un ganglion de Troisier, une carcinose péritonéale et une tumeur
de Kruckenberg, Qu’elle est la conduite thérapeutique ?
A-Chirurgie palliative
B-Chirurgie avec chimiothérapie péri opératoire
C-Chimiothérapie + thérapie ciblée
D-Chimiothérapie seule
E-Chimioradiothérapie puis chirurgie

69-Dans la hernie hiatale : réponse juste


A-Une partie de l’estomac passe dans le cardia
B-L’RGO est la complication majeure
C-L’ASP montre des niveaux hydro-thoraciques
D-Le diagnostic anté natale est possible
E-Aucun traitement spécifique dans le stade I

70-Concernant les hernies diaphragmatiques congénitales : réponse juste


1-Le diagnostic est souvent fortuit chez les enfants
2-La hernie de Morgagni Larrey est rare siège souvent à gauche
3-Dans la hernie de Bochdalek, il y’a un risque d’étranglement de l’estomac
4-Peuvent être révélées par SDRA
5-La laparotomie associe une omentectomie
A-1,2 B-3,5 C-2,4 D-3,4 E-4,5
71-La dyspepsie : réponse juste
1-Tous patient doit bénéficier d’au moins une EOGD
2-Le pyrosis est un symptôme fréquent
3-Représente un signe d’alarme chez un sujet ˃ 50 ans
4-Rarement liée à une pathologie organique
5-Peut être d’origine extra digestive
A-3,4,5 B-1,3,5 C-2,3,4 D-1,3,4 E-1,2,5

72-La dyspepsie : réponse fausse


1-Plus les symptômes durent, plus le caractère bénin est rassuré
2-L’association à un RGO est rare
3-Peut être révélatrice d’une néoplasie
4-L’anémie est un élément important à rechercher
5-L’endoscopie est normale
A-1,2 B-1,5 C-2,5 D-2,4 E-1,4

73-La dyspepsie : réponse fausse


1-Devant une symptomatologie d’allure fonctionnelle un traitement empirique après
exploration peut être prescrit
2-Devant une symptomatologie d’allure organique le traitement est à visée étiologique
3-Devant un estomac normal, il faut multiplier les explorations
4-La gêne à la déglutition est un signe d’alarme
5-L’amélioration est importante après le traitement de l’HP
A-1,3 B-2,3 C-2,4,5 D-3,4,5 E-1,3,5

74-Tous ces examens complémentaires sont utiles pour le diagnostic étiologique d’une
dyspepsie sauf un, Lequel :
A-Echographie abdominale
B-Manométrie gastro duodénale
C-Scincigraphie de la vidange gastrique
D-TOGD
E-Sensibilité gastrique

75-Selon les critères de Rome IV, Quels sont les signes d’une dyspepsie parmi les signes
suivants ?
1-Saciété précoce
2-Sensation de plénitude épigastrique
3-Ballonnement abdominal
4-Brulures rétro sternales
5-Epigatsralgies
A-1,2,4 B-1,3,5 C-1,2,3 D-2,4,5 E-1,2,5
76-Chez un malade dyspeptique quels sont les signes alarmant :
1-Anorexie
2-Age précoce
3-Association à un syndrome de l’intestin irritable
4-Antécédent de chirurgie gastrique
5-Dysphagie paradoxale
A-1,2,4 B-1,4 C-1,2,5 D-2,4,5 E-2,5

77-Tous ces traitements sont recommandés dans la dyspepsie fonctionnelle sauf un,
Lequel :
A-Anti sécrétoires
B-Prokinétiques
C-Somatostatine
D-Antagonistes sérotoniniques
E-Benzodiazépine

Corrigé:

31→C 35→D 39→D 43→C 47→E 51→E 55→E 59→B 63→C 67→A
32→B 36→B 40→A 44→D 48→B 52→C 56→C 60→A 64→B 68→C
33→A 37→E 41→E 45→A 49→E 53→E 57→E 61→B 65→C 69→E
34→A 38→A 42→A 46→B 50→D 54→A 58→E 62→A 66→E 70→D

71→A 72→C 73→A 74→D 75→E 76→B 77→C


Chapitre III: Hépatologie

78-Chez un cirrhotique une ascite est dite réfractaire si elle résiste au traitement
suivant :
A-Spironolactone 800 mg/j + Furosémide 200 mg/j
B-Poncions évacuatrices itératives
C- Paracentèse + perfusion d’albumine
D-Spironolactone 400 mg/j + Furosémide 160 mg/j
E- Shunt porto cave

79-Quels sont les traitements indiqués dans ce cas : réponse juste


A-Paracentèse + perfusion d’albumine
B-Transplantation hépatique
C-TIPS (Transjugular Intrahepatic Porto systemic Shunt)
D-Paracentèse + arrêt de l’albumine
E-Paracentèse + traitement diurétique à dose max
A-1,2,3 B-2,3,4 C-2,3,5 D-2,3 E-1,2

80-Le même malade présente une encéphalopathie hépatique, quelles sont les mesures
thérapeutiques : réponse juste
1-Expansion volumique
2-Shunt porto cave par radiothérapie interventionnelle
3-Néomycine
4-Lactulose 2 à 3 comprimés par jour
5-Traitement hypoammoniémiant par les diurétiques à forte dose
A-1,4,5 B-2,3,4 C-2,3,5 D-1,3,4 E-3,4

81-Quelle est la complication la plus grave de la cirrhose :


A-Infection spontanée du liquide d’ascite
B-Syndrome hépato rénal
C-Hépatite fulminante
D-Encéphalopathie hépatique
E-Syndrome hépato pulmonaire

82-Une malade connue cirrhotique consulte pour une hémorragie digestive haute par
rupture des VO, elle a une ascite de moyenne abondance. Après le traitement endoscopie
de l’hémorragie, Quelle est la conduite à tenir en 2ème intention : réponse fausse
A-Norfloxacine 800 mg/j per os
B-β-Bloquant si VO grade I ou II
C-Ligature élastique
D-Ponction d’ascite exploratrice
E-Contre indication formelle au traitement diurétique
83-L’infection spontanée du liquide d’ascite d’origine cirrhotique : réponse juste
1-Diagnostiquée devant un taux de PNN˃250 / mm3
2-Favorisée par un taux de protides ˂10g/l
3- Favorisée par un taux de protides ˃10g/l
4-N’est pas spécifique à la cirrhose
5-La ponction évacuatrice est faite en urgence
A-1,3 B-1,2 C-1,4 D-1,5 E-3,4

84-Lors du dépistage d’un carcinome hépato cellulaire chez un cirrhotique,


L’échographie montre un nodule de taille ˃ 5 cm et le dosage de l’α Foteo poetine
retrouve un taux élevé, Tous ces traitements sont à visée curative sauf :
1-Chimio embolisation
2-Transplantation hépatique
3-Destruction percutanée
4-Thérapie ciblée
5-Résection carcinologique de la tumeur
A-3,4 B-1,4 C-3,5 D-1,3 E-4,5

85-Les contre-indications de la PBH percutanée sont les suivantes sauf une, Laquelle ?
A-Dilatation des voies biliaires intra hépatiques
B-Hépatomégalie congestive
C-Obésité
D-Ascite
E-Hémangiome

86-L’ascite hémorragique chez un malade cirrhotique doit évoquer en 1er lieu :


1-Infection spontanée du liquide d’ascite
2-Troubles de la coagulation
3-Ponction traumatique
4-Carcinome hépato cellulaire
5-Encéphalopathie hépatique
A-4,5 B-1,3 C-2,4 D-1,4 E-2,5

87-Une cirrhose chez un sujet jeune évoque en première intention en l’absence de


consommation d’alcool ou de prise médicamenteuse et une sérologie virale négative :
A-NASH
B-Maladie de Wilson
C-Cirrhose biliaire primitive
D-Déficit en α1anti trypsine
E-Hépatite auto immune
88-Toutes ces propositions concernant la cirrhose sont justes sauf une, Laquelle ?
A-Le prurit invalidant est caractéristique de la cirrhose biliaire primitive
B-Un état histologiquement irréversible
C-Peut être secondaire à une insulino résistance
D-Dans l’hépatite auto immune II il y’a présence des AC anti LKM(Liver Kidney
Microsome)
E-Peut être d’origine virale B même en l’absence d’Ag HBs

89-Tous ces arguments sont en faveur d’une cirrhose alcoolique sauf un, Lequel ?
A-Hypergammaglobulinémie à type d’IgA
B-Pancréatite chronique sclérosante
C-Hypertrophie parotidienne bilatérale
D-Présence de corps de Mallory sur l’étude histologique
E-Hypertrophie rétractile de l’aponévrose palmaire moyenne de la main

90-La cholangite sclérosante primitive : réponse fausse


A-Maladie auto immune de cause inconnue
B-Peut être responsable d’une cirrhose biliaire secondaire
C-Survient sur un terrain masculin d’âge moyen
D-Cholangio-IRM montre des sténoses continues dans les voies biliaires intra et/ou extra
hépatiques
E-Une coloscopie totale est systématique

91-La maladie de Wilson : réponse fausse


A-Se manifeste par un syndrome extrapyramidal
B-L’anneau de Kayser Fleischer est pathognomonique
C-Le cuivre sérique est abaissé
D-Une anémie carentielle est très évocatrice
E-Il existe un traitement efficace

92-Une de ces affections n’est pas responsable d’une hépatite chronique :


A-Hépatite auto immune
B- Déficit en α anti trypsine
C-Hépatite alcoolique
D-Maladie de Wilson
E- Hépatite médicamenteuse

93-Le bilan de 1 ère intention devant la suspicion d’une cirrhose doit comprendre ces
examens sauf un, Lequel :
A-Dosage de l’alcoolémie
B-Dosage de la bilirubine mixte et conjuguée
C-Dosage de la ferritinémie
D-Dosage de l’albumine
E-Electrophorèse des protéines sériques
94-Un de ces signes n’est pas un signe de l’HTP, Lequel :
A-Syndrome de Cruveilhier-Baumgarten
B-Angiomes stellaires
C-Ascite
D-Circulation veineuse collatérale
E-Gastropathie hypertensive

95-Les signes cliniques d’IHC sont les suivants sauf un, Lequel ?
A-Ictère
B-Erythrose palmaire
C-Angiomes stellaires
D-Circulation veineuse collatérale
E-Gynécomastie

96-Les signes biologiques d’IHC sont les suivants sauf un, Lequel ?
A-Baisse du facteur V
B-Hypovitaminose K
C-Hypocholestérolémie
D-Hyperbilirubinémie conjuguée
E-Hypoalbuminémie

97-Lors d’une étude histopathologique d’une biopsie hépatique, La présence de corps de


Mallory oriente vers quelles étiologies :
1-Maladie de Wilson
2-Hémochromatose génétique
3-Hépatite virale
4-NASH
5-Hépatite médicamenteuse
A-2,3,5 B-1,2,4 C-3,4,5 D-1,4,5 E-1,2,3

98-Le score de Child Pugh : réponse fausse


1-Ne prend pas en compte l’hémorragie digestive
2-Inutile au stade avancé de la cirrhose
3-Chez les patients Child C le dépistage du CHC est fait tous les 6 mois
4-L’albumine est un paramètre mnémotechnique
5-La cirrhose est considérée décompensée dès le stade B
A-4,5 B-2,5 C-1,2 D-2,3 E-3,5

99-La prise en charge d’un patient cirrhotique comporte tous ces mesures sauf une,
Laquelle :
A-Vitamine B1 et B6
B-β-Bloquants si VO stade ≤ 2
C-Contre-indication des aminosides
D-Vaccin anti pneumocoque
E-Aucune nécessité pour un régime pauvre en sel
100-L’infection spontanée du liquide d’ascite : réponse fausse
1-Souvent monomicrobienne
2-Secondaire à un foyer infectieux
3-Peut se compliquer d’un syndrome hépato rénal
4-Un taux de PNN˂250 mm3 n’élimine pas le diagnostic
5-Un taux de protides ˃ 18 g/L impose la prévention
A-3,5 B-2,3 C-1,2,5 D-1,3 E-2,5

101-L’encéphalopathie hépatique peut être secondaire à toutes ces étiologies sauf une,
Laquelle ?
A-Diurétiques
B-Hémorragie digestive
C-TIPS
D-Duphalac
E-Benzodiazépines

102-Un de ces signes n’est pas évocateur de l’encéphalopathie hépatique, Lequel ?


A-Odeur douceâtre de l’haleine
B-Astérixis
C-Troubles du sommeil
D-Absence d’asymétrie des pupilles
E-Signes de localisation sur TDM

103-Le syndrome hépato rénal est défini par : réponse fausse


A-Créatinine ˃ 130 µmol/L
B-Absence d’hypovolémie
C-Protéinurie ˃0,5 g/24h
D-Diurèse ˂ 500 ml/24h
E-Absence d’amélioration de la fonction rénale après arrêt des diurétiques

104-Le syndrome hépato rénal : réponse fausse


1-Une indication de la ponction d’ascite évacuatrice
2-Le pronostic est moins sévère dans le type 2
3-L’infection spontanée du liquide d’ascite est un facteur déclenchant
4-Survient chez un patient avec ou sans ascite
5-Le traitement est basé sur les vasoconstricteurs
A-1,4 B-2,3,5 C-4,5 D-1,2 E-1,2,4

105-Concernant les complications pleuro-pulmonaires de la cirrhose : réponse fausse


1-La pleurésie siège souvent dans le poumon droit lors du syndrome hépato pulmonaire
2-L’hypoxémie ne répond pas à l’oxygénothérapie
3-Dans l’hypertension portale pulmonaire l’échocœur est normal
4-La transplantation hépatique est contre indiquée si PAP˃50 mmHg
5-La transplantation hépatique est indiquée si PAP˃50 mmHg
A-1,4 B-1,5 C-2,3,5 D-2,3,4 E-2,4,5
106-Un de ces virus ne passe jamais à la chronicité, Lequel ?
A-VHC
B-VHE
C-VHD
D-VHA
E-VHB

107-Le diagnostic de l’hépatite aigue virale repose sur les résultats sérologiques suivants
sauf un, Lequel ?
A-AC anti VHC à type d’IgM pour l’hépatite C aigue
B-AC anti VHD à type d’IgM pour l’hépatite D aigue
C-AgHbs + AC Hbc à type IgM pour l’hépatite B aigue
D-AC anti VHA à type d’IgM pour l’hépatite A aigue
E-AC anti VHE à type d’IgM pour l’hépatite E aigue

108-Concernant les hépatites virales : réponse fausse


1-L’infection par le VIH est un facteur de risque pour l’hépatite E chronique
2-L’hépatite C aigue symptomatique peut évoluer volontiers vers une hépatite fulminante
3-Un TP ˂ 50% sans encéphalopathie est un signe d’insuffisance hépatique sévère
4-La cytolyse prédomine sur les ASAT
5-La persistance de l’Ag Hbs plus de 6 mois n’est pas retrouvée que dans l’hépatite B
chronique
A-2,4,5 B-1,4 C-3,5 D-1,2,5 E-2,3,4

109-L’hépatite virale A : réponse fausse


A-Due à un virus nu
B-Le risque de transmission parentérale est quasi nul
C-Les AC anti VHA à type d’IgG signant la guérison de l’infection
D-Il y’a des zones d’endémie
E-L’évolution est toujours bénigne

110-A propos des hépatites virales à transmission entérale : réponse fausse


A-Sont des zoonoses
B-L’hépatite A touche souvent les enfants
C-Le VHE est responsable d’hépatite fulminante chez la femme enceinte
D-La recherche des AC anti VHA à type d’IgG n’a aucun intérêt pour le diagnostic positif
E-Il existe un traitement spécifique pour l’hépatite E

111-L’hépatite virale B : réponse fausse


1-Les AC anti Hbe sont absents en cas d’infection par le VHB mutant
2-La prévalence de la transmission verticale est plus élevée au cours de la grossesse
3-La PBH n’a pas d’intérêt pour la prise en charge d’une hépatite B chronique
4-La sérologie TPHA-VDRL est indiquée
5-En cas de portage chronique la recherche de l’Ag HBe et l’AC anti HBe est nécessaire
A-1,2,3 B-1,2 C-4,5 D-3,4,5 E-1,3
112-Chez un sujet guéri d’une hépatite virale B on retrouve :
1-cccDNA viral
2-AgHBe
3-AC anti HBs
4-AC anti HBc à type d’IgG
5-AC anti HBe
A-3,4 B-2,3,4 C-3,4,5 D-1,3,4 E-1,3,5

113-Toutes ces situations indiquent un traitement antiviral de l’hépatite B sauf une,


Laquelle ?
A-DNA viral≥2000 UI
B-Cirrhose compensée
C-Score de Metavir≥A2et/ouF2
D-Elévation persistante des ALAT avec virémie détectable
E-Femme enceinte porteuse de l’Ag HBs

114-Le traitement anti viral B : réponse fausse


1-Permet d’éradiquer l’infection chez environ tiers des patients
2-L’interféron α pégylé est contre indiquée en cas de cirrhose
3-Les anti rétroviraux sont la référence
4-La monothérapie est à éviter
5-L’entécavir est un analogue nucléosidique
A-4,5 B-1,2,3 C-1,4 D-3,4 E-2,5

115-Le génotype VHB le plus fréquent en Algérie est :


A-Le génotype B
B-Le génotype D
C-Le génotype A
D-Le génotype C
E-Le génotype H

116-Tous ces signes sont en faveur d’une hépatite B chronique sauf un, Lequel ?
A-Infiltrats inflammatoires et nécrotiques
B-Présence des AC anti HBc à type d’IgG
C-Apparition des AC anti HBs
D-Disparition des AC anti HBc à type d’IgM
E-ALAT˂10N

117-Dans la phase inactive de l’hépatite B chronique : réponse fausse


1-Ag HBe est négatif
2-La charge virale reste détectable
3-Ag HBs est négatif
4-AC HBe est positif
5-L’AC HBc est négatif
A-3,4 B-2,4 C-1,4,5 D-1,3,5 E-2,3,5
118-En cas de dépistage de l’Ag Hbs chez une femme enceinte, Quelle est la CAT :
A-Sérothérapie + vaccination de la mère
B-Traitement anti viral de la mère + vaccin du nouveau né
C-Sérothérapie + vaccination du nouveau né
D-Vaccination de la mère + traitement antiviral du nouveau né
E-Vaccination de la mère + sérothérapie du nouveau né

119-Quels sont les traitements de l’hépatite B chronique recommandés en Algérie :


1-Entécavir
2-Tenofovir
3-Adefovir
4-Lamivudine
5-Interféron pégylé
A-1,2,5 B-1,2 C-3,4 D-3,4,5 E-1,3,5

120-Concernant l’hépatite C chronique : réponse fausse


1-Le diagnostic est posé devant la persistance des AC anti VHC
2-La cryoglobulinémie est très évocatrice
3-La grossesse est une contre indication aux antiviraux
4-Le score Metavir est établi grâce à des méthodes non invasives
5-Le traitement du génotype 2 est l’association Sofosbuvir+Ledipasvir
A-3,5 B-1,2 C-2,4 D-1,5 E-4,5

121-Un malade âgé de 34 ans consulte pour un ictère avec émission des urines foncées
et des selles légèrement décolorées, il suit pour une insuffisance rénale dans un centre
d’hémodialyse.
Quels sont les examens complémentaires de première intension : réponse fausse
A-Bili IRM
B-Echographie abdominale
C-Sérologie virale
D-Hémogramme
E-Electrophorèse des protéines sériques

122-Voici le bilan hépatique : ALAT˃10N, taux de Phosphatases alcalines et Gamma-GT


élevé, hyperbilirubinémie conjuguée, TP bas. L’hémoglobine est à 11 g/100mL et
l’échographie montre l’absence de dilatation des voies biliaires extra hépatiques et la
présence des adénopathies du pédicule hépatique, Le bilan virologique est le suivant :
AC anti VHA-IgG (+),AgHBs(-) AC HBs(+) AC anti HBc(-), AC anti VHC(-). Interprétez ce statut
sérologique : réponse juste
1-Hépatite B guérie + vaccination contre VHA
2-Vaccination contre le VHA et le VHB
3-Il faut faire une PCR
4-Malade hépatite C négatif
5-Il faut refaire une deuxième sérologie
A-2,3 B-2,5 C-1,3 D-1,4 E-2,4
123-Quel est le génotype VHC le plus fréquent en Algérie :
A-2b
B-1b
C-3
D-C
E-1a

124-Dans quelles situations des suivantes, la sérologie VHC peut être faussement
négative :
1-Activité virale minime
2-Infection récente
3-Génotype fluctuant
4-Malade hémodialysé
5-Infection en période muette
A-3,4,5 B-2,5 C-1,3 D-2,3,4 E-2,4

125-Quel est le traitement pongénomique pour ce patient :


A-Sofosbuvir+Ribaviridine pendant 21 semaines
B-Sofosbuvir+Ledipasvir+Ribaviridine pendant 12 semaines
C-Sofosbuvir+Ribaviridine pendant 21 semaines
D-Sofosbuvir+Ribaviridine pendant 12 semaines
E-Sofosbuvir+Daclatasvir pendant 12 semaines

126-Quel est le signe de la guérison :


A-PCR virale C négative 6 mois après l’arrêt du traitement
B-Disparition des AC anti VHC
C-Foie sain avec Transaminases normales
D-Deux PCR négatives dans un intervalle de 15 jours
E-Apparition des AC anti VHC à type d’IgG

127-A propos de la lithiase vésiculaire : réponse fausse


1-L’hypercholestérolémie est un facteur de risque de la lithiase cholestérolique
2-La formation des calculs bruns est souvent secondaire à une hémolyse chronique
3-Les grands calculs vésiculaires sont plus sujets à entrainer une cholécystite
4-La fièvre typhoïde est une indication à la cholécystectomie
5-La colique hépatique siège souvent dans l’épigastre
A-2,3,5 B-1,2,4 C-1,2,3 D-2,5 E-3,5

128-La cholécystite aigue : réponse fausse


1-L’hémoculture est souvent positive
2-L’échographie montre la présence d’un sludge hétérogène
3-Le syndrome de Mirrizi peut évoluer vers une fistule cholécysto-cholédocienne
4-La cholécystite gangréneuse correspond au grade 3 selon la classification de Tokyo
5-La cholécystectomie sous cœlioscopie est la technique de choix pour les grades 1 et 2
A-1,4 B-2,5 C-3,4 D-2,4,5 E-1,3
129-La cholécystite aigue : réponse fausse
1-Le diagnostic d’une vésicule porcelaine peut être fait sur l’ASP
2-L’ileus biliaire est une occlusion intestinale fonctionnelle secondaire à l’inflammation
3-L’aerobilie est un signe d’une fistule cholécysto-colique
4-L’antibiothérapie n’est pas nécessaire dans la cholécystite chronique
5-La cholécystetomie est systématique en cas de fistule cholécysto-duodénale
A-3,4 B-3,5 C-2,5 D-1,2,4 E-4,5

130-Une femme âgée de 51 ans consulte pour une douleur vive au niveau de l’épigastre
irradiant vers l’épaule droite rapidement disparue après moins de 6 heures, Le
diagnostic d’une lithiase vésiculaire a été établi dont elle a bénéficié d’une
cholécystectomie. La même patiente consulte pour une douleur de caractères identiques
à la précédente avec un ictère, Dans ce contexte, Quel est le diagnostic le plus
probable ?
A-Lithiase de la VBP
B-Angiocholite
C-Cholécystite chronique
D-Pancréatite aigue
E-Cholangite sclérosante secondaire

131-Quel est l’examen de choix pour explorer la VBP :


A-Echographie abdominale
B-Echo-endoscopie
C-CPRE
D-Bili IRM
E-Cholangiographie per opératoire

132-Quel est le traitement adapté chez cette patiente :


A-CPRE avec sphinctérotomie
B-Extraction par cœlioscopie
C-Laparotomie
D-Drain de Kehr
E-Drain transcystique

133-Quelles sont les contre indications de cette technique : réponse fausse


1-Patient ayant une anse en Y
2-Diverticule duodénal
3-Fistule cholédoco-duodénale
4-Grossesse
5-Ileus biliaire
A-2,4 B-1,5 C-1,2,3 D-3,4,5 E-2,5
134-L’acte thérapeutique s’est compliqué d’une angiocholite post iatrogène, Quelle est la
conduite thérapeutique en urgence :
1-Injection de la vitamine K
2-Antibiothérapie à large spectre
3-Drainage des voies biliaires par radiothérapie interventionnelle
4-Hémoculture systématique + drainage endoscopique de la bile infectée
5-Sphintérotomie chirurgicale
A-1,2,4 B-1,2,3 C-1,2,5 D-1,2 E-2,3

135-La dilatation des voies biliaires extra hépatiques oriente vers toutes ces étiologies
sauf une, Laquelle ?
A-Pancréatite chronique
B-Cancer de la tête du pancréas
C-Cholangiocarcinome hilaire
D-Cholangite sclérosante primitive
E-Ampullome vattérien

136-L’angiocholite : réponse fausse


A-L’ictère est fluctuant et à bilirubine conjuguée
B-Une défense pariétale oriente vers une cholécyctite associée
C-Le diagnostic est souvent posé par l’échographie en urgence
D-Le drainage de la bile infectée n’est indiqué que chez les patients aggravés
E-La cholécyctectomie doit être réalisée à distance

137-L’ictère secondaire à un obstacle tumoral: réponse fausse


1-S’accompagne d’une hyperbilirubinémie conjuguée avec urines foncées
2-Le début brutal avec une douleur épigastrique est le signe le plus caractéristique
3-Evolue par poussées
4-Le drainage des selles biliaires s’impose
5-Est un signe de gravité
A1,3 B-3,4 C-1,2,3 D-2,3,5 E-2,3

138-Le cholangiocarcinome : réponse fausse


1-Souvent lié à une pathologie hépatique sous jacente
2-La maladie de Caroli est un facteur de risque
3-La CPRE permet d’effectuer des biopsies
4-Une hépatotectomie du coté atteint est systématique dans les tumeurs de type IV selon
la classification de Bismuth
5-Après la chirurgie le protocol palliatif comporte le drainage biliaire et la chimiothérapie
A-3,5 B-1,2,3 C-3,4,5 D-2,5 E-1,2
139-L’hémangiome du foie : réponse juste
A-Le diagnostic est souvent révélé par une douleur au niveau de l’hypochondre droit avec
masse palpable
B-La PBH est l’examen de deuxième intention en cas de doute
C-L’exérèse chirurgicale est discutée en cas d’anomalie du bilan hépatique
D-L’hémorragie représente la complication la plus fréquente
E-L’échographie est très performante

140-L’hyperplasie nodulaire focale du foie : réponse fausse


1-C’est la tumeur bénigne du foie la plus fréquente
2-La PBH est l’examen de choix pour affirmer le diagnostic
3-Ne passe jamais à la malignité
4-Les contraceptifs sont un des facteurs de risque
5-Le seul traitement est la surveillance
A-2,4,5 B-1,5 C-3,4,5 D-1,4 E-3,5

141-L’adénome hépatocellulaire : réponse fausse


A-Tumeur bénigne développée à partir des canalicules biliaires
B-Le carcinome hépatocellulaire est un diagnostic différentiel
C-La chirurgie n’est indiquée qu’en cas d’augmentation rapide de volume
D-Le risque de transformation maligne existe
E-De diagnostic parfois difficile

142-La prise en charge d’un adénome hépatocellulaire comporte : réponse fausse


1-Arrêt définitif de la contraception orale
2-Chirurgie d’exérèse
3-Souvent une abstention thérapeutique avec surveillance morphologique
4-L’arrêt de la contraception n’est pas indispensable
5-Aucune surveillance est nécessaire
A-1,2 B-3,4 C-1,4,5 D-1,2,5 E-2,4

143-Le carcinome hépatocellulaire peut se développer sur un foie non cirrhotique dans
les situations suivantes : réponse fausse
A-Hépatite C chronique
B-Hépatite B chronique
C-Hémochromatose génétique
D-Glycogénose de type 1
E-Carcinome fibrolammellaire

144-Concernant le diagnostic d’un carcinome hépatocellulaire : réponse fausse


1-Le signe d’Okuda sur l’échodoppler évoque une thrombose fibrinocruorique
2-Le wash-out portal correspond à une prise de contraste au temps portal
3-Le wash-out portal correspond à une chute de contraste au temps artériel
4-La biopsie n’est pas indispensable
5-Si taille ˃2 cm une IRM ou une TDM positive suffit pour poser le diagnostic
A-1,2,3 B-1,3,5 C-2,4 D-2,3,5 E-1,2
145-Le dépistage du carcinome hépatocellulaire est recommandé dans les situations
suivantes : réponse fausse
A-Patient Child A
B-Patient Child B
C-Patient Child C
D-Patient porteur de l’hépatite C chronique
E-Antécédent familial de carcinome hépatocellulaire

146-Quels sont les traitements curatifs du carcinome hépatocellulaire :


1-La chimio-embolisation
2-La radiofréquence
3-La chimiothérapie
4-Résection chirurgicale
5-L’alcoolisation
A-2,4,5 B-4,5 C-1,4 D-2,4 E-3,4,5

147-En cas de découverte échographique d’une métastase hépatique et en l’absence de


cancer primitif connu : réponse fausse
1-La PBH est nécessaire
2-L’endoscopique est faite en 1ère intention
3-Si la tumeur primitive est endocrine la transplantation hépatique peut être discutée
4-Il peut s’agir d’une métastase métachrone
5-Les marqueurs tumoraux sont demandés à visée diagnostic
A-1,5 B-3,5 C-1,4,5 D-4,5 E-2,3,4

Corrigé:

78→D 85→C 92→C 99→B 106→D 113→E 120→D 127→C 134→B 141→C
79→A 86→C 93→A 100→E 107→B 114→C 121→A 128→A 135 →D 142→B
80→D 87→B 94→B 101→D 108→E 115→B 122→A 129→C 136→C 143→A
81→B 88→B 95→D 102→E 109→E 116→C 123→B 130→A 137→E 144→A
82→B 89→B 96→B 103→C 110→A 117→E 124→E 131→D 138→C 145→C
83→B 90→D 97→D 104→A 111→A 118→C 125→E 132→A 139→E 146→A
84→B 91→D 98→D 105→C 112→C 119→E 126→A 133→D 140→D 147→D
Chapitre IV: Pathologies du pancréas

148-Pancréatite aigue : réponse juste


1-90% des lésions sont à type stéato-nécrotique
2-Une lipasémie ˃ 3N suffit pour poser le diagnostic
3-Souvent c’est la TDM qui fait le diagnostic
4-L’échographie est systématique
5-Le traitement est médical dans la majorité des cas
A-2,4 B-1,3,4 C-4,5 D-3,5 E-1,2,4

149-Pancréatite aigue alcoolique : réponse fausse


A-Survient quasi exclusivement sur une pancréatite chronique
B-Le facteur génétique peut jouer un rôle important
C-L’échographie n’est pas nécessaire
D-Le taux d’ASAT ˃3N
E-Le VGM est augmenté

150-Toutes ces propositions sont en faveur d’une pancréatite aigue biliaire sauf une,
Laquelle :
A-Des calculs de diamètre inférieur à 5 mm
B- Age ˃ 50 ans
C-Amylasémie ˃ 13N
D-ALAT˃3N
E- Cytolyse hépatique persistante

151-A part l’alcool et la lithiase biliaire toutes ces étiologies peuvent entrainer une
pancréatite aigue sauf une, Laquelle :
A-Mutation du gène SPINK2
B-Hyperparathyroidie
C-Nutrition parentérale
D-Traitement anti rétroviral
E-TIPMP (Tumeurs intra-canalaires papillaires et mucineuses du pancéas)

152-Un patient présente une douleur épigastrique atroce avec une lipasémie ˃3N, après
48h une TDM d’évaluation a montré une seule coulée de nécrose péri pancréatique et
une absence de rehaussement en environ ˂ 30% après injection de produit de contraste,
Quel est le score de ce malade selon la classification de Balthazar ?
A-10
B-3
C-7
D-5
E-Toutes les réponses sont fausses
153-Parmi ces propositions, quels sont les signes de gravité d’une pancréatite aigue :
1-Hyperglycémie
2-Pseudokystes sur la TDM après 72h
3-BMI˃30
4-CRP élevée après 48h
5-Augmentation des transaminases
A-1,2,5 B-2,3,4 C-4,5 D-2,3 E-3,4

154-Quelle est la complication locale la plus grave de la pancréatite aigue :


A-Insuffisance pancréatique exocrine
B-Insuffisance pancréatique endocrine
C-Rupture du pseudo kyste pancréatique
D-Infection de la nécrose
E-Angiocholite

155-Concernant l’infection de la nécrose pancréatique : une réponse fausse


A-Secondaire à la translocation de la flore commensale
B-La présence de bulles d’air est un signe tardif
C-Une antibiothérapie à large spectre est indiquée avant la ponction d’analyse
bactériologique
D-La TDM thérapeutique permet le drainage septique percutané
E-Un patient en état de choc est à opérer en urgence

156-La prise en charge d’une pancréatite aigue : réponse fausse


1-L’antibiothérapie n’est pas systématique
2-La TDM est obligatoire même si l’évolution favorable
3-En cas d’hospitalisation une surveillance de la lipasémie s’impose
4-La nutrition artificielle est idéalement entérale
5-L’absence de l’infection de la nécrose est assurée par les ponctions répétées
A-1,2,3 B-3,4,5 C-2,3,5 D-1,4,5 E-2,3,4

157-La prise en charge d’une pancréatite aigue lithiasique : réponse juste


1-La cholécystectomie est indiquée à distance
2-La CPRE est indiquée en urgence devant un ictère
3-L’antibiothérapie est débutée dès la confirmation du diagnostic
4-La nécrosectomie peut être réalisée après un délai d’organisation de la nécrose
5-La CPRE risque d’aggravation dans les situations non contrôlées
A-3,5 B-1,4 C-2,5 D-1,3 E-1,5

158-La pancréatite chronique : réponse fausse


A-Une atteinte de la fonction exocrine survient au premier plan
B-Souvent à type calcifiante
C-Les lésions histologiques sont réversibles
D-La douleur diminue avec le temps
E-Le dosage de la lipasémie est inutile en dehors de poussée aigue
159-La pancréatite chronique : réponse juste
1-L’échographie est un examen très sensible
2-La cholangio pancréato-IRM permet de voir les calcifications
3-L’absence de dilatations canalaires est en faveur d’une pancréatite auto immune
4-La TDM est moins contributive
5-L’écho-endoscopie montre les lésions précoces
A-3,4,5 B-1,5 C-3,4 D-2,5 E-3,5

160-Toutes ces complications peuvent être en rapport avec une pancréatite chronique
sauf une, Laquelle :
A-Douleur chronique
B-Diabète type 1
C-Ascite transudative
D-Diarrhée chronique
E-Hémorragie digestive

161-La pancréatite chronique peut être responsable de toutes les manifestations


suivantes sauf une, Laquelle :
A-Syndrome de cholestase
B-Hypovitaminose B12
C-Cytolyse hépatique
D-Hypoglycémie
E-HTP

162-Quels sont les principes de la prise en charge d’une pancréatite chronique :


1-Le dépistage du cancer si réapparition de la douleur
2-Injections des extraits pancréatiques
3-Régime pauvre en graisses
4-Infiltration des plexus cœliaques par l’alcool absolu
5-Surveillance des pseudo kystes extra pancréatiques asymptomatiques
A-1,2,3 B-1,2,4 C-2,4,5 D-3,4,5 E-1,3,5

163-L’adénocarcinome du pancréas : réponse fausse


1-Souvent développé à partir des canaux pancréatiques endocrines
2-La localisation caudale est la moins fréquente
3-Est dépisté systématiquement en cas d’un syndrome de Peutz-Jeghers
4-Les métastases sont principalement hépatiques
5-Les tumeurs stade 3 TNM sont non curables
A-1,5 B-1,3 C-1,2,3 D-2,4,5 E-2,5

164-L’adénocarcinome du pancréas : réponse fausse


A-Le cancer du hile hépatique est un diagnostic différentiel
B-La cytoponction écho-endoscopique est indiquée dans les tumeurs non résécables
C-Développé à partir des cellules acineuses
D-La présence d’une TIPMP est un facteur de risque
E-Le seul traitement curatif reste la chirurgie
165-Toutes ces propositions sont en faveur d’un adénocarcinome de la tête du pancréas
sauf une, Laquelle :
A-Décompensation d’un diabète
B-Douleurs solaires
C-Elévation de la CA 19-9
D-Hypodensité scannographique
E-TP bas corrigé par le test de Koller

166-A propos du traitement de l’adénocarcinome du pancréas : réponse fausse


1-La DPC comporte l’exérèse du duodénum, de l’antre gastrique et de la tête du
pancréas
2-La DPC comporte l’exérèse du duodénum, de l’antre gastrique, de la tête du pancréas
et de la vésicule biliaire
3-La dérivation cholédoco-jéjunale met le patient à l’abri des complications de la
cholestase
4-Aucune anastomose est confectionnée dans la spléno-pancréatectomie caudale
5-La surveillance des patients non résécables est surtout radiologique
A-2,4,5 B-1,4,5 C-2,3,5 D-1,3,5 E-1,3,4

167-Parmi les tumeurs du pancréas suivantes, lesquelles possèdent un risque de


transformation maligne :
1-TIPMP
2-Cystadénome mucineux
3-Cysadénome séreux
4-Insulinome
5-Gastrinome
A-2,5 B-1,4 C-1,2,5 D-1,3,4 E-1,2,4

Corrigé:

148→C 149→C 150→E 151→A 152→D 153→E 154→D 155→C 156→A 157→B
158→C 159→E 160→C 161→C 162→B 163→B 164→C 165→B 166→D 167→E
Chapitre V: Entérologie

168-La maladie cœliaque : réponse fausse


1-Survient exclusivement chez les sujets HLA DQ2 et HLA DQ8
2-L’allaitement naturel diminue sa prévalence
3-Le symptôme révélateur est souvent non spécifique
4-Une augmentation des transaminases est habituelle
5-Un bilan de mal absorption est systématique
A-3,5 B-1,3,4 C-4,5 D-2,5 E-1,2,4

169-La maladie cœliaque : réponse juste


A-La sérologie négative n’élimine pas le diagnostic
B-L’absence de rémission clinique complète sous régime sans gluten durant plus de 12
mois permet d’éliminer le diagnostic
C-Un régime sans gluten est indiqué dans les formes symptomatiques ou latentes
D-La recherche du génotype HLA spécifique n’a que de valeur positive
E-Toutes les réponses sont fausses

170-La sérologie de la maladie cœliaque chez l’adulte : réponse juste


1-Repose sur le dosage des AC anti TTG à type d’IgA
2-Repose sur le dosage des AC anti DPG à type d’IgA
3-Les AC anti Gliadine permettent la confirmation si suspicion de faux négatifs
4-En cas de déficit en IgA, il faut rechercher les AC anti DPG à type d’IgG
5-En cas de déficit en IgA, il faut rechercher les AC anti TTG à type d’IgG
A-1,4 B-2,3,5 C-1,3,4 D-1,3,5 E-2,4

171-Tous ces aspects endoscopiques de la muqueuse duodénale sont caractéristiques


de la maladie cœliaque sauf un, Lequel :
A-Aspect en mosaïque
B-Le scalopping
C-Perte des valves conniventes
D- Multiplicité des plis duodénaux
E-Erosion de la muqueuse

172-Parmi les examens paracliniques suivants quels sont ceux pratiqués


systématiquement dans le cadre du diagnostic de la maladie cœliaque :
1-Vidéo capsulo endoscopie
2-Entéroscopie
3-Ostéodensitométrie
4-Entéro IRM
5-Lavement baryté
A-1,2,4 B-1,2,5 C-2,3,4 D-3,4,5 E-1,2,3
173-L’histologie de la maladie cœliaque : réponse fausse
A-Est le gold standard du diagnostic
B-L’atrophie villositaire n’est pas un signe spécifique
C-Le sprue réfractaire est un état potentiellement malin
D-Dans le type 1 de la classification de Marsh-Oberhuber la muqueuse intestinale est pré
infiltrative
E-Une gastrite lymphocytaire est souvent associée

174-Une de ces anomalies n’est pas une manifestation extra digestive de la maladie
cœliaque, Laquelle :
A-Retard staturo-pondéral
B-Stérilité
C-Ostéomalacie
D-Hypersplénisme
E-Hépatomégalie

175-Après un régime sans gluten bien conduit au cours de la maladie cœliaque tous ces
signes sont observés sauf :
A-Disparition clinique complète
B-Disparition des AC spécifiques
C-Régression des anomalies hépatiques
D-Régression de la sprue réfractaire
E-Repousse villositaire

176-Le syndrome de l’intestin irritable avec constipation prédominante correspond à :


A-Bristol 1-2≤25% et Bristol 6-7 ≥25%
B-Bristol 1-2≥25% et Bristol 6-7≤25%
C-Bristol 1-2≥25% et Bristol 6-7≥25%
D-Bristol 1-2≤25% et Bristol 6-7≤25%
E-Aucune de ces réponses

177-Quels sont les critères de Rome IV concernant le syndrome de l’intestin irritable :


1-Douleur abdominale
2-Ballonnement abdominal
3-Amélioration par la défécation
4-Amélioration par le repos
5-Modification de la consistance et/ou la fréquence des selles
A-1,2,3 B-3,4,5 C-1,3,5 D-1,4,5 E-2,4,5

178-Dans le syndrome de l’intestin irritable une exploration est nécessaire dans quelle(s)
situation(s) des suivantes :
1-Persistance des poussées symptômatiques ˃ 2 ans
2-Age ˃50ans
3-Forme avec alternance diarrhée constipation
4-Terrain éthylo tabagique
5- Exacerbation des signes habituels
A-2 B-1,2,4 C-2,3,4 D-2,5 E-2,3
179-Le traitement recommandé au cours du syndrome de l’intestin irritable comporte
tous ces groupes de médicaments sauf un, Lequel :
A-Antispasmodiques
B-Anti dépresseurs tricycliques
C-Agoniste de la sérotonine
D-Antagoniste de la sérotonine
E-Prokinétiques

180-Les MICI : réponse juste


A-Les formes familiales sont fréquentes
B-L’espérance de vie n’est pas diminue dans la RCUH
C-A prédominance féminine
D-Le traitement est similaire
E-L’age de survenue et souvent entre 40 et 60 ans

181-Les MICI : réponse juste


A-Le risque de dégénérescence implique le dépistage en dehors des poussées
B- La coloscopie totale est l’examen clé
C-Le tabac est un facteur protecteur
D-Les lésions anopérineales sont surtout à type hémorragique lors de la RCUH
E-Un régime restrictif permet d’allonger les périodes de rémission

182-La RCUH : réponse fausse


1-Souvent révélée par des rectorragies
2-Dans la forme de rectite pure la diarrhée est à type glairo-sanglante
3-Est une maladie inflammatoire transmurale ne concerne que la muqueuse
4-Prédomine sur le colon gauche
5-L’anus est toujours indemne
A-2,3,4 B-2,3,5 C-2,4,5 D-1,4 E-1,5

183-La RCUH : réponse juste


A-Considérée comme sévère lorsqu’elle entraine une pancolite
B-La classification de Truelove et Witts permet d’apprécier l’étendu de l’atteinte
rectocolique
C-Le rectum peut être indemne
D-Un syndrome inflammatoire est fréquemment retrouvé
E-Les sérologies pANCA et ASCA ne sont pas demandées en première intension

184-La RCUH : réponse juste


1-Un aspect de microcolie est un signe de gravité
2-La coloscopie permet de voir les fistules inflammatoires
3-Les ulcérations aphtoides sont quasi pathognomoniques
4-Les lésions sont continues et homogènes
5-La cicatrisation est parfois à type de polype hyperplasique
A-3,5 B-1,3 C-4,5 D-2,3 E-2,4
185-Toutes ces anomalies histologiques sont en faveur d’une RCUH sauf une, Laquelle :
A-Abcès cryptiques nombreux
B-Perte de la mucosécrétion
C-Infiltrat lympho plasmosytaire du chorion
D-Sclérolipomatose des mésos
E-Absence de granulome épitheloide et gigantocellulaire

186-La RCUH : réponse fausse


A-Une colo-protectomie seule permet la guérison
B-La cholangite sclérosante primitive est fréquemment associée
C-La colectasie est une complication à craindre
D-L’extension anatomique des lésions est un signe caractéristique
E-Les dérivés salicylés sont moins efficaces

187-La maladie de Crohn : réponse fausse


1-Peut toucher de façon continue l’ensemble du tube digestif de la bouche à l’anus
2-Les formes iléo-cœcales sont les plus à risque de lésions anopérineales
3-Souvent révélée par une diarrhée chronique non sanglante
4-La palpation d’une masse inflammatoire au niveau de la FID est très évocatrice
5-Le syndrome de Konig est recherché par l’interrogatoire
A-1,2 B-3,4 C-4,5 D-2 E-2,5

188-Chez un malade présentant une maladie de Crohn, la dyschésie oriente en première


intention vers l’étiologie suivante :
A-Cancer colorectal
B-Syndrome de Konig
C-LAP(lésions ano périneales)1
D-LAP2
E-LAP3

189-Tous ces signes évoquant une maladie de Crohn sauf un, Lequel ?
A-Antécédent d’appendicectomie
B-Syndrome de mal absorption
C-Sérologie ASCA positive
D-Nombreux abcès cryptiques
E-Profil cytokinitique Th1

190-Quels sont les signes possiblement retrouvés par la coloscopie réalisée au cours
d’une maladie de Crohn :
1-Lésions érythémateuses et hémorragiques
2-Fistule entérale
3-Ulcérations aphtoides
4-Sténoses coliques infranchissables
5-Ulcérations étendues avec quelques ilots de muqueuse saine bien limitée
A-1,2,4 B-1,3,4 C-1,4,5 D-2,3,5 E-1,4,5
191-Quels sont les examens complémentaires pratiqués en cas de suspicion d’une
maladie de Crohn ?
1-Entéroscanner
2-Vidéo capsulo endoscopie
3-Transit du grêle
4-EOGD
5-Rectoscopie
A-1,4,5 B-1,2,4 C-1,3,5 D-2,4,5 E-3,4,5

192-Les anomalies anatomopathologiques retrouvées au cours de la maladie de Crohn


sont les suivantes sauf une, Laquelle :
A-Métaplasie des cellules de Paneth
B-Epaississement fibreux de la paroi
C-Augmentation de la graisse des mésos
D-Perte de la mucoséréction
E-Hyperplasie lymphoide diffuse

193-La maladie de Crohn : réponse fausse


1-Peut être responsable d’une amylose secondaire
2-Est une affection à risque thrombo embolique
3-La spondylarthrite ankylosante est une des manifestations extra-digestives
4-La prise au long cours des salicylés peut augmenter le risque de la survenue d’un
cancer coloréctal
5-La chirurgie d’exérèse permet une guérison définitive
A-3,5 B-2,4 C-2,3 D-1,2 E-1,5

194-Quel est le traitement de première intension d’une fistule anale secondaire à une
maladie de Crohn :
A-Antibiothérapie + immunosuppresseur
B-Antibiothérapie + anti TNF
C-Antibiothérapie + corticothérapie
D-Immunosupresseur + anti TNF
E-Dérivés salicylés + chirurgie

195-Parmi ces traitements, lesquels sont recommandés en cas d’une poussée de MICI :
1-Mézalazine
2-Corticothérapie
3-Anti TNF
4-Azathiopurine
5-6 Mercaptopurine
A-2,4,5 B-4,5 C-1,2,3 D-2 ;3,5 E-1,2
196-La diverticulose colique : réponse fausse
1-Seules les complications nécessitant un traitement
2-N’est pas un facteur de risque du cancer coloréctal
3-Siège souvent dans le colon sigmoïde
4-Est une hernie de la muqueuse sur la séreuse à travers les zones de faiblesse coliques
5-Le risque d’infections impose une antibiothérapie
A-1,3 B-4,5 C-2,4 D-1,4 E-3,5

197-La diverticulose colique : réponse fausse


A-La prise des AINS est un facteur aggravant
B-Ne touche jamais le rectum
C-Souvent découverte fortuitement
D-Le diagnostic d’une diverticulite est posé grâce au scanner
E-Pathologie rare après l’âge de 65 ans

198-La diverticulite colique aigue : réponse juste


1-La coloscopie est contre indiquée
2-La coloscopie permet le diagnostic
3-L’image d’addiction aerique est le signe le plus spécifique
4-L’infiltration de la graisse péricolique est le signe le plus spécifique
5-Le syndrome infectieux un signe de gravité
A-2,4 B-2,3,5 C-2,3 D-1,4 E-1,3,5

199-La diverticulite colique aigue : réponse fausse


1-Est une urgence chirurgicale
2-L’extravasation du produit de contraste est un en faveur d’une perforation
3-Plus le nombre de récidives augmente, plus elles sont graves
4-Une péritonite en deux temps peut se voir
5-L’antibiothérapie s’impose
A-2,3 B-2,5 C-1,3 D-1,2 E-2,4

200-Une n’est pas une complication de la diverticulite colique répétée, Laquelle :


A-Péritonite purulente
B-Syndrome occlusif
C-Dégénérescence au long cours
D-Fistule colo-cutanée
E-Phlegmon péricolique

201-En cas d’une diverticulose colique siégeant dans le colon sigmoïde, la


sigmoïdectomie prophylactique est indiquée dans les deux situations suivantes :
1-Patient nécessitant un traitement AINS
2-Après la première poussée chez un sujet d’âge˃50ans
3-Après la première poussée chez un sujet d’âge ˂50ans
4-Après 2 ou 3 poussées chez un sujet d’âge ˃50ans
5-A la phase aigue d’une diverticulose compliquée
A-1,2,5 B-1,3,5 C-1,3,4 E-1,3
202-Le cancer du colon : réponse juste
A-L’acromégalie est un facteur de risque élevé
B-Devient invasif s’il envahit la sous muqueuse
C-L’adénocarcinome mucineux est le type histologique le plus fréquent
D-La présence de cellules en bague à chatons doit faire rechercher un cancer du rectum
associé
E-Toutes les réponses sont fausses

203-Le cancer du colon : réponses fausses


1-La classification TNM est la même pour les cancers du haut rectum
2-L’envahissement locorégional est plus précoce si la tumeur se développe sur un polype
plan
3-Les sauts de métastases sont possibles
4-Pour la réalisation d’un compte rendu anatomopathologique il faut au moins 12
ganglions étudiés
5-Souvent révélé par la perception d’une masse abdominale
A-1,3 B-2,5 C-3,5 D-2,4 E-1,2

204-Le cancer du colon : réponse fausse


1-La cause la plus fréquente d’occlusion par obstruction
2-Doit être recherché devant une endocardite à entérobactéries
3-Un taux élevé de la protéine APC a une valeur péjorative
4-Les marges de résection doivent dépasser 5 cm
5-Une atteinte ganglionnaire est une indication à la chimio radiothérapie
A-3,4 B-2,4,5 C-1,2,3 D-2,3 E-1,3

205-Le cancer du colon : réponse juste


1-Très lymphophiles
2-La majorité est développée sur une polypose adénomateuse familiale
3-L’extension nerveuse favorise les récidives
4-L’hémocult permet le dépistage avant l’âge de 50 ans
5-La découverte d’un syndrome d’HNPCC impose une colectomie à titre préventif
A-1,3 B-1,2,3,5 C-1,2,4 D-1,2,4,5 E-1,2,5

206-Dans toutes ces affections, il y’a un risque élevé de la survenue d’un cancer du
colon sauf une, Laquelle :
A-RCUH
B-Syndrome de Peutz-Jeghers
C-Syndrome de Gardner
D-Polypose juvénile familiale
E-Polypose digestive traitée par AINS au long cours
207-Les polyposes adénomateuses familiales : réponses fausses
1-Dues à une mutation du gène APC porté sur le chromosome 21q5
2-A transmission autosomique dominante
3-Les plus fréquentes des polyposes digetives
4-D’expression clinique dès l’âge adulte jeune
5-Il y’a des formes asymptomatiques
A-1,3,5 B-1,4,5 C-3,4,5 D-4,5 E-3,4

208-Les polyposes adénomateuses familiales : réponse fausse


1-100% des sujets atteints vont développer un cancer coloréctal après l’âge de 40 ans
2-La coloproctectomie prophylactique protège contre le potentiel malin
3-La localisation gastrique est fréquente
4-Les tumeurs désmoides sont de mauvais pronostic
5-La prise en charge est surtout prophylactique
A-3,5 B-2,5 C-4,5 D-2,4 E-2,3

209-Le syndrome de Gardner associe les manifestations extra digestives suivantes sauf
une, Laquelle :
A-Anomalies dentaires
B-Atteinte de la thyroïde
C-Tumeurs de SNC
D-Atteinte rétinienne
E-Kyste épidermoide

210-Les polyposes adénomateuses familiales : réponse juste


1-Le diagnostic est posé grâce à la coloscopie
2-La chirurgie prophylactique doit être réalisée le plus précocement possible
3-Les polypes duodénaux ne nécessitent aucune surveillance si n’entrainent pas de
complications
4-Le dépistage est débuté à l’âge de la puberté
5-Le dépistage est débuté à l’âge adulte jeune
A-2,4 B-1,3,5 C-1,4 D-1,3 E-1,2,4

211-Les polyposes adénomateuses familiales : réponse juste


1-Causées par une mutation du gène codant pour la β-caténine
2-Souvent de type tubuleux
3-Souvent de type villeux
4-L’atteinte rectale est constante
5-Les polyposes gastriques antrales n’ont aucun risque cancérigène
A-3,5 B-1,2,4 C-2,4 D-3,4,5 E-1,2,5

212-Les polyposes adénomateuses familiales : réponse fausse


A-Le score de Spigelman permet de classer par ordre de sévérité les polypes duodénaux
B- Le test de tronculation de la protéine APC est le plus utilisé
C-L’incidence des cas sporadiques n’est pas négligeable
D- Les tumeurs desmoides sont souvent diagnostiquées par une TDM ou une IRM
E-L’endoscopie haute est réalisée en cas de signes d’appel
213-Les polyposes adénomateuses familiales : réponse fausse
1-Les tumeurs desmoides peuvent survenir même après la coloprotectomie totale
2-Outre l’atteinte digestive, un médulloblastome est associée dans le syndrome de
Turcot
3- Le nombre et la taille des polypes augmentent avec l’âge
4-Un traitement par les anti COX 2 au long cours peut protéger contre la survenue du
cancer colorectal
5-L’indication de la chirurgie préventive est indiscutable dès l’âge de 30 ans
A-4,5 B-1,5 C-1,4,5 D-3,4 E-1,3,4

214-Les polyposes adénomateuses familiales : réponse juste


1-Les AINS sont le traitement de première intention des tumeurs desmoides non
compliquées
2-La coloproctectomie totale avec iléostomie est la procédure de choix
3-La colectomie totale avec mucosectomie rectale et anastomose iléo anale est la
procédure de choix
4-La colectomie totale avec résection endoscopiques des polypes rectaux est la
procédure de choix
5-Le traitement médical permet parfois une régression définitive s’il est débuté au stade
précoce
A-2,5 B-1,4 C-1,2,5 D-1,3 E-3,5

215-Les polyposes hamartomateuses regroupent les syndromes suivant sauf un lequel :


A-Syndrome de Cowden
B-Syndrome de Cronkhit-Canada
C-Syndrome de Peutz-Jeghers
D-Polyposes jévuniles
E-Syndrome de Ruvalcaba-Myrthe-Smith

216-Les polyposes hamartomateuses digestives : réponse fausse


A-Ensembles de lésions non néoplasiques
B-Dues à une hyperplasie de cellules normales du tube digestif
C-Le syndrome de Ruvalcaba-Myrthe-Smith est une variante de la polypose jévunile
D-Une chirurgie prophylactique est indiquée aux alentours de 20 à 25 ans
E-Dans le syndrome de Cowden le risque est surtout d’un cancer extra digestif

217-Le syndrome de Peutz-Jeghers : réponse fausse


1-Prédispose au cancer de la tyhroide
2-Du à une mutation du gène STK11 situé sur le chromosome 19q
3-Les hamartomes siègent souvent au niveau grêlique
4-Une surveillance mammographique est recommandée
5- Les lentiginoses possèdent un risque de tumeur maligne de la peau
A-1,3 B-1,5 C-1,2 D-1,4 E-1,2,3
218-La polypose juvénile familiale : réponse fausse
1-Les hamartomes siègent souvent au niveau colique
2-Est due à une mutation du gène SMAD2/BMPR
3-Révélée à l’âge de l’enfance chez la majorité des patients
4-La dégénérescence d’un polype adénomateux est possible
5-Les manifestations extra digestives majeures surviennent après la première décennie
A-2,5 B-1,4 C-3,5 D-2,3 E-4,5

219-Le syndrome de Cowden : réponse fausse


1-Le tricholome de la face n’est pas un signe spécifique
2-Plus fréquent chez les femmes
3-Le pronostic est corrélé à la survenue d’un cancer digestif
4-Le pronostic est corrélé à la survenue d’un cancer extra-digestif
5-Le papillomavirus est incriminé
A-1,2,5 B-1,4 C-1,3 D-1,2,3 E-1,2,4

220-Toutes ces polyposes ne sont pas familiales sauf une, Laquelle ?


A-Polypose lyphomateuse
B-Syndrome polyposique mixte
C-Syndrome de Cronkhit-Canada
D-Syndrome polyposique hyperplasique
E-Neurofibromatose intestinale

221-Les polyposes digestives : réponse fausse


1-L’adénome villeux comporte des dysplasies sévères
2-Souvent héréditaires
3-Les polypes hyperplasiques sont souvent d’origine inflammatoire
4-Les polypes lymphoides se développent à partir de la sous muqueuse
5-les AINS augmente le risque cancérigène
A-4,5 B-2,4 C-1,5 D-2,3 E-2,5

222-Les polyposes digestives : réponse fausse


A-Les cryptes aberrantes sont des lésions pré néoplasiques
B-Plus le nombre augmente, le risque de cancérisation est élevé
C-Tout un adénome est une lésion dysplasique
D-Un polype malin correspond à un foyer néoplasique dépassant la membrane basale
E-L’altération précoce du gène TP53 favorise la survenue des adénomes sessiles

223-Les polyposes digestives : réponse fausse


1-L’hémorragie est le symptôme majeur
2-La chromoscopie met en évidence les polypes plans
3-L’écho-endoscopie mini sonde permet de détecter le degré de dégénérescence
4-La coloscopie de contrôle d’un adénome villeux doit être faite tous les 5 ans
5-Les polypes sessiles sont réséqués par une électro coagulation + anse diathermique
A-2,3,4 B-1,2 C-2,3 D-4,5 E-1,4
Corrigé:

168→D 175→D 182→A 189→D 196→B 203→C 210→A 217→B


169→A 176→B 183→E 190→B 197→E 204→E 211→C 218→A
170→A 177→C 184→C 191→B 198→D 205→A 212→E 219→C
171→D 178→D 185→D 192→D 199→C 206→E 213→A 220→B
172→E 179→E 186→E 193→A 200→C 207→B 214→D 221→E
173→D 180→B 187→A 194→A 201→E 208→D 215→B 222→E
174→D 181→A 188→E 195→C 202→A 209→B 216→D 223→D
Chapitre VI : Proctologie

224-Les fissures anales : réponse juste


A-Sont des ulcérations superficielles de l’ano-derme
B-La fibrose autour des bords est un signe de guérison
C-S’accomagnent d’une hypotonie du sphincter interne
D-La douleur fissuraire est soulagée par l’exonération
E-Favorisées par l’augmentation de la vascularisation du lit de la fissure

225-Le diagnostic différentiel d’une fissure anale comporte toutes ces pathologies sauf
une, Laquelle ?
A-Tuberculose
B-Hémopathie maline
C-SIDA
D-RCUH
E-Syphilis

226-Les fissures anales : réponse fausse


A-La chirurgie est le choix dans les formes atypiques
B-Les anti inflammatoires sont contre indiqués
C-Les dérivés nitrés permettent la lutte contre l’hypertonie anale
D-La sphinctérotomie avec ou sans fissurectomie risque d’entrainer une incontinence
irréversible
E-Aucun traitement n’est capable d’éviter les récidives

227- Les suppurations anales : réponse fausse


1-L’abcès anorectal est la manifestation chronique de la fistule anale
2-Souvent dues à une infection de la glande d’Hermann et Desfosses
3-La disparition de la douleur n’est pas un signe de guérison
4-L’anoscopie est un examen fondamental
5-Le traitement est toujours chirurgical
A-3,4 B-1,5 C-1,4 D-3,5 E-2,5

228-Selon la classification de Parks, un trajet fistuleux trans sphinctérien est de type :


A-2
B-4
C-1
D-3
E-5

229-Devant un abcès anal collecté, quelle est la conduite à tenir :


A-Drainage + fistulotomie
B-Drainage + fistulotomie + antibiothérapie
C-Drainage + antibiothérapie
D-Drainage après une antibiothérapie préalable
E-Toutes les réponses sont fausses
230-La pathologie hémorroïdaire : réponse fausse
A-En cas de saignement la coloscopie est systématique
B-L’examen clinique est souvent suffisant
C-Peut être secondaire à une HTP
D-Dans le stade 4 de la classification de Goligher, le prolapsus permanent est du à la
rupture du ligament de Parks
E-La principale complication est la thrombose

231-La pathologie hémorroïdaire interne : réponse fausse


1-La douleur n’est pas rythmée par la défécation
2-Le prolapsus rectal dans stade 3 correspond à une extériorisation nécessitant une
intégration manuelle
3-Un carcinome épidermoide de l’anus est un diagnostic différentiel
4-Le traitement ne doit pas être retardé
5-Une abstention thérapeutique est parfois justifiée
A-1,5 B-1,3 C-1,4 D-2,5 E-2,4

232-La pathologie hémorroïdaire interne : réponse fausse


1-La photocoagulation est privilégiée dans les formes à prolapsus prédominant
2-La ligature est privilégiée dans les formes à saignement prédominant
3-La chirurgie est le traitement de la première ligne dans le stade 4
4-Les veinotoniques agissent peu sur le prolapsus
5-Les laxatifs sont à éviter durant les crises hémorroïdaires
A-2,3,4 B-4,5 C-3,4 D-1,2 E-1,4,5

233-Les cancers du rectum : réponse fausse


1-Souvent il s’agit d’un adénocarcinome à type liberkhunien
2-L’absence de la mucosécrétion est un signe de mauvais pronostic
3-Si la marge latérale de l’exérèse est ˃ 1 mm la résection sera considérée R1
4-Le stade T3 correspond à l’envahissement de la sous-séreuse
5-La RCUH est facteur de risque élevé
A-3,4 B-2,4 C-2,3 D-1,4 E-1,5

234-Les cancers du rectum : réponse fausse


1-La coloscopie est indispensable
2-Le toucher rectal permet d’évaluer la résécabilité
3-Rarement responsables d’occlusion basse
4-Le CA 19-9 est marqueur tumoral à intérêt prédictif
5-Le bilan d’extension est scannographique
A-2,4 B-1,2 C-4,5 D-3,5 E-1,4
235-Les cancers du rectum : réponse fausse
1-Sont considérés comme un cancer du sigmoïde si de type Liberkhunien
2- Plus la marge latérale est importante, meilleur est le pronostic
3-Plus la marge latérale est importante, le risque de récidive est élevé
4-La radiothérapie n’a pas de place dans les tumeurs de haut rectum
5-L’exérèse trans anale est une technique plus conservatrice
A-1,3,4 B-1,3 C-2,4,5 D-1,2 E-1,3,5

236-Chez un sujet agé de 65 ans ayant un adénocarcinome du bas rectum classé


T3(envahissant le mésorectum), Devant l’impossibilité d’obtenir des marges distales
≥1cm, Quel est le traitement bien adapté :
A-Radio chimiothérapie néoadjuvante suivie d’une protectomie + colostomie iliaque
B-Résection trans anale conservatrice
C-Exérèse inter sphinctérienne suivie d’une radiothérapie post opératoire
D-Amputation abdomino-péritonéale
E-Chimiothérapie péri opératoire avec une protectomie partielle conservatrice

237-Les cancers de l’anus :


A-Souvent localisés dans le canal anal
B-L’examen clinique permet quasiment toujours d’évoquer le diagnostic
C-Les métastases sont rares
D-Le frottis cervical recherche des lésions liées à l’HPV
E-Pour les tumeur T1N0M0 le traitement repose sur la chirurgie d’exérèse

Corrigé:
224→A 225→D 226→B 227→C 228→A 229→B 230→E
231→E 232→D 233→A 234→C 235→B 236→D 337→E
Chapitre VII : Infectiologie digestive

238-La taeniasis : réponse juste


A-Est une parasitose liée à un cestode larvaire
B-La symptomatologie évolue de l’anorexie vers la bolémie
C-La tenia solium est responsable de signes neurologiques
D-La sérologie souvent fait le diagnostic
E-Le néclosamide est le traitement de choix chez la femme enceinte

239-L’hymenolépsis nana : réponse fausse


1-Est un cestode
2-Le tableau clinique est similaire à celui du taenia saginata
3-L’EPS est l’examen clé de diagnostic à la recherche des larves
4-La prévention repose sur l’hygiène des mains
5-Peut être responsable d’une carence en vitamine B12
A-2,3 B-3,5 C-1,4 D-3,4 E-1,5

240-La giardiose : réponse fausse


1-Le parasite responsable est un protozoaire flagellé
2-La transmission se fait uniquement par voie orale
3-Peut être évoquée devant une diarrhée apyrétique avec un syndrome de malabsorption
4-Chez l’immunodéprimé les symptômes sont plus graves
5-L’efficacité du traitement est évaluée grâce à une EPS de contrôle
A-2,3 B-1,5 C-3,4 D-4,5 E-3,5

241-L’ascaridiose : réponse fausse


A-Due à un trematode
B-Il n’y pas d’hôte intermédiaire
C-Souvent asymptomatique
D-L’hyperéosinophilie est majeure à la phase d’invasion
E-Peut être responsable d’une occlusion digestive

242-La tuberculose digestive : réponse juste


1-La localisation iléo caecale est la plus fréquente
2-Les adhérences sont des lésions typiques de la localisation péritonéale
3-La nécrose caséeuse a une valeur spécifique
4-La chirurgie est réservée aux formes compliquées
5-Le traitement recommandé en Algérie est l’association EHZ
A-2,4 B-1,3 C-2,3 D-4,5 E-1,3,5

243-La tuberculose intestinale : réponse fausse


A-Le dosage d’ADA est souvent pratiqué
B-La positivité de l’IDR est un signe d’activité
C-La PCR permet la recherche rapide du BK
D-Dans la forme iléo caecale les ulcérations hypertrophiques s’observent au stade tardif
E-Le test thérapeutique est indiqué en l’absence de preuve au diagnostic
244-Tous ces signes sont en faveur d’une tuberculose péritonéale sauf un, Lequel :
A-Syndrome d’épanchement pleural
B-Examen direct négatif
C-Gradient de protides ˃ 11g/L
D-Concentration faible en glucose dans le liquide d’ascite
E-Prédominance des lymphocytes dans le liquide d’ascite

245-Le meilleur marqueur biologique d’une tuberculose digestive en l’absence de preuve


histologique :
A-LDH élevé
B-Gradient protéique ˃11g/L
C-ADA˃30u/L
D-Cencentration faible en glucose du liquide d’ascite
E-CA 125 élevé

246-La diarrhée aigüe : réponse fausse


A-Souvent d’origine infectieuse
B-Peut être dûe à des germes exogènes ou endogènes
C-Dans le mécanisme invasif les selles sont glairosanglantes
D-Dans le mécanisme sécrétoire il y’a l’absence de la fièvre et la déshydratation
E-Dans le mécanisme invasif les selles ne sont pas cholériformes

247-Quels sont les germes responsables d’une diarrhée aigüe invasive :


1-Salmonelle
2-Vibrio Cholerae
3-Escherichia coli
4-Staphylocoque doré
5-Entomoeba histolytica
A-1,3,5 B-1,2,3 C-2,4,5 D-1,3,4 E-2,3,4

248-La toxi infection alimentaire collective : réponse fausse


1-La coproculture est obligatoire
2-La coproculture n’est pas obligatoire
3-D’incubation courte si le germe en cause est le staphylocoque
4-La fièvre est à 39°C si le germe en cause est le salmonelle
5-Les ralentisseurs du transit permettent la lutter contre le syndrome de malabsorption
A-2,5 B-1,5 C-2,4 D-1,3 E-2,3

249-La diarrhée aigüe : réponse juste


1-Souvent parasitaire chez les voyageurs
2-Souvent virale chez les enfants
3-Peut se compliquer d’une colite pseudomembraneuse en l’absence d’antibiothérapie
précoce
4-Les antiseptiques sont prescrits en dehors des phénomènes invasifs
5-De type osmotique dans l’amibiase intestinale
A-1,4 B-2,5 C-2,4 D-1,3,4 E-1,2,3
250-La péritonite : réponse fausse
A-La douleur est rapidement généralisée
B-Le diagnostic est clinico radiologique
C-La symptomatologie est moins bruyante chez sujet âgé
D-De mauvais pronostic si d’origine biliaire
E- Le choix de l’antibiothérapie ne dépend pas du type de la péritonite

Corrigé:

238→C 239→B 240→C 241→A 242→A 243→B 244→C


245→C 246→D 247→A 248→B 249→C 250→E

Sommaire
I-Pathologies de l’œsophage

II-Gastrologie

III-Hépatologie

IV-Pathologies du pancréas

V-Entérologie

VI-Proctologie

VII-Infectiologie digestive

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