QCM Hge

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QCM 1

Quelles sont les trois propositions exactes concernant la dysphagie?

AToute dysphagie impose la réalisation d’une endoscopie œsogastroduodénale


BLa dysphagie est paradoxale en cas de compression extrinsèque de l’œsophage
CUne dysphagie intermittente est en faveur d’une étiologie organique
DUne dysphagie peut être en rapport avec une infiltration de la muqueuse œsophagienne par des
polynucléaires éosinophiles
E La découverte de spasmes du bas œsophage chez un sujet âgé nécessite la réalisation d’une
écho-endoscopie œsophagienne

QCM 2
Dans l’achalasie, la dysphagie : (2 réponses exactes)

AEst progressivement croissante pour les solides puis les liquides


BPeut-être intermittente au début de l’évolution
CN’est pas constamment associée à une perte de poids
DNe s’associe jamais à des symptômes de reflux gastro-œsophagien
E N’est jamais douloureuse

QCM 3
Quelles sont les solutions thérapeutiques possibles dans l’achalasie? (2 bonnes réponses)

ALa prescription d’anticholinergiques


BLa cardiomyotomie
CLa prescription d’antispasmodiques
DLa résection chirurgicale du {1/3} inférieur de l’œsophage
E La dilatation pneumatique du cardia

QCM 4
Quelles sont les propositions exactes concernant la physiopathologie du syndrome de l’intestin
irritable? (3 bonnes réponses)

ALes symptômes peuvent être dus à une hypersensibilité viscérale


BLes troubles de la motricité digestive sont exclusivement coliques
CLes troubles moteurs sont favorisés par le stress
DUn syndrome de l’intestin irritable peut être post-infectieux
E Le microbiote intestinal est normal au cours du syndrome de l’intestin irritable

QCM 5
Quelle est la proposition exacte concernant la diverticulose colique?

AElle touche exclusivement le côlon gauche


BElle est due à une alimentation trop riche en fibres
CElle est symptomatique chez la majorité des malades
DElle est plus fréquente chez les sujets âgés
E Elle favorise la survenue d’un cancer colique
QCM 6
Quelles sont les propositions exactes concernant la diverticulite? (2 réponses exactes)

AElle se traduit habituellement par une diarrhée


BElle peut être favorisée par un traitement par anti-inflammatoires non stéroïdiens
CElle peut se compliquer d’un abcès péricolique
DSon traitement médical repose sur les désinfectants intestinaux
E Une résection de la zone diverticulaire infectée doit être proposée dès le premier épisode de
diverticulite

QCM 7
Parmi les situations suivantes, quelles sont celles qui peuvent compliquer une diverticulose? (3
réponses exactes)

AHémorragie digestive sous forme de rectorragies


BHémorragie digestive sous forme de melaena
CPéritonite
DVolvulus sigmoïdien
E Fistulisation dans la vessie avec pneumaturie

QCM 8
Chez un homme de 26 ans sans antécédent particulier qui consulte pour un pyrosis intermittent et
isolé, vous prescrivez : (1 réponse exacte)

AUne endoscopie digestive haute


BUne pH-métrie œsophagienne
CUne manométrie œsophagienne
DUn traitement symptomatique sans exploration
E Un transit baryté œsophagien

QCM 9
Parmi les situations suivantes, indiquez celles qui favorisent la survenue d’un reflux gastro-
œsophagien : (3 réponses exactes)

AGrossesse
BAchalasie
CSclérodermie
DObésité
E Traitement anti-parkinsonien

QCM 10
Parmi les examens suivants, quels sont ceux qui vous permettent le diagnostic de reflux gastro-
œsophagien? (2 réponses exactes)

AManométrie œsophagienne
BTransit œsogastroduodénal
CImpédancemétrie œsophagienne
DÉcho-endoscopie
E PHmétrie œsophagienne
QCM 11
Quelles sont les propositions exactes concernant le reflux gastro-œsophagien? (3 réponses
exactes)

AIl peut être acide ou non acide


BIl est favorisé par les relaxations transitoires du sphincter inférieur de l’œsophage
CIl se complique d’œsophagite dans 50% des cas
DL’endobrachyœsophage correspond à une métaplasie intestinale du bas œsophage favorisée par
le reflux
E Il est prévenu par un traitement anti-calcique

QCM 12
Quelles sont les propositions exactes concernant le traitement du reflux gastro-œsophagien (RGO)
par inhibiteurs de la pompe à protons (IPP)? (2 réponses exactes)

AIls doivent être prescrits à demi-dose en l’absence d’endoscopie


BUn RGO nocturne justifie une prise d’IPP plutôt le soir avant le dîner
CLe traitement par IPP se fait à la demande en cas d’œsophagite
DLe traitement par IPP est efficace dans plus de 90% des cas sur les symptômes de RGO
E Un traitement par IPP en continu est systématique en cas d’endobrachyœsophage

QCM 13
Quelles sont les propositions exactes concernant la constipation fonctionnelle? (2 réponses exactes)

AOn parle de constipation lorsque le transit n’est pas quotidien


BUne constipation peut être liée à un trouble de la statique rectale
CLa coloscopie est indispensable chez tous les malades pour affirmer le diagnostic de constipation
fonctionnelle
DL’apport quotidien en fibres pour soulager une constipation doit être de 5 grammes/jour
E Les laxatifs osmotiques sont le traitement de première intention

QCM 14
Parmi les médicaments suivants, quels sont ceux qui peuvent provoquer une constipation? (3
réponses exactes)

ASulfate de magnésium
BOpiacés
CAmoxicilline
DAntidépresseurs
E Sels de fer

QCM 15
Quelles sont les propositions exactes concernant la hernie hiatale? (2 réponses exactes)

AToute hernie hiatale par glissement se complique d’un reflux gastro-œsophagien


BUne hernie hiatale peut être à l’origine d’une anémie ferriprive
CL’étranglement est la complication de la hernie hiatale par roulement
DL’âge n’influence pas la fréquence de la hernie hiatale
E Toute hernie hiatale doit être opérée
QCM 16
Quelles sont les propositions exactes concernant le syndrome de l’intestin irritable? (3 réponses
exactes)

ALa douleur abdominale est calmée par l’émission de selles


BLa douleur abdominale est souvent matinale ou postprandiale
CDans les formes avec diarrhée, la diarrhée a les caractères d’une diarrhée de malabsorption
DLa coloscopie est indispensable chez tous les malades pour affirmer le diagnostic
E Les antispasmodiques sont proposés comme traitement de première intention

QCM 17
Devant des ulcérations iléales récentes étendues, les principaux diagnostics sont :

AL’amibiase intestinale
BLa yersiniose
CLa maladie de Crohn
DLa tuberculose intestinale chez les immigrés non vaccinés
E La rectocolite hémorragique

QCM 18
Les complications potentielles d’une maladie de Crohn colique étendue anciennes comportent :

ALes sténoses
BLe cancer rectocolique
CLa malabsorption des micronutriments
DLes fistules
E Les abcès

QCM 19
La giardiose : (2 réponses exactes)

AEst une cause fréquente de diarrhée du voyage


BEst rare dans les pays développés
CDoit faire rechercher un déficit immunitaire dans sa forme chronique
DEst responsable d’une diarrhée hémorragique
E Est presque toujours diagnostiquée dès le premier examen parasitologique standard des selles

QCM 20
Le taeniasis :

APeut se transmettre par l’ingestion de viande bovine cuite brune à cœur


BEst une des causes possibles d’hyperéosinophilie chronique
CEst souvent révélé par la présence d’anneaux dans les sous-vêtements
DPeut être responsable d’asthénie et de perte de poids
E Doit être traitée en première intention par le métronidazole
QCM 21
Parmi les affirmations suivantes concernant l’amibiase intestinale, lesquelles sont vraies? (2
réponses exactes)

AL’amibiase intestinale est due à Entamoeba dispar


BLe mode de transmission habituel de l’amibiase est féco-oral
CLa recherche de formes végétatives d’amibes fait partie de l’examen parasitologique standard des
selles
DLa forme clinique dysentérique aiguë constitue la présentation clinique habituelle
E Le traitement probabiliste est licite devant une diarrhée au retour d’un pays d’endémie

QCM 22
Parmi les affirmations suivantes concernant la diarrhée du voyage, lesquelles sont vraies?

APeut toucher jusqu’à un voyageur sur deux


BCorrespond le plus souvent à une infection intestinale virale
CEst le plus souvent bénigne
DDoit faire évoquer un accès palustre en pays d’endémie lorsqu’une fièvre s’y associe
E Est dite prolongée lorsqu’elle dure plus d’un mois

QCM 23
Le traitement de première intention de la diarrhée du voyageur doit comporter :

ADes antiseptiques intestinaux


BUne hydratation
CUn apport en glucose
DDes antibiotiques
E Un apport en sodium

QCM 24
Parmi les entités cliniques suivantes, lesquelles ne peuvent pas être tenues pour responsables
d’une véritable diarrhée chronique :

AL’hyperthyroïdie
BLes débâcles diarrhéiques sur fond de constipation
CLa maladie cœliaque
DLes évacuations répétées du syndrome rectal
E L’incontinence anale permanente isolée
QCM 25
Parmi les éléments sémiologiques suivants, le(s)quel(s) caractérise(nt) la diarrhée motrice :

ALes selles sont d’horaire réparti sur le nycthémère


BLes selles nocturnes sont fréquentes
CLa présence de résidus alimentaires non digérés est souvent notée par les patients
DLa perte de poids est fréquente
E Un certain degré d’impériosité des selles est habituel
QCM 26
Les intoxications par toxines produites préalablement à l’ingestion des aliments peuvent être dues
à:

ABacillus cereus
BSalmonella typhi
CEscherichia coli entéro-
toxinogènes
DStaphylococcus aureus
E Candida albicans

QCM 27
Le risque de dissémination des infections alimentaires peut être réduit par : (3 bonnes réponses)

AL’hygiène des mains


BLa filtration systématique de «l’eau du robinet» des circuits d’eaux municipaux dans les pays
développés
CLe respect des règles de conservation des aliments
DLe respect des règles de préparation des aliments
E L’achat des fruits et légumes en grandes surfaces

QCM 28
Les toxi-infections alimentaires collectives : (3 bonnes réponses)

ASont définies par au moins 10 cas groupés similaires d’épisodes digestifs dont on peut rapporter
la cause à une même origine alimentaire
BDoivent être déclarées aux autorités sanitaires
CPeuvent être dues à Escherichia coli entéro-hémorragique
DSont en général véhiculées par l’eau
E Peuvent faire courir un risque vital en fonction du germe et du terrain

QCM 29
Les diarrhées aiguës :

ASont définies par l’évacuation de plus de 4 selles liquides par jour depuis moins de deux semaines
BSont habituellement bénignes et résolutives en moins de trois jours
CReprésentent un motif de consultation très fréquent en médecine générale
DPeuvent être graves en cas de déshydratation importante et dans le cas de germes et de terrains
particuliers
E Ne nécessitent pas dans la majorité des cas en première intention la prescription d’examens
biologiques et de traitements anti-infectieux

QCM 30
Au cours d’une diarrhée aiguë, dans le(s)quel(s) de ces cas la réalisation d’examens biologiques
est-elle nécessaire?

ADiarrhée sous antibiotiques s’accompagnant de fièvre


BSyndrome dysentérique
CFièvre inférieure à 38,5 °C et vomissements
DTerrain de valvulopathie cardiaque opérée
E Déshydratation sévère

QCM 31
Le traitement de toute diarrhée aiguë doit comporter :

ADes antiseptiques intestinaux


BUne réhydratation
CDes apports alimentaires importants en glucose/amidon
DDes apports alimentaires en sodium
E Des conseils d’hygiène

QCM 32
Le contenu du kyste biliaire simple apparaît : (une ou plusieurs réponses vraies)

AParfaitement homogène
BParfaitement anéchogène avec un renforcement postérieur des échos à l’échographie
CHypodense sur les images de tomodensitométrie sans injection
DFortement hyperintense sur les séquences d’IRM pondérées en T2
E Avec une paroi décelable avant et après injection de produit de contraste

QCM 33
L’adénome hépatocellulaire : (une ou plusieurs réponses vraies)

ALe diagnostic nécessite toujours une biopsie hépatique


BEst une tumeur bénigne
CElle est favorisée par la prise prolongée de contraceptifs oraux
DUne transformation maligne est possible
E Ne nécessite aucun suivi

QCM 34
L’hémangiome hépatique est : (une ou plusieurs réponses vraies)

AUne tumeur bénigne


BTrès rare
CHyperéchogène à l’échographie
DParfois multiple
E À surveiller dans tous les cas

QCM 35
Le carcinome hépatocellulaire : (une ou plusieurs réponses vraies)

ASe développe presque toujours sur une maladie chronique du foie


BAu cours de la cirrhose, l’incidence du carcinome hépatocellulaire est de l’ordre de 2 à 5% par an
CEst vascularisé exclusivement par la veine porte
DL’augmentation de l’alphafœtoprotéine est un marqueur très sensible et très spécifique de cette
tumeur
E Un taux d’alphafœtoprotéine > 50 ng/mL suggère fortement qu’un carcinome hépatocellulaire est
présent

QCM 36
Les facteurs de risque du carcinome hépatocellulaire sont : (une ou plusieurs réponses vraies)

ALe sexe féminin


BL’âge
CLa durée d’évolution de la maladie du foie
DLe diabète
E L’alcool

QCM 37
Parmi ces critères, lesquels sont indispensables pour le diagnostic du carcinome hépatocellulaire
quand on veut éviter la biopsie hépatique : (plusieurs réponses vraies)

ALa présence d’une cirrhose


BNodule de plus de 2cm
CRehaussement artériel du nodule à l’imagerie
DLavage ou «wash out» au temps portal
E Élévation de l’alphafœtoprotéine

QCM 38
Parmi les cancers primitifs suivants lesquels sont en cause le plus souvent en cas de métastases
hépatiques : (une seule bonne réponse)

ALes cancers du sein


BLes adénocarcinomes du tube digestif et du pancréas
CLes carcinomes anaplasiques
DLes mélanomes malins
E Les tumeurs endocrines

QCM 39
En imagerie, les métastases hépatiques d’adénocarcinome digestif peuvent présenter les aspects
suivants : (une ou plusieurs réponses vraies)

ANodules hypoéchogènes
BNodules hypodenses avant injection de produit de contraste
CPeuvent prendre un aspect kystique
DGénéralement n’ont pas de paroi

QCM 40
L’ascite est riche en protéines (>25g/L) dans les cas suivants : (une ou plusieurs réponses vraies)

ACirrhose sans infection


BInsuffisance cardiaque
CSyndrome de Budd Chiari
DSyndrome néphrotique
E Tuberculose péritonéale

QCM 41
L’infection du liquide d’ascite : (une ou plusieurs réponses vraies)

APeut être découverte de manière fortuite par l’examen du liquide d’ascite sans signe d’appel
BLe diagnostic est fait par le décompte des polynucléaires dans le liquide d’ascite > 250/mm 3
CLe diagnostic exige l’isolement d’une bactérie dans le liquide d’ascite
DL’infection est souvent polymicrobienne
E Le traitement nécessite une antibiothérapie associée à la perfusion d’albumine

QCM 42
Au cours de la tuberculose péritonéale, l’ascite : (une ou plusieurs réponses vraies)

AEst généralement pauvre en protéine (< 25 g/L)


BEst généralement riche en leucocytes (> 1 000/mm 3)
CLes lymphocytes y prédominent (>70%)
DLa recherche de BK est fréquemment positive à la culture de l’ascite
E Le diagnostic est fait par la biopsie du péritoine sous cœlioscopie
QCM 43
Au cours de la carcinose péritonéale, l’ascite : (une ou plusieurs réponses vraies)

AEst souvent riche en protéine (>25 g/L)


BLe taux de leucocytes peut y être élevé (>250/mm 3)
CLes cellules tumorales sont constamment présentes à l’examen cytologique de l’ascite
DUn syndrome d’obstruction intestinale incomplète est fréquent

QCM 44
Le mésothéliome péritonéal : (une ou plusieurs réponses vraies)

AEst favorisé par l’exposition aux benzènes


BL’ascite est souvent riche en protéine (>25g/L)
CLe taux de leucocytes peut y être élevé (>250/mm 3)
DLes cellules tumorales sont fréquemment présentes à l’examen cytologique du liquide d’ascite

QCM 45
Le dépistage organisé du cancer colorectal en France :

ARepose sur la coloscopie pour tous à partir de 50 ans


BS’adresse aux sujets présentant des symptômes digestifs ou évocateurs
CNe s’adresse qu’aux sujets à risque élevé ou très élevé de cancer colorectal
DS’adresse à la population à risque moyen de cancer colorectal
E Comporte la pratique d’un test de recherche de sang microscopique dans les selles suivi d’une
coloscopie si le test est positif

QCM 46
Le syndrome de Lynch ou syndrome HNPCC (Hereditary Non Polyposis Colorectal Cancer) :

AReprésente environ 25% des cancers colorectaux


BEst associé à une incidence élevée de cancers colorectaux familiaux au 1 er degré et à un âge plus
jeune que dans la population générale
CEst caractérisé par une mutation constitutionnelle d’un des gènes MMR qui expose à un risque
très élevé de cancer colique mais aussi d’autres organes (par exemple estomac, utérus chez la
femme)
DEst de transmission autosomique récessive
E Est associé à la survenue de cancers ayant un phénotype instable (MSI ou dMMR)

QCM 47
Dans le cancer colique :

ALa survie à 5 ans d’environ 50% est indépendante du stade de la maladie


BLa coloscopie permet la recherche et l’ablation de polypes colorectaux éventuellement associés au
cancer colique
CLa TDM (tomodensitométrie) thoraco-abdomino-pelvienne fait partie du bilan pré-thérapeutique
indispensable
DLe traitement curatif est chirurgical
E La chimiothérapie n’a pas de place dans le traitement du cancer colique traité chirurgicalement

QCM 48
Dans le cancer du rectum :

ALa discussion en réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) sur la prise en charge


thérapeutique intervient dès la période post-opératoire
BL’IRM pelvienne est utile à la décision thérapeutique
CLa radiothérapie ou la radiochimiothérapie pre-opératoires n’ont plus de place depuis l’avènement
de la chirurgie d’exérèse emportant le mésorectum avec la tumeur
DL’existence d’une polypose adénomateuse colique familiale doit conduire à une coloprotectomie
totale
E La séquence adénome-cancer est exceptionnelle, le cancer survenant presque toujours de novo.

QCM 49
Un homme de 67 ans sans antécédent personnel ou familial est adressé en consultation de
gastroentérologie par son médecin traitant pour rectorragies, faux besoins et ténesme. Parmi les
examens complémentaires suivants, lesquels vous semblent adaptés à réaliser en première
intention afin de permettre un diagnostic étiologique de certitude?

ATest Hémoccult II®


BRectoscopie au tube rigide
CColoscopie
DIRM pelvienne
E Manométrie anorectale

QCM 50
Concernant la place des traitements péri-opératoires dans le cadre de la prise en charge du cancer
colorectal, citez les propositions exactes :

AUne chimiothérapie adjuvante est toujours indiquée pour un cancer du côlon droit opéré et classé
pT3N0M0
BUn traitement néo-adjuvant n’est jamais indiqué dans le cadre de la prise en charge d’un
adénocarcinome du bas rectum
CEn l’absence de contre-indication, une chimiothérapie à base de 5-fluorouracile et d’oxaliplatine
est indiquée pendant une durée de 6 mois après l’exérèse d’un cancer du sigmoïde de stade III
DDans le cadre de la prise en charge thérapeutique d’un cancer du côlon droit asymptomatique
avec présence d’adénopathies locorégionales au scanner thoraco-abdomino-pelvien sans lésion
suspecte à distance et en l’absence de contre-indication, une chimiothérapie néo-adjuvante
comprenant un médicament anti-angiogénique est généralement indiquée avant la résection
chirurgicale de la lésion
E Dans le cadre de la prise en charge du cancer du rectum, la radio-chimiothérapie pré-opératoire,
quand elle est indiquée, diminue significativement le risque de récidive locale comparée à
l’absence de radio-chimiothérapie pré-opératoire

QCM 51
Laquelle ou lesquelles de ces affirmations sur le cancer gastrique est(sont)-elle(s) exacte(s)?

ALa cicatrisation sous IPP d’une lésion ulcérée gastrique permet de distinguer ulcère bénin et
cancer ulcéré
BL’atrophie et la métaplasie intestinale au cours de la gastrite chronique sont des lésions pré-
cancéreuses
CL’infection antrale par Helicobacter pylori protège contre le risque de cancer gastrique
DL’adénocarcinome et le carcinome épidermoïde de l’estomac sont les 2 cancers les plus fréquents
E Le diagnostic des tumeurs épithéliales gastriques repose sur l’écho-endoscopie avec biopsies

QCM 52
L’infection gastrique par Helicobacter pylori :

AN’explique que 1% des cancers gastriques


BN’est pas un facteur suffisant de carcinogénèse gastrique
CEst un facteur reconnu de cancérogénèse gastrique (adénocarcinome)
DEst également un facteur de survenue de lymphome gastrique du MALT
E Doit être recherchée et traitée dans la famille au 1 er degré des patients présentant un
adénocarcinome gastrique
QCM 53
Les facteurs de risques de cancer de l’estomac sont :

AUne alimentation riche en fibres


BUne alimentation riche en sel
CDes antécédents familiaux de cancer de l’estomac
DUne infection chronique à Helicobacter pylori
E Une atrophie gastrique avec métaplasie intestinale

QCM 54
Cancer de l’œsophage :

ATabac et alcool sont 2 facteurs de risque principaux du cancer épidermoïde


BReflux gastro-œsophagien et obésité sont 2 facteurs de risque de l’adénocarcinome
CL’endobrachy-œsophage (EBO) est une lésion précancéreuse de l’adénocarcinome
DLa surveillance endoscopique des EBO a permis une nette diminution de la mortalité par
adénocarcinome
E La survie globale du cancer de l’œsophage est aujourd’hui d’environ 40% à 5 ans

QCM 55
Cancer de l’œsophage :

ALa dysphagie élective pour les liquides est le maître symptôme


BLe diagnostic repose sur l’endoscopie avec biopsies
CLe TEP scan au FDG est inutile si la TDM thoraco-abdomino-pelvienne ne montre pas de
métastases
DLe traitement endoscopique curatif est réservé à certaines petites tumeurs superficielles
E La radiochimiothérapie exclusive ou pré-opératoire est indiquée dans les tumeurs localement
avancées stade III

QCM 56
Le bilan pré-thérapeutique du cancer de l’œsophage comporte :

AUne panendoscopie ORL


BUne écho-endoscopie haute en cas de petite tumeur
CUn scanner thoracique
DUn scanner cérébral
E Une évaluation de l’état général

QCM 57
L’adénocarcinome œsophagien :

ASurvient sur un terrain éthylo-tabagique


BPeut compliquer un endobrachyœsophage
CPeut être traité chirurgicalement s’il est métastatique
DPeut être diagnostiqué par une coloscopie
E Représente une proportion croissante des cancers de l’œsophage

QCM 58
Le carcinome épidermoïde œsophagien :

AEst plus fréquent chez l’homme


BEntraîne principalement une dysphagie
CNe peut être responsable d’une hémorragie digestive haute
DEst toujours infranchissable en endoscopie
E Ne peut pas être opéré en cas d’insuffisance respiratoire sévère

QCM 59
Quelles complications peuvent être observées lors de vomissements aigus chez l’adulte :

ARupture de l’œsophage
BDéchirure du bas œsophage (syndrome de Mallory Weiss)
CInsuffisance rénale
DDénutrition
E Pneumopathie par inhalation

QCM 60
Traitement des vomissements chez l’adulte :

AUne réhydratation en milieu hospitalier est parfois nécessaire


BLa pose d’une sonde d’aspiration gastrique nécessite une intubation trachéale préalable
CLe traitement par antiémétiques doit être instauré quelle que soit la cause du vomissement
DLes antiémétiques usuels comportent le métoclopramide, le dompéridone et la métopimazine
E Les sétrons et l’aprépitant sont réservés au traitement des vomissements induits par les opiacés

QCM 61
Les vomissements peuvent se compliquer de :

ADéshydratation extra et/ou intracellulaire


BAlcalose respiratoire
CHématémèse
DHyperglycémie
E Pneumopathie d’inhalation

QCM 62
Des vomissements matinaux en jet évoquent : (une seule réponse possible)

AUn syndrome abdominal aigu


BUn syndrome coronarien aigu
CUne acido-cétose diabétique
DUne hypertension intracrânienne
E Une occlusion intestinale

QCM 63
Des vomissements fécaloïdes évoquent : (une seule réponse possible)

AUn syndrome abdominal aigu


BUn syndrome coronarien aigu
CUne acido-cétose diabétique
DUne hypertension intracrânienne
E Une occlusion intestinale

QCM 64
Dans le cadre d’une douleur abdominale aiguë :

ALe terrain et les comorbidités peuvent permettre d’orienter le diagnostic étiologique


BLes affections gastriques et pancréato-biliaires sont plus fréquentes avant 30 ans
CL’état général à l’admission du patient est une donnée très importante
DUne douleur à la décompression élimine une irritation péritonéale
E Un silence auscultatoire peut-être considéré comme un critère de gravité

QCM 65
Dans le cadre du diagnostic d’une douleur abdominale aiguë :

ALa numération formule sanguine et le ionogramme sanguin n’ont aucun intérêt


BUne élévation de la lipasémie à plus de 3 fois la normale signe la pancréatite aiguë
CLa réalisation d’un électrocardiogramme doit être systématique
DLe dosage des β-HCG n’a aucun intérêt
E Une imagerie doit toujours être réalisée

QCM 66
Dans le cadre du diagnostic d’une douleur abdominale aiguë :

ALa radiographie d’abdomen sans préparation remplace avantageusement le scanner abdominal


BLa radiographie du thorax est utile pour éliminer une cause pleurale ou pulmonaire
CL’échographie abdominale est l’examen de première intention en cas de syndrome occlusif
DS’il est disponible, le scanner abdominal est l’examen radiologique de choix en cas de douleur
abdominale aiguë inexpliquée
E Le scanner est l’examen de première intention en cas de suspicion de diverticulite sigmoïdienne

QCM 67
Parmi ces affirmations laquelle ou lesquelles sont exactes?

AUne péricardite peut se manifester par une douleur hypogastrique


BLes douleurs de colique hépatique sont toujours localisées à l’hypochondre droit
CUn ulcère perforé peut se révéler par une douleur de l’hypochondre droit
DUne insuffisance surrénale aiguë peut se révéler par une douleur abdominale aiguë
E Une contracture abdominale peut être observée au cours de la maladie périodique

QCM 68
La maladie hémorroïdaire :

APeut s’exprimer par les mêmes symptômes qu’un cancer du côlon ou du rectum
BDoit toujours faire réaliser une coloscopie
CEn cas de thrombose hémorroïdaire, la douleur dure plus longtemps qu’en cas de crise
hémorroïdaire simple
DLe troisième trimestre de grossesse, l’accouchement et le post-partum immédiat sont des
facteurs de risque de la survenue de symptômes hémorroïdaires
E L’hémorragie hémorroïdaire est typiquement du sang noir mélangé aux matières

QCM 69
La maladie hémorroïdaire :

ALes thromboses hémorroïdaires externes se présentent sous forme de tuméfactions douloureuses


bleutées
BLa pathologie hémorroïdaire peut coexister avec la présence d’une fissure anale
CLe diagnostic de la maladie hémorroïdaire repose sur les données de l’interrogatoire et de
l’examen clinique
DLe traitement médical repose sur les règles hygiéno-diététiques, la régularisation du transit, les
veinotoniques et les topiques locaux
E Les traitements instrumentaux et chirurgicaux constituent le traitement de fond le plus efficace de
la maladie hémorroïdaire interne

QCM 70
Dans le cadre de la pathologie ulcéreuse gastro-duodénale :

AL’infection à Helicobacter pylori est beaucoup plus fréquente dans les pays développés
BL’incidence des ulcères gastroduodénaux est en augmentation dans les pays développés
CLes AINS induisent une inhibition de la synthèse des prostaglandines pouvant favoriser la
survenue d’ulcères gastriques
DL’aspirine à faible dose n’a pas d’effet ulcérogène
E L’ulcère duodénal du syndrome de Zollinger-Ellison est lié à une hypersécrétion acide induite par
une inhibition de la gastrine

QCM 71
Dans le cadre du diagnostic de la maladie ulcéreuse gastro-duodénale :

ALa douleur de type ulcéreuse est toujours de siège épigastrique


BL’endoscopie œsogastroduodénale permet la réalisation de biopsies antrales et fundiques à la
recherche d’Helicobacter pylori quelle que soit la localisation de l’ulcère
CLe diagnostic d’infection à Helicobacter pylori ne peut se faire que sur des biopsies gastriques
DL’hémorragie digestive est la complication la plus fréquente des ulcères gastro-duodénaux
E La prise d’AINS favorise le risque de perforation ulcéreuse

QCM 72
Dans le cadre du traitement de la maladie ulcéreuse gastro-duodénale :

AL’éradication d’Helicobacter pylori a peu d’influence sur l’histoire naturelle de la maladie ulcéreuse
BLe traitement d’éradication d’Helicobacter pylori repose sur une bithérapie d’une semaine
associant un inhibiteur de la pompe à protons et un antibiotique
CEn cas d’ulcère duodénal un traitement d’une semaine est toujours suffisant
DEn cas d’ulcère gastrique, le traitement d’éradication d’Helicobacter pylori d’une semaine est
systématiquement complété par 3 à 7 semaines supplémentaires d’inhibiteur de la pompe à
protons
E L’échec du traitement d’éradication de première ligne est estimé, en France, à 30%

QCM 73
Concernant les gastrites :

ALa gastrite est une entité histologique et non clinique ou endoscopique


BLes gastrites à Helicobacter pylori concernent 20 à 50% de la population française
CLes gastrites atrophiantes n’évoluent jamais vers la cancérisation
DLa gastrite à Helicobacter pylori n’évolue pas vers l’atrophie
E La gastrite auto-immune est une gastrite hypertrophique

QCM 74
Anémie :

ALa symptomatologie fonctionnelle est liée à la vitesse d’installation de l’anémie


BUne anémie par carence martiale est typiquement hypochrome microcytaire
CUne thrombocytose modérée est souvent associée à l’anémie par carence martiale
DLa baisse de la ferritinémie est le critère le plus constant pour identifier la carence martiale
E Le diagnostic de thalassémie est apporté par l’électrophorèse de l’hémoglobine

QCM 75
Devant une anémie ferriprive :

AL’examen gynécologique fait partie du bilan de première intention


BLe bilan endoscopique n’est réalisé qu’en deuxième intention
CDans le cadre d’un bilan d’anémie, la recherche de sang dans les selles par Hemoccult II® est
fondamentale
DSi l’endoscopie œsogastroduodénale n’identifie pas de lésions, elle doit comporter
systématiquement des biopsies duodénales
E La vidéocapsule endoscopique fait partie du bilan de première intention

QCM 76
Devant une anémie ferriprive :

ALa réalisation d’une vidéocapsule ne présente aucune contre-indication


BL’entéroscopie est indiquée pour biopsier/traiter les lésions du grêle décelées par la vidéocapsule
CLe scanner n’a aucune place dans le bilan d’une anémie
DUn régime riche en fer est souvent suffisant pour traiter une carence martiale
E La prise d’acide ascorbique augmente l’absorption du fer d’environ 30%

QCM 77
Concernant la transmission du virus de l’hépatite C, quelles sont les réponses vraies :

ALe virus peut se transmettre par voie parentérale


BLe virus peut se transmettre par voie aérienne
CLe virus peut se transmettre par voie oro-fécale
DLa transmission peut être prévenue par la vaccination
E La transmission peut être prévenue par des règles d’hygiène alimentaire

QCM 78
Devant une élévation des transaminases sériques, le diagnostic d’hépatite C repose sur : (une ou
plusieurs propositions vraies)

ALa recherche d’anticorps anti-VHC par ELISA


BLa recherche d’ARN du VHC par PCR
CLa réalisation d’une biopsie hépatique
DL’évaluation non invasive de la fibrose hépatique
E La détermination du génotype viral

QCM 79
L’évaluation pré-thérapeutique d’une hépatite C chronique doit comprendre : (une ou plusieurs
réponses vraies)

ALa détermination du génotype viral


BLa détermination de la charge virale
CL’évaluation de la sévérité de l’hépatopathie par la biopsie hépatique ou des marqueurs non
invasifs
DLa recherche de co-infections par le VHB ou le VIH
E La recherche d’auto-anticorps

QCM 80
Concernant le traitement de l’hépatite C, quelles sont les propositions vraies :

AEst le plus souvent très bien toléré (effets secondaires exceptionnels)


BEst de courte durée (3 mois au maximum)
CPeut éradiquer complètement l’infection virale
DDépend du génotype viral pour le choix des médicaments et la durée d’administration
E Est pris en charge par la caisse d’assurance maladie dans le cadre des affections à longue durée
QCM 81
Quelles sont les complications possibles de l’hépatite C chronique?

AHépatite fulminante
BCirrhose
CCarcinome hépatocellulaire
DVascularite par cryoglobulinémie
E Spondylarthrite ankylosante

QCM 82
Concernant l’infection par le virus de l’hépatite B, quelles sont les propositions vraies?

AEst très peu fréquente dans le monde


BPeut se transmettre par voie sexuelle
CPeut se prévenir par la vaccination
DEst la principale cause de carcinome hépatocellulaire dans le monde
E Peut être à l’origine d’une hépatite fulminante

QCM 83
L’histoire naturelle de l’hépatite B chronique se caractérise par : (une ou plusieurs propositions
vraies)

AUne progression obligée du portage chronique vers la cirrhose


BLa possibilité de réactivation spontanée de la réplication virale et de la maladie hépatique
CLa possibilité de survenue du carcinome hépatocellulaire en l’absence de cirrhose
DLa possibilité d’élimination virale complète
E La possibilité de réactivation virale induite par un traitement immunosuppresseur, une
chimiothérapie anti-cancéreuse, ou une biothérapie

QCM 84
Concernant le traitement de l’hépatite B chronique, quelles sont les propositions vraies?

ALes analogues de nucléosides permettent d’obtenir une viro-suppression chez la majorité des
patients
BLa viro-suppression induite par le traitement s’accompagne d’une amélioration des transaminases
CLa viro-suppression induite par le traitement s’accompagne d’une amélioration de l’histologie
hépatique
DUne élimination virale complète peut être obtenue avec l’interféron alpha ou les analogues de
nucléosides
E Le traitement antiviral prévient complètement l’apparition du carcinome hépatocellulaire

QCM 85
Devant des signes cliniques et biologiques d’hépatite aiguë, il faut rechercher : (une ou plusieurs
propositions vraies)
AUne hémochromatose génétique
BUne maladie de Wilson
CUne hépatite virale A
DUne hépatite virale E
E Une hépatite auto-immune

QCM 86
L’élévation isolée des gamma-GT : (une ou plusieurs propositions vraies)

APeut être due à une consommation excessive d’alcool


BPeut être due à la prise de médicaments inducteurs enzymatiques
CSigne une cholestase hépatique
DPeut être due à une stéatose hépatique
E Est un signe de gravité de l’hépatopathie

QCM 87
Devant des perturbations du bilan hépatique, quels sont les éléments qui vous font évoquer une
stéatohépatite non alcoolique?

AUne élévation de l’index de masse corporelle


BL’association à une hypertension artérielle, un déséquilibre glycémique et une dyslipidémie
CUn aspect hyperdense du foie à l’échographie abdominale
DL’association à une hyperferritinémie
E L’association à une hypergammaglobulinémie

QCM 88
La toxicité hépatique médicamenteuse : (une ou plusieurs propositions vraies)

APeut être liée à un terrain génétique particulier


BPeut être d’origine immuno-allergique
CPeut être à l’origine d’hépatites fulminantes
DPeut évoluer vers des formes d’hépatopathie chronique
E Doit toujours être confirmée par un test de réintroduction du médicament suspecté

QCM 89
Le diagnostic d’hémochromatose génétique : (une ou plusieurs propositions vraies)

ADoit être évoqué devant une élévation de la saturation de la transferrine


BPeut s’associer à une élévation de la ferritinémie et du fer sérique
CS’accompagne d’une polyglobulie
DDoit s’accompagner d’un diagnostic génétique pour la recherche de mutations dans le gène HFE
E Une enquête familiale doit être réalisée car il s’agit d’une maladie autosomale dominante

QCM 90
Concernant l’hémochromatose génétique, quelles sont les propositions vraies?

ALa surcharge hépatique en fer peut se quantifier par échographie abdominale


BLa surcharge hépatique en fer doit être quantifiée par IRM hépatique
CL’hémochromatose peut se compliquer d’une cirrhose et d’un carcinome hépatocellulaire
DL’hémochromatose peut se compliquer d’un diabète non insulino-dépendant
E L’hémochromatose peut se compliquer d’une myocardiopathie
QCM 91
Le traitement de l’hémochromatose génétique : (une ou plusieurs propositions vraies)

ASon objectif est d’obtenir une normalisation rapide du taux de saturation de la transferrine
BSon objectif est d’obtenir une disparition de la surcharge hépatique en fer
CLe traitement de première intention repose sur des chélateurs du fer
DLe traitement de première intention repose sur des phlébotomies
E Le traitement actuel repose sur une thérapie génique

QCM 92
Devant une hépatomégalie nodulaire, quelles causes peuvent être évoquées? (une ou plusieurs
propositions vraies)

AUne échinococcose alvéolaire


BUne amibiase hépatique
CUn paludisme chronique
DUn carcinome hépatocellulaire
E Des métastases d’un adénocarcinome colique

QCM 93
La dépendance physique peut se définir par :

ADes épisodes répétés d’ivresse


BUne dysarthrie lors de la consommation d’alcool
CSyndrome de sevrage
DUne incapacité de réduire sa consommation et une obligation comportementale
E La prise d’une autre substance pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage

QCM 94
Parmi ces affirmations sur la consommation excessive d’alcool laquelle ou lesquelles sont exactes?

ALa grande majorité des décès prématurés dus à l’alcool concerne des personnes dépendantes
BLe repérage précoce des consommateurs d’alcool à risque se fait essentiellement par l’entretien
(questionnaires), plus que par les examens biologiques
CL’intervention brève s’adresse aux consommateurs à risque non alcoolo-dépendants
DL’intervention brève est efficace chez 50% des consommateurs à risque alcoolo-dépendants
E Les principales complications du sevrage alcoolique sont le delirium tremens et les convulsions

QCM 95
Au moment de la renutrition d’un dénutri, la carence en l’un de ces éléments faire courir un risque
vital («refeeding syndrome»). De quel élément s’agit-il?

APotassium
BMagnésium
CCalcium
DPhosphore
E Vitamine E

QCM 96
Le(s)quel(s) de ces aliments est(sont) interdits au cours d’un régime sans gluten?

APâtes alimentaires
BRiz
CBière
DMuesli
E Maïzena

QCM 97
Parmi les affections générales suivantes qui peuvent se révéler par des douleurs abdominales
aiguës, laquelle ou lesquelles sont constamment accompagnées de fièvre ou au minimum d’un
syndrome inflammatoire biologique?

AInsuffisance surrénale aiguë


BHypercalcémie
CAcidocétose diabétique
DMaladie périodique
E Porphyries hépatiques

QCM 98
Un homme de 57 ans consulte pour : douleur épigastrique brutale et nausées. Vous constatez un
météorisme abdominal et le malade signale un arrêt des matières et des gaz. Laquelle ou
lesquelles de ces affirmations sont exactes?

AVous suspectez une migration lithiasique


BVous suspectez une occlusion
CVous examinez les orifices herniaires
DVous réalisez un toucher rectal
E Vous adressez ce malade aux urgences

QCM 99
Chez un malade en occlusion du grêle vous constatez habituellement sur le TDM :

AUn niveau hydro-aérique unique


BDes niveaux hydro-aériques plus larges que hauts
CDes niveaux hydro-aériques plus hauts que larges
DDe fines incisures allant d’un bord à l’autre de l’intestin dilaté
E De larges incisures asymétriques n’allant pas d’un bord à l’autre du côlon dilaté

QCM 100
Un homme de 67 ans diabétique consulte pour vomissements et douleurs abdominales intenses;
l’examen est normal hormis une hernie inguinale droite connue depuis 3 ans et irréductible.

AVous suspectez en premier lieu une acidocétose


BVous suspectez en premier lieu une hypoglycémie
CVous appelez un chirurgien pour hernie étranglée
DVous prescrivez un jeûne et une perfusion
E Vous surveillez la glycémie

QCM 101
En cas de péritonite :
ALa contracture est parfois absente
BLes trois causes les plus fréquentes sont : ulcère perforé, la cholécystite compliquée et la
perforation de diverticule sigmoïdien
CEn cas de perforation d’ulcère gastrique ou duodénal, le pneumopéritoine est fréquent
DEn cas de péritonite diverticulaire, le pneumopéritoine est souvent volumineux
E En cas de péritonite appendiculaire, il n’existe pas de pneumopéritoine

Réponses

QCM 1
Vrai : A, D, E

QCM 2
Vrai : B, C

QCM 3
Vrai : B, E

QCM 4
Vrai : A, C, D

QCM 5
Vrai : D

QCM 6
Vrai : B, C

QCM 7
Vrai : A, C, E

QCM 8
Vrai : D

QCM 9
Vrai : A, C, D

QCM 10
Vrai : C, E

QCM 11
Vrai : A, B, D

QCM 12
Vrai : A, B

QCM 13
Vrai : B, E

QCM 14
Vrai : B, D, E

QCM 15
Vrai : B, C
QCM 16
Vrai : A, B, E

QCM 17
Vrai : B, C, D

QCM 18
Vrai : A, B, D, E

QCM 19
Vrai : A, C

QCM 20
Vrai : C, D

QCM 21
Vrai : B, E

QCM 22
Vrai : A, C, D

QCM 23
Vrai : B, C, E

QCM 24
Vrai : B, D, E

QCM 25
Vrai : C, E

QCM 26
Vrai : A, D

QCM 27
Vrai : A, C, D

QCM 28
Vrai : B, C, E

QCM 29
Vrai : B, C, D, E

QCM 30
Vrai : A, B, D, E

QCM 31
Vrai : B, C, D, E

QCM 32
Vrai : A, B, C, D

QCM 33
Vrai : B, C, D

QCM 34
Vrai : A, C, D

QCM 35
Vrai : A, B

QCM 36
Vrai : B, C, D, E

QCM 37
Vrai : A, B, C, D

QCM 38
Vrai : B

QCM 39
Vrai : A, B, C

QCM 40
Vrai : B, C, E

QCM 41
Vrai : A, B, E

QCM 42
Vrai : B, C, E

QCM 43
Vrai : A, B, D

QCM 44
Vrai : B, C

QCM 45
Vrai : D, E

QCM 46
Vrai : B, C, E

QCM 47
Vrai : B, C, D

QCM 48
Vrai : B, D

QCM 49
Vrai : B, C

QCM 50
Vrai : C, E

QCM 51
Vrai : B

QCM 52
Vrai : B, C, D, E

QCM 53
Vrai : B, C, D, E

QCM 54
Vrai : A, B, C

QCM 55
Vrai : B, D, E

QCM 56
Vrai : A, B, C, E

QCM 57
Vrai : B, E

QCM 58
Vrai : B, E
QCM 59
Vrai : A, B, C, E

QCM 60
Vrai : A, D

QCM 61
Vrai : A, C, E

QCM 62
Vrai : D

QCM 63
Vrai : E

QCM 64
Vrai : A, C, E

QCM 65
Vrai : B, C

QCM 66
Vrai : B, D, E

QCM 67
Vrai : C, D, E

QCM 68
Vrai : A, C, D

QCM 69
Vrai : A, B, C, D, E

QCM 70
Vrai : C

QCM 71
Vrai : B, D, E

QCM 72
Vrai : D, E

QCM 73
Vrai : A, B

QCM 74
Vrai : A, B, C, D, E

QCM 75
Vrai : A, D

QCM 76
Vrai : B, E

QCM 77
Vrai : A

QCM 78
Vrai : A, B

QCM 79
Vrai : A, B, C, D, E

QCM 80
Vrai : C, D, E

QCM 81
Vrai : B, C, D

QCM 82
Vrai : B, C, D, E

QCM 83
Vrai : B, C, E

QCM 84
Vrai : A, B, C

QCM 85
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QCM 86
Vrai : A, B, D

QCM 87
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QCM 88
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QCM 89
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QCM 90
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QCM 100
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QCM 101
Vrai : A, C, D, E

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