TH3042
TH3042
TH3042
THEME
CONTROLE DE GESTION
Jury:
Président : .
Rapporteur :
Examinateurs :
Année Universitaire
2008
SOMMAIRE
INTRODUCTION 01
Introduction 05
SECTION I. L’information 07
1. Définition de l’information 07
2. L’utilisation de l’information 08
2-1. L’information, un support des processus de gestion 08
2-2. L’information, un instrument de communication dans l’entreprise 08
2-3. L’information, un support de connaissance individuelle 09
2-4. L’information un instrument de liaison avec l’environnement 09
3. Les caractères et les différents types d’information 09
3-1. L’information technique 10
3-2. L’information économique 10
3-3. L’information Personnelle 10
4. La qualité de l’information 10
4-1. La disponibilité 11
4-2. La fiabilité 11
4-3. Les pertinences 11
5. Les trois niveaux de l’information 11
6. L’information dans l’entreprise 12
Conclusion 23
CHAPITRE II : L’AUDIT
Introduction 24
1. L’historique de l’audit 25
1-1. Historique de l’audit aux USA 25
1-2. Historique du commissariat aux comptes en France 26
1-3. Le commissariat aux comptes en Algérie 27
2. Définition 28
Introduction 52
1. Définition 63
2. Principe 63
3. L’application de La méthode FRAP 64
3-2. La phase de conclusion 64
3-3. La communication des conclusions et des recommandations doit recourir à la 66
forme orale et a la forme écrite
4- Le contenu du rapport 68
4-1. Le plan 68
4-2. L’introduction 68
4-3. Le développement 68
4-4. Les recommandations 69
5. Le suivi des recommandations 72
Conclusion 76
Introduction 78
Conclusion 92
Introduction 93
1. Présentation de SONATRACH 94
2. Présentation de l’activité aval 98
CONCLUSION 126
Bibliographi
INTRODUCTION
Gérer une entreprise c’est la conduire vers les objectifs qui ont été
assignés dans le cadre d’une politique concertée, en faisant mettre en
œuvre par les responsables les ressources qui leur sont confiées.
Mais comment peut-ont être en mesure de dire que les moyens dont on
dispose vont nous permettre de réaliser les objectifs ?
1
Pour pouvoir faire comprendre le pourquoi de l’entreprise en général
limité dans l’opérationnel on doit s’étaler à faire naître une culture
d’audit et de contrôle interne.
Que faisons-nous ?
2
La mise en œuvre d’un système de passation des marchés doit se
référer aux règles générales des lois nationales et internationales en
vigueur dans le but d’éviter tous litiges possibles qui entrainaient
l’entreprise dans des batailles juridiques interminables et souvent
infructueuses.
Tout travail portant sur l’audit doit commencer par définir l’audit au
sens propre du mot tel est l’objet du deuxième chapitre.
3
Le quatrième chapitre traite le contrôle de gestion qui signifie
maîtriser sa conduite en s’efforçant de prévoir les événements pour s’y
préparer et s’adapter à une situation évolutive.
Dans ce chapitre nous allons voir Comment on mettre en place un
système de contrôle de gestion Et comment le faire fonctionner.
4
Chapitre I : Le système d’information
5
Chapitre I : Le système d’information
6
Chapitre I : Le système d’information
SECTION I : L’INFORMATION
1-Définition de l’information :
Le mot latin « informare » veut dire « mettre en forme » l’information
représente des données qui changent de forme pour être plus significative pour
la personne qui les reçoit.
Présentation de quelque définition de l’information :
1- définition proposée par D.MC KAY « l’information est ce qui forme ou
qui transforme une représentation »…. (1)
2- L’information dans l’entreprise est le rassemblement, la mise en forme et
la diffusion des renseignements techniques, économiques et sociaux qu’il
est nécessaire, utile ou opportun de portera la connaissance de tout ou
partie du personnel pour permettre à chacun de mieux voir l’entreprise, de
s’y mieux situer, d’améliorer son action et de l’aider à prévoir
l’avenir ».(2) (DUGNE MAC CARTHY).
7
Chapitre I : Le système d’information
2- Utilisation de l’information :
La coordination entre les différents membres de l’entreprise doit être assurée par
des échanges d’information.
8
Chapitre I : Le système d’information
Les trois usage de l’information que nous venons de décrire ont un caractère
interne, ce quatrième usage est lié à l’environnement, peut être utilisé par
l’entreprise pour améliorer sa compétitivité.
Toute information doit avoir des caractères qui permettent de la définir et d’en
évaluer la qualité, c'est-à-dire le coût et l’utilité.
Forme :
· Qualité globale de l’information,
· Intelligibilité : facilité de compréhension,
· Pertinence : utilité par rapport au besoin,
· Fiabilité : quelle assurance de validité.
Délais :
Lieux :
9
Chapitre I : Le système d’information
Elle recouvre tous les échanges qui doivent s’établir dans une structure ou les
membres sont amenés à travailler côté. Ces échanges font partie des relations
humaines.
4- La qualité de l’information :
Comme l’information est nécessaire pour l’entreprise, elle doit surmonter ces
trois principales qualités :
10
Chapitre I : Le système d’information
4-1 Disponibilité :
Les informations nécessaires ne sont pas à la portée de la main donc il faut faire
en sorte que la bonne information arrive au bon moment et au bon endroit.
-2 La fiabilité :
L’information doit être complète, précise et exacte, c’est lié à la manière dont
cette information est arrivée à notre niveau, et la méthode utilisée pour
transformer les données en informations.
Une information pertinente est celle qu’il faut connaître pour un problème
donné.
Les caractères de l’information permettent aussi d’en évaluer sa qualité c'est-à-
dire le coût et l’utilité, ces caractères sont : la forme, le délai (la durée de la vie
de l’information), le lieu, et le contenu.
11
Chapitre I : Le système d’information
12
Chapitre I : Le système d’information
2- l’entreprise est un système finalisé : elle à des buts précis, des objectifs
propres (maximisation de profit, croissance).
3- L’entreprise est un système régulé, elle s’adapte en permanence pour
atteindre les objectifs fixés, par autorégulation ou en raison de l’existence
d’organes de commande (direction).
4- L’entreprise est composée de sous système en interaction, parmi les
multiples sous-systèmes de l’entreprise, on distingue :
A- Les sous-systèmes identifiés par les flux qui circulent : selon les
différents types de flux échangés, on peut identifier trois sous systèmes :
B- Les sous-systèmes basés sur les fonctions : cette classification est fondée
sur un critère fonctionnel, ce qui conduit à distinguer :
- le sous-système d’approvisionnement.
- Le sous-système de production.
- Le sous-système de commercialisation
13
Chapitre I : Le système d’information
des règles, des procédures et des moyens, qui une fois appliqué au système
physique permettent d’atteindre les objectifs de l’entreprise.
On résume que les différents sous-systèmes de l’entreprise ne sont pas isolés les
uns des autre, certains éléments du système de l’entreprise peuvent appartenir à
plusieurs sous-système.les sous-systèmes du système d’information de
l’entreprise sont reliés entre eux par un réseau de flux (flux matériel, flux
d’information, flux monétaires) qui assurent leur couplage et coordonnent leur
action.
14
Chapitre I : Le système d’information
3-1 La saisie :
3-2 La collecte :
15
Chapitre I : Le système d’information
3-3 Le traitement :
3-4- La diffusion :
Définition :
On appel le système d’information de gestion « les systèmes d’informations
conçus pour fournier aux gestionnaires l’information et l’appui dont ils ont
besoin dans la prise de décision ».
Pour comprendre le rôle que le système d’information ( SIG) joue dans le
fonctionnement des entreprises, il faut rappeler ce qu’est l’action, ce qu’est la
décision ( ce qu’est la gestion), quel rôle y joue l’information.
A l’origine et en produit de toute action, en préparation et en résultante de toute
décision, l’information apparait comme un élément essentiel du fonctionnement
de toute entreprise.
16
Chapitre I : Le système d’information
Il est concerné par l’ensemble des informations relatives aux flux physiques des
marchandises au sein d’une entreprise. Ces flux se manifestent par l’entrée des
matières premières, l’évolution des encours, la production, l’expédition, le
stockage de marchandise de toute nature.
17
Chapitre I : Le système d’information
5-2 le système d’information sur le personnel (SI pour la gestion des ressources
humaines) :
Il est constitué par les flux d’information concernant les personnes travaillant
dans l’entreprise. Toutes les entreprises conservent de nombreuses informations
en relation avec leurs employés, d’une part pour répondre aux obligations
légales (obligations de la sécurité sociale de la fiscalité,…) et d’autre part pour
assurer au mieux les fonctions d’encadrement et commandement.
Le système d’information sur le personnel peut être décomposé en un certain
nombre de sous-système :
Un SIAD sera utilisé par un décideur pour accomplir une ou plusieurs fonctions
telles que :
- Accéder à l’information pertinente et permettre un contrôle de ces accès.
- Structurer l’information sous forme de modèles :
18
Chapitre I : Le système d’information
19
Chapitre I : Le système d’information
2- La gestion financière :
Ils répondent à un objectif de profit qui dépend des facteurs tels que :
Besoin de plan stratégique, capitale disponible, bénéfice réalisé antérieurement,
performance de l’entreprise, environnement commercial,….
20
Chapitre I : Le système d’information
21
Chapitre I : Le système d’information
L’ensemble des opérations est ensuite présenté dans des documents comptables
de synthèse que sont le bilan (qui donne une présentation de la situation
patrimoniale de l’entreprise à un moment donnée) et le compte de résultat (qui
mesure la capacité d’une entreprise à réaliser des bénéfices du fait de ses
opérations de gestion). De plus, ces éléments font l’objet d’un retraitement dans
le cadre soit de la comptabilité analytique, soit dans le cadre de l’analyse
financière de manière à en tirer en ensemble d’informations complémentaires
utiles à la prise de décision.
Les informations ainsi collectées font alors l’objet d’une diffusion apurés des
acteurs de l’entreprise et de certains de ses partenaires soit dans le cadre de
rencontres organisées périodiquement (présentation des comptes trimestriels,
semestriels ou annules de l’entreprise) de manière institutionnelle (conseil
d’administration…) soi à des moments ou l’entreprise justifie certaines
décisions grâce à l’exploitations obtenues par le système de gestion (un projet de
création d’entreprise s’appuie nécessairement sur la présentation de comptes
prévisionnels…)
22
Chapitre I : Le système d’information
La perfusion des articles et livre sur le sujet ne doit pas faire croire à une
apparition récente et éphémère de cette variable dans la sphère de l’entreprise.
23
Chapitre II : L’Audit
Cette évaluation qui ne doit pas être entendue comme une simple notation,
comporte la référence à ces normes qui se veut constructive. C’est à dire
devant faire l’objet de recommandations.
Mais comment auditer ?
Pourquoi auditer ?
1-Une Procédure.
2- Des Systèmes.
23
- -
Chapitre II : L’Audit
Une Situation.
Le mot audit peut faire l’objet d’une confusion, pour cette raison, tout travail
portant sur l’audit doit commencé par définir son objet et son champ. Par ce
principe l’objet de cette thèse portera sur l’audit analytique, pour cela le
deuxième chapitre de cette thèse portera sur la définition de l’audit
comptable et financier et l’audit opérationnel suivi par une comparaison
entre les deux.
24
- -
Chapitre II : L’Audit
Michel Joras s’est livré à une recherche étymologique d’oû il ressort que le
verbe « audire » , du latin classique ( audio – auditium ) , avais pour sens
entendre , mais aussi écouter , être élève , suivre les vues de quelqu’un . en
bas latin le verbe a donné « ouir » tandis que le terme d’audit serai un
prolongement s’avant que Joras situe également dans la ligne sémantique du
verbe classique latin « auscultare ».
Pour comprendre le rôle de l’écoute, de l’audition, il faut se rappeler que
dans les temps anciens peut de gens savaient lire et que les contrôle et les
dépositions se faisaient oralement. Le mot « audientia » ou audience au XII
siècle prend une signification juridique. L’auditeur est alors officier de
justice.
C’est bien entendu du monde anglo-saxon depuis le début du XX siècle que
provient la conception moderne de l’audit conçu comme une opinion émise
par une personne indépendante et compétente sur la validité des états
financiers.
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- -
Chapitre II : L’Audit
1
Guide d’audit et de commissariat aux comptes SNC p.1102
2
Audit financier guide pour l’audit de l’information financière des entreprises et organisations. (association technique
d’harmonisation de cabinet d’audit et conseil) p.18
3
International federation of accountants
4-La pratique du commissariat aux comptes en Algérie tome1 N.Eddine SADI & A.MAZOUZ (SNC)
26
- -
Chapitre II : L’Audit
1
Guide d’audit et de commissariat aux comptes SNC p.1102
2
Audit financier guide pour l’audit de l’information financière des entreprises et organisations. (association technique
d’harmonisation de cabinet d’audit et conseil) p.18
3
International federation of accountants
4-La pratique du commissariat aux comptes en Algérie tome1 N.Eddine SADI & A.MAZOUZ (SNC)
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- -
Chapitre II : L’Audit
2-Définition :
Le terme AUDIT remonte à l’antiquité. Il vient du latin (audire) qui signifie
écouter.
L’audit a pris de l’ampleur avec l’apparition de grandes entreprises qui
doivent rendre des comptes à divers intéressés : pouvoirs publics, associés,
bailleurs de fond.
« L’audit est l’examen auquel procède un professionnel compétent et
indépendant en vue d’exprimer une opinion sur la régularité et la sincérité
des états financiers
1
Guide d’audit et de commissariat aux comptes SNC p.1102
2
Audit financier guide pour l’audit de l’information financière des entreprises et organisations. (association technique
d’harmonisation de cabinet d’audit et conseil) p.18
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International federation of accountants
4-La pratique du commissariat aux comptes en Algérie tome1 N.Eddine SADI & A.MAZOUZ (SNC)
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Chapitre II : L’Audit
1
Guide d’audit et de commissariat aux comptes SNC p.1102
2
Audit financier guide pour l’audit de l’information financière des entreprises et organisations. (association technique
d’harmonisation de cabinet d’audit et conseil) p.18
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International federation of accountants
4-La pratique du commissariat aux comptes en Algérie tome1 N.Eddine SADI & A.MAZOUZ (SNC)
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Chapitre II : L’Audit
1- L’audit financier :
Ne s’y intéresse qu’en tant qu’éléments déterminant la fiabilité, la régularité
et la sincérité de l’information comptable et financière, sur laquelle il doit
formuler un jugement. (Une mission légale visant à certifier la régularité, la
sincérité, l’image fidèle des états financier)
2-L’audit opérationnel :
Il s’applique à toutes actions, son objet consiste à juger la manière dont les
objectifs sont fixés et atteints ainsi que les risques qui pèsent éventuellement
sur la capacité d’une entreprise à définir des objectifs pertinents et à les
atteindre.
L’objet de l’audit opérationnel est plus large que celui de l’audit financier du
fait qu’il s’intéresse à la manière dont l’entreprise définis et respecte ses
objectifs et ses politiques, obtient, préservent, allouent et consomme tous les
moyens nécessaires pour ces fins.
Un point important de distinction entre les deux est que l’audit financier
dispose de références précises et générales qui définissent ce qu’il faut
attendre d’un système comptable alors que l’audit opérationnel s’inscrit dans
une perspective spécifique au domaine
1
Guide d’audit et de commissariat aux comptes SNC p.1102
2
Audit financier guide pour l’audit de l’information financière des entreprises et organisations. (Association technique
D’harmonisation de cabinet d’audit et conseil) p.1
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International fédération of accountants
4-La pratique du commissariat aux comptes en Algérie tome1 N.Eddine SADI & A.MAZOUZ (SNC)
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Chapitre II : L’Audit
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Guide d’audit et de commissariat aux comptes SNC p.1102
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Audit financier guide pour l’audit de l’information financière des entreprises et organisations. (association technique
d’harmonisation de cabinet d’audit et conseil) p.18
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International federation of accountants
4-La pratique du commissariat aux comptes en Algérie tome1 N.Eddine SADI & A.MAZOUZ (SNC)
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Chapitre II : L’Audit
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Guide d’audit et de commissariat aux comptes SNC p.1102
2
Audit financier guide pour l’audit de l’information financière des entreprises et organisations. (Association technique
d’harmonisation de cabinet d’audit et conseil) p.18
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International federation of accountants
4-La pratique du commissariat aux comptes en Algérie tome1 N.Eddine SADI & A.MAZOUZ (SNC)
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Chapitre II : L’Audit
L’auditeur s’assurera que tous les produits à recevoir, provenant des ventes,
des services ou des investissements ont été comptabilisés et que leur
imputation et enregistrement comptable sont corrects ; que leur valeur
correspond uniquement à des montants afférents à la période concernée.
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Guide d’audit et de commissariat aux comptes SNC p.1102
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Audit financier guide pour l’audit de l’information financière des entreprises et organisations. (Association technique
d’harmonisation de cabinet d’audit et conseil) p.18
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International federation of accountants
4-La pratique du commissariat aux comptes en Algérie tome1 N.Eddine SADI & A.MAZOUZ (SNC)
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Chapitre II : L’Audit
Il y aura lieu de s’assurer que tous les coûts et charges concernant la période
à vérifier ont été comptabilisés avec une imputation correcte ; et que les
montants afférents à des exercices ou périodes ultérieurs ont été enregistres
dans les charges comptabilisées d’avance, des charges différées ou dans les
immobilisations, et que ces charges et coûts concernent bien l’entreprise
vérifiée.
4-4 Détection des irrégularités, omissions ou erreurs :
L’auditeur ne perdra pas de vue que son objectif est également de détecter
toutes les erreurs graves, omissions et irrégularités pouvant influer sur les
résultats et la position financière de l’entreprise, car, ceci est essentiel pour
lui permettre d’exprimer son opinion sur la gestion net la tenue de la
comptabilité.
5-Les Normes de révision comptable généralement reconnues :
Les normes de révision comptable généralement admises ou approuvées par
les ordres des experts comptables ou les organismes étatiques ayant des liens
avec la profession comptable sont essentiellement des normes générales et
des normes relatives à l’exécution des taches.
A-Normes générales :
§ Les personnes désignées pour le contrôle ou la révision comptable
doivent posséder une formation technique et disposer d’un esprit de
synthèse suffisant.
§ Les auditeurs devront apporter leur indépendance et conserver une
objectivité impartiale.
§ Les auditeurs devront apporter le maximum de célérité et de
diligence dans l’accomplissement de leurs missions.
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Guide d’audit et de commissariat aux comptes SNC p.1102
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Audit financier guide pour l’audit de l’information financière des entreprises et organisations. (association technique
d’harmonisation de cabinet d’audit et conseil) p.18
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Chapitre II : L’Audit
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Chapitre II : L’Audit
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Chapitre II : L’Audit
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Chapitre II : L’Audit
Objectifs 1:
Il est important de présenter l’évolution, pendant une ou plusieurs périodes,
des comptes d’actif et de passif en mettant en évidence, les positions de
chacune des parties prenantes de l’entreprise (actionnaires – Etat –
fournisseurs) et en respectant toutes les prescriptions légales et statutaires en
vigueur.
Principe 1 : classification des actions par catégories
Si la société est commerciale et si son capital est réparti entre plusieurs
catégories d’actions, l’enregistrement comptable devra tenir compte de
chacune de ces catégories. Les droits attachés à chaque catégorie, sur les
bénéfices et bonis, devront également être explicités suffisamment.
Principe 2 : modifications du capital social
Dans une entreprise commerciale, le capital est souscrit par des actionnaires,
qui investissent des fonds en vue de l’exercice d’une activité pour réaliser
des bénéfices.
Toutes détériorations ou modifications du capital dû à des déficits
d’exploitations, des pertes exceptionnelles ou à des distributions de
dividendes de ses propres actions, devront être annulées, enregistrées en
comptabilité et explicitées de façon claire, pour la période contrôlée.
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Chapitre II : L’Audit
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Chapitre II : L’Audit
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Chapitre II : L’Audit
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Chapitre II : L’Audit
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Chapitre II : L’Audit
est conçu dans le cadre d’un besoin spécifique où les normes sont moins
claires que pour l’audit financier et comptable.
« Nous définirons l’audit comme l’activité qui applique en toute
indépendance des procédures cohérentes et des normes d’examen en vue
d’évaluer l’adéquation et le fonctionnement d’une partie ou l’ensemble des
actions menées dans une organisation par référence à des normes ». Pour
cela il est nécessaire d’auditer les systèmes d’informations afin de vérifier
que :
a) Le volet stratégique :
la finalité de ce volet renvois aux principes directeurs poursuivi par
l’entreprise , ce qui implique que l’entreprise doit définir une politique
générale et la détermination du lieu , c’est à dire sur quelle partie de
l’environnement l’entreprise va se battre , et quelles sont les voies de ce
combat afin de saisir les opportunités qui s’offrent à l’entreprise et d’éviter
les menaces .
- Définition de la stratégie :
M. HENRI TABOULET « professeur à l’institut de contrôle de
gestion »(5); défini la stratégie de l’entreprise comme étant :
« L’option (ou un groupe d’options) fondamentale prise par la direction
et concernant l’insertion optimale de l’entreprise dans le milieu
économique. Ces options doivent assurer à l’entreprise sa survie, son
développement et sa prospérité »
Exemple de stratégie :
Chacune des alternatives évoquées dans les questions suivantes constitue
une stratégie possible.
§ L’entreprise doit – elle orienter ses efforts sur une augmentation
des ventes vers le marché national ou vers l’étranger ?
§ L’entreprise doit – elle vendre en détails ou en gros ?
§ L’entreprise doit – elle diversifier sa fabrication ou se
spécialiser ?
§ L’entreprise doit – elle produire de nombreux articles à bas prix
ou des articles moins nombreux mais à des prix plus élevés ?
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Chapitre II : L’Audit
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Chapitre II : L’Audit
Humains Systèmes et
procédures
Objectif Moyens Matériels d’utilisation des
moyens
Financiers
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Chapitre II : L’Audit
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- -
Chapitre II : L’Audit
4) les deux types d’audit doivent aboutir à mettre en relieur les risques et
les contraintes.
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- -
Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
On ne peut porter un jugement sur une fonction ou une activité que déjà à
partir de sa définition et l’analyse de celle ci par son contenu, son fonctionnement
ou par ses finalité.
52
Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
E - Le manuel de travail :
•Ecrites.
•Simples et spécifiques.
•Mises à jour régulièrement.
•Portées à la connaissance des exécutants.
F- La supervision :
C’est un acte d’assistance, un acte gratifiant, un acte de vérification.
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
ce qui caractérise l’audit , c’est son recours permanent à des critères et à des normes
, cette attitude est d’ailleurs tellement systématique que l’audit se l’applique à lui
même sous la forme de norme professionnelle .
le professionnel qui doit au terme d’une mission d’audit exprimer une opinion,
cherche à l’étayer par des observations aussi neutre et objectives que possible. Cela
n’interdit pas le recours à l’impression personnelle mais cela oblige à la vérifier en
comparant les faits constatés à une référence considérée comme de valeur générale.
La philosophie de l’audit consiste en conséquence à s’efforcer de définir pour
chaque aspect de l’activité auditée une référence, c’est à dire un critère et une
norme. Le critère c’est l’indicateur susceptible de révéler la qualité de la réalité
observée.
La norme constitue le niveau jugé satisfaisant de ce critère, on considère par
exemple que telle phase du processus de règlement des fournisseurs, doit impliquer
une séparation de fonction. et ont convient qu’il faut que la phase en cause soit
traité par trois personnes appartenant à des lignes hiérarchiques différentes.
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
L’audit interne ne décide pas lui même de ses missions. Cette décision est prise par
la direction générale qui mandate l’audit interne à cette fin, l’ordre de mission qui
matérialise, ce mandat donne aux auditeurs le droit d’accès nécessaire et
indispensable et leur permet de commencer la mission.
L’ordre de mission doit être signé par le responsable de la direction générale et doit
indiquer :
- les coordonnées du responsable de la mission
- Les membres de son équipe
- La date du début d’intervention et la durée approximative de la mission
- L’origine de la demande
- Le sujet de la mission
- Les entités concernées
L’ordre de mission rappelle les raisons qui on motivé la demande d’audit et précise
quel est le demandeur de la mission (sauf si ce dernier ne le souhaite pas), il est
souhaitable que le responsable de l’entité auditée contresigne l’ordre de mission en
vue d’améliorer l’accueil des auditeurs et de facilité leur intervention.
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
On ne peut porter un jugement sur une fonction que déjà à partir de sa définition.
Pour la première étape, il s’agit d’organiser la phase d’étude afin d’obtenir une
première opinion sur les risques qui peuvent peser sur l’entreprise et d’identifier les
domaines ou il conviendra d’approfondir les examens.
L’analyse des risques que le plan d’approche prépare va s’appuyer sur trois
éléments :
A) – Une prise de connaissance du domaine audité.
B) - Une décomposition du sujet c’est à dire observer quels sont les points que
l’on peut examiner.
On appelle objectifs spécifiques de ces risques et de ces caractéristiques de
fonctionnement, soit un élément observable du domaine et dont on peut définir les
caractéristiques souhaitées et constater les caractéristiques réelles.
59
Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
60
Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
Une fois connues les procédures, l’auditeur s’assure qu’il les a correctement
appréhendées et qu’elles sont appliquées dans l’entreprise.
Il cherche aussi à vérifier qu’il n’existe pas d’autres procédures informelles qui
seraient pratiquées dans l’entité. ce sont la les objectifs des testes de conformité
ces dernier consiste à observé l’activité décrite par les procédures , ou à
s’entretenir avec les personnes qui sont supposées , les mettre en œuvre , sous
réserve d’une vérification de l’existences du matériel utilisé .
Cette phase ne comporte que des tests ponctuels et peu onéreux. il ne s’agit pas
de s’assurer que telle procédure fait l’objet d’une application constante, souci qui
ne viendra qu’ensuite, mais seulement de chercher à obtenir une description
aussi complète que possible des procédures utilisées.
Une fois que l’auditeur dispose d’une description fidèle des procédures de
l’entreprise, il peut porter un jugement sur le contrôle interne, en cherchant à
mettre en évidence ses points forts et ses points faibles.
- Les points forts sont les dispositifs de contrôle qui garantissent, dans la
perspective d’un audit financier, une comptabilité correcte ou dans la
perspective d’un audit opérationnel, un fonctionnement efficace.
- Les faiblesses sont les sont les aspects qui font naître un risque d’erreur
ou de fraude (audit financier) ou d’absence d’économie, efficience,
efficacité (audit opérationnel).
61
Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
Les questionnaires sont établis pour chaque type de mission, une réponse négative
est supposée dénoter un risque ou une insuffisance.
ces testes visent à vérifier que les procédures considérées comme des points forts
sont appliquées de manière constante et fidèle, il convient par conséquent de réunir
une information suffisamment abondante pour qu’elle puisse offrir la preuve
recherchée.
On a fréquemment recours à des techniques statistiques d’échantillonnages qui
permettent de quantifier le risque accepté dans la recherche de la preuve et de gérer
au mieux les coûts de cette phase de l’audit.
Si des défaillances sont constatées certains aspects classés à priori comme points
forts sont considérés comme des faiblesses.
Afin d’orienter le travail de l’auditeur sur les éléments les plus essentiel
(dysfonctionnement / solution).
Le travail de recherche et d’analyse rapide se fait sur la base de frop (feuil
de révélation et d’analyse des problèmes J qui constitue le cœur du rapport
d’audit.
62
Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
1-DEFINITION :
La FRAP est le papier de travail synthétique par lequel l’auditeur présent et
documente chaque dysfonctionnement et l’aide a mettre en évidence les
dysfonctionnements et les solutions qui leur propose.
La FRAP attire l’attention sur les conséquences des dysfonctionnements et
les recommandations de l’auditeur.( 2)
2-Principe :
Tous dysfonctionnement doit être signalé et formulé sous forme de FRAP
avec :
- Le problème qui le résume (c’est une formulation qui doit être
synthétique, autonome et percutante.
- Les « faits » qui le prouvent : ce sont des évènements.
- Les « causes » qui l’expliquent.
- Les « conséquences » que cela entraîne : ce sont des résultats.
- Les « recommandation » se sont des solutions.
Des que l’auditeur apercevra un problème, il ouvre une FRAP qu’il
numérote afin de ne rien laisser échapper.
La FRAP est un outil méthodologique qui permet de :
- Conclure un travail.
- Relever un dysfonctionnement.
- Structurer le rapport.
- Introduire l’action à entreprendre après avoir hiérarchiser les
Problèmes.
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
Faits : les faits sont issus des points de contrôle effectué au cours des
travaux de vérification.
Les faits sont les preuves matérielles d&tenues par l’auditeur.
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
Formuler le problème :
Réordonner les points par sujet et par importance aboutit parfois à des
conclusions plus élevées et des recommandations plus fondamentales :
d’autre Frap.
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
A- La forme orale :
- En cours de mission.
- Le compte rendu final sur le site.
- La communication orale en fin de mission.
B- La forme écrite :
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
Elle doit se faire d’une manière rapide et selon une liste réfléchie. La
diffusion doit être limitée car il n’appartient par l’audit d’étaler les
problèmes relevés chez les audités. La discrétion imposée par le devoir de
réserve y compris l’absence de tout nom de personne, permet d’éviter les
susceptibilités et de respecter la hiérarchie dans son pouvoir d’appréciation
d’action. (La liste sera limitée au besoin de savoir pour agir.
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
4- Le contenu du rapport :
4-1. Le plan : La présentation du plan doit être logique et doit servir à capter
l’attention dans la présentation des constats.
4-2. L’introduction :
A- Le Fond : Il repose sur une présentation des constats étayés par des faits
précis, objectifs et valides par les audités.
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
- En conclusion
Le rapport d’audit interne est un dossier de mission rigoureux, dont
l’auditeur doit avoir une intime conviction en ayant :
A- Des faits exacts et significatifs en vérifiant les calculs des chiffres et les
données de références (Il faut quantifier les conséquences).
B- Des faits justifiés et assortis de preuves.
3- Une garantie d’objectivité (éviter de porter des jugements personnels.
4-4-Les recommandations :
- Le rapport final :
Le rapport est précédé d’un rapport projet discuté avec les audités.
Le rapport final est le document le plus important émis par l’audit et qui
engage le responsable de l’audit.
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
Le rapport doit être structuré et formulé pour ses lecteurs et donc comporter
une partie détaillé et une synthèse. La partie détaillée doit être complète et
une synthèse. La partie détaillée doit être complète et peut être technique,
elle doit faire partager les éléments et les modes de réflexions qui amènent
l’audit à ses conclusions et fournir toutes les informations utiles aux
responsables de la situation auditée et aux responsables des actions a
entreprendre.
70
Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
71
Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
Pour les techniques de rédaction et vu l’impact des rapports d’audit sur les
plans financier et psychologique, l’effet.
C’est la phase ultime d’une mission d’audit qui permet de dresser le bilan
des actions correctives engagées et réalisées par les services sur tous les
points de recommandations formulés dans le rapport.
La mise en place et l’ajustement des actions de progrès sont de la
responsabilité des audites, c’est eux qui traitent avec l’auditeur qui est
responsable d’identifier les personnes capable de résoudre les problèmes
qu’ils relèvent.
Afin que la responsabilité de l’action soit assumée on doit charger une
personne pour la conduire. Pour chaque recommandation un responsable
sera désigné, au cas ou le but même de la recommandation est d’obtenir une
réponse conjointe de deux responsables indépendants l’un de l’autre, ex :
lorsqu’il s’agit de résoudre un problème de coordination entre financiers et
commerciaux pour le recouvrement des créances client. L’auditeur mettra
les deux responsables en destinataires et leur demandera une réponse
concertée et cosignée.
A chaque recommandation l’auditeur doit recevoir une réponse de la part du
responsable désigné dans un délai bref et avec toutes les précisions utiles. La
collecte de ces réponses demande donc une organisation de la part de
l’audit : la mise au point d’un formulaire de réponse, normalement le même
pour toutes les missions et la fixation d’une date limite.
Un formulaire par recommandation sera établit et envoyé aux responsables
désignés, simultanément avec le rapport définitif. Une note
d’accompagnement rappellera les « règles du jeu » du suivi et la manière de
compléter le formulaire.
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
Schéma (3)
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
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Chapitre III : La conduite d’une mission d’audit interne
77
Chapitre VI : le contrôle de gestion
2. La fonction de contrôle :
La fonction de contrôle doit être située clairement dans le processus
général du contrôle de gestion. Il doit en premier lieu inciter à l’action pour
atteindre des objectifs cohérents par rapport à la stratégie pour créer cette
motivation
Le contrôleur de gestion doit se situer au centre de trois pôles d’activités.
A- La réflexion stratégique commande le choix des objectifs, qui sont à la
base du système de contrôle de gestion.
B - Les techniques de contrôle apportent l’information qui précède l’action.
C -Un système motivant suscrite le désir d’atteindre de nouveaux objectifs
stratégiques.
L’objet du contrôle consiste à s’assurer que les plans se déroulent
normalement, en décelant les écarts et en fournissant une base permettant de
prendre les mesures qui s’imposent de façon à corriger les écarts réels en
potentiels.
Afin d’être efficaces, les contrôles doivent s’inspirer de plans précis et
de normes de contrôle significatives.
1.1. Les visions pessimistes : L’analyse des écarts entre les objectifs et les
réalisations comme moyen de pression sur les cadres opérationnels en justifiant
ses décisions répressives en abaissant la barre des objectifs.
- Au stade de prévisions seules sont pris en considération les clients acquis, les
commandes certaines, les produits traditionnels dont les positions sont solides.
Si l’objectif ainsi calculé est en retrait sur les réalisations passées en justifie.
Cette prévision en affirmant que les résultats de l’exercice précédent n’ont pas
valeur de référence, par la suite de conjoncture différente en d’affaires
exceptionnelles, … etc.
suivi des objectifs, n’est pas forcément la même que celle qui permet aux
responsables d’améliorer leur propre gestion.
- Le critère de décision en matière de distribution d’informations et de définition
de tableaux de bord, ne sera pas simplement un critère hiérarchique ; mais
surtout un critère d’efficacité et d’utilité.
L’apport de la communication :
La mise en place d’un contrôle de gestion lié hiérarchiquement à la fois à
une fonction opérationnelle et fonctionnelle ; on à un indicateur financier ;
peuvent fonctionner si l’ambiance de l’entreprise le permet.
- Pour gérer ce type de situation, il y a des précautions à prendre :
4. Eclairer les décisions qui doivent être prises dans le cadre prévisionnel.
5. Etablissement des plans.
6. Contrôle des réalisations par rapport aux objectifs.
7. Faire apparaître les écarts et expliquer les causes.
8. Provoquer les mesures correctives opportunité.
9. La coordination des plans à long terme.
- Dans les entreprises ; on cherche alors à apprécier l’évolution des résultats par
rapport aux périodes précédentes. Cette méthode est largement répondue ; cela
revient à dire que les performances passées sont prises comme système de
référence en considérant par différence les améliorations et les détériorations.
93
Chapitre V : Etude cas
SECTION I :
I. Présentation de Sonatrach :
Sonatrach est la première entreprise du continent africain. Elle est classée 12ème
parmi les compagnies pétrolières mondiales, 2ème exportateur de GNL et de GPL
et 3ème exportateur de gaz naturel. Sa production globale (tous produits
confondus) est de 230 millions de tep en 2006. Ses activités constituent environ
30% du PNB de l'Algérie.
Sonatrach, entreprise citoyenne, œuvre à resserrer les liens sociaux, aider les
populations dans le besoin, promouvoir la recherche et les activités scientifiques,
aider la création artistique, promouvoir la pratique sportive, contribuer à la
préservation de la nature et à la sauvegarde du patrimoine culturel et historique.
94
Chapitre V : Etude cas
Dans un rôle de société mère, assurant les rôles de pilotage stratégique, la cohésion
et d’appui, elle se distingue par 03 structures importantes :
De la Direction Générale
Des Directions opérationnels
Des Directions Fonctionnelles
95
Chapitre V : Etude cas
96
Chapitre V : Etude cas
97
CHAPITRE V/ : Etude de cas
Placée sous l’autorité d’un vice président, l’activité aval a pour missions :
Ø Structures fonctionnelles,
Ø Structures opérationnelles,
Ø Structures rattachées directement au vice président
2- 2-Structures Fonctionnelles :
§ Direction Audit.
§ Direction Qualité, Hygiène, Santé et Environnement.
§ Direction Ressources Humaines.
§ Direction Finances.
98
CHAPITRE V/ : Etude de cas
99
CHAPITRE V/ : Etude de cas
Direction Direction
ADM ISI
100
CHAPITRE V/ : Etude de cas
Le code civil algérien : définit le contrat comme étant une convention par
laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent, envers une ou plusieurs autres à
donner à faire ou à ne pas faire quelque chose.
On déduit que le contrat est l’acte par lequel une personne s’engage à transférer
la propriété d’un bien ou d’un service à une autre personne qui s’engage à lui
verser une contrepartie (prix).
Droit algérien : le code civil algérien définit le contrat de vente comme suit : la
vente est un contrat par lequel le vendeur s’oblige à transférer la propriété d’une
chose ou tout autre droit patrimonial à l’acheteur qui doit lui en payer le prix .
Ce texte prévoit que le contrat de vente est un contrat synallagmatique qui fait
naître des obligations à la charge des deux parties contractantes alors que le
vendeur s’oblige à transférer à l’acheteur la propriété de la chose vendue ou tout
autre droit patrimonial quelconque. L’acheteur en contrepartie à l’obligation de
payer le prix.
1-2-Droit comparé :
1-2-2-La définition du droit Almand : « le vendeur d’une chose est obligé d’en
effectuer la délivrance à l’acheteur est de lui procurer la propriété sur la chose .
l’acheteur est obligé de payer le prix de vente convenu et de concevoir la chose
vendu » ( bgb § 433) .
101
CHAPITRE V/ : Etude de cas
Aux termes de l’article 59 du code civil, le contrat se forme dés que les parties
ont échangé leurs volontés concordantes, sans préjudice des dispositions légales.
Cette disposition exprime l’élément fondamental du contrat qui est le
consentement, qu’il faudra examiner à travers la problématique suivante :
102
CHAPITRE V/ : Etude de cas
En droit algérien, seule la volonté compte, mais à condition qu’elle ne soit pas
exprimée d’une manière ou d’une autre .la volonté n’existe à l’égard d’autrui
que s’il y a des signes extérieurs de cette volonté. Le problème qui se pose
parfois est le silence, peut –il être signe de volonté ?
La volonté représente tout comportement actif ou passif qui permet de conclure
à l’existence d’une certaine liberté. En application du principe du
consensualisme, la signature n’est pas nécessaire pour que le consentement
existe.
2-1-L’offre :
C’est une manifestation unilatérale de volonté par laquelle une personne propose
à une autre la conclusion d’un contrat dans des conditions telles que
l’acceptation suffise à former l’accord.
L’offre est une étape très importante avant la conclusion du contrat qui
interviendra au moment de la rencontre d’une acceptation de la part de l’autre
partie, elle est la base du contrat de vente. Une offre s’appuie sur un document
écrit et doit être rédigée dans une langue parfaitement comprise par le client.
L’accord des deux parties sur les éléments essentiels suffit à former le
Contrat Par conséquent, si l’offre contient tous ces éléments essentiels,
son acceptation va en trainer immédiatement la conclusion du contrat. Au
contraire, s’il manque un élément essentiel le contrat ne peut être formé
et il faut poursuivre la négociation.
C- Absence d’équivoque :
103
CHAPITRE V/ : Etude de cas
104
CHAPITRE V/ : Etude de cas
105
CHAPITRE V/ : Etude de cas
106
CHAPITRE V/ : Etude de cas
Les candidats ayant satisfait aux critères de pré qualification seront invités à
retirer le dossier d’appel d’offre et à soumissionner selon la procédure en deux
étapes décrite dans la présente directive.
Les candidats non retenus seront informés des résultats du pré qualification
107
CHAPITRE V/ : Etude de cas
L’étape dite technique est la première phase du processus d’appel d’offres elle
concerne la soumission des offres technique. Sana aucune indication de prix.
Les offres techniques doivent répondre aux conditions éditées dans le dossier
d’appels d’offres.
108
CHAPITRE V/ : Etude de cas
6- Présentation de l’étape :
Durant la première étape dite étape technique, nous avons constaté que les
conditions de formation du contrat ne sont pas toutes réunies, par conséquent, le
contrat n’est donc pas encore formé, et cela pour les raisons suivantes :
D’abord, en droit commun le contrat se forme dés l’accord des deux contractants
sur les éléments essentiels du contrat.
Dans le contrat de vente, ces éléments essentiels sont constitués par la chose
vendue et par son prix, or pendant l’étape technique l’offre du soumissionnaire
ne comporte aucune mention de prix, qui est un élément essentiel à la formation
du contrat.
En suite l’offre doit présenter les trois caractères : précision, fermeté, absence
d’équivoque, si l’une d’elle fait défaut, la proposition n’est pas une offre qui va
109
CHAPITRE V/ : Etude de cas
entraîner la formation du contrat dés son acceptation puisqu’il n’y a pas encore
d’acceptation mais seulement constatation de l’éligibilité des offres techniques
au terme de la deuxième étape.
Enfin nous pouvons dire que le projet de contrat qui est signé et parafé par les
soumissionnaires n’est qu’un avant contrat, il ne lie pas le soumissionnaire et
nous ne pouvons pas dire que le contrat est formé durant l’étape technique, la
chose qui nous mène à la deuxième hypothèse, le contrat de vente est formé à
l’étape commerciale.
110
CHAPITRE V/ : Etude de cas
De mettre les soumissionnaires sur le même pied d’égalité et d’éliminer ceux qui
ne répondent pas aux exigences techniques des cahiers des charges, la deuxième
étape va permettre le choix du soumissionnaire en fonction de l’offre
commerciale la moins disante.
III-1) Présentations de l’étape :
Remarque :
111
CHAPITRE V/ : Etude de cas
des offres, assortie d’un délai de trente (30) jours calendaires. Le montant
et la durée de cette garantie sont fixés dans le dossier d’appel d’offres.
La réception ainsi que l’ouverture des plis au titre de la deuxième étape doivent
avoir lieu dans les conditions prévus dans le dossier d’appel d’offres, aux dates,
heures et adresse indiquées dans la lettre d’invitation à remettre une offre
commerciale, les plis seront ouvert en séance publique et en présence des
soumissionnaires concernés ou de leurs représentants dument mandatés.
Si aucun pli n’a été reçu, l’appel d’offres est déclaré infructueux.
En cas de réception de deux (02) plis, l’appel d’offres sera déclaré infructueux et
les plis seront retournés non ouverts aux soumissionnaires concernés sur la base
des informations figurant sur chaque enveloppe intérieure des plis contenant les
offres.
Le maître de l’ouvrage doit ouvrir tous les plis contenant les offres dans les
délais. Le non de chaque soumissionnaire, le montant des offres et toute autre
information que le maître de l ‘ouvrage jugera utiles de communiquer seront
annoncés l’ors de l’ouverture publique des plis.
112
CHAPITRE V/ : Etude de cas
Nous avons constaté que le contrat n’est pas encore formé durant l’étape
technique parce que les éléments essentiels a sa formation n’était pas réunie et
qu’il manquait un élément essentiel à savoir le prix contractuel.
Peut-on dire que le contrat est formé à l’étape commerciale parce que l’élément
essentiel manquant à la formation du contrat est enfin déterminé ?
A priori la réponse est oui puisque l’attribution du marché annoncé par la
commission d’ouverture des plis vaut acceptation et donc, il y a la rencontre des
volontés des deux partie en conséquence le moment précis de la formation du
contrat se produit durant cette étape même du processus de passation des
contrats SONATRACH.
Il faut noter que la décision A408 R15 prévoit que la commission d’ouverture
des plis commerciaux attribue le marché séance tenante, les observations
enregistrées sur ce point sont :
- Tout d’abord c’est le terme attribution qui prête à confusion car pour que
la commission d’ouverture des plis ait la qualité d’attribuer des marchés il
faut qu’elle soit dotée des pouvoirs nécessaires, et cela conformément au
code civil.
- Nous avons constaté l’absence d’un règlement intérieur de la commission
d’ouverture des plis qui détermine les prérogatives et le fonctionnement
de cette commission ainsi que la fonction et le rôle de chaque membre. Au
cours de l’achèvement de notre travaille l’ensemble des juristes a reçu en
provenance de division aval le projet d’un règlement intérieur des
commission d’ouverture des plis chose qui confirme notre observation.
- En outre nous avons consulté le manuel de délégation de pouvoirs, le
président de la commission d’ouverture des plis ne figure pas parmi les
délégataires de pouvoirs de signature et donc il n’est pas qualifié à
attribuer les marchés : le directeur du complexe demeure la fondé de
pouvoirs et seul habilité a notifié l’attribution et à signer le contrat.
Par ailleurs les interrogations suivantes sont aussi importantes à évoquer :
Selon la décision A408 R15 la commission d’ouverture des plis annonce
l’attribution du marché séance tenante.
Le contrat est une partie intégrante du dossier d’appel d’offres il est signé et
paraphé par le soumissionnaire et remis dans son offre.
113
CHAPITRE V/ : Etude de cas
Sachant d’autant plus que le marché a été déjà attribué par la COP. A notre sens
l’intention à été probablement à l’origine, de donner la chance au
soumissionnaire contestataire de formuler ses recours éventuels dans des délais
préalablement fixés, à recevoir dans les 15 jours.
La COP n’est pas habilitée et ne peut légalement attribuer de marché. En
conséquence, le contrat ne peut être formé durant cette étape.
Après ouverture des plis commerciales par la commission d’ouverture des plis
au terme de la deuxième étape du processus de passions des contrats et suite à la
suite à l’examen et comparaison des offres commerciales et, intervient la
dernière étape qui se traduit par la conclusion et la signature du contrat.
C’est l’article 36 de la décision de passation des marchés A 408 R15 qui stipule
que la notification d’attribution du marché doit intervenir dans les quarante-huit
(48) heures suivant la date d’ouverture publique des offres commerciales.
Cette notification doit comporter une invitation à la signature du contrat qui doit
intervenir, dans un délai de quinze (15) jours suivant la dite notification.
Nous avons observé précédemment que la commission d’ouverture des plis ne
soit pas attribuer le marché puisqu’elle ne jouit pas des pouvoirs nécessaires
requis à cet effet.
En conséquent, la notification à l’attribution du marché pour être valable doit
être fait par le directeur, fonde de pouvoir et donc la personne habilité à
contracter et à signer les engagements au non de l’entreprise autrement dit le
représentant l’égal de cette dernière. C’est là constate la formation réglementaire
définitive du contrat.
114
CHAPITRE V/ : Etude de cas
La procédure de passation des marchés tel qu’elle est instauré génère une lenteur
dans l’exécution des contrats cet état de cause a fait naitre une pratique exigé par
le contexte actuelle .Cette pratique est de se procurer les besoins pour les deux
ans par conséquent l’entreprise se retrouve avec un stock pléthorique
Dans ce cadre nous allons essayer d’analyser la situation des stocks au sein du
complexe GL2/Z :
L’objectif de la fonction gestion des stocks est d’assurer la disponibilité des
références, considérées sur un horizon donné, tout en minimisant les coûts
encourus. Cependant, pour atteindre ces objectifs, il faut mettre en place des
méthodes et outils qui permettent à l’entreprise de mieux maîtriser ses flux en
matière de stocks, et ses flux en matière d’approvisionnement à l’instant T.
Les stocks représentent dans le bilan de l’entreprise 45 % du total des actifs
(exercice 2006); ils engendrent donc un important besoin de financement. En
contrepartie, ils occupent des fonctions souvent stratégiques pour l’entreprise.
Ces stocks de pièces de rechange constituent à la fois une nécessité et une lourde
contrainte financière. Actuellement, il existe dans les divers magasins du
complexe environ quarante neuf mille onze articles (49 011) et produits dont la
115
CHAPITRE V/ : Etude de cas
valeur globale cumule la somme de plus de quatre milliard sept cent millions de
dinars (4 704 410 482.47 DA- fin juillet 2007).
116
CHAPITRE V/ : Etude de cas
4 300 000
4 266 806
Valeurs (M DA)
4 200 000
3 900 000
1 2 3
Années
117
CHAPITRE V/ : Etude de cas
118
CHAPITRE V/ : Etude de cas
119
CHAPITRE V/ : Etude de cas
M achinerie
9,24% 0,60% 11,85% P ompes
0,52% Compresseurs
4,81% Chaudières
1,13% Instrumentatio n
0,41% Electricité
3,24% 13,12%
Vannes
Racco rderies
Véhicules & Engins
Jo ints & paliers
14,05% P ro duits chimiques
A rticle divers
Reste R 2/Z
12,54%
3,73% 5,37%
120
CHAPITRE V/ : Etude de cas
0,40% P o mpes
1,35% Co mpresseurs
5,39% Chaudières
Instrumentatio n
16,00% Electricité
Vannes
15,19% Racco rderies
Véhicules & Engins
Jo ints & paliers
P ro duits chimiques
A rticle divers
Reste R 2/Z
18,54%
13,26% B R en instance de co dificatio n
4,79% 5,40%
121
CHAPITRE V/ : Etude de cas
4 000 000
3 500 000
3 000 000
CONSO
2 500 000
0
1 2 3
Année
Il apparaît claire que chaque niveau de consommation est très faible par rapport
au niveau du stock final d’une année à l’autre, si on compare par exemple la
consommation dans l’année 2006 qui était de 25 019 pour un stock final de
4 266 806 M DA et pour un nombre d’article de 49 011, cela veut traduire qu’il
y a un alourdissement de la rotation.
On remarque donc que le niveau du stock final en 2004 est moins faible que les
années qui suivent, s‘expliquant par le cumul de l’intégration des stocks restants
de la rénovation , la réintégration des pièces en stock à partir de l’année 2005
sachant que ces articles étaient stockés a part (dans des conteneur) qui n’ont
jamais été gérés dans les stocks de l’entreprise et la mauvaise gestion des
réservations de pièces de rechange.
122
CHAPITRE V/ : Etude de cas
On constate que les stocks étaient en perpétuelle hausse, ça veut dire qu’ils
étaient supérieurs par rapport aux consommations, on peut interpréter ça par
l’application de la procédure de passation des marchés (A 408 – R15) qui se
déroule respectivement en deux étapes (phase technique et phase commerciale).
Pour ne pas confronter les différents phénomènes qui peuvent influencer nos
achats d’une manière générale tels que le caractère d’infructuosité, l’annulation
des appels d’offres qui nécessite tout un renouvellement des étapes de la
procédure, le retard dans la livraison, manque de maîtrise des délais car les
délais des étapes relatives aux appels d’offres s’allongerons de plus en plus par
rapport aux dates déjà planifiées par le département approvisionnement, notant a
titre d’exemple : déclenchement des achats, passation de commande, délais de
livraison…etc. Ces causes ont influencé en nos acheteurs d’avoir un
raisonnement qui n’est pas dans tous les cas efficient pour faire face aux risques
des ruptures et notamment pour satisfaire les différentes demandes des
interlocuteurs. Donc ce raisonnement a entraîné le département
approvisionnement à doubler ses prévisions d’achats et a constitué des stocks
pour amortir les aléas de la procédure d’achats, ce qui a contribué dans leurs
augmentations et a révélé le phénomène de la non optimisation des stocks. Nous
tenons à citer aussi les retards dans les livraisons générées par la lenteur de la
phase technique qui occasionne une autre livraison d’un marché qui vient d’être
concrétisé dans les délais requis (cumul de livraison).
¬ Retard dans la livraison dans les cas où les délais sont immaîtrisables.
Les objectifs de la gestion des stocks comme nous l’avons signalé étant
contradictoires, ils peuvent être conciliés par l’application d’une systématique
des paramètres suivants
123
CHAPITRE V/ : Etude de cas
Le diagnostic préparé par APR sur la base des données transmises par le
département Approvisionnement de chaque Complexe qui concerne l’analyse
des paramètres de gestion pour la période de 1995 à 2005
Evolution des paramètres de gestion :
L’analyse des données de chaque Complexe montre cette tendance. cette
évolution se résument à :
L’intégration du surplus de la rénovation des Complexes GNL1Z, GNL2Z et
GL1K et celui de l’extension des Complexes GP1Z et GP2Z ;
La création d’un nombre important de demandes de mise en stock des
équipements nouveaux.
Acquisition de PDR pour couvrir les besoins de deux à trois années
d’exploitation.
124
CHAPITRE V/ : Etude de cas
5- Application de la A 408
Il y a plusieurs contraintes liés à l’application de la A 408 R15 qui contribue
dans l’augmentation des stocks de LQS par l’acquisition des pièces de
rechange pour les besoins de deux à trois années d’exploitation afin d’éviter
les ruptures de stock .
Pour assurer une bonne gestion et réduire les seuils actuels des stocks au
niveau des Complexes, on insiste sur la maîtrise des achats effectués et que le
matériel acheté soit convenablement consommé par la maintenance
conformément à ses prévisions annuelles.
125
CONCLUSION
L’audit n’est évidemment pas suffisant par lui-même pour entraîner la bonne
gestion, sa vertu essentielle est d’être un révélateur qui fait apparaître clairement
les insuffisances ou les défauts d’organisation mais aussi de proposer des
solutions éventuelles par le biais des recommandations. À ce titre, il peut être
un puissant auxiliaire de l’entreprise.
Un audit interne conduit avec sérieux et compétence doit pouvoir déboucher sur
la mise en œuvre des recommandations coordonnées dans leur application et
leur suivies.
Tout au long de ce travail, nous incitons sur le fait que l’audit interne est un
levier désormais incontournable des stratégies de l’entreprise, un instrument de
management aux services des décideurs, un mode de pensée de réflexion et
d’action collective, un outil de savoir, de défense, et de recherche des menaces
comme des opportunités qui se présente au niveau de l’entreprise.
Un contrôle proactif est basé sur l’idée de prévention, c'est-à-dire anticiper les
problèmes qui fond qu’ à défaut d’une action immédiate, d’autres difficultés
apparaîtront à court et à moyen terme.
126
Le processus de passation des marchés s’effectue par voie d’appel d’offres
ouvert en deux étapes distinctes. La première étape technique est consacrée à
l’ouverture des plis .La deuxième qui est l’étape commerciale concerne
évaluation, contrôle de conformité et classement des offres commerciales.
127
6- l’Entreprise se trouvant avec un stock pléthorique, nous recommandons
la création d’un espace virtuel inter-unités permettant aux complexes, de
consulter, dans le cadre des demandes d’assistance, le site réservé au
surplus de pièces de rechanges.
128
BIBLIOGRAPHIE
R. Betoux, F. Kremper, M. Poisson, L’audit dans le secteur public, Edition CLEFT, 1986.
O. Lemant, la conduite d’une mission d’audit interne 2eme Edition DUNOD 1995.
COLLINS – Gérard VALIN « audit et contrôle interne » édition DALLOZ, 3eme édition, 1986
Alain MIKOL « les audits financiers (comprendre les mécanismes du contrôle légal)»
édition d’organisation, 1999
Lionel CoLLINS – Gérard VALIN « audit et contrôle interne » édition DALLOZ, 4eme
édition, 1992