Napoleon Antisémite
Napoleon Antisémite
Napoleon Antisémite
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LOUBET-LA-HONTE
Antisémite
flapoléon
//,
PREFACE
LA QUESTION JUIVE
AU CONSEIL D'ETAT
ET LE GRAND SANHEDRIN
dt Napollon,pièce10.686.
(i) Correspondante
- 37 -
it S'afotUn, pièce11.310.
(i) Corrtsfonitance
- 45 —
LA DUPLICITÉ D'ISRAËL
(1) Mémoires,fnClunicclierl'asi/uiti:
— 08 —
POLICEGÉNÉRALE
.•»»»»••«» RAPPORTA SON EXCELLENCE
—o—
A" îo.ju —R.2
Monseigneur,
Un sieur Rothschild, de Francfort, est établi à
Dunkerque, s'y livrant au commerce des smug-
glers.
Sa qualité d'étranger suffirait seule pour qu'on
dût l'écarter des côtes.
De plus, son père et lui ont une maison consi-
dérable à Francfort, chef-lieu de toute la contre-
bande qui a inondé la France. De plus encore, il a
un frère, son associé, qui tient une maison à Lon-
dres.
Comment pourrait-il n'être pas suspect?
ARCHIVESNATIONALES
POLICE
GKNKRAtE
F- 7-<-:<}>
-(0)-
Ecrire au commissaire spécial de Mayence; l'in-
viter à se procurer des renseignements sur cette
maison (Rothschild) de Francfort et à s'informer
s'il n'a pas eu part à la contrebande qui s'est faite
sur ce point.
(i) Deschamps.LesSociétéssetrètts.
- 103 —
là plus qu'une coïncidence extraordinaire. Dans
cet effort commun des Juifs et des Loges à pré-
parer la chute de l'Homme qui n'avait pas voulu
s'incliner devant Israël, apparaît avec évidence
cette dépendance étroite, ou, pour mieux dire,
cet asservissement complet de la Franc-Maçon-
nerie à la Juiverie cosmopolite que Drumont a si
bien mis en lumière dans sa brochure sut La Tyran-
nie Maçonnique. A partir de 1809, les Francs-
Maçons ont marché contre Napoléon parce que
les Juifs leur en ont donné l'ordre... (1)
Dès que l'on acquiert la preuve de cette double
conjuration, l'histoire des dernières luttes de
l'Empire,' si pleine de dramatiques obscurités,
devient simple et claire. La Fatalité mystérieuse et
voilée n'est plus que de l'intrigue humaine. Il est
facile avec un peu d'attention d'apercevoir la
main des Juifs et des Francs-Maçons dans le réseau
d'intrigues, de défections, de trahisons où Napo-
léon se débattra désormais jusqu'à la tin.
Dans cette guerre d'autantplusmeurtrièrequ'elle
est souterraine et mystérieuse, les Rothschild se
multiplient. On les trouve partout : commandi-
tant les Alliés, fournissant l'équipement et les
subsides nécessaires à leurs armées, ourdissant des
(l) Chateaubriand.MémoiresJ'OuIre-Tcmbe,
(iarnierfrères,
édit,
- 113 -
Et Michelet, de son côté, dira :
« Bonaparte était mort : du siècle de fer était né
le siècled'argent par les emprunts qu'on fit pour la
guerre, même enpleine paix, et pour toute chose.»
Il fallut quelques années à peine aux Juifs pour
ériger sur le roc cette féroce royauté de l'argent
qui devait peser si durement sur le siècle. La né-
cessité de liquider une situation obérée par vingt-
cinq ans de guerre, mettait les rois et les peuples
à la discrétion des nouveaux seigneurs de l'Agio.
Dès 181=;,ceux-ci furent les maîtres.
v. On peut prendre la fatale antiée'de 1S1s pour
l'ère delà nouvelle Puissance, dit Toussenel,bien
que, dès avant cette époque, la coalition des ban-
quiers et des accapareurs de froment eût déjà fait
échouer la campagne de Moscou... Moscou et Wa-
terloo, voilà les dates que l'intervention du Juii
dans nos affaires nationales nous rappelle (i). »
HAINE DE NAPOLÉON
/
- i:u —
ne sont pas arrivés, ils ont surgi. Le grand capi-
taine qui symbolise la gloire des armes n'était pas
plutôt disparu qu'il était remplacé par les grands
banquiers qui incarnent la, puissance de l'Or. En
quelques années, les Juifs nous ont abrutis avec
l'Argent comme les Yankees ont abruti avec l'eau-
de-feules fiers Indiens des Forets et des Prairies.
Aussi comme on comprend le désespoir et les
cris de rage d'Israël, lorsque le coup de cloche de
la France Juive, pareil au tocsin qui sonne dans la
nuit, réveilla nos cerveaux engourdis!
La fureur actuelle des Juifs contre le mouve-
ment nationaliste, qui n'est qi'o l'oeuvre de Dru-
mont mise en action, procède du même sentiment.
L'Antisémitisme, le Nationalisme, les diverses
ligues patriotiques, ne sont, sous des appella-
tions diverses, que la reprise de la France. Les
Français ont enfin compris qu'il leur suflït de se
rapprocher, pour écraser ou pour expulser les
parasites qui s'étaient logés dans toutes les cre-
vasses de nos dissensions nationales.
Les Juifs ont flairé la profondeur et l'àpreté de
ce mouvement ; les « sangsues publiques » ont
senti que l'heure est proche où il faudra « regor-
ger», comme disait Napoléon...
De là les convulsions de l'Affaire Dreyfus et les
crises épileptiformes qui secouent plus violem-
ment que jamais la tourbe cosmopolite.
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Paris,—Imprimerie 14,boulevard
MILLOT, Montmartre.
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