QCM Dcem Pneumo 2015
QCM Dcem Pneumo 2015
QCM Dcem Pneumo 2015
DCEM
4
QCM
Dr
Benjamin
Planque6e
Ans
de
grâce
2015-‐2016
QuesBon
Parmi
les
examens
suivants,
lesquelles
perme6ent
de
faire
le
diagnosBc
d’embolie
pulmonaire
chez
un
paBent
hypertendu
?
A. ScinBgraphie
de
venBlaBon-‐perfusion
B. Echographie
cardiaque
C. Echographie
des
membres
inférieurs
D. Angioscanner
thoracique
E. DDimères
Réponse
Parmi
les
examens
suivants,
lesquelles
perme6ent
de
faire
le
diagnosBc
d’embolie
pulmonaire
chez
un
paBent
hypertendu
?
A. ScinBgraphie
de
venBlaBon-‐perfusion
B. Echographie
cardiaque
C. Echographie
des
membres
inférieurs
D. Angioscanner
thoracique
E. DDimères
QuesBon
Parmi
les
éléments
cliniques
suivants,
lesquels
perme6ent
d’évaluer
la
gravité
d’une
embolie
pulmonaire
A. Fréquence
respiratoire
B. Pression
artérielle
C. Age
du
paBent
D. Un
antécédent
d’EP
E. La
dilataBon
des
cavités
droites
sur
l’angioscanner
Réponse
Parmi
les
éléments
cliniques
suivants,
lesquels
perme6ent
d’évaluer
la
gravité
d’une
embolie
pulmonaire
A. Fréquence
respiratoire
B. Pression
artérielle
C. Age
du
paBent
D. Un
antécédent
d’EP
E. La
dilataBon
des
cavités
droites
sur
l’angioscanner
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Increased RV afterload
Suspected acute PE
RV dilatation
TV insufficiency
delivery
RV wall tension
Shock or hypotensiona?
Cardiogenic Neurohormonal
shock activation
P Myocardial
Death inflammation
CO RV O2 demand
re-load RV ischaemia Yes No
RV output RV contractility
Absence de choc (95% des cas) Etat de choc (5% des cas)
CE
Asthma control means the extent to which the effects of asthma can be seen
in the patient, or have been reduced or removed by treatment. Asthma control
GINA
/
CEP
2015
U
has two domains: symptom control (previously called ‘current clinical control’)
OD
and risk factors for future poor outcomes.
Poor symptom control is a burden to patients and a risk factor for flare-ups.
PR
Risk factors are factors that increase the patient’s future risk of having
exacerbations (flare-ups), loss of lung function, or medication side-effects.
RE
Box 4. Assessment of symptom control and future risk
OR
A. Level of asthma symptom control
In the past 4 weeks, has the patient had: Well Partly Uncontrolled
controlled controlled
ER
Daytime symptoms more than twice/week? Yes No
Any night waking due to asthma? Yes No None 1–2 3–4
LT
Reliever needed* more than twice/week? Yes No of these of these of these
TA
Any activity limitation due to asthma? Yes No
B. Risk factors for poor asthma outcomes
NO
Assess risk factors at diagnosis and periodically, particularly for patients experiencing
exacerbations.
O
Measure FEV1 at start of treatment, after 3–6 months of controller treatment to record
personal best lung function, then periodically for ongoing risk assessment.
-D
QuesBon
Quels
sont
parmi
les
suivants,
les
sont
les
critères
pronosBques
de
la
BPCO
post
tabagique
?
• Index
de
masse
corporelle
• VEMS
• Périmètre
de
marche
• GDS
en
AA
• Présence
d’une
HTAP
Réponse
Quels
sont
parmi
les
suivants,
les
sont
les
critères
pronosBques
de
la
BPCO
post
tabagique
?
• Index
de
masse
corporelle
• VEMS
• Périmètre
de
marche
• GDS
en
AA
• Présence
d’une
HTAP
GOLD
Degré d’obstruction des VEMS (en pourcentage des valeurs théoriques post-
voies aériennes bronchodilatateurs)
- agent étiologique le plus fréquent chez le - contexte épidémique (notamment pour Mycoplasma
sujet ≥40 ans et/ou avec co-morbidité(s) pneumoniae) ;
associée(s) ; - début progressif en 2 à 3 jours.
- début brutal ;
- fièvre élevée dès le premier jour ; Eléments en faveur d’une légionellose
- malaise général ;
- point douloureux thoracique ; - contexte épidémique ou « situation à risque » (voyage,
- opacité alvéolaire systématisée ; thermes, exposition à de l’eau en aérosol contaminée…) ;
- hyperleucocytose à polynucléaires - co-morbidité(s) fréquente(s) ;
neutrophiles. - tableau clinique évocateur (1/3 des cas) avec pneumonie
d’allure sévère, début progressif, sans signe ORL, pouls
dissocié, atteinte souvent bilatérale ;
- présence de signes extra-thoraciques : digestifs (douleurs
abdominales, vomissements, diarrhée), neurologiques
(troubles de la conscience, céphalées, myalgies) ;
- échec des Bêta-lactamines actives sur le pneumocoque.
Le traitement antibiotique doit être instauré dès le diagnostic porté, idéalement dans les 4 heures. Son
efficacité doit être évaluée impérativement après 48-72 heures de traitement. La voie orale doit être
privilégiée quand elle est possible.
En tout état de cause, Streptococcus pneumoniae doit systématiquement et prioritairement être pris
en compte du fait de la fréquence et de la gravité potentielle de l’infection pneumococcique (Tableaux
QuesBon
Quels
sont
les
ouBls
d’évaluaBon
de
la
gravité
des
pneumonies
aigues
communautaires
?
A. Fièvre
B. Pression
artérielle
C. Etat
de
conscience
D. Fréquence
respiratoire
E. Score
de
Fine
Réponse
Quels
sont
les
ouBls
d’évaluaBon
de
la
gravité
des
pneumonies
aigues
communautaires
?
A. Fièvre
B. Pression
artérielle
C. Etat
de
conscience
D. Fréquence
respiratoire
E. Score
de
Fine
Le « bon sens » clinique du praticien tient compte de la nature des facteurs de risque et doit être
déterminant, notamment en cas d’immunodépression. Le score CRB 65, plus simple, ne prenant en
compte que 4 critères de gravité, représente un « outil » facilement utilisable en ville (Tableau 1).
Pneumonie communautaire
- atteinte des fonctions supérieures (altération de la conscience),
- atteinte des fonctions vitales : PA systolique < 90 mmHg,
fréquence cardiaque > 120 /min,
fréquence respiratoire > 30 / min
- température < 35°C ou ≥ 40°C
- néoplasie associée (cancer actif ou diagnostiqué dans l’année, autre que baso-
cellulaire), C3G
GRAVITE
?
- pneumonie d'inhalation ou sur obstacle trachéo-bronchique connu ou suspecté. Oui
+
ou de situations particulières :
- complication de la pneumonie (notamment suspicion d’épanchement pleural ou
Hospitalisation recommandée
MACROLIDE
d’abcédation)
- conditions socio-économiques défavorables
- inobservance thérapeutique prévisible
- isolement social, notamment chez les personnes âgées
Non
- âge ≤ 65 ans sans ou avec un seul facteur de risque - âge ≤ 65 ans et deux facteurs de risque
ou ou
- âge > 65 ans sans facteur de risque - âge > 65 ans et au moins un facteur de risque
TA
• Measure lung function before starting treatment, 3–6 months later, and
then periodically, e.g. yearly
NO
2. Treatment issues
DO
• Record the patient’s treatment (Box 7, p14), and ask about side-effects
• Watch the patient using their inhaler, to check their technique (p18)
• Have an open empathic discussion about adherence (p18)
-
AL
• Check that the patient has a written asthma action plan (p22)
• Ask the patient about their attitudes and goals for their asthma
RI
3. Are there any comorbidities?
TE
• These include rhinitis, rhinosinusitis, gastroesophageal reflux (GERD),
MA
obesity, obstructive sleep apnea, depression and anxiety.
• Comorbidities should be identified as they may contribute to respiratory
D
symptoms and poor quality of life. Their treatment may complicate
TE
asthma management.
GH
RI
PY
CO
8
QuesBon
L'efficacité
de
la
réhabilitaBon
respiratoire
a
été
démontré
sur
A. sur
la
qualité
de
vie
B.
la
fréquence
des
exacerbaBons
C.
l'espérance
de
vie
D. les
performances
sexuelles
E. la
dyspnée
et
la
capacité
d'exercice
Réponse
L'efficacité
de
la
réhabilitaBon
respiratoire
a
été
démontré
sur
A. sur
la
qualité
de
vie
B. la
fréquence
des
exacerbaBons
C.
l'espérance
de
vie
D. les
performances
sexuelles
E. la
dyspnée
et
la
capacité
d'exercice
Les médicaments susceptibles de provoquer une dépression respiratoire (benzodiazépines,
neuroleptiques sédatifs, opiacés notamment) peuvent être aussi utilisés lorsqu’ils sont
indiscutablement indiqués mais avec prudence, particulièrement en cas d’insuffisance
respiratoire chronique.
Elle est recommandée quel que soit le stade de la maladie à partir du moment où il existe un
19
Cette approche peut être proposée sous la forme d’un stage initial de 4 à 8 semaines suivi d’un entretien des acquis sur le
très long terme (rôle possible des associations de patients).
20
Composantes de l’éducation : activité physique régulière, nutrition suffisante et équilibrée, prise des traitements, maniement
des dispositifs d’inhalation, reconnaissance et prise en charge des exacerbations.
18
QuesBon
Parmi
les
symptômes
suivants,
lesquels
doivent
soupçonner
une
apnée
du
sommeil
A. Ronflements
quoBdiens
B. Polliakurie
C. Céphalées
maBnales
D. Somnolence
diurne
excessive
E. Pauses
respiratoires
constatées
par
l'entourage
Réponse
Parmi
les
symptômes
suivants,
lesquels
doivent
soupçonner
une
apnée
du
sommeil
A. Ronflements
quoBdiens
B. Polliakurie
C. Céphalées
maBnales
D. Somnolence
diurne
excessive
E. Pauses
respiratoires
constatées
par
l'entourage
QuesBon
Parmi
les
suivants,
quel
est
examen
est
recommandé
pour
confirmer
une
suspicion
de
SAHS
simple
?
A. Oxymétrie
nocturne
B. Spirométrie
nocturne
C. Polygraphie
venBlatoire
D. Polysomnographie
E. EEG
Réponse
Parmi
les
suivants,
quel
est
examen
est
recommandé
pour
confirmer
une
suspicion
de
SAHS
simple
?
A. Oxymétrie
nocturne
B. Spirométrie
nocturne
C. Polygraphie
venBlatoire
D. Polysomnographie
E. EEG
09/02/14
QuesBon
Parmi
les
suivantes,
lesquelles
sont
des
complicaBons
du
SAHOS
?
A. Arrêt
cardiaque
hypoxique
B. Syndrome
dépressif
C. Pneumonie
d’inhalaBon
D. HTA
E. Syndromes
coronaires
aigus
Réponse
Parmi
les
suivantes,
lesquelles
sont
des
complicaBons
du
SAHOS
?
A. Arrêt
cardiaque
hypoxique
B. Syndrome
dépressif
C. Pneumonie
d’inhalaBon
D. HTA
E. Syndromes
coronaires
aigus
09/02/14
QuesBon
Parmi
les
critères
suivant,
lequel
n'est
pas
un
critère
un
malignité
devant
un
NPI
?
A.
Taille
de
15
mm
B.
Contours
polylobés
C.
Absence
de
calcificaBons
D.
Absence
d'a6racBon
des
structures
E.
Absence
de
progression
après
2
ans
de
suivi
Réponse
Parmi
les
critères
suivant,
lequel
n'est
pas
un
critère
un
malignité
devant
un
NPI
?
A.
Taille
de
15
mm
B.
Contours
polylobés
C.
Absence
de
calcificaBons
D.
Absence
d'a6racBon
des
structures
E.
Absence
de
progression
après
2
ans
de
suivi
Tableau 3. Critères de malignité et de bénignité d’un nodule pulmonaire
! Âge
Examen ! Tabagisme, exposition à un autre agent -
clinique cancérigène
! Antécédent de cancer
! Diamètre élevé ! Foyer de densité graisseuse (- 40 à – 80 UH, DS
! Contours irréguliers comprise) (hamartochondrome)
! Bronchogramme aérien ou bronche dilatée ! Calcifications diffuses, lamellaires ou centrales
TDM en dans l’environnement du nodule (granulome) ou en « pop corn »
coupes fines ! Cavitation avec paroi épaisse (hamartochondrome)
! Image persistante en verre dépoli de plus ! Aspect compatible avec un ganglion
de 10 mm ou avec composante solide intrapulmonaire : nodule < 10 mm, distant de
moins de 10 mm de la plèvre, au dessous du
niveau de la carène, forme angulaire
! Absence d’hypermétabolisme (si nodule solide)
TEP-TDM -
et diamètre ≥ 10 mm
SURDOSAGE ASYMPTOMATIQUE
! Privilégier la prise en charge ambulatoire si le contexte le permet.
! Préférer l’hospitalisation s’il existe un ou plusieurs facteurs de risque
hémorragique individuel (âge, antécédent hémorragique, comorbidité).
Prise en charge hospitalière d’une hémorragie grave (Objectif : INR < 1,5)
- agent étiologique le plus fréquent chez le - contexte épidémique (notamment pour Mycoplasma
Tableau 3 : Antibiothérapie probabiliste des Pneumonies Aiguës sujet ≥40 ans et/ou avec co-morbidité(s)
Communautaires
associée(s) ;
de l’adulte en pneumoniae) ;
- début progressif en 2 à 3 jours.
ambulatoire, sans signe de gravité - début brutal ;
- fièvre élevée dès le premier jour ; Eléments en faveur d’une légionellose
Premier choix Echecgénéral
- malaise à 48 h;
privilégier le traitement - point douloureux thoracique ; - contexte épidémique ou « situation à risque » (voyage,
- opacité alvéolaire systématisée ; thermes, exposition à de l’eau en aérosol contaminée…) ;
efficace sur S.pneumoniae
- hyperleucocytose à polynucléaires - co-morbidité(s) fréquente(s) ;
Sujet présumé sain, sans signe de neutrophiles. - tableau clinique évocateur (1/3 des cas) avec pneumonie
gravité d’allure sévère, début progressif, sans signe ORL, pouls
Suspicion de pneumocoque Amoxicilline Macrolide dissocié, atteinte souvent bilatérale ;
1
(début brutal) ou FQAP (lévofloxacine) - présence de signes extra-thoraciques : digestifs (douleurs
ou pristinamycine abdominales, vomissements, diarrhée), neurologiques
ou télithromycine 2 (troubles de la conscience, céphalées, myalgies) ;
- échec des Bêta-lactamines actives sur le pneumocoque.
Hospitalisation si deuxième échec
Immunothérapie
(désensibilisaBon)
-‐ Que
sur
preuve
(pricks
test)
-‐ Graminées
et
pollen
-‐ Voie
orale
+++
-‐ RéévaluaBon
sur
un
an
-‐ CI
:
asthme
sévère,
ID
09/02/14
QuesBon
Parmi
les
opBons
thérapeuBques
suivantes,
lesquelles
sont
valables
pour
le
traitement
iniBal
d’une
embolie
pulmonaire
idiopathique
sans
signe
de
gravite
chez
une
femme
de
60
kilos?
A. Tinzaparine
175
UI/kg/jour
B. Acteplase
100
UI
en
une
heure
puis
héparine
non
fracBonnée
500
UI/kg/jour
C. Enoxaparine
5000
UI
x
2
/
jour
D. Fundaparinux
7.5
mg
x
1
/jour
E. Rivaroxaban
15
mg
x
2
/
jour
Réponse
Parmi
les
opBons
thérapeuBques
suivantes,
lesquelles
sont
valables
pour
le
traitement
iniBal
d’une
embolie
pulmonaire
idiopathique
sans
signe
de
gravite
chez
une
femme
de
60
kilos?
A. Tinzaparine
175
UI/kg/jour
B. Acteplase
100
UI
en
une
heure
puis
héparine
non
fracBonnée
500
UI/kg/jour
C. Enoxaparine
5000
UI
x
2
/
jour
D. Fundaparinux
7.5
mg
x
1
/jour
E. Rivaroxaban
15
mg
x
2
/
jour
series.
Cancer du poumon
Bilan initial
COLLECTION
Recommandations & Référentiels
RECOMMANDATIONS
DE PRISE EN CHARGE
SPÉCIALISÉE
DÉMARCHE DIAGNOSTIQUE
ET BILAN PRÉTHÉRAPEUTIQUE
DES CANCERS DU POUMON À
PETITES CELLULES ET NON À
PETITES CELLULES
STRATÉGIE DIAGNOSTIQUE
Les résultats du scanner en coupes fines permettent de distinguer trois situations :
! Devant un nodule très suspect de malignité, une chirurgie diagnostique et thérapeutique
est indiquée si le patient est opérable au terme du bilan préthérapeutique. Dans le cas
contraire, une ponction est réalisée.