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    IZEM Lydia

    OUBABAS Sabrina
    Groupe : A6

    COMPTE RENDU TP2 : ANTENNES D’EMISSION

    1) Le nom du fichier de la structure de l’antenne qui se trouve dans le sous répertoire (mesh/)
    du script rwg1 est strip2.mat afin de calculer la longueur et la largeur de l’antenne.
    La largeur W est de 0,02m et la longueur L est de 2m.
    C/f = 3*10^8/300*10^6=1m
    2) Dans le script rwg3, la fréquence utilisée pour exciter l’antenne est de 300 MHz.
    Le paramètre eta_ représente l’impédance d’onde dans le vide. Il est égal à :eta_=µ/ɛ =120𝛱
    3) Après exécution des fichiers rwg1, rwg2, rwg3, rwg4, et rwg5, on obtient :

     rwg1 : un total d’arêtes de 255 et un temps écoulé de 0,241002s.


     rwg3 : un temps écoulé de 0,136527s.
     rwg4 : un temps écoulé de 0.161384s, une impédance égale à 2.8669e+02 -
    4.4994e+02i, et une puissance égale à 5.0361e-04.
     rwg5 : un courant maximal égal à 0.10667 [A/m].

    Figure1 : Dipôle

    En zoomant sur la figure obtenue, on remarque que le courant n’est pas répartie de manière
    uniforme.

    Figure2 : Zoom dipôle


    IZEM Lydia
    OUBABAS Sabrina
    Groupe : A6
    4) En exécutant le fichier rwg6 :
    - plot (yi, Xi, ‘*’) : on obtient une seule courbe pour la composante Jx , la densité de
    courant est suivant x en fonction de la largeur W.

    Figure3 : Courbe pour la composante Jx


    - plot (yi, Yi, ‘*’) : on obtient une seule courbe pour la composante Jy , la densité de
    courant, est suivant y en fonction de la longueur L.

    Figure4 : Courbe pour la composante Jy


    - plot (yi, Xi, yi, Yi, ‘*’) : on obtient deux courbes, l’une en bleu est pour la
    composante Jx et l’autre en orange pour Jy , on remarque que la densité de courant est
    plus importante pour la composante Jy donc suivant la longueur.
    IZEM Lydia
    OUBABAS Sabrina
    Groupe : A6

    Figure5 : Courbes pour les composantes Jx et Jy


    5) 1er cas : point d’observation = [0; 0; 50]
    Le point d'observation se situe en z=50 mètres donc le vecteur réel de poynting, produit
    vectoriel des champs E et H, est orienté suivant l’axe z, les champs E et H sont alors suivant x
    et y.
    La condition de champ lointain : Rf = 2D2/La longueur de l’antenne étant de 2m donc D=2.
    Rf = 2D2/
    Le point d’observation étant à 50m et le champ lointain à partir de 8m, donc on se trouve dans
    la condition de champ lointain.
    Après exécution du programme efield1, on obtient :
    - l’expression du champ E : E= 1.0e-03 *
    -0.0083 + 0.0023i
    -0.1365 - 0.5179i
    -0.0001 - 0.0000i
    - l’expression du champ H : H= 1.0e-05 *
    0.0361 + 0.1375i
    -0.0022 + 0.0006i
    -0.0000 + 0.0000i
    - l’expression du vecteur de poynting : P= 1.0e-09 *
    -0.0000
    -0.0000
    0.3807
    - la densité de puissance W : W= 3.8067e-10
    - l’intensité de rayonnement U : U= 9.5166e-07
    Vérification du résultat de calcul à partir de l’expression qui donne le vecteur de poynting :
    i j k
    −6 −3 −7
    P = E ˄ H = 8,61. 10 0,53.10 10
    0,14. 10−5 2,28.10−8 0
    P = -2.28*10 -15

    +1,4*10-13
    -7,41*10-10
    Les résultats trouvés par calcul sont différents de ceux calculés par le logiciel matlab.
    IZEM Lydia
    OUBABAS Sabrina
    Groupe : A6
    2ème cas : point d’observation = [50 ; 0 ; 0]
    Le point d'observation se situe en z=50 mètres donc le vecteur réel de poynting, produit
    vectoriel des champs E et H, est orienté suivant l’axe x, les champs E et H sont alors suivant y
    et z.
    Après exécution du programme efield1, on obtient :
    - l’expression du champ E : E= 1.0e-03 *
    -0.0001 - 0.0001i
    -0.1365 - 0.5178i
    0.0000 + 0.0000i
    - l’expression du champ H : H= 1.0e-05 *
    0.0000 + 0.0000i
    0.0000 + 0.0000i
    -0.0361 - 0.1375i
    - l’expression du vecteur de poynting : 1.0e-09 *
    0.3805
    -0.0001
    0
    - la densité de puissance : W= 3.8055e-10
    - l’intensité de rayonnement U : U= 9.5137e-07
    En comparant les deux cas, on remarque que les expressions des champs E et H sont
    différentes mais que les résultats de la densité de puissance et de l’intensité de rayonnement
    sont très similaires, car malgré que le dipôle soit orienté suivant deux axes différents, le point
    d’observation se trouve à la même distance de l’antenne.
    Vérification de l’intensité de rayonnement (à l’aide de la calculatrice) pour le 1er cas :
    U= r²W = 502 * 3.8067e-10 = 9.5166e-07
    Vérification de l’intensité de rayonnement (à l’aide de la calculatrice) pour le 2ème cas :
    U= r²W = 502 * 3.8055e-10 = 9.5137e-07
    Variation de la distance du point d’observation de l’antenne pour montrer que W(r) décroit en
    (1/r²) :
    - point d’observation = [25 ; 0 ; 0] : W= 2.5140e-09. En remplaçant 50 par 25, on
    remarque que la densité de puissance W est 4fois plus importante en 25.
    - point d’observation = [100 ; 0 ; 0] : W= 7.0135e-11. En remplaçant 50 par 100, on
    remarque que la densité de puissance W est plus petite en 100.
    6) Après exécution du programme efield2, on obtient :
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    Figure6 : Sphère de rayon de 100m


    a) Insertion des différents axes du repère cartésien :

    Figure7 : Sphère de rayon de 100m avec les axes


    Détermination des plans E et H de l’antenne dans deux points d’observation différents :
    Pour une antenne dipôle omnidirectionnelle, la polarisation est verticale (φ=cst 0°ou 90°).
    Concernant le plan H, il coïncide avec le plan vertical (plan élévation xz), et le plan E
    coïncide avec le plan horizontal (θ=cst 90°) (plan azimut xy) .
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    Figure8 : plan xy

    Figure9 : plan xz
    b) Expressions et valeurs de la puissance totale rayonnée et du gain :
    - puissance totale rayonnée : P= 5.0847e-04
    - gain logarithmique : G= 4.0114
    - gain linéaire : G= 2.5185
    c) Sphère de rayon r=1,2m :
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    Figure10 : Sphère r=1,2m


    - puissance totale rayonnée : 4.5677e-04
    - gain logarithmique : 13.3539
    - gain linéaire : 21.6464
    - intensité rayonnée : 260.0240

    Figure11 : Sphère r=1,2m plan xy


    IZEM Lydia
    OUBABAS Sabrina
    Groupe : A6

    Figure12 : Sphère r=1,2m plan xz


    On remarque un pic d’intensité au centre du plan xz.

    Figure12 : Sphère r=1,2m plan yz


    Sphère de rayon r=120m :
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    Figure13 : Sphère r=120m


    - puissance totale rayonnée : 5.0847e-04
    - gain logarithmique : 4.0157
    - gain linéaire : 2.5210
    - intensité rayonnée : 289.4565

    Figure14 : Sphère r=120m plan xy


    IZEM Lydia
    OUBABAS Sabrina
    Groupe : A6

    Figure15 : Sphère r=120m plan xz

    Figure16 : Sphère r=120m plan xz


    Sphère de rayon r=1200m :
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    Groupe : A6

    Figure17 : Sphère r=1200m


    - puissance totale rayonnée : 5.0847e-04
    - gain logarithmique : 4.0333
    - gain linéaire : 2.5312
    - intensité rayonnée : 289.4584

    Figure18 : Sphère r=1200m plan xy


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    Groupe : A6

    Figure19 : Sphère r=1200m plan xz

    Figure20 : Sphère r=1200m plan yz


    En comparant les trois différentes sphères, on remarque que les valeurs de la puissance totale,
    du gain et de l’intensité de rayonnement sont proches pour les sphères de r=120m et r=1200m,
    en comparaison à la sphère de rayon r=1,2m qui a des valeurs différentes. Cela s’explique par
    la proximité de la première sphère à la source de rayonnement contrairement aux deux autres
    sphères qui sont très éloignées de la source de rayonnement, ce qui fait que l’onde se
    comporte comme une onde plane.
    7) Après exécution du programme efield3, on obtient :
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    Groupe : A6

    Figure21 : Diagramme de rayonnement dans le plan (yoz)


    - gain logarithmique : 4.0045 dB
    Calcul du gain linéaire : G (dB) = 10 log10 (G linéaire)
    4,0045 = 10 log10 (G linéaire)
    G linéaire = 2,5144
    2
    λ .G
    Calcul de la surface effective de l’antenne : Ae = avec 𝜆= 1m
    4Π
    Ae = 0,20089 m2

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