Résume Des Exposées

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Résume des exposées 

1. La construction de la théorie financière moderne : de la finance


néoclassique à la finance néo-institutionnelle et comportementale.
Après une lecture du rapport ce thème se concentre sur La théorie financière
moderne elle est construite à partir de plusieurs travaux avec des ambitions
théoriques et des questions diverses touchant à des réflexions fondamentales
sur le fonctionnement des marchés, l’évaluation des actifs financier , et Le but
de la théorie financière moderne est de fournir des explications à des
phénomènes financiers, parmi lesquels on peut citer des exemples
d'entreprises créatrices de valeur ainsi que le rôle de la théorie financière ne se
limite pas à l'étude des marchés financiers, mais comprend également l'étude
des décisions financières de tous les agents participant au processus.
Ce thème est devisé en trois partis, dans la première partie, on trouve La
théorie néoclassique et c’est est la théorie dominante en économie. Elle se
propose d’expliquer les phénomènes économiques et sociaux à partir des choix
des individus qui composent la société. En deuxième partie on trouve la théorie
néo-institutionnelle, elle tente d’expliquer le phénomène de l’homogénéité
dans les organisations et aussi l’influence de l’environnement institutionnel sur
les organisations. Ensuite la troisième partie on trouve la théorie
comportementale, cette partie est conçue à partir de deux points (L’économie
comportementale et La finance comportementale). Le premier point c’est
l’économie comportementale et c’est un domaine de l'économie qui vise à
décrire et à expliquer les anomalies du comportement humain dans le choix
rationnel et le deuxième point est La finance comportementale est l'un des
secteurs de la nouvelle "économie comportementale" qui consiste à appliquer
la psychologie à la finance.
2. Les fondations de la théorie moderne du portefeuille.
Après avoir lu le rapport, ce sujet se concentre sur La théorie moderne du
portefeuille développée par Harry Markowitz dans les années 1950 a défini le
processus de sélection de titres pour créer le portefeuille le plus efficace
possible, c'est-à-dire le portefeuille avec la plus grande rentabilité au niveau de
risque le plus bas. Le concept de diversification est à la base de cette théorie.
En effet, Markowitz estime que les différents titres qui composent le
portefeuille d'investissement ne peuvent pas être sélectionnés
individuellement, mais plutôt en fonction de la corrélation entre leurs
évolutions et les évolutions des autres actifs du portefeuille. Ce mode de
sélection permet de minimiser le risque pour un niveau de rendement choisi.
En analysant les différentes composantes du modèle, Makowitz suppose que
les investisseurs sont rationnels, averses au risque et que le marché est
efficace. Par conséquent, la seule chose à considérer est le risque et le
rendement du titre, car les investisseurs achèteront toujours l'actif qui offre le
meilleur rendement par rapport à son niveau de risque. En fait, aucun
investisseur purement rationnel n'achètera l'actif A avec un risque plus élevé
mais un rendement inférieur à celui de l'actif B.
3. Le raisonnement d'arbitrage et la séparation des décisions
d'investissement et de financement
Le rapport concernant ce thème est devisé en 4 parties d’où la première partie
est du raisonnement d'arbitrage qui désigne une stratégie sans risque qui ne
nécessite pas d'investissement initial et permet aux investisseurs d'en tirer
profit. Par exemple, lorsqu'une marchandise est négociée à des prix différents
sur deux marchés, il existe une opportunité d'arbitrage : alors l'agent est
intéressé à acheter la marchandise à l'endroit le moins cher et à la revendre à
l'endroit le plus cher. En deuxième partie on trouve le théorème de séparation
des décisions d'investissement et de financement, les deux décisions sont
intimement liées, pour réaliser ses objectifs de croissance et de profit,
l’entreprise se heurtent à des sources de financement nécessairement limitées.
En ce qui concerne la politique d’investissement, elle a au contraire, un éventail
de projets en nombre pratiquement illimités. Une sélection entre divers
projets s’avère donc nécessaire. Dans la troisième partie on trouve Le choix
d’investissement qui est probablement une des décisions les plus importantes
dans le quotidien d’un dirigeant. Ce choix inclut une prise de risque, le risque
d’engager des dépenses importantes sans connaître à l’avance le retour sur
investissement. Cette décision peut se prendre au feeling, mais s’appuyer sur
des données permettant d’avoir une bonne visibilité sur la rentabilité future
reste la norme. Dans la dernière partie on trouve le choix de financement c'est
l'une des décision prise par une entreprise d'opter pour une catégorie de
ressources afin d'assurer le financement de ses investissements ou de ses
besoins d'exploitation.
4. L'efficience informationnelle des marchés financiers
Après avoir lu le rapport, ce thème est devisé en 2 parties d’où la première
partie est de la théorie de l'efficience de marché financier c’est l'un des
principaux fondements de la théorie financière car c'est l'hypothèse de base
des modèles d'aide à la décision et des transactions de marché. La théorie de
l'efficacité des marchés semble simple à première vue, mais ses multiples
développements la rendent compliquée. Elle a évolué dans le temps, à la suite
des travaux empiriques menés depuis le premier énoncé de la théorie.
Cependant, Eugène Fama a proposé la première définition de l'efficacité : Dans
un marché efficace, la concurrence entre de nombreux investisseurs
intelligents peut conduire à une situation : à tout moment, le prix réel reflète
déjà l'impact de l'information sur les événements passés et les événements
futurs possibles. De nombreux points importants ont été trouvés dans cette
partie du rapport, d’où le premier point est des conditions nécessaires de
l’efficience informationnelle. Parmi c’est condition on trouve la rationalité des
investisseurs, la libre circulation de l'information et la réaction instantanée des
investisseurs, la gratuité de l'information et l'absence des coûts de transactions
et d'impôts de bourse. Le deuxième point traite les principales formes de
l'efficience, dans laquelle on retrouve la forme forte, la forme semi-forte et la
forme faible.
La deuxième partie du rapport se concentre sur un point important, est donc
les tests de l'efficience informationnelle, Il s'agit d'une série de tests
empiriques, tentant d'étudier les trois formes d'efficacité qui viennent d'être
définies dans la plus grande place financière du monde. Ces nombreux tests ont
permis à Fama d'ajuster sa classification initiale de l'efficacité de l'information
sur les marchés financiers. Les modifications sont principalement liées à des
formes faibles, notamment la nature des informations considérées. La forme
faible comprend désormais l'historique de toutes les variables économiques ou
financières utiles pour la prévision, et pas seulement les variables liées aux prix
des titres.
5. Le principe d'arbitrage au cœur de l'évaluation des actifs financiers
Le rapport concernant ce thème est devisé en 2 parties, de sorte que la
première partie est également divisée en deux chapitres. Le premier chapitre
se concentre sur le modèle de Black-Scholes, Cette formule mathématique a
été développée par trois chercheurs Fischer Black, Myron Scholes et Bob
Merton, et est une référence pour prédire les cours des actions sur les marchés
financiers depuis 1973. Il a également remporté le prix Nobel d'économie en
1997 pour son inventeur. Le modèle Black-Sholes prend en compte cinq
facteurs : le prix actuel de l’action, le prix d’exercice de l’option, le temps
restant avant l’expiration de l’option, en pourcentage d’une année, le taux
d’intérêt sans risque et la volatilité implicite du prix de l’action, mesurée par un
décimal. Le deuxième chapitre se déroule autour le modèle d'évaluation des
actifs financiers Medaf, Il s'agit d'un modèle de calcul conçu pour illustrer le
taux de rendement des actions lorsque le marché est à l'équilibre. Estimer la
valeur attendue d'une action donnée en fonction du risque système identifié.
Cela implique de prédire combien l'actif gagnera au fil du temps en fonction de
l'offre et de la demande attendues sur le marché équilibré. La deuxième partie
porte sur l'arbitrage au cœur de l'évaluation des actifs financiers, autrement dit
que c’est est une opération financière assurant un gain positif ou nul de
manière certaine. Par exemple en prenant simultanément et en sens contraire
position sur plusieurs actifs dérivés différents ou sur un produit dérivé et son
actif sous-jacent.
6. L’évaluation des actifs conditionnels

Après avoir lu le rapport, ce thème est devisé en 2 parties d’où la première


partie porte sur le modèle de Black-Scholes, ce modèle mathématique est issu
des travaux de trois chercheurs : Fisher Black, Myron Scholes et Bob Merton.
Leurs recherches ont remporté le prix Nobel d'économie en 1997. Les options
ont été fréquemment négociées en bourse, mais il n'existe pas de méthode
mathématique précise pour trouver le prix théorique qu'une option devrait
valoir. Les investisseurs ont une compréhension générale de ce qui affecte le
prix des options, mais cette formule confirme tout et établit une relation
causale entre toutes les variables. Dans la deuxième parie on trouve l’apport
pratique du model Black-Scholes, cette parie du rapport se concentre sur deux
points importants, le premier point porte sur la pratique du model Black-
Scholes en réel. Le modèle de Black et Scholes ne simule pas complètement le
monde réel. L'expérience a montré que la volatilité réelle dépend du prix
d'exercice et de la date d'expiration. En pratique, la surface de volatilité (la
volatilité implicite basée sur le prix d'exercice et la date d'expiration) n'est pas
plate. Habituellement, pour une période donnée, la volatilité implicite relative
au prix d'exercice se présente sous la forme d'un smile (appelé smile de
volatilité).
Le deuxième point important c’est la contribution du modèle Black-Scholes
dans la finance. Depuis la sortie du modèle, les marchés financiers et boursiers
ont particulièrement rebondi. L'idée de leur travail est de trouver un modèle
mathématique du marché financier, dans lequel les cours des actions sont un
processus aléatoire en temps continu, différent du modèle binomial conçu plus
tard en 1979, qui les considère comme des processus aléatoires qui évoluer
selon le temps prudent. Ils ont été les premiers à établir avec succès une
théorie liant les prix des options aux variations du prix des actifs sous-jacents,
tout en s'appuyant entièrement sur des facteurs aléatoires.
7. Introduction du temps continue dans la théorie financière moderne
Le rapport concernant ce thème est devisé en 2 parties, d’où la première partie
porte sur la valorisation des options. La valorisation d'une option est
déterminée sur la base du prix de son actif sous-jacent. On suppose que le prix
de l'action sous-jacente est dominé par une évolution aléatoire en temps
continu et que sa variance est proportionnelle au carré du prix d'action. Il
convient de noter que les options ne paient pas de dividendes ou d'obligations
et qu'il n'y a pas de frais de transaction pour l'achat ou la vente d'options.
La deuxième partie du rapport porte sur l’efficience et la gestion du
portefeuille. L'hypothèse de marché efficient défendue par Samuelson et Fama
prétend que les cours des actions reflètent toutes les informations publiques
disponibles et sont donc la meilleure estimation actuelle de la valeur
intrinsèque de l'entreprise. La recherche empirique menée par Schiller montre
que le marché boursier est trop volatil pour être cohérent avec des prix
raisonnablement déterminés. Marsh et Merton ont ensuite rétracté les tests
que Schiller avait effectués et ont montré qu'ils n'étaient pas adaptés pour
prouver ce qu'il espérait prouver.

8. L’introduction au paradigme informationnel en finance


Après une lecture du rapport ce thème se concentre sur le paradigme
Informationnel en finance, c'est un concept innovant proposé par le chercheur
Joseph-e-Stiglitz, il corrige les éventuels résultats obtenus auparavant.
Cependant, il convient de souligner que ce concept est lié à une série de
concepts destinés à réfuter l'analyse néoclassique, qui a attiré une attention
particulière à l'hypothèse de l'information parfaite. Selon Stiglitz, l'hypothèse
de l'information parfaite est trop idéaliste et pas vraie. En d'autres termes,
quelle que soit la quantité d'informations dont disposent les acteurs financiers,
elle ne sera jamais suffisante pour atteindre les résultats souhaités. C'est ainsi
que les économistes américains relient la théorie de l'information incomplète à
l'asymétrie de l'information, c'est-à-dire que lors de l'échange de biens ou de
services, il y a toujours une inégalité dans l'information détenue par chaque
agent économique. De toutes ces considérations, les gens ont apporté des
contributions intéressantes à la finance, en se concentrant sur l'analyse des
marchés financiers suivants : marché du travail, marché des assurances et
marché du crédit. D'un autre côté, le point de vue de Stiglitz peut prouver que
la combinaison de l'asymétrie de l'information et des marchés du crédit est
considérée comme risquée, car les deux parties sont confrontées à des risques
énormes.
9. L’identification de l’effet momentum : vers la finance comportementale
Le rapport concernant ce thème est devisé en 3 parties, d’où la première partie
porte sur l’hypothèse d'efficience des marchés financiers, C'est le concept
central de la théorie financière moderne. Si le marché est efficient, cela signifie
qu'aucune stratégie d'investissement ne peut générer des profits anormaux à
un niveau de risque donné. En termes simples, cela signifie qu'il est impossible
de « surperformer le marché » à long terme. La deuxième partie porte sur la
finance comportementale, c’est l'application de la psychologie à la finance. Le
phénomène observé est très proche du phénomène d'application de la
psychologie à l'économie, c'est-à-dire à l'économie comportementale (EC),
donc ces deux domaines peuvent être combinés. La dernière partie se
concentre sur l’effet momentum, il consiste à investir régulièrement sur les
valeurs dont la performance a évolué positivement sur une période récente
allant de quelques semaines à quelques mois. C’est le fondement des stratégies
d’investissements aux noms exotiques et toujours anglophones tels que trend-
following (suivi de tendances), relative strength strategies (stratégies de force
relative), ou parfois même smart and lazy (intelligent et paresseux), qui décrit
plus l’attitude de l’investisseur que sa véritable stratégie.
10.La théorie positive de l’agence appliquée à la finance et à la
gouvernance
Le rapport concernant ce thème est devisé en 2 parties, d’où la première partie
porte sur le fondement de la Théorie d’agence, c'est la branche de l'économie
qui s'occupe des conséquences du problème principal-agent, en particulier à
l'intérieur d'une même unité économique, administration ou entreprise. En
tant que telle, elle constitue un domaine à cheval entre l'économie industrielle
et la théorie des organisations. Michael C. Jensen et William H. Meckling ont
défini une relation d'agence en 1976 comme un contrat dans lequel une ou
plusieurs personnes (le mandant) embauchent une autre personne (l'agent) en
leur propre nom pour effectuer toute tâche impliquant l'agence. La deuxième
partie du rapport se concentre sur la problématique de la théorie d'agence,
parmi les Problématiques de la théorie d'agence on trouve la relation d’agence,
M. Jensen et W. Meckling (1976) ont défini une relation d'agence comme un
contrat dans lequel une ou plusieurs personnes (le mandant) embauchent une
autre personne (l'agent) pour effectuer certains services en leur nom,
impliquant un mandat de "décision partielle" - Autoriser à l'agent.
On trouve aussi les coûts d’agence, même s'il n'y a pas de relation claire entre
le principal et l'agent, toute situation qui entraîne des efforts de coopération
entre deux personnes ou plus entraînera des frais d'agence. Il est impossible
pour un « mandant » de s'assurer sans frais que l'agent prendra la meilleure
décision du point de vue du mandant.
11.Latitude managériale et politique financière
Le rapport concernant ce thème est devisé en 3 parties, d’où la première partie
porte sur le comportement des dirigeants dans la recherche sur la gouvernance
d'entreprise, La théorie de la gouvernance d'entreprise est aussi une théorie de
la discrétion de gestion, c'est-à-dire que les dirigeants doivent gérer la liberté
des différents contrats. Cependant, le concept de liberté de gestion transcende
la dimension purement opportuniste, qui est l'élément de base de la théorie
des coûts de transaction. Bien que le degré de liberté de gestion puisse amener
les dirigeants à passer outre leurs propres objectifs et à nuire aux objectifs des
actionnaires (ou de toutes les parties de l'entreprise), il peut également devenir
une condition nécessaire à la création de valeur. Leaders et en améliorant leur
enthousiasme. La valeur créée permet de satisfaire l'ensemble des parties
prenantes en favorisant la continuité de l'alliance d'entreprise et en évitant de
se départir d'une classe d'agents. La deuxième partie se concentre sur la
gestion des risques de l'entreprise. La gestion des risques est le processus
d'identification et d'évaluation des risques, le but étant de formuler des plans
pour minimiser et contrôler ces risques et leurs conséquences potentielles pour
l'entreprise. Le risque représente la possibilité de perte ou de dommage. Leurs
causes sont multiformes : responsabilité civile, catastrophes naturelles,
accidents, erreurs de gestion, ou menaces liées à la sécurité informatique.
12.L'analyse contractuelle de l'intermédiation financière
Le thème définit d'abord la fonction des intermédiaires financiers pour relier
les institutions non financières ayant des capacités de financement en tant que
prêteurs et d'autres institutions non financières ayant des besoins de
financement en tant qu'emprunteurs pour atteindre des équilibres épargne-
investissement. La seconde est de se concentrer sur les entités intermédiaires
financières telles que les banques, les banques mutuelles, les caisses
d'épargne, les sociétés financières, les institutions financières socialisées et les
entreprises de placement collectif. Troisièmement, la définition générale de
l'intermédiaire financier de ce dernier est une activité dans laquelle les agents
financiers interviennent pour promouvoir l'offre de capital pour répondre à la
demande de capital. Au chapitre 2, le rapport aborde la date d'échéance de la
dette selon l'hypothèse de Modigliani et Miller, c'est-à-dire la complétude du
marché. Il a été démontré qu'il n'y a aucune relation entre les politiques
financières de l'entreprise, y compris la maturité de sa dette et ses
performances. La réputation aide les individus à économiser dans les
interactions sociales, car en tant que phénomène social, la réputation est
fonctionnellement liée à des concepts tels que la confiance, ce qui nous permet
de raccourcir le processus de construction de la confiance au fil du temps.
13.LA FINANCE VUE À TRAVERS DES CONTRATS INCOMPLETS
Le thème "Regarder la finance à travers les contrats incomplets" est divisé en
trois chapitres. Premièrement, le rapport définit la théorie de l'entreprise, qui
est une reconstruction des années 1970 après la redécouverte. Selon un article
de Ronald Coase en 1937, certains travaux sont : Ce type de théorie de
l'entreprise, en particulier la théorie des contrats et sa contribution à l'analyse
des contrats d'entreprise ont ouvert la voie. Le deuxième chapitre analyse la
théorie du contrat incomplet en analysant la différence entre contrat incomplet
et contrat incomplet. La première différence est liée aux variables citées dans
le contrat, car le contrat incomplet qu'il définit ne comprend pas diverses
variables liées aux transactions. So full contrat fait référence à toutes les
variables liées à la transaction, et la deuxième différence concerne la
vérifiabilité par un tiers. Le dernier chapitre clarifie le rôle de la dette sur la
structure financière et comment les questions d'incitation affectent les choix de
financement des entreprises.

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