Gansore Bon
Gansore Bon
Gansore Bon
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Département de Génie Electrique
RAPPORT
De stage pour l’obtention du
DIPLOME DE LICENCE PROFESSIONNELLE
Option : ELECTROTECHNIQUE
THEME :
ETUDE ET PROPOSITION DE SOLUTION POUR LE DEPANNAGE DU
CIRCUIT DE REMPLISSAGE D’EAU DE LA CENTRALE THERMIQUE BOBO II
Sommaire
Dédicace ................................................................................................................ II
Remerciement ....................................................................................................... III
Liste des sigles et abréviations.............................................................................. IV
Liste des figures ..................................................................................................... V
Liste des tableaux .................................................................................................. V
Préambule ............................................................................................................. VI
Introduction générale .............................................................................................. 1
Chapitre I : présentation de la structure d’accueil (SONABEL) .............................. 3
I.1) Présentation de la SONABEL .......................................................................... 3
I.2) Présentation de la centrale thermique Bobo II ................................................. 7
Chapitre II : Généralité sur le système de remplissage des cuves d’eau ............. 10
II.1) Définitions ..................................................................................................... 10
II.2) Analyse du thème ......................................................................................... 13
Chapitre III : Etude et proposition de solution pour le dépannage du circuit de
remplissage d’eau de la centrale thermique Bobo II ............................................. 16
III.1) Description du système d’alimentation en eau de la centrale ....................... 16
III.2) Principe de fonctionnement de l’installation ................................................. 17
III.3) Les effets de la foudre sur les installations et ces moyens de protection ..... 19
III.4) Proposition de solutions ............................................................................... 28
Chapitre IV : Synthèse du stage ........................................................................... 31
Conclusion générale ............................................................................................. 36
Dédicace
Je dédie ce présent rapport à ma famille pour l’encouragement et les soutiens
qu’elle tient à mon égard.
Remerciement
Je ne saurai entamer ce document sans témoigner ma gratitude à tous ceux qui de
près ou de loin ont œuvrés à l’aboutissement de ce présent rapport :
Monsieur Amadou SORE, chef de maintenance électrique, qui a été mon maitre de
stage pour sa disponibilité et son apport technique.
Monsieur Boukary KABORE, chef de section électricité pour ses conseils pratiques.
BT : Basse Tension ;
DI : Demande d’Intervention ;
HT : Haute Tension ;
MT : Moyenne Tension ;
TC : Transformateur de Courant ;
TR : Transformateur Réversible.
TT : Transformateur de Tension ;
Préambule
Le Centre Universitaire Polytechnique de Bobo (C.U.P.B) a vu le jour en 1995 sous
la direction de l’Université Professeur Joseph Ki ZERBO (ex Université de
Ouagadougou (U.O)). Il a pris son autonomie en Octobre 1997 sous le nom
d’Université Polytechnique de Bobo (U.P.B). Plus tard elle devient l’Université Nazi
BONI (U.N.B). Elle regroupe :
La formation dure deux (02) ans pour les techniciens supérieurs (DUT) et trois (03)
ans pour les ingénieurs de travaux (LICENCE) qui vient d’être ouvert en formation
initiale pour sa première promotion en 2018 pour la filière en Génie Electrique.
L’obtention du diplôme de la licence est conditionnée par un stage de trois (03)
mois en entreprise. C’est dans ce cadre que nous avons produit ce document qui
est le fruit de nos travaux sur le thème qui nous a été soumis par la SONABEL
Bobo II, notre structure d’accueil. Ce stage a débuté le 22 Juillet 2019 et a pris fin
le 22 Octobre 2019.
Introduction générale
L’énergie électrique est l’un des piliers du développement industriel. Cette énergie,
plus qu’indispensable est de plus en plus recherchée dans un contexte de
mondialisation favorisant ainsi, une croissance exponentielle des besoins
énergétiques. Il existe plusieurs types de centrales qui rentrent dans le cadre de la
production de cette énergie dont des centrales nucléaires, thermiques, éoliennes,
hydrauliques, solaire, etc… Au Burkina Faso, les centrales thermiques et
hydrauliques sont les plus utilisées. Dans le souci de subvenir aux besoins de la
population en électricité, l’Etat a entrepris le projet d’expansion de la centrale
thermique Bobo II qui a été mise en service en 2015. La mise en place de deux
forages et trois cuves d’eau dont 02 de 500m3 et une de 25m3 pour l’alimentation
en eau de la centrale était un des objectifs de ce projet. Depuis son réalisation, le
circuit de remplissage connait une défaillance liée aux effets de la foudre qui affecte
son fonctionnement en mode automatique. C’est dans cette optique qu’avec nos
encadrants nous avons choisis comme thème « étude et proposition de solution
pour le dépannage du circuit de remplissage d’eau de la centrale thermique
Bobo II ». Ce rapport vise à faire une étude générale du circuit et de faire une
proposition de solution pour résoudre le problème lié aux effets de la foudre qui
surviennent sur le site. Pour venir au bout de ce travail, nous avons jugés nécessaire
de scinder ce présent rapport en une première partie sur le cadre institutionnel
suivie de généralité sur le circuit de remplissage d’eau et une seconde partie
consacrée à l’étude du thème, terminée par une synthèse de notre stage à la
SONABEL Bobo II.
Introduction
L’énergie électrique est l’une des formes d’énergie la plus utilisée. Pour la
production de cette énergie au Burkina Faso, nous disposons de nombreuses
centrales telles que : les centrales thermiques, hydroélectriques, solaires. La
SONABEL est la société d’Etat qui assure la gestion de cette énergie au Burkina.
Ainsi, elle assure sa production, son transport et sa distribution dans le pays. Dans
ce chapitre nous présenterons la SONABEL en général et la centrale thermique
Bobo II en particulier.
I.1.1) Historique
La Société Nationale d’Electricité du Burkina (SONABEL) est une société d’Etat
depuis le 14 Avril 1995. Son capital est plus de 63 milliard de francs CFA depuis
Août 2013 et son siège social est à OUAGADOUGOU la capitale du Burkina Faso.
1954 : l’énergie AOF qui était une société privée française débute l’activité
de production et de distribution de l’énergie électrique à Ouagadougou et à
Bobo Dioulasso respectivement en Février et Octobre ;
05 Mars 1956 : extension de l’activité à la distribution d’eau dans les deux
villes ;
1960 : reprise de l’ensemble des activités par la Société d’Economie Mixte
Multinationale – SAFELEC- au capital de 150 millions de Francs CFA réparti
entre la caisse centrale de coopération économique, actuelle Agence
Française de Développement (AFD) d’une part, et la Haute-Volta, le Niger,
la Mauritanie et divers actionnaires privés d’autres part ;
Conseil
D’administration
Direction
Générale
Conseillers
Techniques
Secrétariat
General
Direction de
Direction de Direction Direction Finance et
Direction de
la des de la Comptabilité
L’informatique
Production Ressources Distribution
Humaines
CHEF DE SERVICE
Conclusion
En somme, la centrale thermique Bobo II fait partir des centrales de la SONABEL
qui assure la production de l’énergie électrique pour la rendre accessible au
population. Cette centrale tout comme les autres disposent d’un circuit de
remplissage d’eau pour l’alimentation en eau des équipements de la centrale.
Introduction
Un circuit de remplissage d’eau est un système à partir duquel on arrive à pomper
de l’eau généralement d’un forage pour remplir des récipients. Le circuit est
généralement constitué de forage, des cuves de stockages, des capteurs de niveau,
des clapets de sécurité, des manomètres, des pressostats, des vannes ainsi que
d’automate pour le fonctionnement en mode automatique du système.
II.1) Définitions
Quelle que soit la pompe, elle est constituée de trois parties distinctes.
II.1.2) cuves
Les cuves sont de grand récipient généralement de forme cylindrique ou cubique.
La cuve est l’élément essentiel d’un système de récupération des eaux de forage.
Reliée au collecteur, elle permet le stockage de l’eau ainsi que des gaz.
Si l’on s’intéresse aux phénomènes physiques mis en jeux dans les capteurs, on
peut classer ces derniers en deux (02) catégories :
Capteurs actifs : il est généralement fondé dans son principe sur effet
physique qui assure la conversion en énergie électrique de la forme d’énergie
à la grandeur physique à prélever, énergie thermique, mécanique ou de
rayonnement.
Tableau 2:grandeur d'entrée et sortie et effet utilisé pour les capteurs actifs
Grandeur physique Effet utilisé Grandeur de
mesurée sortie
Force Charge
Pression Piézo-électricité électrique
Accélération Induction
Vitesse électromagnétique Tension
Position (Aimant)
Courant Effet Hall Tension
II.1.5) vanne
Une vanne est un dispositif destiné à contrôler (stopper ou modifier) le débit d’un
fluide liquide, gazeux, pulvérulent en milieu libre (canal) ou en milieu fermé
(canalisation). Une vanne peut être commandée électriquement : on parle
d’électrovanne.
II.1.6) pressostat
Un pressostat est un dispositif détectant le dépassement d’une valeur
prédéterminée, de la pression d’un fluide. L’information rendue peut être électrique,
pneumatique, hydraulique, ou électronique. Ils sont utilisés dans de nombreuses
applications de système de contrôle ou de régulation par exemple en provoquant le
démarrage d’un compresseur d’air ou d’une pompe, si la pression du circuit contrôlé
descend en-dessous d’une limite déterminée.
II.1.7) manomètre
Un manomètre est un instrument servant à mesurer une pression, destiné en
principe à mesurer des pressions voisines de la pression atmosphérique.
II.1.8) L’automate
Un automate est un dispositif reproduisant en autonomie une séquence d’actions
prédéterminées sans l’intervention humaine, le système fait toujours la même
chose, ou s’adapte à des conditions environnementales perçues par ses capteurs.
Comme souci, le circuit rencontre une défaillance liée aux effets de la foudre qui
affecte son fonctionnement en mode automatique.
Conclusion
L’eau est indispensable au bon fonctionnement d’une centrale électrique, le circuit
de remplissage d’eau de la centrale Bobo II rencontre un problème pour son
fonctionnement en mode automatique lié à la foudre dont nous sommes chargés de
trouver une solution.
Introduction
L’expansion de la nouvelle centrale thermique Bobo II dispose de deux forages et
trois cuves de stockage d’eau dont deux de 500m 3 et une de 25m3 pour
l’alimentation des différents équipements de la centrale en eau.
La pompe est installée à une profondeur de 100m avec un évent à la tête du puit,
un clapet de sécurité fonctionnant à 8 bars, un compteur d’eau, une vanne de
prélèvement d’eau, un manomètre pour le contrôle de la pression d’aspiration, un
dispositif de protection des canalisation PVC par un pressostat réglé à 8 bars avec
un signal à la salle de contrôle, un clapet anti retour pour empêcher le retour de
l’eau dans le puits et une vanne de fermeture principale.
Sur chaque cuve est installée un capteur qui contrôle le niveau d’eau et transmet le
signal sous forme analogique à l’automate qui à son tour gère l’arrêt ou le
démarrage de la pompe.
automatique est le suivant : la pompe du forage n°1 démarre lorsque l’eau contenue
dans la cuve Nord est à 7 m ; le démarrage de la deuxième pompe intervient lorsque
l’eau dans la cuve Nord descende jusqu’à 5 m. L’arrêt des pompes interviennent
lorsque le niveau d’eau dans la cuve Nord atteint les 9 m.
Le remplissage de la cuve Sud est fait à travers une vase communicante avec celle
du Nord ou directement par les pompes.
Le remplissage de la cuve de 25m 3 est fait à travers la cuve côté Sud en passant
par plusieurs filtres dans le bâtiment de traitement d’eau.
Les effets thermiques : ce sont les effets joule dus à la circulation de courant
de foudre à travers divers corps, objets et supports qu’il utilise le long de son
trajet vers la terre. Cela peut provoquer un incendie ou une fusion, en
particulier aux points d’impacts de la foudre et aux points de jonction et
connexions le long du chemin emprunté par le courant de foudre.
Les effets électrodynamiques : lorsque le courant de foudre emprunte des
conducteurs parallèles, il s’exerce entre ces conducteurs des forces
électrodynamiques importantes. Cela peut entrainer des ruptures ou des
déformations mécaniques (câbles écrasés ou aplatis).
Les effets de déflagration : le canal de foudre engendre une dilatation de l’air
et une surpression importante jusqu’à une dizaine de mètres de distance.
L’effet de souffle peut briser les vitres et peut projeter des animaux et des
personnes à plusieurs mètres. La propagation de la surpression dans l’air
provoque une onde sonore, le tonnerre.
Les surtensions conduites : à la suite d’un impact sur des lignes aériennes
d’alimentation électrique ou de télécommunication, une onde de choc est
véhiculée le long de ces lignes. Celle-ci peut entrainer des destructions dans
les appareils raccordés à l’installation électrique.
Les surintensités conduites : pour s’écouler à la terre, l’onde de foudre qui
emprunte une installation électrique, éventuellement après claquage de
l’isolation, peut provoquer des dysfonctionnements et des destructions dans
les circuits et les récepteurs électriques.
Les surtensions induites : le rayonnement électromagnétique dû au courant
de foudre impulsionnel très important donne lieu à des tensions induites dans
les circuits touchés par ce rayonnement et en particulier dans les circuits
formant des boucles d’où des destructions ou des disfonctionnements des
appareils reliés à ces circuits.
L’installation des fils tendus nécessite une étude particulière tenant compte
notamment de la tenue mécanique (vérifier la résistance des matériaux, résistance
aux contraintes météorologiques), de la nature de l’installation, des distances
d’isolement.
Le paratonnerre à fil tendu est surtout utilisé pour protéger des zones ouvertes, sans
supports architectural (aires de lancement de fusées), les lignes aériennes à haute
tension.
Ce type de paratonnerre est utilisé pour des bâtiments très exposés abritant des
installations très sensibles comme des salles informatiques ou la fabrication de
circuits intégrés.
Un parafoudre est un dispositif électrique dont le rôle est de dévier l’énergie des
ondes de surtension, il est donc en général connecté entre chacun des conducteurs
à protéger et la terre. Le parafoudre élimine les surtensions en mode commun (entre
phase et terre ou neutre), en mode différentiel (entre phase et neutre). Il existe trois
types de parafoudres :
Parafoudre de type 1 :
Le parafoudre de type 1 est préconisé dans le cas particulier des bâtiments tertiaires
et industriels, protégés par un paratonnerre. Il protège l’installation électrique contre
les coups de foudre indirects. Il permet d’écouler le courant de foudre « en retour »
se propageant du conducteur de terre vers les conducteurs du réseau.
Les parafoudres de type 1 sont caractérisés par une onde de courant de 10/350 µs.
Parafoudre de type 2 :
Les parafoudres de types 2 sont caractérisés par une onde de courant de 8/20 µs.
Parafoudre de type 3 :
Ces parafoudres possèdent une faible capacité d’écoulement. Ils sont donc installés
en complément des parafoudres de types 2 et à proximité des récepteurs sensibles.
Les parafoudres de types 3 sont caractérisés par une combinaison des ondes de
tension (1,2/50 µs) et de courant (8/20 µs).
Caractéristiques communes :
Uc : tension maximale de service permanent
C’est la tension maximale aux bornes du parafoudre lorsqu’il est passant. Cette
tension est atteinte lorsque le courant qui s’écoule dans le parafoudre est égal à In.
Le niveau de protection doit être choisi inférieur à la tenue en surtension des
charges. Lors de coups de foudre, la tension aux bornes du parafoudre reste
généralement inférieure à Up.
C’est la valeur de crête d’un courant de forme d’onde de 8/20 µs que le parafoudre
est capable d’écouler 15 fois.
C’est la valeur crête d’un courant de forme d’onde 10/350 µs que le parafoudre est
capable d’écouler 5 fois.
Parafoudre type 2 :
Imax : courant maximal de décharge
C’est la valeur de crête d’un courant de forme d’onde 8/20 µs que le parafoudre est
capable d’écouler 1 fois.
Parafoudre de type 3 :
Uoc : tension en circuit ouvert appliquée lors de l’essai de classe III (type 3).
Des différences de potentiel (DDP) peuvent être provoquées par un ou des défauts
entre des éléments conducteurs du bâtiment mais aussi par induction lorsque le
temps est orageux ou que la foudre est sur le point de tomber à proximité. La liaison
équipotentielle a pour objectif d’éviter la propagation de potentiel électrique, pour
garantir la sécurité des occupants et protéger les appareils sensibles au IEM
(induction électromagnétique).
Chaque salle de bain doit comporter une liaison équipotentielle locale, qui relie entre
elles les éléments métalliques (canalisations, châssis des appareils sanitaires, etc.).
De ce fait les éléments suivants doivent être impérativement reliés à la liaison
équipotentielle :
Baignoire métallique,
Armoire métallique,
Dormant de porte ou de fenêtre métallique,
Structure de faux-plafond métallique,
Etc.
Uc= 350v
Up = 2KV
Iimp = 12.5KA
In= 25KA
Reference : Acti9, IPRF1 12.5r ( A9L16632)
Conclusion
Les effets de la foudre impactent les installations électrique d’une manière directe
ou indirecte, ce fut le cas du circuit de remplissage d’eau de la centrale. Les moyens
de protections les plus efficaces sont les paratonnerres, les parafoudres avec bien
sûr des liaisons d’équipotentielles pour toutes les masses métalliques de
l’installation.
Introduction
Durant notre stage, nous avons acquis de nouvelles connaissances grâce aux
multiples tâches que nous avons accomplies dans différentes sections comme la
section exploitation, laboratoire, mécanique, électricité. Evidement l’exécution de
ces tâches n’ont pas été sans frais. Dans cette partie nous citerons les tâches
accomplies, les difficultés rencontrées, les solutions proposées. Ensuite nous
ferons des observations et des suggestions à l’égard de la structure d’accueil et de
formation. Enfin nous ferons une description de l’apport du stage sur le plan
pratique.
Section exploitation :
Il y a aussi le traitement d’huile qui doit assurer le rôle de détergence, de faciliter les
frottements des pièces. Nous avons aussi fait le prélèvement et l’analyse des
combustibles HFO et DDO pour vérification de la qualité.
Division mécanique
C’est dans cette division que nous avons passée plus de temps et participé ou
assisté à de nombreuses tâches :
Faces aux observations que nous avons énumérées, nous pouvons suggérer
quelques idées pour un meilleur fonctionnement de la structure d’accueil et de
formation.
des difficultés. Nous espérons qu’avec nos suggestions, ces structures améliorent
leur rendement.
Conclusion
Au terme de notre stage, nous pouvons dire que le stage nous a été bénéfique
puisqu’il nous a permis de mettre en pratique nos connaissances théoriques et
d’acquérir des notions pratiques dans d’autres sections hors de notre spécialité et
d’être plus en contact avec le milieu professionnel.
Conclusion générale
Le stage de fin de cycle de la licence professionnelle que nous avons effectué au
sein de la centrale thermique Bobo II nous a permis de faire le point sur les effets
de la foudre qui affectent les installations, et également faire le point sur les moyens
de protection contre ces effets.
Dans le but d’étudier et proposer des solutions pour résoudre la défaillance que
rencontre le circuit de remplissage d’eau de la centrale thermique Bobo II, nous
avons présenté notre structure d’accueil, donné quelques généralités sur un circuit
de remplissage d’eau, décrit le fonctionnement du circuit de la centrale, énuméré
les différents dispositifs de protection contre les effets (directs et indirects) de la
foudre. A travers ces dispositifs de protection, nous avons fait la comparaison avec
ceux qui sont utilisés à la centrale pour protéger le circuit et en fin proposer
l’installation d’un parafoudre de type 1 et la réalisation de la liaison équipotentielle
sur les équipements extérieurs.
Ce stage nous a permis d’acquérir des connaissances sur les effets de la foudre qui
affectent les installations ainsi que les dispositifs de protection contre ces effets,
mais ce stage nous a permis aussi d’avoir une idée sur ce qui se passe sur le terrain
par rapport au cours théorique que nous avons eu dans les classes.
Bibliographie et webographie
[1] Thème : automatisation des cuves de remplissage d’eau de la centrale
thermique Ouaga Nord ; rapport de fin de cycle (licence) de SAWADOGO W.
Mohamed, année 2015, ISGE-BF ;
Annexe