Exposé de L'aménagement Du Territoire Ivoirien en H.G
Exposé de L'aménagement Du Territoire Ivoirien en H.G
Exposé de L'aménagement Du Territoire Ivoirien en H.G
Ils consistent à :
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Lutter contre la pauvreté
Corriger les déséquilibres régionaux pour le développement intégré des zones défavorisées
Améliorer les conditions de vie du monde rural et réaliser l’unité nationale autour des intérêts
nationaux.
De l’indépendance à 1970
Juste après l’indépendance, l’Etat de Côte d’Ivoire décide de valoriser les produits
agricoles disponibles. C’est ainsi que de grandes sociétés d’Etat sont constituées et permettent
la création de plantations géantes (hévéa, coco, Ananas, Banane douce, Palmier à huile…). A
ces grandes plantations, on associe des usines de traitement de ces produits. Dans le même
temps, sont associées, les plantations paysannes de café et de cacao avec une aide technique et
sociale du gouvernement. La réalisation de ces industries et plantations se concentrent
essentiellement à Abidjan et dans les régions forestières.
L’accent est mis à cette période sur l’aménagement des régions des savanes sans pourtant
freiner le développement du Sud. La politique d’aménagement se manifeste par:
Dès 1971, est lancé le plan sucrier pour le développement des plantations de canne à sucre et la
construction de complexes sucriers : PSN (Plan Sucrier du Nord à partir de 1974).
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2. Les opérations d’aménagement régional intégré
L’aménagement du Sud-ouest
Le 22 décembre 1969, l’Etat de Côte d’Ivoire crée Aménagement de la Région du Sud- ouest
(ARSO). Cette société d’Etat couvre les départements de San-Pedro, de Sassandra et les
localités limitrophes de Taï, de Guiglo, Grand-Béréby, de Tabou et Fresco ; Elle avait un
double objectif:
L’aménagement du Centre
Il est assuré par l’AVB (Aménagement de la Vallée du Bandama), société d’Etat créée
le 08 juillet 1969 et dissoute au début des années 80. Elle avait un double objectif :
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TERRITOIRE SUR LA POPULATION
1. Le rôle de l’impôt
La TVA (taxe sur la valeur ajoutée) qui représente 12% des impôts, impôts sur revenus et
salaires (15,2%), impôts sur les entreprises (10,2%) et autres impôts qui tels que les taxes
intérieures, droits et taxes à l’importation, droits uniques de sortie, droits d’enregistrement et
de timbres… participent énormément au financement des projets de l’aménagement du
territoire ivoirien.
En dehors de ces impôts, les capitaux privés étrangers accompagnent l’Etat dans le
financement de l’aménagement du territoire ivoirien.
La construction d’équipement collectifs comme les écoles, les dispensaires, les marchés, les
terrains de sport, les routes…
Dans les régions du Nord, tout autour des complexes sucriers et dans les centres de la CIDT,
ont été bâtis des infrastructures d’intérêt général accompagnant la transformation de nombreux
villages et villes du Nord de la Côte d’Ivoire.
Les cultures nouvelles qui se développent améliorent et diversifient les revenus des
populations paysannes.
1. Les faiblesses
Un manque d’implication de la population dans la réalisation des projets et dans les prises
de décisions
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Un manque de contrôle interne et externe de la réalisation des projets
2. Les solutions
A l’issu de ces faiblesses quelques solutions sont établies pour mieux aménager le territoire
ivoirien :
Renforcer le suivi ainsi que le contrôle interne et externe de la réalisation des équipements.
CONCLUSION
L’aménagement du territoire a nécessité beaucoup de ressources qui ont permis la
construction de nombreuses infrastructures économiques et sociales qui ont participé à
l’amélioration des conditions de vie des populations. Cependant, malgré les nombreuses
réalisations, beaucoup reste encore à faire.
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