Le document propose trois sujets de philosophie au choix des candidats. Le premier sujet interroge sur le refus de la quiétude de la servitude. Le deuxième sujet questionne sur la possibilité d'une vie sociale sans Etat. Le troisième sujet présente un extrait de texte philosophique et demande de l'expliquer et le discuter.
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Le document propose trois sujets de philosophie au choix des candidats. Le premier sujet interroge sur le refus de la quiétude de la servitude. Le deuxième sujet questionne sur la possibilité d'une vie sociale sans Etat. Le troisième sujet présente un extrait de texte philosophique et demande de l'expliquer et le discuter.
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Le document propose trois sujets de philosophie au choix des candidats. Le premier sujet interroge sur le refus de la quiétude de la servitude. Le deuxième sujet questionne sur la possibilité d'une vie sociale sans Etat. Le troisième sujet présente un extrait de texte philosophique et demande de l'expliquer et le discuter.
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UNIVERSITÉCHEIKHANTADIOP DE DAKAR 1/1 15 G 03 A 01
Durée: 4 heures
OFFICE DU BACCALAUREAT Séries : S1-S1A-S2-S2A-S3-S4-S5 Coef 2 Téléfax (221) 824 65 81 - Tél. : 824 95 92 - 824 65 81 Epreuve du 1er groupe
PHILOSOPHIE (Un sujet au choix du candidat)
SUJET I
Philosopher, c’est refuser la quiétude de la servitude. Qu’en pensez-vous ?
SUJET II
Sans l’Etat, la vie sociale serait-elle possible ?
SUJET III
Expliquez et discutez le texte suivant :
L’esprit scientifique ne se produit, ni ne produit son objet, dans l’éclair d’une
intuition immédiate; pas plus qu’il nel’instaure sous le coup d’une accumulation constante de données, ni une sorte de progrès continu de la connaissance vers une vérité qui serait posée quelque part et vers laquelle il faudrait aller. Ils naissent, tant l’esprit scientifique que l’objet de la recherche, au cours d’un patient travail de négation de ce qui paraît évident, rectifient un discours premier en se renouvelant dans l’exercice de la preuve. Loin d’être muré dans l’invariabilité de ses démonstrations, l’esprit scientifique s’applique et s’implique dans des synthèses dialectiques qui font de l’activité scientifique moins une somme de résultats acquis définitivement, qu’une tâche de novation infinie sous le contrôle et l’épreuve de l’expérimentation.[…] Savoir, ce n’est pas accumuler des lois.Savoir, c’est rectifier.