Techniques de Vente Et Marketing
Techniques de Vente Et Marketing
Techniques de Vente Et Marketing
Objectifs Généraux
Objectifs :
entreprise.
5. LA PUBLICITÉ. ....................................................................................................................... 5
5.2. Définition............................................................................................................................................. 6
5. La publicité.
Être capable de :
5.2. Définition
− les bannières et bandeaux publicitaires : Les bannières sont généralement de taille réduite
afin de ne pas indisposer l'internaute en envahissant exagérément la page web sur laquelle
elles apparaissent. Leurs objectifs sont d'interpeller l'internaute, en jouant sur des slogans
originaux, des formes insolites, des promesses alléchantes, des graphismes attrayants, des
animations… Le but est d'inciter l'internaute à cliquer sur la bannière, sur laquelle est placé
un lien hypertexte, afin de l'amener sur le site de l'annonceur, où il pourra trouver plus
d'informations sur les biens ou les services offerts, participer à des jeux promotionnels ou
encore commander en ligne
https://www.lafabriquedunet.fr/blog/exemples-bannieres-publicitaires-web/
− les fenêtres pop-up : Un pop-up (de l'anglais pop-up window) est une fenêtre secondaire qui
s'affiche, sans avoir été sollicitée par l'utilisateur.
− le courrier électronique : L'e-mail est un mode important de diffusion de la publicité sur les
réseaux. Le message publicitaire peut apparaître directement dans l'e-mail ou dans un
fichier attaché, ou encore contenir un hyperlien renvoyant à une page web publicitaire.
− le marketing viral : technique de vente qui vise à promouvoir une entreprise ou ses produits
et services grâce à un message persuasif qui se diffuse d’une personne à une autre. On parle
de marketing viral pour filer la métaphore du virus qui circule dans une population…
https://www.ionos.fr/digitalguide/web-marketing/vendre-sur-internet/comment-fonctionne-le-marketing-
viral/#:~:text=des%20supermarch%C3%A9s%20Edeka-
,Le%20spot%20publicitaire%20r%C3%A9alis%C3%A9%20par%20la%20cha%C3%AEne%20de%20supermarch%C3%A9%20allemande,lui%2
0de%20les%20r%C3%A9unir%20tous.
(Article XII.12)
la publicité doit apparaître sans équivoque comme telle lors de sa réception, comportant même
éventuellement la mention « publicité » de manière apparente si un doute peut survenir sur le
caractère publicitaire du message.
L'identité de celui pour le compte de qui est faite la publicité, que ce soit explicitement ou via
un lien hypertexte doit être identifiable.
Les concours, jeux, offres, etc., de nature promotionnelles, doivent également être clairement
identifiés comme tels, ainsi que les conditions et spécificités pour en bénéficier.
Les pratiques commerciales des entreprises vis-à-vis des consommateurs, qui sont contraires à
la diligence professionnelle et altèrent (ou sont susceptibles d’altérer) le comportement
économique des consommateurs, sont interdites.
a) Certains comportements commerciaux que peuvent avoir certaines entreprises à l’égard des
consommateurs, afin de les convaincre d’acheter leurs produits ou services.
(2). La publicité et le marketing de la part d’une entreprise en relation directe avec la promotion,
la vente ou la fourniture d'un produit ou service au consommateur.
2. elle compare des biens ou services répondant aux mêmes besoins ou ayant le même objectif.
https://www.lineaires.com/la-distribution/lidl-condamne-pour-publicite-comparative-illicite
4. elle n'engendre pas de confusion sur le marché entre vous et un concurrent ou entre votre
marque, nom commercial, autres signes distinctifs, biens ou services et ceux d'un concurrent.
5. elle n'entraîne pas le discrédit ou le dénigrement des marques, noms commerciaux, autres
signes distinctifs, biens, services, activités ou situations d'un concurrent.
6. pour les biens ayant une appellation d'origine, elle se rapporte dans chaque cas à des biens
ayant la même appellation.
7. elle ne tire pas indûment profit de la notoriété attachée à la marque, au nom commercial ou
à d'autres signes distinctifs d'un concurrent.
8. elle ne présente pas un bien ou un service comme une imitation ou une reproduction d'un
bien ou d'un service portant une marque ou un nom commercial protégés.
Sur les réseaux, certaines pratiques pourraient être considérées comme de la publicité comparative :
le fait d'insérer, dans votre publicité, un hyperlien vers le site d'un concurrent pour
permettre à l'internaute de vous comparer.
Désigne pour un annonceur les investissements publicitaires réalisés sur les grands médias
publicitaires dits traditionnels auxquels s'ajoute désormais le "média publicité digitale", soit : TV,
Presse, Affichage, Cinéma, Radio, Internet.
Désigne le montant des investissements marketing réalisé en dehors des investissements sur les 6
médias publicitaires, c'est à dire les investissements « hors media ».
Le hors média regroupe notamment les actions de marketing direct, le canal boîte aux lettres et les
actions de promotions des ventes, sponsoring, mécénat, force de vente. La notion de hors média est
souvent utilisée pour ventiler les investissements marketing.
Publicité de lancement
Le lancement produit est la phase du cycle de vie du produit correspondant à sa mise sur le marché.
A noter : dans le domaine de la grande consommation la plupart des lancements produits se soldent
par un échec.
L’objectif :
Préparer le marché et faire connaître son produit pour rapidement déclencher des ventes
Illustration : https://www.launchmetrics.com/fr/ressources/blog/3-campagnes-lancement-produit-
strategies
La conquête de client est une démarche qui consiste à trouver de nouvelles parts de marché.
S’afficher sur le Web permet d’assurer une bonne présence auprès des clients afin de les conquérir.
L’utilisation des canaux digitaux s’appuie sur la production de contenus adaptés (content marketing)
pour attirer les clients. Ces contenus peuvent se présenter sous la forme d’un article de blog, d’une
vidéo sur les réseaux sociaux, ou d’une campagne publicitaire ciblée.
Les types de contenus publicitaires les plus utilisés dans le cadre en B2C sont :
Il s‘agit de lutter contre l‘infidélité à la marque et la propension à l‘oubli quand le produit approche
de la maturité,
En effet, établir une relation durable avec les clients déjà acquis est moins coûteux.
Avantage : Un client fidélisé se comporte différemment, il achète beaucoup plus que les autres, ne
quitte pas facilement l’enseigne, représente la marque en faisant sa promotion gratuitement, vous
aidera à développer votre offre et bien d’autres.
− Exemple : Messages diffusés dans divers supports pour faire acheter un produit ou service
avec un petit message parlant de ceux qui ont déjà effectué un achat ou aussi de mettre en
avant du service client
− Exemple : simples objets marqués d’un logo ou slogan (goodies) qui font la publicité de
l’enseigne.
La publicité de retardement
Il arrive que la marque ou le produit d’une entreprise ne rencontre plus l’engouement des
consommateurs car les évolutions de l’environnement et de la technologie conduisent le
consommateur à faire d’autre choix…
− Rejuvenate / Innovation (même s’il ne s’agit que d’un nouvel habillage de produits
existants).
Exemple : le K-Way
Créé par Léon Claude Duhamel en 1965, un vêtement en nylon, coloré, imperméable et unisexe.
https://www.ina.fr/video/PUB3784047145
« En cas de pluie » devient K-Way pour lui donner une consonance américaine. Ce vêtement vintage
porté par Sophie Marceau dans La Boum, il y a 40 ans revient à la mode en s’affichant avec des
célébrités, comme Sarah Jessica Parker ou Lady Gaga et aussi grâce à Dany Boon et sons sketch
décapant.
https://m.facebook.com/Kway.Belgium/photos/a.1426491207572456/1825397304348509/?type=3
&source=48&__tn__=EH-R
Bannière de pub
Bannière de publicité : sur son propre site, les sites de partenaires, le blog, les media sociaux (ex:
cover Facebook, Twitter, LinkedIn…)
Vidéo / spot TV
Vidéo (animation vidéo, film…) ou spot TV (TNT/Satellite, locale, nationale
https://www.ispot.tv/most-engaging-tv-ads
− Cross-couponing en magasin
− E-mailing croisé
− Dotation contre visibilité
− Packaging co-brandé.
PLV
Différents outils PLV : stop rayon, catalogue, fiche produit, dépliant, flyer, standee, box,
kakémono, tour d’écran, autocollants, affiche, enseigne…
Standee ou kakémono
Goodies
Clés USB, cutter…
https://www.eurogifts.be/fr-be/home
Street marketing
Distribution de flyers ou d’échantillons…)
Sponsoring d’événement
https://www.redacteur.com/blog/bons-exemples-de-
buzz-marketing/
Content Marketing
Les contenus désignent tous les messages produits et publiés, et ce, quel que soit le support. Il
peut s’agir de contenus digitaux (blogging, ebooks, …), comme de contenus plus traditionnels
(magazines, dossiers papiers…) :
− Publication sur les réseaux sociaux : interagir avec l’audience via Facebook, LinkedIn,
Instagram, Twitter,…
− Articles de blog : démontrer l’expertise sur des thématiques ciblées.
− Evènements physiques : rencontrer la cible, créer une relation de confiance
− Newsletter : contact direct avec prospect et clients
− Etude de cas (/testimonials) : mettre en avant de belles histoires d’expérience client
− Webinaires : présenter interactivement une expertise en direct
− Vidéos
− Enquête, études : présenter quantitativement un point de vue sur l’industrie
− Podcasts : formats audio
− Présentation et slideshare : présentation de slides
− Emailings
− Jeu, concours, quizz : mieux connaître la cible en récupérant des informations
stratégiques
Concept d’Inbound marketing = stratégie dont l’objectif est d’attirer des visiteurs sur son
site web (et ses contenus) pour les convertir en clients.
Outils :
− SEO (Search Engine Optimization) = l'art de positionner un site, une page web ou une
application dans les premiers résultats naturels des moteurs de recherche.
Leviers du SEO
− L’image de marque (brand awareness) : La notorité d'une marque peut être associée
à une image perçue plus ou moins positive ou négative.
La notoriété d'une marque se mesure généralement par le biais de 3 indicateurs
distincts : la notoriété spontanée, assistée, top of mind.
https://tf1pub.fr/actualites/les-effets-de-la-tv-pour-les-marques
− L’éditorial : une démarche dans le cadre de laquelle une marque produit des
contenus (textes, vidéos, infographies, etc.) à destination des consommateurs et
prospects et les diffuse sur différents médias. La marque "devient son propre
support publicitaire".
Exemple : Le fait pour une marque de couches de produire ou faire produire des
contenus éditoriaux relatifs à la petite enfance est une démarche de marketing
éditorial.
https://www.usinenouvelle.com/editorial/en-images-procter-gamble-mise-sur-la-
personnalisation-de-ses-produits-grace-a-l-ia-et-l-impression-3d.N789344
Exemples :
Redbull et Félix Baumgartner : https://www.redbull.com/fr-fr/saut-record-
stratosphere-felix-baumgartner-video
SpaceX et Tesla : https://www.youtube.com/watch?v=uDwhHfc1Ozk
https://www.marketing-etudiant.fr/cours/s/strategie-marketing-de-spacex-by-
elon-musk.php
5.5.1. Définition
Le message publicitaire est une forme de communication dont le but est de retenir l'attention d'un
public cible (consommateurs, utilisateurs, usagers, électeurs, etc.) afin de l'inciter à adopter un
comportement souhaité : achat d'un produit, élection d'une personnalité politique, incitation à la
prudence sur les routes, etc…
Tout message publicitaire vise un destinataire précis à agir de quelque façon que ce soit : pour
annoncer une manifestation, promouvoir un produit, persuader une personne d'adopter une
certaine attitude,…
Les publicitaires sont payés pour valoriser un produit (dire qu’il est le meilleur au monde), mais pas
pour mentir. Car, comme vu précédemment, la publicité soumise à une réglementation et à une
déontologie.
La publicité nous influence sur l’image d’une marque ou d’un produit sur le marché.
a) La « promesse »
Dans le cadre d'un message publicitaire la "promesse" est l'engagement publicitaire essentiel
évoqué dans le message (spot, affiche,..).
https://www.youtube.com/watch?v=0IX84pjWTgk&feature=emb_logo
b) Le « bénéfice »
Le bénéfice client désigne généralement la façon dont le bénéfice produit est présenté dans un
argumentaire ou une publicité pour le transformer en un avantage directement et facilement perçu
par le consommateur.
Pour convaincre le consommateur, la caractéristique d'un produit doit être transformée en bénéfice
client.
Exemple : pour une voiture, au lieu de se contenter de dire qu'un coffre fait 600 litres, on indique au
client qu'il peut aisément y loger deux grandes valises.
c) La « preuve »
d) Le « ton »
Eléments linguistiques
Plusieurs éléments linguistiques font qu'un message publicitaire réalise sa grande mission qui est de
convaincre le public cible afin qu'il adopte un produit ou un comportement précis.
Exemples :
• Une promesse
• Un ou des mots puissants
• Une expression-clé
Exemples :
Le vocabulaire connoté fait référence à tous les mots qui ont une valeur sémantique (relatif au
sens) supplémentaire que celle accordée par leur définition propre. L'emploi d'un vocabulaire
connoté est associé à la subjectivité.
Les adjectifs, les noms et les verbes sont les classes de mots qui peuvent être connotées.
Le vocabulaire connoté est souvent employé dans les textes argumentatifs et narratifs puisqu'il
démontre une opinion ou une expressivité.
Le mot issu du vocabulaire connoté est porteur de différentes valeurs (négatives et positives)
La connotation est positive quand le sens ajouté par le mot est positif.
Exemples :
Autres : https://www.c-r-e-e.com/cree-
doc/03%20Stylo%20pub/Mots%20magiques%20de%20la%20pub.pdf
4) Une argumentation convaincante (tel produit vous rend attirant, belle, libre, confiant, etc.), cela
se traduit principalement dans la présentation des bénéfices personnels obtenus grâce à l'achat
du produit.
Une pub représente souvent un problème et sa solution. La solution étant souvent le produit
annoncé, le problème étant relié plus ou moins au produit.
La mise en situation : voici comment les avantages du produit ou les bénéfices du consommateur
se matérialisent dans la vie courante.
Pour faire vendre son produit, l’annonceur peut s’y prendre de différentes façons, avec de divers
arguments :
o L’argument de raison : l’annonceur insiste sur l’utilité du produit, sa raison d’être, les
avantages concrets qu’il apporte aux consommateurs.
Emotions climat
Glamour sensualité
5) Un discours bref qui dit l'essentiel (usage fréquent de phrases à construction particulière).
8) Ajout d'éléments qui donnent une valeur crédible au produit (étude, expert, statistique,
témoignage de clients satisfaits, célébrité, etc.).
https://www.facebook.com/watch/?v=1188368331547069
9) Un slogan efficace
(3). Des procédés typographiques (taille et police des caractères, majuscules, gras, italique, etc.).
5.5.5. Le slogan
Le slogan publicitaire (base line) est la phrase qui ponctue généralement une annonce publicitaire.
Le slogan peut être uniquement attaché aux campagnes publicitaires ou plus souvent être
une signature permanente ou de moyen terme de la marque (Nike : Just do it) qui peut s'afficher
avec le logo.
Un slogan publicitaire est généralement court et joue sur les sonorités, la musicalité et
éventuellement l'humour pour faciliter sa mémorisation.
Un bon slogan publicitaire est donc un slogan qu'on retient voire un slogan dont on a du mal à se
"débarrasser".
1. La rime :
Il y a une rime quand on retrouve le même son à la fin de plus d’un vers. Les rimes
participent donc, comme les vers, à la création d’une musicalité et d'un rythme.
Exemple :
L’
2. L’allitération :
Une figure de style qui consiste en la répétition d'une ou de plusieurs consonnes. Elle sert à
créer différents effets comme reproduire ou évoquer un bruit associé à un
élément, produire une musicalité, …
Exemples :
3. L’assonance :
Une figure de style qui consiste en la répétition d'un même son vocalique.
L'effet recherché est la mise en relief d'une sonorité qui peut être en lien avec le propos.
Exemples :
Force<->Tranquille
1. La promotion est l’un des 4P du mix marketing (produit – prix – placement – promotion).
Elle englobe toutes les tactiques de la communication marketing.
2. Elle repose de plus en plus sur des stratégies "pull" qui consiste à attirer les consommateurs
vers l'offre de l'entreprise par le biais du marketing de contenu et des réseaux sociaux.
3. Il n’y a pas que la publicité payante pour se faire connaître. Le web et le réseautage
permettent de multiplier, à peu de frais, les contacts avec des clients potentiels.
4. Une promotion locale ciblée est plus efficace qu’une communication de masse. Le but n’est
pas de toucher le plus grand nombre, mais plutôt d’atteindre les bonnes personnes (celles
potentiellement intéressées) au bon moment et au bon endroit.
5. La promotion est donc une vraie stratégie dans laquelle il faut investir du temps et de
l’énergie, adapter, améliorer en permanence son message et sa diffusion.
3 objectifs :
1. Faire connaître : pas vu – pas vendu ! Au démarrage, les prospects ne connaissent pas
nécessairement l’entreprise ou la marque. L’objectif est donc en premier lieu de développer
la visibilité et la notoriété.
2. Faire aimer : le premier cap est franchi. Il faut à présent soigner l’image et la présentation
des produits/services, apporter des arguments convaincants, faire la preuve des qualités.
Bref, séduire et convaincre.
3. Faire agir : au-delà de la notoriété et de la construction d'une image positive, il s’agit surtout
de pousser les prospects à l'action, de leur donner envie d'acheter les produits et de passer à
l'acte.
Il est donc important d’évaluer constamment la performance des actions et de concentrer les efforts
sur les plus rentables.
Les actions doivent déboucher sur des résultats tangibles (concrets, mesurables). Communiquer pour
communiquer est peu utile.
Il est plus intéressant de s’orienter vers le web et le marketing relationnel plutôt que vers l’achat
d’espaces publicitaires.
Le co-branding, partenariat de marques entre 2 ou plusieurs fournisseurs, est une autre piste à
explorer (ensemble = plus fort).
Exemple : un micro brasseur s’allie lors de différentes actions avec un producteur de café
artisanal. Ils doublent leurs réseaux et se soutiennent.
5.6.4. Processus
Cependant, investir tout le budget dans des actions à court terme serait une erreur.
Mieux vaut mettre en place un mix d’actions à court, moyen et long terme, de manière à amorcer les
ventes mais aussi à prolonger les effets positifs des premiers résultats en maintenant le contact avec
les prospects et clients, tout en continuant à travailler l’image et la notoriété.
Pour obtenir rapidement des résultats, il faut prévoir une série d’actions courtes mais incisives.
Le ‘push marketing’ est coûteux mais efficace, à condition d’être réfléchi et ciblé.
Il en va de votre site web comme d’un magasin physique : une vitrine attrayante est le meilleur moyen
de séduire les clients et de les inciter à pousser la porte et à découvrir vos produits.
Astuce : renouvelez régulièrement votre vitrine pour donner envie d’y revenir.
À l’heure du web gratuit, les PME fuient les publicités payantes. Pourtant la visibilité a un prix, surtout
si vous êtes pressé ! La formule la plus adaptée dépendra de votre activité et de votre budget: affiches
dans des lieux publics ciblés, publicité dans des magazines locaux ou spécialisés, campagnes de
bannering web (image ou animation flash, présents sur de nombreux sites web pour promouvoir un
service/un produit, renvoyant l’utilisateur en un clic grâce à un lien internet vers le site visé),
référencement payant via Google Adwords ou publicité sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter ou
LinkedIn).
Se faire connaître implique de rencontrer un maximum de clients potentiels. Pour cela, rien de tel que
d’organiser des portes ouvertes; de participer à des foires commerciales ou des salons professionnels,
des conférences, etc. Bref, profitez de toutes les occasions qui vous permettront de parler de votre
activité.
Astuce : L’union fait la force. N’hésitez pas à vous regrouper avec d’autres entreprises et commerçants
pour lancer des initiatives locales.
Donner avant de recevoir, voilà qui est dans l’air du temps. Cela renvoie l’image d’une entreprise
généreuse tout en permettant de se constituer rapidement une base de données prospects
importante. La vente en 2 temps est une tactique répandue sur le web: on propose d’abord du
“gratuit” avant de passer à l’offre payante. Cela permet d’abaisser la notion de risque lié à l’achat,
mais aussi d’attirer plus de prospects. Par exemple, le freemium est une stratégie marketing qui
consiste à offrir un service/produit gratuit pour attirer un grand nombre de clients. Vous essaierez
ensuite de convertir ces clients à l’utilisation de la version plus évoluée de votre produit/service qui est
payante ou d’un service supplémentaire qui est payant également.
Astuce : En matière de goodies, fuyez les stylos promotionnels et autres babioles qui sont rangées au
fond des tiroirs… Choisissez des objets utiles ou fun qui seront visibles chez vos clients ou dans la rue et
donneront envie de les montrer.
Il s’agit de mettre en place un marketing relationnel pour en prolonger les effets des actions à court-
terme.
On passe en mode « pull », avec la mise en place d’un processus au long cours qui repose sur
une communication régulière et une bonne connaissance des prospects et clients.
Etape 1 : développer la présence web. Il s’agit de parvenir à une masse critique de contenus de
qualité et travailler le référencement naturel.
Etape 2 : convertir les visiteurs web en prospects, puis en clients. Au fur et à mesure que grandit la
visibilité et la notoriété, par des appels à l’action ciblés et efficaces.
Marketing de contenu
Sans contenu web, vous n’existez pas. Vos (futurs) clients s’attendent à trouver sur le net toutes les
informations dont ils ont besoin. En matière de contenu, régularité et fréquence importent. Il s’agit de
multiplier les thèmes pour augmenter vos chances d’être trouvé. C’est ensuite la qualité et la pertinence de
l’information fournie qui convaincra et retiendra les acheteurs potentiels.
Astuce : créer beaucoup de contenu, le lâcher en bloc sur internet, puis attendre qu’il porte ses fruits tout
au long de l’année n’est pas une bonne idée. Pourtant, c’est ce qui se passe avec bien des sites. Vous
travaillez d’arrache-pied, vous lancez un nouveau site, puis … plus rien ou presque. Publier du contenu de
manière régulière et persistante vous permet de mieux coller à l’actualité et de tenir compte de l’évolution
des intérêts de votre public.
Référencement naturel
Le but de votre contenu est d’apparaître en bonne position dans les résultats des moteurs de recherche.
Pour ce faire, vous devez inclure des mots clés pertinents, sans en abuser pour autant. Un contenu
correctement optimisé sera d’autant plus facile à trouver et les effets de ce travail de fond persisteront bien
plus longtemps (on parle de longue traîne) que ceux d’une campagne Adwords.
Réseaux sociaux
Les réseaux sociaux sont un atout marketing indéniable pour les PME. À condition de les utiliser
correctement. Ils servent avant tout à amplifier l’impact de votre contenu: plus un contenu est diffusé,
partagé et commenté, plus il est susceptible d’attirer des clients qualifiés vers vous.
Astuce : les médias sociaux sont des canaux de communication à double sens. Leur principal avantage
réside dans cette possibilité d’échanger avec vos clients et prospects, quasi en temps réel. Votre objectif
n’est donc pas d’obtenir un maximum de « fans » mais de privilégier le dialogue et les interactions (via des
like, commentaires, partages, etc.)
Email marketing
Un des objectifs de vos campagnes marketing est de récolter des coordonnées de prospects. Il est temps de
les exploiter. Par le biais de mailings réguliers et ciblés, vous allez créer et entretenir un lien de proximité
avec toutes les personnes qui ont un jour marqué un intérêt pour votre entreprise.
Astuce: pour être efficace, l’e-mail marketing implique un travail en amont que de nombreux entrepreneurs
négligents. Il s’agit d'avoir une base de données qualifiée (avec de bonnes informations) et d’en assurer un
suivi et une mise à jour très régulière. Utilisez des plateformes comme Mailchimp qui vous permettent de
faire des emailing efficaces et d’en ressortir toute une série de statistiques intéressantes sur la qualité de
vos adresses, nombre d’ouvertures, etc.
Il est donc essentiel de présenter une image cohérente et stable à travers toutes les actions
marketing.
Il est aussi crucial de rencontrer de nouvelles personnes et de cultiver ses relations publiques.
Le marketing de réseau est la forme la plus naturelle du marketing parce qu’elle ne prend en compte
que l’aspect humain.
Cela démarre avec le bouche à oreille, les recommandations d’amis et de clients satisfaits.
Souvent les PME n’ont pas le réflexe ou n’osent pas utiliser la presse ou les blogueurs comme outil de
promotion. Pourtant la presse régionale ou les blogueurs influents sont un excellent vecteur de
communication. Mais attention, ces médias ne relaient que des informations intéressantes et à valeur
ajoutée (pour eux), ils ne sont pas là pour faire votre publicité gratuite.
Astuce : veillez à apporter une vraie valeur, de vraies informations … plutôt que de vanter les mérites de vos
produits.
Réseaux professionnels
Pour développer votre réseau, affiliez-vous à des cercles professionnels, assistez à des conférences et
débats, rencontrez vos concurrents et laissez vos cartes de visite partout où vous passez. Et même si vous
pensez qu’une personne ne peut rien vous apporter, incluez-la tout de même dans votre réseau. Elle
pourrait bien un jour vous recommander à quelqu’un qui serait intéressé par vos produits !
Parrainage
Vos clients satisfaits sont vos meilleurs commerciaux… Il suffit de leur donner les moyens de faire votre
promotion ! Le parrainage est un mécanisme simple, efficace et naturel. En incitant vos clients à devenir
prescripteur, vous établissez un cercle vertueux où tout le monde gagne.
Le partenariat est un excellent moyen pour obtenir de la visibilité à moindre coût. Proposez à une entreprise
complémentaire de faire la promotion de vos produits (de manière active ou passive) auprès de ses clients
(en proposant éventuellement la réciprocité).
Les affiliés sont des intermédiaires qui recommandent vos produits en échange d’une commission (sur le
chiffre d’affaires, au prospect généré, etc.). Ils augmentent votre visibilité et vous ne les payez qu’au
résultat.
Ces campagnes doivent répondre aux résultats d'analyses des besoins et tenir compte des aspects
économiques, sociodémographiques, culturels, socio-politiques, légaux, technologiques,
environnementaux et éthiques.
(1). Le positionnement :
L’organisation (ou entreprise) évolue aujourd’hui dans un marché très dynamique, voire
extrêmement compétitif, et son défi majeur est de réussir à émerger sur celui-ci.
Dans un premier temps, l’organisation doit déterminer son positionnement sur le marché et
connaître la perception de l’image qu'ont ses prospects, clients partenaires, mais aussi concurrents,
de ses produits et services.
Mais pour connaître les hypothèses de développement sur celui-ci, elle doit dans un premier
temps établir un diagnostic précis de sa situation. Elle va devoir rassembler une liste d’informations
qui prend en compte différents enjeux :
Économique.
Structurel.
organisationnel.
Comment procéder pour réunir ces informations ? Plusieurs sources pour réaliser cette liste :
les différents départements de votre société possèdent chacun des informations clés
les études réalisées par les cabinets du secteur.
la presse spécialisée, les conférences et webinaires.
les chiffres et études publics (Insee, gouvernement…).
Exemples :
− le chiffre d’affaires réalisé : comprendre son évolution et s’il est lié à une périodicité.
− la ventilation : différencier les revenus entre les produits et services.
− l'origine : comment est-il généré, est-il plus important en off ou en on-line.
− la concurrence : identifier les sociétés sur les mêmes segments produits et services
(similaires ou proches) et analyser leur positionnement par rapport à ceux de l’entreprise
(prix/qualité).
− les valeurs de l’entreprise : définissez la culture d’entreprise actuelle à travers les principes
et le mode de fonctionnement de l’entreprise. Par exemple : écoresponsable,…
− l'image véhiculée par la société sur son marché : comprendre la perception et l’image que
l’entreprise renvoie auprès de ses prospects, clients et partenaires.
− les médias utilisés par les cibles : référencer les supports de communication préférés par ses
cibles, pour mieux les sélectionner dans un second temps.
− la durée d’un cycle produit ou service : calculer le cycle des différentes étapes entre la phase
de recherche et développement, le lancement, la croissance, la maturité et son déclin.
Une fois la liste constituée, utilisez les pour renseigner une matrice SWOT qui va aider à avancer
dans un diagnostic.
Strengths = Forces
Weaknesses = Faiblesses
Opportunities = Opportunités
Threats = Menaces
forces : ressources possédées et/ou compétences détenues qui vous donnent un avantage
concurrentiel sur votre marché ;
faiblesses : un manque, voire plusieurs, qui désavantage(nt) l’entreprise vis-à-vis de ses
concurrents sur son marché.
Les segments externes du SWOT
Vous allez définir les éléments qui peuvent être considérés comme une opportunité ou une menace
présente dans l’environnement de votre entreprise et de l’impact possible sur votre entreprise.
Une fois les réponses à ces questions, il est plus facile de déterminer les différents objectifs
publicitaires. Les objectifs doivent permettre de mieux orienter le comportement du
consommateur en faveur du produit présenté.
L’objectif est de contribuer à atteindre un but commercial. Pour atteindre cet objectif, il faut jouer
sur les attitudes des consommateurs qui sont de trois ordres :
« Si juvabien, c’est Juvamine » En jouant sur la répétition du nom, le prospect prend conscience
de l’existence du produit, il comprend sa finalité et prend connaissance de ses attributs.
les objectifs affectifs. Ils permettent de développer le capital sympathie de la marque pour
la faire aimer par le consommateur. Le moyen est de jouer sur le registre de l’émotion, faire
appel à la sensibilité du consommateur et créer à travers les sentiments le désir d’achat.
Par exemple : https://www.youtube.com/watch?v=o5ST54S3I2Y&feature=emb_logo
McDonald avec son slogan « Venez comme vous êtes parce que finalement chez nous vous êtes chez
vous » qui ne porte pas de jugement sur qui vous êtes. En jouant sur l’aspect affectif, la publicité
donne envie d’essayer le produit, crée une image positive et développe le désir chez le prospect.
les objectifs conatifs. Ils permettent de faire passer le consommateur du désir à l’acte
d’achat. Il faut motiver son désir à travers des messages qualitatifs, et lever ses freins à la
consommation sur le produit, pour le pousser à tester le produit et adopter une attitude
positive vis-à-vis de celui-ci.
Par exemple : https://www.youtube.com/watch?v=rM5QYwBpcBY La marque Evian de chez Danone
qui vous propose la jeunesse éternelle avec sa campagne Live young. Ce type de publicité facilite le
passage à l’action, accroît les motivations à l’achat et réduit les freins à l’achat.
Ici, la publicité va chercher à convaincre un consommateur qui est considéré comme un être
rationnel.
Elle consiste à présenter les caractéristiques du produit par rapport à un produit concurrent, dans le
but de montrer un avantage concurrentiel discriminant souvent par comparaison qualité/prix.
Exemple :
La stratégie suggestive :
Exemple :
La campagne WWF « Avant qu’il soit trop tard », sur la déforestation de la forêt
amazonienne, poussait à faire un don à l’association. La campagne WWF « Avant qu’il soit trop tard »
2014.
La stratégie mécaniste :
Exemple : https://www.youtube.com/watch?v=0g6MgoA159I
Dans les publicités Carglass, le prospect va être amené à être mis en relation avec la marque
plusieurs fois durant tout le spot. Que cela soit à l’oral avec la citation de la marque ou en visuel à
travers son logo.
Ici, la publicité va chercher ici à travailler sur l’envie du consommateur d’affirmer sa catégorie
sociale.
On va chercher à mettre en avant le fait que le produit ou service met en avant son appartenance au
groupe.
Cette stratégie peut éventuellement agir sur le mode de vie du consommateur, et le motiver à
changer de comportement pour accéder à un autre groupe social.
Exemple : La marque Axe propose, à travers la consommation de ses différents produits, aux
adolescents de pouvoir intégrer le groupe social des hommes (adultes) et voire plus : devenir un
héros.
Exemples :
pour un concessionnaire de voitures de luxe, l’âge et le pouvoir d’achat sont des critères
déterminants.
pour une marque de jeux vidéo, être propriétaire d’une console de jeu avec un accès
Internet...
pour une marque de produits bébés, la récurrence et le nombre de petits pots achetés par
les familles ayant un enfant entre 2 mois et 3 ans.
Pour mieux comprendre son mode de fonctionnement et découvrir des éléments complémentaires
sur ses préférences ou comportements, qui pourront avoir des effets sur le résultat de conversion à
long terme.
Quels éléments conduisent les cibles à investir dans les produits ou services de
l’organisation, et qu’est-ce qui fait la différence par rapport à d’autres cibles qui optent pour
le statu quo ou la concurrence ?
Quels résultats opérationnels et personnels les cibles espèrent obtenir en se portant
acquéreurs des produits et services de l’organisation ?
Quels facteurs conduisent les cibles potentielles à estimer que les produits et services de
l’organisation ne sont pas les meilleurs ou les plus appropriés ?
Qu’est-ce qui va influencer le choix de la cible tout au long de sa prise de décision ?
Qu’est-ce qui va permettre de gagner la confiance des cibles ?
Une première sélection des médias peut être effectuée dès le départ. Certains impératifs peuvent
rapidement permettre de repérer les médias qui seront nécessairement rejetés.
Pour des raisons juridiques : certains secteurs n’ont pas juridiquement accès à tous les
médias, cette restriction est liée à la loi concernant l’interdiction de la publicité télévisuelle
pour le tabac et l’alcool.
Pour des raisons de délais : le facteur temps peut amener à faire des choix stratégiques.
Certaines réalisations publicitaires prennent plus de temps à réaliser que d’autres, la
production d’un film TV est plus long que l’enregistrement d’un spot radio.
Pour des raisons de disponibilité : elles peuvent varier selon les médias et la saison, la
rentrée ou le mois de novembre sont plus demandées que les mois d’été.
La capacité du média à valoriser le message : les médias ont leurs propres caractéristiques
En ce qui concerne leur conformité aux objectifs définis…ci-dessous un tableau qui permet d’évaluer
la conformité des médias aux objectifs de communication.
Axe Affectif + ++ + + ++ +
Axe conatif + ++ ++ ++ + +
5 méthodes pour avoir une vision plus large des différentes alternatives pour construire le budget :
Beaucoup d’entreprises partent sur cette version. Cette approche, fondée sur les ressources
disponibles, fait que le budget publicitaire est fluctuant, et va rendre difficile la planification à long
terme de la stratégie publicitaire.
Calcul des coûts que représentent les moyens mis en place pour répondre aux objectifs.
Pour une fabrication de 100 (Q) affiches publicitaire pour un montant de 400 000 € (Ct), le coût total
moyen est de 4 000 €.
Alors, le CTM = 400 000/100 = 4 000.
Si les investissements de l’organisation augmentent et que les concurrents gardent les leurs au
même niveau, la part de voix de l’organisation augmente.
En revanche, si les concurrents augmentent aussi leurs investissements, la part de voix ne va pas
augmenter aussi fort, et la courbe de réponse va être moins sensible à l’investissement en publicité.
Si une marque de cosmétique investit un montant de 300 millions d'euros en publicité sur son
marché, et que les investissements globaux sur ce marché sont de 1 milliard, alors la part de voix sera
de 30 %.
Cette méthode est utilisée pour un produit qui a un fort potentiel sur son marché.
Basé sur des études statistiques de données économiques. Elles vont donner la perception et la
sensibilisation à la pression publicitaire et l’effet généré par celle-ci.
− Le seuil de perception est un processus par lequel chacun reçoit et interprète les messages
en fonction de son mode de pensée, de sa culture et de son expérience, mais aussi de son
état d’esprit du moment.
Le processus comporte quatre phases : l'attention à l'information (grâce aux cinq sens), son
interprétation (on donne du sens à l'information en fonction de son vécu), sa compréhension et sa
mémorisation.
Au-dessous du seuil de perception, la dépense engagée pour promouvoir la publicité est peu efficace.
Pour cela, il faut concevoir un cahier des charges pour la campagne. Mais à quoi va servir ce cahier
des charges ? Il faut définir, à travers ce document, les objectifs de communication et les éléments
de message que l’équipe créative doit faire passer auprès de la cible.
Le « Brief » : c’est un document référent entre l’annonceur et l’agence de publicité, tel un cahier des
charges pour assurer l’entreprise de la qualité du travail qui sera présenté.
Construit autour du bénéfice client, il souligne les attributs de la marque que l’organisation souhaite
mettre en avant dans les messages déployés. A travers ce document, l’objectif est d’exprimer
comment l’entreprise souhaite que sa marque soit perçue par les consommateurs.
Le fait principal :
Généralement, c’est un élément de contexte, qui explique pourquoi l’entreprise a décidé de faire une
campagne. Il s’agit de donner des informations sur le comportement des consommateurs ou
acheteurs, sur lesquelles la publicité pourra s’appuyer comme un effet de levier.
Exemple : sur le marché des pots de bébé qui est très concurrentiel, la marque Blédina lance
la campagne Blédichef. Un produit qui offre une qualité gustative supérieure à ce qui existe
sur le marché, et un packaging en forme d'assiette en plastique qui va au micro-onde.
Le positionnement
Il faut définir la place que doit occuper la marque ou le produit dans l’esprit des consommateurs et
par rapport aux concurrents.
Exemple : sur le marché des montres de luxe, Patek Philippe se positionne avec une
approche résolument émotionnelle. Elle met l’accent sur le lien fort et unique unissant tout
propriétaire d’une Patek Philippe à sa montre. Cette certitude de posséder une création
d’exception, reflet d’un riche héritage culturel, artistique et scientifique. Cette conscience
d’avoir acquis un objet de valeur, conçu pour durer et accompagner plusieurs générations.
Il faut préciser le problème contre lequel la marque se bat au quotidien. Il doit être formulé de façon
précise et réaliste.
Exemple : sur le marché des alcools, la marque Suze est une boisson vieillissante qui n’est
plus consommée que par les seniors. Comment recruter des jeunes et donner une image plus
jeune de la marque ?
Il faut préciser clairement les objectifs à atteindre à travers cette campagne. Augmenter la notoriété,
améliorer l’image, accroître les ventes. Ils doivent être formulés de façon précise et réaliste.
Il faut définir l’expression de l’avantage principal dont va bénéficier le consommateur lors de l'achat
du produit ou du service.
Exemple : sur le marché des piles, la marque Duracell va jouer sur la qualité de ses produits
avec la pile la plus puissante de l’univers. Dans une course, les jouets qui n’en sont pas
équipés s’épuisent plus vite que la mascotte et n’atteignent pas l’arrivée.
Il faut chercher à mettre en avant les arguments qui vont permettre de justifier la promesse.
Exemple : sur le marché des yaourts, la marque Danone avec le produit Activia qui contient le
ferment probiotique, notamment reconnu pour ses bienfaits spécifiques sur la santé
digestive.
Le ton et l'ambiance
Le ton que l’organisation souhaite utiliser dans la campagne publicitaire ; il existe une grande variété
de tons et discours : informatif, interrogatif, narratif, impératif, descriptif, explicatif. Avec un choix
de registre qui peut être l’humour, l’émotion, la persuasion…
Le choix des médias doit commencer par un principe d’élimination pour des raisons juridiques, de
temps et de disponibilités. Pour rappel, la capacité du média consiste à toucher la cible de
communication grâce à sa puissance, la répétition et l’affinité.
Maintenant, il faut commencer à choisir les supports et le nombre d’insertions que l’entreprise
souhaite faire.
Voici 5 critères qui vont permettre de classer les supports avec les notions de diffusion, d’audience,
de critères quantitatifs et qualitatifs...
Selon 5 critères :
Ce critère est également connu sous l'appellation puissance du support. On parle aussi de
“pénétration” et de “couverture” du support pour définir sa puissance.
La puissance d’un support se détermine donc en définissant son audience utile, c'est-à-dire la
part de l'audience de la campagne qui appartient à la cible visée. Il s’agit du nombre de
personnes qui vont être touchées par une insertion publicitaire, connue aussi sous
l'appellation affinité de la cible.
Ceci permet de prendre le coût d’achat d’espace pour mettre en rapport le support avec une
audience de 1 000 contacts.
Elle définit le nombre de personnes touchées après plusieurs passages dans le même support.
Il est possible de toucher les cibles à travers plusieurs supports. Il est donc bon de connaître
l’audience de ces supports.
Mise en situation :
Dans le cadre d’un lancement de produit, la marque EnerGreen veut lancer une campagne
publicitaire sur son cœur de cible les hommes âgés de 25 à 45 ans.
Pour les aider à faire le bon choix, vous allez effectuer quelques calculs pour voir lequel des
supports répondra le mieux aux différents facteurs : portée, affinité, fréquence et coût.
Il faut ici regarder dans quelle mesure le public du journal, autrement dit l'audience, correspond bien
à la cible visée par la marque.
Pour être certains du choix, il faut se rapprocher de l’agence média pour avoir plus d'informations sur
l'audience et la pertinence du support.
La formule est :
Audience utile
Puissance d’un support = ---------------------------------- x 100
Audience globale
Grâce à ce calcul, on peut créer une hiérarchie des supports en fonction de leur niveau de
pénétration et de couverture des cibles.
Audience utile
Pénétration d’un support = ----------------------------- x 100
Cible
Dans le tableau ci-dessus, on voit que l'hebdomadaire H2 est plus intéressant avec un taux de
pénétration égale à 6,97 %.
Il faut regarder ici quelle va être l'affinité d'un support publicitaire avec une cible déterminée.
L'indice d'affinité est un élément important du choix média dans la mesure où il permet
théoriquement de se concentrer sur la notion d'audience utile.
Il faut obtenir l’affinité de la cible par rapport à un support, c’est le rapport de son audience utile sur
son audience totale.
Le taux d’affinité doit être le plus proche de 1, ce qui se traduit par une audience constituée
essentiellement de contacts utiles.
Audience utile
Affinité de la cible = --------------------------
Audience globale
Vous pouvez voir dans le tableau ci-dessus que l'hebdomadaire H2 est plus intéressant avec une
affinité de 0,73 .
Il faut ici comparer les coûts des différents supports d'un média.
Le Coût Pour Mille (CPM), va permettre de classer les supports en fonction du coût contact utile sur
la base de 1 000 personnes.
Coût d’investissement
Coût Pour Mille = --------------------------------------------- x 100
Audience utile
On constate dans le tableau ci-dessus que le support H2 est plus intéressant que H1 avec un coût de
39,97€ pour 1000 contacts.
L’audience cumulée
La règle dit que plus les consommateurs sont exposés à des messages, si ces derniers sont
percutants.
Cependant, on ne peut pas être sûr que ce sont les mêmes personnes qui verront toutes les
publicités. Il faudra donc tenir compte de cet aspect dans le choix.
Dans le tableau ci-dessous, on trouve 2 scénarios d’audience et de fréquence d’insertion d’une page
publicitaire et le nombre de vue entre une 1ere, 2ème et 3ème insertion.
Ces insertions publicitaires sont ce qu'on appelle des occasions de voir (ODV).
Observez le nombre total d'ODV entre le support H1 qui a 90% de lecteurs fidèles avec une
accumulation d’audience faible et le support H2, qui a 50% de lecteurs fidèles avec une forte
accumulation d’audience.
H1 H2
Les consommateurs ne sont pas obligatoirement fidèles aux supports. Il est donc préférable de faire
un achat d’espace important, que cela soit dans de la presse avec plusieurs passages dans le même
magazine, ou sur le web.
La duplication d’audience
Pour pallier au manque de fidélité des consommateurs sur un support, il est préférable de dupliquer
le support. Il est donc intéressant de chercher quel autre support pour atteindre la cible,pour être
certain de l’atteindre au moins une fois.
4 facteurs clés :
LE FORMAT
Format cavalier
Formats sur les réseaux sociaux, sous forme de film publicitaire ou tout simplement en
prélude d’une vidéo sur YouTube...
Exemple : La première campagne publicitaire d’Uber avec différents formats de diffusion affichage
4x3 et un post sur Twitter.
Les formats et supports sont différents, mais les messages sont identiques avec la possibilité de
donner plus d’informations sur le digital.
LA PÉRIODE
Exemples :
Les campagnes publicitaires des jouets débutent généralement en novembre, deux mois
avant la période de Noël.
Les stations de ski en hiver…
LA FRÉQUENCE
Elle est fixée par le rythme des messages, tout en tenant compte du renouvellement de l’audience et
de la répétition du message sur la même audience.
Certaines marques décident d’opter pour des stratégies publicitaires qui permettent de maîtriser la
diffusion de message auprès de la bonne audience, et son renouvellement, grâce à des campagnes
AdWords ou Facebook.
LA COMPLÉMENTARITÉ
Dans le cas où la volonté est de combiner plusieurs médias, il faut définir si cela est pour les utiliser
en même temps et de façon complémentaire, ou les étaler dans le temps pour avoir une couverture
plus longue et une présence à l’esprit de la marque.
Le Parc Astérix communique une bonne partie de l’année sur différentes opérations thématiques et
différents supports de communication, pour être présent le plus possible dans l'esprit des gens tout
l’année.
Dans le cadre de son projet, l’entreprise est amenée à travailler avec une ou des agences de
communication.
La mission de l’agence de publicité est d’apporter les conseils nécessaires à la mise en place de la
stratégie et de la conception de la campagne.
Concevoir des outils de communication et développer les actions qui sont associées.
Prendre en charge les différentes négociations budgétaires avec les différents intervenants
sur la campagne.
Les créatifs : qui vont assurer la conception des campagnes avec des directeur de création,
directeur artistique, concepteur-rédacteur, maquettiste, responsable d’achat d’art...
Les commerciaux : qui vont faire l’interface avec le client et le reste des équipes de l’agence.
Directeur commercial, directeur conseil, chef de publicité…
Pour cela, Il faut mesurer et analyser la campagne pour connaître l'efficacité de celle-ci.
LE MODÈLE AIDA
Pour établir des indicateurs de performance, le modèle AIDA est un outil, qui est à l’origine utilisé par
les publicitaire, pour identifier les 4 phases par lesquelles la cible va passer avant l’acte d’achat :
La meilleure représentation de ce modèle est un parallèle avec Google Adwords qui répond avec son
offre à la problématique du surencombrement publicitaire et à l’importance de se distinguer et de
capter la curiosité du consommateur.
Intérêt Les annonces apparaissent sur des sites en rapport direct avec les produits et
services. Ces derniers correspondent donc tout à fait aux centres d'intérêt des
internautes en visitant ces sites.
Désir En mettant en valeur une sélection unique de produits, de tarifs ou tout autre
avantage concurrentiel, cela permet de convertir les cibles en acheteurs intéressés
par les produits et services.
Action Des incitants tels que : commandez des produits et économisez 10%, peut inciter
(Achat) l’acheteur à conclure le cycle d’achat.
En s’appuyant sur la méthode AIDA, il sera plus facile de définir les indicateurs, qu’ils
soient quantitatifs ou qualitatifs.
Quantitatifs :
L’idéal est de disposer le plus possible d’indicateurs chiffrés, donc quantitatifs. En effet, il est plus
simple de pouvoir mesurer et comparer des résultats obtenus avec les chiffres du mois ou de l’année
précédente.
Les indicateurs quantitatifs permettent de comparer des campagnes avec celles d’autres concurrents
(à condition que les caractéristiques testées soient identiques).
Qualitatifs :
Exemple : le test sur le visuel d’une campagne publicitaire à venir ; le score d’agrément va relever
d’un jugement qui est personnel donc qualitatif, qui ne peut être quantifiable. En revanche, il
est possible de quantifier le nombre de personnes qui ont aimé le visuel.
Les KPI sont souvent relatifs et différents en fonction des produits, de la marque ou même de la
stratégie publicitaire.
Pour les définir, il faut avant tout penser critères et facteurs de mesure.
Il faut considérer qu’un bon KPI va permettre de tirer des enseignements, notamment en comparant
l’impact coût/efficacité des différents moyens mis en œuvre pour porter la stratégie publicitaire.
Un bon indicateur est un indicateur qui doit permettre de générer une action, pour améliorer les
résultats. Il est généralement préférable de définir les indicateurs clés des performances en amont
des campagnes pour qu’ils aient un sens et soient exploitables.
Quelques exemples d’indicateurs clés pour les campagnes aussi bien imprimées que digitales:
l’impact : indicateur qui va faire référence au souvenir que la campagne publicitaire aura
laissé auprès des consommateurs. Certaines sociétés n’hésitent pas à faire de la provocation
dans leurs messages publicitaires pour un gain de notoriété. Il est donc nécessaire de ne pas
s’arrêter à l’impact pour mesurer la performance d’une campagne, et de prendre en
considération d’autres paramètres.
l’attribution : indicateur qui va permettre de mesurer la qualité du message et voir s’il fait
référence uniquement au produit ou à tous les produits similaires, dans l’esprit des
consommateurs. Il est important d’être clair, cohérent et explicite dans l’annonce pour ne
pas offrir la possibilité aux concurrents de s’approprier les efforts en communication au
détriment de l’entreprise.
la cible : l’idée est de s’assurer que la campagne publicitaire est réellement conçue pour la
cible préalablement définie. Cet indicateur va assurer que la campagne est adaptée à l’âge,
au sexe, aux habitudes, aux centres d’intérêt, à la catégorie socioprofessionnelle, à la
localisation… de la cible.
la crédibilité : assurer que la publicité est crédible et que l’annonce présente le produit selon
ses caractéristiques réelles. La publicité mensongère est à éviter, au risque de détruire tous
les efforts et d’avoir des désagréments majeurs pour l’image de marque.
le taux de rebond : indicateur qui va vous permettre de calculer le nombre d’utilisateurs qui
visitent une page du site Internet et quittent le site aussitôt. Plus le taux de rebond est
élevé, moins la campagne publicitaire digitale est efficace.
le nombre de visiteurs uniques : indicateur d’individus différents ayant visité un site ou une
partie de celui-ci, ou une application.
le temps passé par visiteur unique : le nombre moyen de minutes passées par le visiteur sur
une partie d’un site.
le taux de conversion : indicateur qui fait référence au pourcentage de visiteurs qui ont
donné suite à leur visite sur un site via un achat du produit, une demande de devis, ou une
inscription.
Le prétest
Les buts des prétests sont de valider ou de rejeter le projet avant de lancer la réalisation finale.
Le prétest va permettre de vérifier aussi bien le fond que la forme de celle-ci. Ici, on fait appel à
un échantillon représentatif de la cible, et on teste sur lui la campagne.
L’avantage est de bénéficier des avis consommateurs et de pouvoir encore faire les modifications
nécessaires pour améliorer la campagne, afin d'obtenir le résultat optimal.
C’est une étape pour valider la compréhension ainsi que l'adhésion de la campagne, ou éliminer les
risques des mauvaises interprétations.
Le post-test
Le baromètre d’image
C’est un type de sondage chaque année après une vague publicitaire. Il va permettre d’évaluer les
progrès réalisés en termes de notoriété et attractivité de marque, et relever les nouvelles
problématiques auxquelles la marque va devoir faire face dans les années à venir.
Le calcul de rentabilité
Il faut rapprocher les coûts engagés dans le cadre des dépenses publicitaires au profit constaté
durant cette même période et la fin de de la campagne publicitaire.
Par Exemple :
Une entreprise va investir une somme de 300 000 € dans sa campagne publicitaire, et ses ventes sur
la même période sont d’un montant de 450 000€.
Il faut calculer le nombre de personnes que l’on va toucher au moins une fois grâce aux supports
publicitaires pendant le plan média.
Il s’agit de l’audience non dupliquée. Il faudra donc calculer la somme des audiences nettes. Elle se
calcule sur la somme des audiences des différents supports, à laquelle il faut soustraire les
duplications d’audience.
Formule d’Agostini :
K= 1,125.
Le Gross Rating Point ou le point de couverture est l’indice de référence pour calculer la pression qu’a
le plan média sur les prospects. Il s’agit du nombre moyen de possibilités de contacts d’une
campagne publicitaire, rapporté à 100 personnes du cœur de cible.
Par exemple, EnerGreen lance sa publicité sur son nouveau produit, qui donne un taux de couverture
de la cible de 60 % pour une répétition moyenne de 2 sur chaque personne touchée. Le GRP exercé a
une pression équivalente à un GRP de 120.
Cet indice n’est pas fiable à 100 % et ne doit pas être forcément le seul indicateur ; un GRP de 100
peut aussi correspondre à :
Le GRP est avant tout un indice comparatif qui va vous permettre d’analyser la pression de plusieurs
plans média, ou d’évaluer les plans de la concurrence.
Il est important que le niveau de mémorisation de la campagne soit bon, il est le reflet de l’efficacité
d’une campagne. Le taux de mémorisation peut être un facteur fondamental pour aider dans le
choix du plan média.
Pour mesurer la mémorisation d’une campagne en quantifiant ses scores brut et prouvé :
Ces informations peuvent être obtenues en réalisant des sondages auprès de consommateurs.
L’attention
Une création impactante avec un message clair seront les clés du succès
Le Web Analytics regroupe l’ensemble des outils de mesure d’audience liés à une campagne qui va
renvoyer vers un site ou une page Facebook, par exemple.
Ces outils vont être par excellence quantitatifs et vont permettre d’avoir des informations chiffrées
spécifiques.
Il est possible d’obtenir les données recueillies sur des plateformes de mesure d’audience du
type Google Analytics .
Le nombre de visites. Il s’agit du nombre d’internautes qui vont se balader sur le site pour y
faire quelque chose (lire, se documenter, commander, commenter…).
le nombre de pages vues. Cela va désigner une page chargée (ou rechargée) par un
navigateur. Il va définir cela comme le nombre total de pages consultées.
https://www.youtube.com/watch?v=GG5xBwbje1E
le nombre de visiteurs. Il est possible de mesurer l’impact en termes d’attention. Les pages
d’un site ou une fan page sur Facebook sont de bonnes caisses de résonance à la campagne
publicitaire. Le nombre de visiteurs avant, pendant et après la campagne est un bon
indicateur de l'intérêt suscité par la campagne, et de son efficacité potentielle.
la durée moyenne de visite. Permet de connaître l'intérêt du visiteur sur le site avec le temps
qu’il va passer dessus. Il est relevant de vérifier que les personnes trouvent bien ce qu’elles
cherchent, et qu’une longue visite n’est pas le signe d’un site mal construit.
le nombre de visites par visiteur. Il s’agit du ratio entre le nombre de visites et le nombre de
visiteurs, sur une période de référence.
le nombre moyen de pages vues par site. Il s’agit du ratio entre les pages vues et le nombre
de visites. Il va donner le niveau de qualité du contenu du site ou de la page Facebook.
les pages les plus visitées. Il va mettre en avant les centres d’intérêt des visiteurs. Si la
campagne publicitaire fonctionne correctement, les pages produits les plus visitées
représentent généralement les meilleures ventes. Dans le cas d’une page Facebook, on parle
d'engagement.
le taux de conversion. Pour obtenir le pourcentage des visiteurs convertis en acheteurs lors
d’une visite sur le site.
le taux de clics. Toujours largement utilisé pour évaluer l'efficacité de votre campagne
display à susciter l’action (visite du site, enregistrement dans une base de données, achat…).
En utilisant le modèle AIDA pour projeter les différentes métriques du Web Analytic :
Taux de rebond
Taux de conversion
On y retrouve : les résultats du nombre de visiteurs uniques et de visites par jour, la durée de visite
et la duplication des visiteurs uniques,
2 méthodologies :
− l’une dite centric, où ce sont les sites qui vont constituer l'échantillon de la mesure
− l’autre user-centric, où ce sont les comportements de navigation des individus.
Dans les deux cas, il s'agit avant tout de mesurer l’audience, donc de qualifier le nombre de visiteurs
exposés à la campagne.
Attention Visites
Visiteurs uniques
temps passé
Couverture
Affinité
Temps passé
couverture
Affinité
Avec un budget de 10 000 euros et une audience attendue de 500 000 impressions, on dépensera
allez dépenser 20 euros pour avoir 1 000 impressions, avec un investissement qui s’élèverait à 10 000
euros.
Le calcul est : (10 000 / 500 000) x 1 000 = 20.
Si on détermine un CPC à 1,20 € et que l’on a 500 clics en provenance de Google AdWords, cela
représentera un coût de 600 € pour cette campagne.
Si on détermine un budget de 15.000 € et que l’on a généré 150 leads, on obtient un coût par lead de
100 €.
Si on a dépensé 1 000 € de budget pour une campagne et on a généré 25 ventes, alors le coût par
acquisition est de 40 €.
Si un visiteur du site ou de la landing page sur 100 achète le produit, le CVR est de 1 %.
Pour projeter les différents modèles de calcul publicitaire sur le modèle AIDA, on obtient le schéma
ci-dessous :