Commerce International
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La théorie de l’avantage absolu avancée par Smith repose sur l’intérêt d’une nation à se
spécialiser dans les activités où elle est la plus performante (avantage absolu) par rapport à ses
partenaires et donc à acheter les produits pour lesquels elle ne dispose pas d’un avantage
absolu à ses partenaires.
David Ricardo note néanmoins une faille dans la logique d’Adam Smith. Comment intégrer
les pays n’ayant aucun avantage absolu dans les échanges commerciaux ? Pour répondre à
cette question, Ricardo intègre le concept d’avantage relatif. Une nation sans avantage absolu
aura tout intérêt de se spécialiser dans les activités pour lesquelles elle dispose d’un avantage
relatif, c’est-à-dire dans les activités où elle reste performante sans pour autant être la nation
leader.
Ces théories principales ont bien entendu évolué et ont été complétées ou bien contestées par
les différents courants de pensée économiques.
La création de ces trois organismes a ainsi favorisé l’expansion du libre-échange entre les
acteurs économiques, mais aussi permis à des États dévastés par les conflits de se
reconstruire.
A partir des années 60, les firmes multinationales vont jouer un rôle prépondérant dans l’essor
des échanges commerciaux, sous l’impulsion du GATT. Ses mesures principales furent la
diminution des droits de douane, l’interdiction des quotas, ainsi que la clause de la nation la
plus favorisée (cette clause stipule qu’un avantage accordé à un pays membre ne peut être
refusé à un autre pays membre). En effet, les échanges intra et extra-firmes se développent
jusqu’à représenter environ deux tiers des échanges aujourd’hui.
Pour évaluer les échanges de biens et de services entre un pays donné et le reste du monde :
l’indicateur principal utilisé est la balance commerciale. Cette dernière est le résultat de la
différence entre les exportations et les importations. Le solde après opération se nomme
“solde commercial”.
Pour évaluer l’ensemble des échanges commerciaux, il faut se référer à la balance des
transactions courantes qui prend également en compte les flux de revenus ainsi que les
transferts courants et pas uniquement les biens et services.
A eux seuls, ces cinq pays représentent plus du tiers du commerce mondial, avec 38,2% des
exportations et des importations mondiales !
La première est la théorie de l’avantage absolu, avancée par Smith. Elle repose sur
l’idée de considérer deux pays, produisant chacun deux biens. Ces 2 pays sont
caractérisés par une productivité propre, et ce, pour la production de chacun des biens.
Chaque pays a intérêt à exporter les biens qu’il produit, mais de façon plus efficace
que ses pays voisins. Ainsi, ils doivent importer les autres types de biens.
La seconde théorie, avancée par David Ricardo, est celle des avantages comparatifs.
Ricardo résout le problème de l’import, en défendant que même un pays désavantagé
dans la production de tous les biens a tout intérêt à échanger. Le pays peut se
spécialiser dans la production du bien où il est relativement le plus avantagé. Il parle
alors d’avantages comparatifs.
Par la suite, le commerce international va connaître un essor important sous la direction des
institutions internationales créées, telles que le FMI, la Banque Mondiale et l’OMC
(anciennement GATT). Ces organismes ont favorisé l’expansion du libre-échange, et ont
également permis à des États touchés par les conflits de se reconstruire.
Dans les années 60, les entreprises multinationales vont jouer un rôle prépondérant dans
l’essor des échanges commerciaux, en instaurant certaines mesures :
L’indicateur principal utilisé pour évaluer les échanges de biens et de services entre un pays
donné et le reste du monde est la balance commerciale. Pour calculer cet indicateur, il suffit
de faire la différence entre les exportations et les importations. Le solde de cette opération est
quant à lui nommé le solde commercial.
la Chine ;
les États-Unis ;
l’Allemagne ;
le Japon ;
les Pays-Bas.