Rapport TP HYDRAULIQUE
Rapport TP HYDRAULIQUE
Rapport TP HYDRAULIQUE
3ème année
Génie Civil, Bâtiments et travaux publics
Sous le thème
Réalisé par :
Younes Hamsis
Encadré par :
Mme. Ahlam El Majid
Mme. Safae Merzouk
Conclusion ………………………………………………………………………………………………………………..17
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Liste des figures :
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Liste des tableaux :
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Introduction générale :
L’hydraulique générale c’est une partie de la mécanique des fluides qui concerne le
comportement des liquides au repos ou en mouvement. Au départ l’hydraulique était
considérée beaucoup plus comme étant une technique plutôt qu’une science. Le mot
hydraulique désigne de nos jours deux domaines différents : Les sciences et les technologies
de l'eau naturelle et ses usages : hydrologie, hydraulique et hydrogéologie, etc. Les sciences
et les technologies de l’usage industriel des liquides sous -pression : machines,
hydrauliques….. Etc.
La perte de charge correspond à la dissipation, par frottements, de l’énergie mécanique d’un
fluide en mouvement Le plus souvent, le terme de perte de charge est utilisé pour quantifier la
perte de pression au sein d'une canalisation générée par les frottements du fluide sur celle-ci.
La notion de perte de charge linéaire, ou perte de charge régulière, est causée par les
frottements sur les parois courantes du réseau. Mais elle est aussi due à la viscosité du
fluide qui peut avoir tendance à coller aux parois des tuyaux et conduites. Les macro-
aspérités du réseau, telles que les branchements, les échelles, les câbles… relèvent des pertes
de charge linéaires. Les pertes de charge linéaires dépendent de deux choses : de la rugosité
interne des conduites que le fluide traverse et du type d’écoulement.
Les pertes de charge singulières se produisent lorsqu’il y a une modification géométrique des
conduites par lesquelles le fluide s’écoule. Ces modifications géométriques perturbent
l’écoulement normal du fluide, peuvent provoquer le décollement du fluide des parois des
différents tronçons, voire occasionner des tourbillons à l’intérieur de la conduite. Sont
généralement recensés comme causes de perte de charge singulière les changements de
direction ou de section des canalisations comme les coudes, les branchements et les
raccordements en T, les vannes et robinets, les appareils de mesure, les rétrécissements et
variations de section, les clapets, filtres, diaphragmes…
Le nombre de Reynolds est un nombre sans dimension et la distinction entre écoulement la-
minaire et écoulement turbulent peut être déterminée à l’aide du nombre de Reynolds Re.
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Chapitre 1 : Première expérience de mesure de perte de charge linéaire
Et donc : -7-
Si Re < 2000 le régime est laminaire alors λ=64/Re.
si 2000 < Re< 10 l'écoulement est turbulent lisse alors λ=0,316/(Re)^0,25.
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Régime laminaire :
Résultats Pratiques :
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Résultats Théoriques :
Régime turbulent :
Résultats Pratiques :
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es- Volume Temps Pression Débit Vitesse V
sai (ml) (S) (m3/s) (m/s)
P1 P2 ΔP λ
*10^-6
Résultats Théoriques :
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essai Débit *10^-6 Vitesse (m/s) Re λ
1 3,49 0,2777 1110,8 0,0547
Pour le régime laminaire, expérimentalement, on constate que quand le débit augmente et les
pertes de charge aussi, le coefficient de perte de charge linéaire λ diminue.
Noté bien qu’on a affronté des problèmes au niveau de la machine hydraulique FME05 ce qui
apparait dans les résultats du nombre de Reynolds qui dépasse 2000 dans le régime laminaire.
Pour le régime turbulent, expérimentalement, on constate la même chose que quand le débit
augmente et les pertes de charge aussi, le coefficient de perte de charge linéaire λ diminue.
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Chapitre 2 : Deuxième expérience de mesure de perte de charge singulière
Expérimentalement qui est créé par les frottements d’eau sur les différents
On commence par fixer les hauteurs des tubes dans le même niveau, après on passe pour
choisir le premier débit et quand l’eau monte à l’aide de la pompe dans les tubes, on prend
note des hauteurs obtenus et on calcule le débit en versant une quantité d’eau dans un bécher
et déterminant le temps depuis le début d’écoulement et l’arrêt et on refait ces étapes 6 fois.
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2.3) les relations de calcul :
• Bilan hauteur
• Coefficient de singularité :
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Essai Volume Temps Singularité1 Singularité2 Singularité3 Singularité4 Singularité5 Singularité6
(ml) (s) H1 H2 H3 H4 H5 H6 H7 H8 H9 H10 H11 H12
1 230 3,5 430 428 428 430 430 429 430 428 425 428 415 412
2 240 2,85 432 428 430 432 432 428 427 426 428 420 415 400
3 350 3,15 435 430 430 435 432 428 425 429 422 418 390 385
4 300 2,26 425 419 422 428 430 420 421 415 415 400 355 350
5 340 2,26 425 415 425 435 440 435 435 430 425 410 340 320
6 380 0,9 499 493 495 492 490 464 465 450 425 88 100 35
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Singularité 2 : élargissement (d=40mm)
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Singularité 4 : coude moyenne (d=25mm)
H7 H8 Débit (m3/s) Vitesse (m/s) Ksi
430 428 6,75*10^-5 0,1375 2,075
427 426 8,42*10^-5 0,1715 0,667
425 429 1,11*10^-4 0,2261 1,535
421 415 1,32*10^-4 0,2689 1,628
435 430 1,50*10^-4 0,3055 1,051
465 450 4,22*10^-4 0,8596 0,398
Tableau 9: Singularité 4
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Conclusion :
Durant ce TP, on a étudié deux types de pertes de charge (linéaires et singulières) et on a
essayé calculer les coefficients de pertes de charge et les comparer expérimentalement et
théoriquement en mesurant les hauteurs et les pressions et enfin pour avoir un écoulement de
bonne qualité il faut bien essayer de diminuer les pertes de charges car ils sont les principales
facteurs d’absorption d’énergie.
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