Francais 1G
Francais 1G
Francais 1G
Ouverture :
Le surréalisme
> Que signifie surréaliste ?
Au dessus du réel.
La pensée consciente et inconsciente.
→ Le poète jette son passé et ses amours dans un brasier pour se libérer de
sa douleur et mieux renaître pour profiter de la vie et de l’amour
→ 1er poème de la parte « du feu » (3 poème), écrit en 1908 sans le titre
initiale « le pyrée » (autel du feu chez les perses)
Problématique : dans quelle mesure ce poème est-il une réécriture du
mythe du phœnix ?
Mouvement de texte:
1. Rejet du passé : le poète est un héros
2. Purification du poète
3. Nostalgie
4. Tout prend feu : la vengeance du poète
5. Le poète renaît de ses cendres
Explication linéaire
- Univers mythologique :
Centaures (Créature mi-homme, mi-cheval)
- La reprise des mythes grecs fait référence à la
tradition poétique.
V.6 personnification des étoiles : tout l’univers
participe à la purification du poète.+ le règne animal
(centaure) et végétal (personnification des plantes
V.10)
- Le poète décide d’aller de l’avant dans sa vie, de
manière précipitée. Il pense au futur(strophe 2) et
s’éloigne du passé (strophe 1)
« Qu’au brasier les flammes - Métaphore du phœnix : Le poète jette son passé et
renaissent » ses passions amoureuse pour que ceux-ci meurent
puis que le poète renaisse.
« Nos cœurs pendent au - « nos cœurs » sont une métaphore des citrons :
citronniers » des fruits qui sont le symbole de la naissance voire
de la renaissance du poète.
« Le fleuve épinglé sur la -fleuve : symbole de la vie qui s’écoule : le poète
ville » renaître
- Apostrophe au feu + tutoiement (proximité) : Le
« T’y fixe » / « tu subis » poète s’adresse au feu par le fleuve
-Antithèse entre l’eau et le feu qui sont deux élément
qui s’opposent mais qui vont aider le poète à renaître
« ville » -thème moderne en poésie
« amphion »(musicien) -Référence à Orphée qui est capable de tout
émouvoir : renouveau de la poésie
-évocation de la reconstruction de la « ville » grâce
« qui rendent les pierres au poète : métaphore de la création d’une nouvelle
agiles » poésie
-oxymore entre pierre et agile
-avec l’apparition de l’eau dans cette dernière
strophe, le poète a éteint le feu, il est purifié et il a
rejeté son passé au profit d’une nouvelle vie.
Conclusion :
Ouverture :
→« Zone » et « Vendémiaire »
→ « Les Colchiques » → amour
→ « La loreley » → amour
→ « Nuit Rhénane » → amour
Synthèse sur le recueil
Versification :
Rupture avec la versification traditionnelle : il innove avec le vers libre,
les vers et les strophe irrégulières et l’absence de ponctuation .
Thème :
Ville, quotidien, industrie, moyens de transport, amour malheureux,
femmes mythologie rhénane, ivresse ….
Le poète veux :
→La liberté : plus de frontière créative
→Homme de son temps :
Il doit évoqué les technologies modernes
→Création d’un nouveau lyrisme
Esprit nouveau
Dissertation
1er disertation
brouillon :
zone Baudelaire,
L’âne du vin
vendémiaire Le vin de l’assassin
Le vin du chiffonnier
les colchiques
le vin des amants
le brasier le vin du solitaire
la loreley
nuit rhénan
> « Nuit Rhénane » Le poète est en > « Zone » La mort d’Apollon (« soleil cou
train de boire dans une taverne et coupé »)
montre la toxicité des femmes.
b)Rejet du passé
b) description de la ville : > « Zone » « à la fin tu es las de ce monde
ancien ».
> « zone » Paris ou il y a des « zone > « Les colchiques » « Filles de leurs filles »
industrielle. » Tradition des femmes fatales.
b-un conte
>Une Histoire narrative
>Chevalier/religieux/sirène
b-Mais désespérée
>malédiction de l’enfer
>elle veut se repentir
>elle aime un chevalier
>elle se suicide ?
Dissertation N°2
analyse du sujet :
1 .
>art (peinture)
>Métaphore pour la description littéraire de la ville
I)
A . Thèmes nouveaux : La ville, le bruit, la foule… « zone »
II)
A. Une ville en mouvement : renouvellement du rythme poétique
( vers libre, pas de ponctuation, strophe irrégulière…) « zone » ,
« vendémiaire »
B. mouvement spatial : de Paris au monde entier. « zone »
C. mouvement temporel : cycle du recueil. Opposition entre l’ancien
et le nouveau monde. « le brasier »
III)
A. Homme reflet de la ville, lieu d’aventure. « zone »
« vendémiaire »
B. Reflet du poète : interprétation de la ville selon sa vision et ses
sentiment « pont Mirabeau »
C. Lieu de la création poétique (inspiration)
Dormeur du val
Rimbeau A la musique
Venus anadyomère
b-Thèmes modernes
>renouveau du thème de la femme qui devient toxique
« nuit rhénane » « Les colchiques »
>modernité de la ville « zone » « vendémiaire »
peintre du 19e claude Monet, LA gare Saint-Lazar
II/Une poésie utilise le passé
a-Terme traditionnels (mythologie, cycle de la vie, le lyrisme, les
femme...)
b-Opposition entre e nouveau et l’ancien
> « vendémiaire »
c- Apollinaire est influencé par d’autres auteurs
« esprit nouveau » → Verlaine Rimbaud
mythologie rhénane
autobiographie → Annie playden
Correction dissertation :
« zone » V.1 :
→vers libre
→ strophe irrégulières
→ pas de ponctuation : Le rythme du vers va créer la
ponctuation.
+ Création de double sens → « nuit Rhénane » est-ce le
batelier ou les sirènes qui chantent ?
→ Langage courant « zone » → quartier
Apollinaire brise les interdits en utilisent peu de langage
soutenu // Surréalisme Dali
Introduction :
→ Poème issu du recueil Calligrammes qui a pour sous-titre
« Poème de la paix et de la guerre ».
→ Poème dessin qui ont été remis au goût du jour par A. qui a été
jugé par la critique comme étant enfantin.
Ouverture :
→ Ponge, « Le morceau de viande » qui évoque l’humanité.
→ Picasso, Guernica qui évoque la guerre civile en Espagne.
→ Le Journal d’Anne Franck.
Lecture linéaire n°5 : Robert Desnos « J’ai tant rêvé de
toi…»,1930
Introduction :
-Le poème fait parti du recueil Corps et bien et de la partie À la
mystérieuse qui est consacré à l’amour et notamment à la femme
idéale.
-Dans « J’ai tant rêvé de toi… » le poète s’adresse directement à la
femme aimée yvonne George qui refusa l’amour de Desnos. Il a
écrit son poème peu après la mot de celle-ci.
-Poème surréaliste qui évoque le rêve et l’amour.
texte :
J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité.
Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant
et de baiser sur cette bouche la naissance
de la voix qui m’est chère ?
J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués en étreignant ton ombre
à se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas
au contour de ton corps, peut-être.
Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante
et me gouverne depuis des jours et des années
je deviendrais une ombre sans doute,
Ô balances sentimentales.
J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps sans doute que je m’éveille.
Je dors debout, le corps exposé à toutes les apparences de la vie
et de l’amour et toi, la seule qui compte aujourd’hui pour moi,
je pourrais moins toucher ton front et tes lèvres que les premières lèvres
et le premier front venu.
J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme
qu’il ne me reste plus peut-être, et pourtant,
qu’à être fantôme parmi les fantômes et plus ombre cent fois
que l’ombre qui se promène et se promènera allègrement
sur le cadran solaire de ta vie.
Analyse linéaire :
« tu perds ta réalité » vers 1, « apparence » vers 9-16, -le « tu » n’est jamais nommé : le
« dors debout » vers 15 lecteur peut s’identifier à la
personne aimée puisque le
« tu » est anonyme. Il partage
ainsi les sentimets du poète.
« la voix qui m’est chère » Vers 4 – Expression qui suggère la force
de l’amour : adjectif
Conclusion
ce poème est une déclaration d’amour dédié à une femme
décédée.
C’est un poème surréaliste puisqu’il évoque le rêve, la réalité et
l’amour fou. Il met en avant un amour fragile voire impossible mais
qui est véritable (seulement dans le rêve).
Ouverture
– Apollinaire, « Les Colchiques » : Amour impossible avec Annie
Playden.
– Baudelaire, « Le vin des amants »:poème sur la sensualité
permise grâce au vin.
– Ponge, « morceau de viande » : poème surréaliste sur la condition
humaine.
– Dali « Les cadrans mous » : qui évoque le temps qui passe.
1)
Louis XIV (1723)
Louis XV (1723-1774)
Louis XVI (1774-1789)
1789 = La révolution française.
2-Transformation culturelle :
→ Diffusion + large des livres.
→ Apparition des 1er journaux quotidiens
→ Début des salons littéraires et des café pour débattre.
→ Les écrivains commencent à lutter pour leur droit.
4-
1-Il faut instruire dans un but pratique : aider leurs enfants à faire
leurs devoirs.
2-pour éviter les inégalités entre les membres d’une famille et
permettre à tout les monde de trouver le bonheur.
5) -Apostrophe « madame ».
– Impératif.
– Elle critique l’ambition de la reine « vous aimez la gloire ».
– Elle emploie l’argument d’autorité de l’histoire et de la postérité.
-Elle remet en cause les droits divins dans la monarchie « qui a
celle que le hasard ».
1-Le texte a pour but de provoquer l’homme et attirer l’attentons des
lecteurs.
2-Dans la nature, les femelles et les mâles sont égaux. Sachant que
c’est dieu qui a crée la nature comment se fait-il qu’il y ait une
discrimination chez l’homme ?
Conclusion :
C’est un plaidoyer engagé en faveur de l’égalité homme/femme et
notamment de la légitimité des femmes à participer à la vie de la
société. C’est une réécriture incisive de la DDHC en mettant tout au
féminin.
Articles 3 à 17
4) Ce texte ne défend pas plus les hommes que les femmes, il s’agit
de donner l’égalité à tout le monde face à la loi.
Olympe de Gouges « Dura lex sed lex » (Dure est la loi mais c’est la
loi)
6) Article 10.
Introduction :
La DDFC est un texte juridique écrit par Olympe de Gouges en
1791. Dans ce texte elle appelle les femmes a se révolter pour
demander l’égalité. Dans quelle mesure ce postambule encourage
t-il les femmes a réclamé leurs droits ?
Conclusion :
Olympe de Gouges présente : les femmes comme des guerrières
des lumières qui se doivent de lutter pour revendiquer leurs droits
grâce a leur esprit. Ce texte virulent appelle les femmes à prendre
conscience de leurs conditions servile et à se soulever pour se
battre pour leurs droits.
Ouverture :
→ discours de Théroigne de Méricourt prononcé en 1792.
→ Charles de Gaulle Appel du 18 juin.
1) Les amazones
Introduction :
b)culture/ éducation
→ coquetterie.
→ maternité.
b) la censure
c) Argumentation indirect ne permet pas toujours de faire
comprendre son message, c’est une fiction, le lecteur veut avant
tout se divertir. Ex : Zamore et Mirza, Olympe de Gouges
b) Musique/clip (radio/deizer… )
clip Kid, Barbara Pravi
2. Oui.
3.Explicite.
On => il englobe tout le monde = les Européens.
Accusateur.
I. Conte philosophique
→ vraisemblance.
→ Bienséance.
→ Action croissante jusqu’au dénouement.
b)Thématiques de la pièce
b) La satire de la médecine.
→ Abus de la médecine sur la faiblesse des patients
→ Argan est capable d’inventer les réactions de fleurant ce
qui montre que l’apothicaire est prévisible.
Conclusion :
La scène d’exposition est atypique, en effet à travers le
monologue d’Argon. Elle permet de critiquer la société et de
faire rire le spectateur même si elle n’explique par vraiment
l’intrigue de la pièce, ce qui est normalement la fonction
attendue d’une scène d’exposition.
Lecture linéaire N°1 : acte I, scène 5
Introduction :
Mouvement du texte :
Conclusion :
Cette scène est comique grâce à linversion des rôles entre
Toinette et argan mais aussi frâce au rythme donné à la
pièce.
Introduction :
Le malade imaginaire, créé en 1673 par Molière, met en
scène Argan, un hypocondriaque, qui souhaite marier sa
fille à un médecin, afin qu’il assure sa surveillance médiacle.
Dans la scène 5 de l’acte II, M.Diafoirus et son fils, Thomas,
viennent se présenter te faire leur demande à Argan et
Angélique.
Mouvements :
1 – l.1 à 11 : Présentation de Thomas à Argan
2 – l.12 à 31 : Les compliments de Mademoiselle
Conclusion :
Molière critique la médecine à travers le personnage de
Thomas Diafoirus : c’est un sot qu’il n’a aucun jugement
mais qui va réussir à devenir médecin en apprenant ses
leçons par cœur. Mais c’est un très maivais élève qui recite
sa déclaration d’amour sans aucun naturel.
C’est donc une satire des médecins qui sont des
imposteurs, des ignorants et des incompétents.
Ouverture :
– molière, Le Tartuffe : critique des dévots qui sont des
hypocrites comme les médecins.
Lecture N°13 : Acte III, scène 3
Introduction :
Molière a écrit dans la préface du tartuffe que le but de la
comédie est de « crriger les hommes en les divertissant ».
Le malade imaginaire est une comédie ballet écrite par
Molière en 1673. dans la scène 3, de l’acte III, on assiste à
un dialogue entre Argan et son frère, beralde, qui débattent
sur la légitimité de la médecine. C’est aussi l’occasion pour
molière de rompre le « quatrième mur » théâtral pour
évoquer les pouvoir de la comédie. Dans quelle mesure
cette scène de confrontation entre Argan et Béralde permet-
elle de réfléchir sur la fonction du théâtre ?
Mouvement :
Conclusion :
C’est une scène comique qui oppose deux caractères, Argan et
Béralde, l’un qui fait l’éloge des médecins et l’autre qui critique
les pratiques de la médecine. Elle est également touchante puisque
le mal évoqué dans la pièce est aussi celui de Molière. Elle fait
enfin l’éloge du théâtre qui a pour fonction de divertir, critiquer et
changer les mœurs des spectateurs.
Ouverture :
– fin de la pièce
– l’avare de Molière
Commentaire de la scène 14, acte III
Introduction :
Molière, le malade imaginaire, comédie ballet, 1673.
scène 14 : Béralde et toinette critique la médecine et propose à
Argan de devenir médecin. Argan veut que Cléante devienne
médecin pour épouser sa fille et il accepte.