Guide Plantons Local en Idf Arb-Idf 2019 1
Guide Plantons Local en Idf Arb-Idf 2019 1
Guide Plantons Local en Idf Arb-Idf 2019 1
PLANTONS LOCAL
EN ÎLE-DE-FRANCE
La majeure partie de ce guide a été initialement conçue et réalisée
par les équipes de l’Eurométropole de Strasbourg et Philippe Ludwig.
L’Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France les remercient
chaleureusement d’avoir accepté l’adaptation de ce guide
au territoire francilien.
RELATIONS PRESSE
Sandrine Kocki
ÉDITO
Enrayer l’érosion de la biodiversité est Ce guide a donc pour objet de répondre
devenu un enjeu majeur qui requiert en partie à cet objectif. Il est également
l’engagement de tous et qui profite à destiné aux différents acteurs intéres-
tous. Dans cette perspective la Région sés par la protection de la biodiversité,
Île-de-France s’engage depuis plusieurs aménageurs, gestionnaires, proprié-
années à accompagner l’ensemble des taires fonciers, qui ont la charge et le
acteurs du territoire dans leurs actions souci d’aménager et de gérer durable-
en faveur de la biodiversité franci- ment leurs espaces de nature. Il recense,
lienne. La nouvelle Stratégie régionale de façon non exhaustive, les arbres,
pour la biodiversité, présentée au vote arbustes, arbrisseaux, plantes couvre-
en novembre 2019, fixe un cadre d’ac- sol, plantes aquatiques et semi-aqua-
tion territorial fort et cohérent à travers tiques, annuelles, bisannuelles et
4 orientations majeures : vivaces issues du bassin parisien.
Le guide propose une palette végétale : Ce guide ne porte pas sur la gestion et
• favorable aux interactions avec les usages des sites proprement dit
la faune : plantes hôtes pour les mais sur le choix des végétaux. Pour
larves et chenilles, aux fleurs attrac- cela, l’Agence régionale de la biodiver-
tives pour les adultes (papillons, sité en Île-de-France (ARB îdF) a publié
syrphes, bourdons, abeilles…), aux en 2015 le guide de « conception et de
fruits savoureux pour les oiseaux gestion écologique des cimetières » et
et mammifères, etc. ; en 2016 le guide de « gestion écolo-
• adaptée au climat, aux sols naturels gique des espaces collectifs publics et
ou remaniés de la région ainsi qu’à la privés », disponibles en téléchargement
gestion humaine ; sur le site de l’agence : www.arb-idf.fr
• disponible sous la marque
« Végétal local » (voir encadré p. 10).
www.label-ecojardin.fr
http://florif.fr
• leur provenance locale, au regard d’une « Végétal local » est un signe de qualité
carte des 11 régions biogéographiques pour toute une palette de végétaux.
métropolitaines (et des régions
biogéographiques d’outre-mer), L’Île-de-France se situe sur trois
avec une traçabilité complète ; régions selon le découpage du label :
• la prise en compte de la diversité • Zone nord-est pour l’Est de la Seine
génétique dans les lots de plantes et et Marne,
d’arbres porteurs du signe de qualité ; • Bassin parisien nord,
• une conservation de la ressource • Bassin parisien sud.
(plantes et arbres mères) dans le milieu
naturel, malgré les collectes. Retrouvez la liste des espèces
bénéficiant de la marque
Au travers d’un cahier des charges détaillé par région d’origine ainsi que
et rigoureux, prévoyant un système celle des producteurs sur le site
de contrôle (assuré par des auditeurs la marque :
indépendants) et une traçabilité, www.vegetal-local.fr
LE SAULE « TÊTARD » :
UN REFUGE POUR
LA BIODIVERSITÉ !
L’aspect si particulier des arbres têtards
est le résultat d’un étêtage régulier des
arbres permettant la repousse de rejets.
Il contraint l’arbre à prendre une forme
caractéristique à « grosse tête ».
QUELQUES CONSEILS
Dès que le tronc a atteint
un diamètre de 5 cm
environ, couper la tige
principale en hiver
(à 1,5 ou 2 m) et élaguer
intégralement le tronc.
Répéter annuellement
l’élagage, ainsi que
l’étêtage tous les deux
© Boris Transinne
à trois ans, le temps
qu’une “tête” se forme.
IDÉES REÇUES
SUR LE LIERRE
Hedera helix
HÊTRE
Fagus sylvatica
Fagus signifie manger en grec par allusion
à son fruit (le faîne) comestible, mais le
Hêtre a d’autres propriétés culinaires.
Le fruit a tendance à se bonifier avec
le temps de par l’huile qu’il renferme.
CHÊNE PÉDONCULE
Quercus robur
Les geais sont probablement parmi les
acteurs les plus efficaces de la dispersion
des glands sur une longue distance.
Ces oiseaux privilégient les glands allongés
du chêne pédonculé viables, aptes à la
germination. Ils les déposent au milieu
de clairières dans des caches espacées,
recouvertes de terre et de débris végétaux.
On estime qu’un geai peut annuellement
propager 2 000 à 3 000 glands.
Brachypodium
Brachypode des bois 50-100 cm Juillet-Août
sylvaticum
Callune Juillet-
Calluna vulgaris 30-100 cm
fausse bruyère Septembre
Eupatorium Juillet-
Eupatoire chanvrine 60-120 cm
cannabinum Septembre
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
Mai-
Geum urbanum Benoîte commune 20-60 cm
Septembre
Septembre-
Hedera helix Lierre grimpant 3-30 cm
Novembre
Avril-
Lamium galeobdolon Lamier jaune 20-60 cm
Septembre
Groseillier
Ribes uva-crispa1 50-150 cm Avril-Mai
à maquereaux
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
Juillet-
Solidago virgaurea Solidage verge d'or 20-80 cm
Septembre
Juillet-
Teucrium scorodonia Germandrée 30-80 cm
Septembre
Tilleul
Tilia cordata 20-30 m Juin-Juillet
à petites feuilles
Tilleul
Tilia platyphyllos 20-35 m Juin
à grandes feuilles
Véronique
Veronica chamaedrys 20-40 cm Mai-Juillet
petit-chêne
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
L’intérêt social et paysager d’une mare Les moustiques ne prolifèrent pas aux
est indéniable. Véritable miroir reflétant abords d’une mare, tout simplement
le ciel et la végétation alentour, cette parce que bon nombre de ses habitants
oasis de fraîcheur est une invitation à en sont friands ! En revanche, une faible
la détente et au bien-être. La mare vient quantité d’eau stagnante, dans une
agrémenter nos jardins et espaces verts cannette de soda présente au sol, suf-
et attirer la vie. En effet, à la lisière de fit à alimenter un quartier en insectes
l’eau et de la terre, la mare conjugue les piqueurs. En effet, aucun prédateur ne
richesses biologiques des milieux aqua- s’aventure dans ces boîtes.
tique et terrestre.
GRANDE CONSOUDE
Symphytum officinale
Le terme « consoude » apparu vers 1265
provient de ses vertus à cicatriser les plaies
et à consolider les fractures. Elle possède
bien d’autres usages médicinaux, connus
depuis l’Antiquité ! Très esthétique, elle
agrémente les jardins. Son purin renforce les
plantes, favorise leur développement
et stimule la flore microbienne du sol.
Elle a un fort potentiel nectarifère, d’ailleurs
les bourdons ne s’y trompent pas et sont
si pressés d’accéder au nectar, qu’ils percent
un trou à la base de la corolle. Les abeilles
à langue courte peuvent alors également
y accéder !
LES SAULES
Il existe plus de 70 espèces de saules en Europe (350 dans le monde).
En s’hybridant très facilement, ils rendent la tâche d’identification difficile
aux botanistes. C’est parmi eux que l’on trouve le plus petit arbre au monde :
2 cm de haut ! Leur floraison en chatons est à la fois esthétique et utile,
car ces derniers sont très mellifères*.
SAULE BLANC
Salix alba
Il est très décoratif par son feuillage au
revers argenté et ses rameaux souples. C’est
un arbre de grande taille, mais que l’on peut
aisément contenir, en le taillant en « têtard ».
Ses rameaux sont utilisés pour produire
de l’osier.
SALICAIRE
Lythrum salicaria
Ses fleurs magenta s’épanouissent en longs
épis (25-30 cm) du milieu de l’été au début
de l’automne. Ses graines sont très lourdes
et ne peuvent donc pas être disséminées
par le vent. Malicieuse, la plante a donc
rusé : avec l’humidité de l’air, les graines
libèrent un mucilage* abondant leur
permettant de se coller au plumage
des oiseaux.
MENTHE AQUATIQUE
Mentha aquatica
Présente sur les berges humides, cette
plante aux fleurs mauve-lavande très
nectarifères, attire de nombreux insectes.
Ses feuilles sont très appréciées des
femelles de Tritons qui les replient sur leurs
œufs. Pour éviter qu’elle ne colonise de trop
grandes surfaces, la culture en « panier »
peut s’avérer nécessaire.
Nombreux cultivars*
juillet-
Angelica sylvestris Angélique sauvage 3m
septembre
juillet-
Bidens tripartita Bident trifolié 20-50 cm
septembre
Laîche
Carex pendula 1m mai-juillet
à épis pendants
Ceratophyllum juin-
Cornifle immergé 50-90 cm
demersum septembre
juillet-
Cirsium palustre Cirse des marais 50-100 cm
septembre
juin-
Epilobium hirsutum Epilobe hérissée 1m
septembre
mai-
Equisetum palustre Prêle des marais 25-60 cm
septembre
Eupatorium Juillet-
Eupatoire chanvrine 60-120 cm
cannabinum Septembre
Heracleum juin-
Berce sphondyle 1m
sphondylium septembre
Juncus
Jonc aggloméré 40-80 cm juin-août
conglomeratus
juin-
Juncus effusus Jonc épars 40-80 cm
septembre
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
juin-
Lotus pedunculatus Lotus des marais 30-80 cm
septembre
juillet-
Lycopus europaeus Lycope d'Europe 30-100 cm
septembre
Lysimachia Lysimaque
10-60 cm juin-août
nummularia nummulaire
juin-
Lythrum salicaria Salicaire 50-100 cm
septembre
juillet-
Mentha aquatica Menthe aquatique 35-80 cm
septembre
juillet-
Mentha arvensis Menthe des champs 10-60 cm
octobre
Menthe juillet-
Mentha suaveolens 10-80 cm
à feuilles rondes septembre
Myriophyllum
Myriophylle en épis 2-3 m juin-août
spicatum
juin-
Nuphar lutea Nénuphar jaune 50-90 cm
septembre
juin-
Persicaria amphibia Persicaire flottante 30-100 cm
septembre
Baldingère
Phalaris arundinacea 80-150 cm mai-juillet
faux-roseau
juillet-
Phragmites australis Roseau 3-5 m
septembre
juin-
Potamogeton crispus Potamot crépu 30-200 cm
septembre
juin-
Potamogeton natans Potamot nageant 100 cm
septembre
juin-
Potamogeton nodosus Potamot noueux 50-200 cm
septembre
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
Pulicaire juillet-
Pulicaria dysenterica 30-60 cm
dysentérique septembre
Ranunculus avril-
Renoncule scélérate 8-80 cm
sceleratus septembre
Sagittaire
Sagittaria sagittifolia1 40-80 cm mai-août
à feuilles en cœur
juin-
Saponaria officinalis2 Saponaire 30-80 cm
septembre
Scrophularia juin-
Scrofulaire aquatique 1-2 m
auriculata septembre
Scutellaria juin-
Scutellaire casquée 2-100 cm
galericulata septembre
juin-
Solanum dulcamara Douce amère 1-2 m
septembre
Juillet-
Sparganium erectum Rubanier dressé 50-100 cm
septembre
juin-
Stachys palustris Epiaire des marais 40-100 cm
septembre
juillet-
Succisa pratensis Succise des prés 30-100 cm
octobre
Massette
Typha angustifolia 1-2 m juin-août
à feuilles étroites
Massette
Typha latifolia 1-2 m juin-août
à larges feuilles
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
Bugle rampant
ACHILLÉE MILLEFEUILLE
Achillea millefolium
Elle doit ce nom à son feuillage découpé si
finement qu’il donne l’impression de voir
des milliers de petites feuilles. Certains
l’appellent aussi « sourcil de Vénus »
ou « herbe aux coupures », car elle a la
propriété de stopper les saignements.
D’après la légende, Achille lui-même
l’utilisait pour soigner ses blessés de guerre.
Achillea provient du grec Akhilèios qui
signifie « herbe d’Achille ».
Nombreux cultivars*
LUZERNE LUPULINE
Medicago lupulina
Vivace, ubiquiste mais préférant les sols
calcaires, cette luzerne produit de petites
grappes de fleurs jaunes avec des gousses en
forme de rein. Mellifère*, elle est utilisée pour
le fourrage ou encore pour enrichir le sol.
CENTAURÉE DE DEBEAUX
Centaurea decipiens
Elle est très appréciée des papillons qui
fréquentent régulièrement ses fleurs mauves
finement découpées et du chardonneret.
Peu exigeante, elle trouve sa place partout
et apporte fraîcheur et légèreté.
Nombreux cultivars*
VIPÉRINE
Echium vulgare
Très velue et légèrement épineuse, elle peut
atteindre 1 m de haut. La couleur de ses
fleurs varie de rose en boutons à bleu-vif
à maturité. Il est fréquent de l’observer sur
les bords de route. Elle fournit aux abeilles,
bourdons et papillons un abondant nectar
pendant plusieurs semaines.
Certaines osmies (abeilles solitaires)
la butinent de façon quasi exclusive !
COQUELICOT
Papaver rhoeas
Porte drapeau de la flore champêtre,
le coquelicot, à défaut d’être accepté dans
les cultures, trouve sa place dans les zones
récemment remuées où le sol est nu.
Ses très nombreuses graines (jusqu’à 60 000
pour un seul pied) patientent avant que
les conditions ne leur soient favorables.
Si le terrain est dégagé, la floraison peut être
très spectaculaire !
MAUVE MUSQUÉE
Malva moschata
Cette plante très élégante est héliophile*
(recherche une situation très ensoleillée).
Elle sera tout à son aise sur un talus sec
qu’elle illuminera de ses fleurs rose-pale
aux cinq pétales échancrés.
Nombreux cultivars*
BOUILLON BLANC
Verbascum thapsus
Cette plante bisannuelle affectionne les
milieux secs. Son feuillage très duveteux,
lui permet de s’accommoder du manque
d’eau. S’il se fait très discret la première
année, en ne formant qu’une rosette,
il érige l’année suivante une tige florale
pouvant dépasser les 2 mètres !
MARGUERITE COMMUNE
Leucanthemum ircutianum
La Marguerite est très rustique et peut
supporter un stress hydrique. La Mouche
de la Marguerite (Tephritis neesii) est
inféodée à cette Marguerite. Ses larves
se nourrissent des graines en formation,
dans le capitule*.
PRIMEVÈRE OFFICINALE
Primula veris
Plante de pleine lumière des prés, des talus
et des bois clairs, c’est une des premières
à fleurir et donc une première source de
nourriture pour la faune. Les feuilles et fleurs
peuvent être consommées crues ou cuites.
MÉLISSE
Melissa officinalis
Riche en nectar, cette condimentaire, dont
les feuilles sentent le citron, possède aussi
de remarquables propriétés médicinales.
La mélisse est le plus souvent utilisée
pour ses vertus calmantes et relaxantes.
Nombreux cultivars*
ORIGAN
Origanum vulgare
On reconnait son parfum caractéristique
d’herbes de Provence, qui sent bon la pizza !
Cette plante très mellifère* est thermophile
(elle apprécie les conditions chaudes et
ensoleillées).
CARDÈRE
Dipsacus fullonum
Cette plante est également appelée
« Cabaret des oiseaux », car l’eau de pluie
retenue à l’aisselle de ses feuilles attire
certains oiseaux, qui viennent s’y abreuver.
D’autres, comme le chardonneret élégant,
préfèrent picorer ses graines.
Au xixe siècle, ses capitules secs servaient
à peigner et non carder la laine.
La chenille d’un papillon nocturne,
semblable à un gros bourdon (Hemaris
tityus), se nourrit de ses feuilles.
juin-
Agrimonia eupatoria Aigremoine 30-60 cm
septembre
Anthoxanthum
Flouve odorante 10-80 cm mai-juin
odoratum
juin-
Anthyllis vulneraria1 Anthyllide vulnéraire 50 cm
septembre
juillet-
Arctium minus Petite bardane 80-120 cm
septembre
Arrhenatherum
Fromental élevé 60-200 cm mai-août
elatius
janvier-
Bellis perennis Pâquerette 5-15 cm
décembre
Brachypodium Brachypode
70-100 cm Juin-Juillet
rupestre des rochers
1. Nombreux cultivars*
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
mars-
Calendula arvensis Souci des champs 10-30 cm
octobre
Campanula
Campanule raiponce 40-80 cm mai-août
rapunculus
Campanula Campanule
10-50 cm juin-août
rotundifolia à feuilles rondes
juin-
Centaurea decipiens Centaurée de Debeau 40 cm
septembre
juillet-
Cichorium intybus Chicorée sauvage 50-100 cm
octobre
juin-
Cirsium vulgare Cirse commun 50-150 cm
septembre
Clematite
Clematis vitalba 7-20 m Grimpante juin-août
vigne blanche
juin-
Crepis capillaris Crépide capillaire 20-80 cm
novembre
Chiendent juillet-
Cynodon dactylon 10-40 cm
pied-de-poule septembre
juin-
Daucus carota Carotte sauvage 30-80 cm
septembre
Pluriannuelle
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
Epilobium
Epilobe en épis 50-250 cm juillet-août
angustifolium
Érodium à mars-
Erodium cicutarium 30 cm
feuilles de cigue octobre
juillet-
Eryngium campestre Panicaut champêtre 30-60 cm
septembre
Euphorbe avril-
Euphorbia cyparissias 20-50 cm
petit-cyprès septembre
Fétuque de
Festuca ovina1 15-50 cm mai-août
Westphalie
juin-
Galium verum Gaillet jaune 20-60 cm
septembre
Mai-
Geum urbanum Benoîte commune 20-60 cm
Septembre
Helianthemum
Hélianthème 10-40 cm mai-octobre
nummularium
Heracleum juin-
Berce sphondyle 1m
sphondylium septembre
Hippocrépide
Hippocrepis comosa 10-30 cm avril-juillet
chevelue
Hypericum
Millepertuis perforé 20-80 cm juillet-août
perforatum
1. Nombreux cultivars*
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
juin-
Hypochaeris radicata Porcelle enracinée 30-70 cm
septembre
juin-
Lathyrus tuberosus Gesse tubéreuse 30-80 cm
septembre
mai-
Leontodon hispidus Liondent hispide 20-55 cm
septembre
Corne-de-cerf
Lepidium squamatum 5-30 cm mai-juillet
écailleuse
Leucanthemum
Marguerite 20-80 cm mai-août
ircutianum
juin-
Linaria vulgaris Linaire commune 30-80 cm
septembre
Lonicera juin-
Lotier corniculé 1-3 m
periclymenum septembre
Lysimachia Lysimaque
10-60 cm juin-août
nummularia nummulaire
juin-
Malva moschata Mauve musquée 30-60 cm
septembre
juin-
Malva sylvestris Mauve sylvestre 30-50 cm
septembre
Matricaria mai-
Camomille sauvage 20-50 cm
chamomilla novembre
avril-
Medicago lupulina Minette 20-40 cm
septembre
mai-
Myosotis arvensis Myosotis des champs 15-50 cm
septembre
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
juillet-
Origanum vulgare Origan 30-80 cm
septembre
Plantain avril-
Plantago coronopus 5-40 cm
corne-de-cerf octobre
avril-
Plantago lanceolata Plantain lancéolé 10-60 cm
octobre
mai-
Plantago major Grand plantain 10-50 cm
novembre
juin-
Plantago media Plantain moyen 20-50 cm
septembre
juin-
Prunella vulgaris Herbe Catois 5-45 cm
septembre
mai-
Ranunculus acris Bouton d'or 30-60 cm
septembre
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
mai-
Ranunculus repens Renoncule rampante 20-50 cm
septembre
mai-
Reseda luteola Réséda jaune 20-60 cm
septembre
mai-
Rumex acetosa Oseille des prés 30-100 cm
septembre
Scabieuse juillet-
Scabiosa columbaria 30-80 cm
colombaire octobre
Schedonorus
Fétuque des prés 40-100 cm mai-juillet
pratensis
juin-
Silene latifolia Compagnon blanc 100 cm
septembre
mai-
Silene vulgaris Silene enflée 20 cm
septembre
juin-
Stachys recta Épiaire droite 20-60 cm
septembre
juillet-
Tanacetum vulgare Tanaisie commune 80-120 cm
septembre
Taraxacum section
Pissenlit 0-50 cm mai-juin
ruderalia
juillet-
Torilis arvensis Torilis des champs 50 cm
septembre
juin-
Trifolium arvense Trèfle des champs 5-40 cm
septembre
mai-
Trifolium campestre Trèfle champêtre 5-50 cm
septembre
mai-
Trifolium dubium Trèfle douteux 5-30 cm
septembre
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
juin-
Trifolium fragiferum Trèfle porte-fraises 10-30 cm
septembre
mai-
Trifolium pratense Trèfle des prés 10-50 cm
septembre
Tripleurospermum mai-
Matricaire inodore 20-40 cm
inodorum septembre
juin-
Verbascum blattaria Molène blattaire 40-100 cm
septembre
juin-
Verbascum thapsus Bouillon blanc 50-200 cm
novembre
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
#4
PLANTONS DES HAIES
Les haies champêtres présentent de CHANGEONS
très nombreux avantages : elles sont
adaptées aux conditions climatiques DU « BÉTON VERT »
locales, protègent du vent, piègent les
nitrates et limitent le ruissellement. Les haies de Thuyas, Cyprès et Lauriers
palme sont si denses qu’elles ne per-
Elles sont utilisées par la faune comme mettent pas à la faune de s’y abriter. Ces
abri, source de nourriture, lieu de repro- espèces qui appauvrissent le sol sont
duction ou encore comme poste d’affût souvent affaiblies par des tailles sévères
par les rapaces. et répétées et deviennent sensibles
aux maladies. Les parasites n’ont alors
Les épineux (Prunellier, Aubépine, etc.) aucun mal à se propager rapidement sur
offrent une protection efficace aux plusieurs mètres linéaires d’une même
oiseaux nicheurs. D’autres espèces espèce ! À cela s’ajoute beaucoup d’ef-
(Ronce, Sureau, Fusain, …) ont des tiges fort et d’énergie pour tenter de maîtri-
remplies de moelle, que les abeilles soli- ser ces végétaux à croissance rapide.
taires creuseront pour y élire domicile et Et pour couronner le tout, les déchets
déposer leurs larves. de taille ne sont pas valorisables, car
ils acidifient le sol ou encrassent les
conduits de cheminée.
Bien plus esthétiques que des haies
monospécifiques de conifères,
elles offrent une nouvelle palette Ces murs sans vie, d’un vert uniforme,
de couleurs à chaque saison ! ceinturent encore bon nombre
de jardins ou de résidences.
Les espèces proposées dans ce guide
vous invitent à dire adieu à l’uniformité
et à changer de cette monotonie !
Prunellier
CHARME
Carpinus betulus
Incontournable de la haie taillée, le charme
rejette vigoureusement de souche lorsqu’il
est coupé au ras du sol. Son feuillage dense
et opaque se flétrit à l’automne, tout en
restant accroché aux rameaux.
ÉRABLE CHAMPÊTRE
Acer campestre
L’érable champêtre s’accommode de la
plupart des terrains, qu’ils soient calcaires,
pauvres et même relativement secs.
Au printemps ses grappes de fleurs offrent
aux abeilles un excellent nectar. À l’automne
son feuillage vert sombre prend une teinte
jaune citron. Les excroissances ligneuses qui
ornent ses jeunes rameaux font penser aux
colonnes de la Grèce antique. Tout comme
le charme, il supporte des tailles sévères.
NOISETIER
Corylus avellana
Les abeilles apprécient la floraison précoce
de ses chatons, autant que nous apprécions
ses fruits. Cet arbuste est important pour la
survie de la faune sauvage, à laquelle il sert
de gîte et de couvert. Il est très rustique
et s’adapte aussi bien à la haie libre qu’à
la haie taillée.
CORNOUILLER MÂLE
Cornus mas
Cet arbuste est parfaitement adapté aux
sols calcaires. Sa floraison jaune vif vient
égayer le début du printemps. Ces fruits
comestibles (les cornouilles) prennent une
teinte rouge-vermillon à la fin des vacances
estivales.
CORNOUILLER SANGUIN
Cornus sanguinea
Ses fleurs blanches sont très décoratives,
tout comme ses rameaux rouge-violacé sous
les rayons du soleil. Son feuillage prend
également de très belles teintes à l’automne.
C’est à cette saison qu’il porte ses grappes
de fruits noirs qui font le régal des oiseaux.
Nombreux cultivars*.
CLÉMATITE BLANCHE
Clematis vitalba
Cette liane sauvage peut grimper jusqu’à
20 m. En été ses fleurs dégagent un parfum
très agréable. Ses fruits plumeux persistent
longtemps et offrent un magnifique
spectacle dès les premières gelées.
LES AUBÉPINES
Souvent utilisées en haie défensive, les aubépines n’en sont pas moins de très
beaux arbustes à la floraison généreuse. Leurs feuilles prennent des teintes
variées du printemps à l’automne. Enfin, elles s’ornent de magnifiques baies
rouges de la fin de l’été jusqu’au début de l’hiver.
FUSAIN D’EUROPE
Euonymus europeaus
Ses jeunes rameaux verts ont quatre angles
bordés de liège. À l’automne ses feuilles
virent au rouge écarlate, mais ce sont surtout
ses fruits qui attirent tous les regards.
Les « bonnets d’évêque » roses renferment
des graines orange vif, aussi belles que
toxiques.
PRUNELLIER
Prunus spinosa
Ses épines protègent les oiseaux des
prédateurs. Ses fleurs attirent de nombreux
insectes, car elles apparaissent tôt, à une
période où les sources de nectar sont encore
rares. Plusieurs chenilles de papillons se
nourrissent de son feuillage. Ses fruits
astringents ne peuvent être consommés
(en gelée ou en compote) qu’après les
premiers gels. En haie libre, surveillez
son développement, car il peut rapidement
former un taillis impénétrable !
LES VIORNES
Mise en garde : il existe de très nombreux cultivars* des deux espèces suivantes,
indigènes* dans le bassin parisien.
VIORNE LANTANE
Viburnum lantana
Ses feuilles ovales sont épaisses et velues
sur le dessous. Ses multiples fleurs blanches
forment d’élégants bouquets aplatis.
Ses fruits d’abord verts, prennent une
couleur rouge, puis noire. Les oiseaux
en raffolent.
VIORNE OBIER
Viburnum opulus
Une floraison blanche et parfumée au
printemps, des teintes flamboyantes à
l’automne, des baies très recherchées par les
oiseaux en hiver, autant de raison de planter
la Viorne obier !
À condition toutefois de ne pas la confondre
avec une variété horticole et stérile comme
la célèbre « boule de neige ».
GENÊT À BALAIS
Cytisus scoparius
Il se couvre d’une multitude de fleurs jaunes
pollinisées par les bourdons. Celles-ci ne
s’ouvrent qu’après le passage de l’insecte.
Il est parfaitement adapté aux sols pauvres
et sableux.
GENÉVRIER
Juniperus communis
Rustique, peu exigeant, le Genévrier s’adapte
à toutes les expositions. Ses cônes femelles,
d’abord verts, puis sombres et bleuâtres,
sont incontournables dans la choucroute
(baies de genièvre) !
FRAMBOISIER
Rubus idaeus
Si nous sommes très friands de ses fruits,
certains papillons de nuit se nourrissent
quant à eux de ses feuilles.
Nombreuses variétés horticoles.
juillet-
Clinopodium vulgare Sariette commune 30-70 cm
septembre
Cornus sanguinea
Cornouiller sanguin 1-3 m mai-juin
ssp sanguinea1
janvier-
Corylus avellana Noisetier 2-5 m
mars
mai-
Digitalis purpurea Digitale pourpre 50-100 cm
septembre
Juin-
Humulus lupulus Houblon 2-5 m
Septembre
1. Nombreux cultivars*
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
juin-
Hypericum hirsutum Millepertuis velu 40-100 cm
septembre
Saule à janvier-
Salix atrocinerea 12 m
feuilles d'Olivier mars
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
juin-
Solanum dulcamara Douce amère 1-2 m
septembre
mai-
Vicia sepium Vesce des haies 30-80 cm
septembre
1. Nombreux cultivars
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
#5
VÉGÉTALISONS
LE BÂTI
VÉGÉTALISER • Limiter l’emploi de systèmes
pré-cultivés en privilégiant la plan-
LES TOITS, VRAIMENT ! tation en micro-mottes ou en semis,
en choisissant sa propre composi-
Si la préservation des espaces verts en tion floristique ;
pleine terre est la priorité, le bâti peut • Privilégier les variétés locales, dispo-
représenter des surfaces complémen- nibles auprès de quelques fournis-
taires pour la végétalisation, notamment seurs, ou demander au concepteur
les toitures en milieu urbain dense. Si le de s’inspirer des milieux alentours
succès de ces ouvrages va grandissant, la pour créer la toiture végétaliser
majorité d’entre elles sont encore conçues (utilisation d’un substrat local,
de façon industrielle, via des systèmes implantation de végétaux prélevés à
pré-cultivés, comme les toitures dites proximité, etc.)
« extensives », réalisées avec un substrat à • Diversifiant les strates végétales
dominante minérale (pouzzolane, perlite) quand c’est possible et faire varier
de faible épaisseur (3 à 5 cm) et une végé- les profondeurs de substrat pour
tation souvent composée majoritairement créer des conditions différentes
de sédum, principalement en raison de pour la faune ;
leur faible coût, de leur légèreté et de leur • Une profondeur de substrat supé-
faible entretien. Avec une exigence crois- rieure à 8 cm permet de retenir un
sante pour la biodiversité, d’autres modes peu l’eau de pluie (en Île-de-France
de conception ont vu le jour, en essayant les financements de l’Agence de
de reproduire sur les toits des systèmes l’Eau Seine Normandie exigent cette
plus adaptés aux conditions locales. Les profondeur minimale). Augmenter
écologues préconisent aujourd’hui de res- la profondeur jusqu’à 30 cm peut
pecter certains principes de conception permettre d’accroître la richesse
dans leur cahier des charges, notamment : floristique ;
GRANDE CHÉLIDOINE
Chelidonium majus
Le suc qui s’échappe quand on casse
la feuille ou tige contient une trentaine
d’alcaloïdes toxiques qui possède des
propriétés antimitotiques. C’est en
appliquant plusieurs fois ce latex sur les
verrues (ainsi que les durillons et les cors)
que celles-ci sont détruites rapidement,
d’où son surnom d’herbe aux verrues.
ORPIN BLANC
Sedum album
C’est avec cette espèce à fleurs blanches et
à suc non âcre que l’on prépare un onguent
dit « populeum » aux vertus cicatrisantes et
adoucissantes. Il est idéal pour être installé
le long ou sur les murs, sur les toitures pour
former en été une mer de minuscules fleurs
blanches étoilées.
ORPIN ÂCRE
Sedum acre
Ce sédum est idéal pour être glissé dans
les interstices des murets, dans les
dallages ou former des coussins le long
des allées et dans les rocailles ou sur les
toitures végétalisées. C’est l’un des plus
petits sédums mais aussi l’un des plus
envahissants !
Brome
Anisantha diandra 25-60 cm mai-juillet
à deux étamines
Sabline à mai-
Arenaria serpyllifolia 5-25 cm
feuilles de serpolet septembre
mai-
Chaenorrhinum minus Petite linaire 5-40 cm
septembre
juin-
Crepis capillaris Crépide capillaire 20-80 cm
septembre
juin-
Daucus carota Carotte sauvage 30-80 cm
septembre
juin-
Epilobium tetragonum Épilobe à tige carrée 30-80 cm
septembre
Érodium à mars-
Erodium cicutarium 30 cm
feuilles de cigue octobre
mai-
Geranium pusillum Géranium fluet 10-40 cm
septembre
Hypericum
Millepertuis perforé 20-80 cm juillet-août
perforatum
juin-
Hypochaeris radicata Porcelle enracinée 30-70 cm
septembre
OFFRE MODE DE
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POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
Liondent
Leontodon saxatilis 5-30 cm mai-octobre
faux-pissenlit
juin-
Linaria vulgaris Linaire commune 30-80 cm
septembre
avril-
Medicago lupulina Minette 20-40 cm
septembre
juillet-
Origanum vulgare Origan 30-80 cm
septembre
Ornithopus mai-
Ornithope délicat 10-30 cm
perpusillus septembre
Pluriannuelle
mai-
Pilosella officinarum Piloselle 1-3 m
septembre
mai-
Polygonum aviculare Renouée des oiseaux 10-80 cm
novembre
avril-
Rumex acetosella Petite oseille 10-50 cm
septembre
avril-
Sagina procumbens Sagine couchée 3-10 cm
octobre
Saxifrage
Saxifraga tridactylites 2-12 cm avril-juin
à trois doigts
juin-
Sedum album Orpin blanc 10-30 cm
septembre
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ET/OU POLLEN DES SEMENCES
juin-
Trifolium arvense Trèfle des champs 5-40 cm
septembre
avril-
Vicia hirsuta Vesce hérissée 20-60 cm
septembre
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
Sabline à mai-
Arenaria serpyllifolia 5-25 cm
feuilles de serpolet septembre
Toute
Asplenium ceterach Cétérach 5-15 cm
l'année
avril-
Chelidonium majus Grande chélidoine 30-80 cm
octobre
juin-
Dryopteris filix-mas Fougère mâle 30-120 cm
septembre
juin-
Epilobium tetragonum Épilobe à tige carrée 30-80 cm
septembre
Septembre-
Hedera helix Lierre grimpant 3-30 cm
Novembre
août-
Polypodium vulgare Réglisse des bois 10-50 cm
septembre
Saxifrage
Saxifraga tridactylites 2-12 cm avril-juin
à trois doigts
juin-
Sedum album Orpin blanc 10-30 cm
septembre
OFFRE MODE DE
MODE DE HUMIDITÉ NITRO-
EN NECTAR DISPERSION LUMIÈRE PH
POLLINISATION DU SOL PHILIE
ET/OU POLLEN DES SEMENCES
Albouy V., Devinck D., Melbeck D. 1997. Créer des refuges à insectes - Dossier technique de la
Gazette des Terriers, Fédération des clubs CPN. 40 p.
Allard B., Gravrand I 2006. Flore spontanée des villes et des villages - Les cahiers du patrimoine
naturel n°10, Conservatoire du Patrimoine naturel de la région Centre, 6 p.
Arnal G. 2013. Flore des coteaux de la Seine autour de la Roche-Guyon, éditions de l’Amandier,
477 p.
Arnal G., Guittet J. 2004. Atlas de la flore sauvage du département de l’Essonne, éditions Bio-
tope, 608 p.
Auvert S., Filoche S., Rambaud M., Beylot A., Hendoux F 2011. Liste rouge régionale de la flore
vasculaire d’Île-de-France. Paris. 80 p.
Bournérias M., Arnal G., Bok C. 2001. Guide des groupements végétaux de la région parisienne,
éditions Belin. 640p.
Decocq O., Dewitte T., Lecalvez V., Melbeck D. 1998. Créer une mare - Dossier technique de la
Gazette des Terriers, Fédération des clubs CPN. 68 p.
Fernez T., Causse G. 2015. Synopsis phytosociologique des groupements végétaux d’Île-de-
France. 2015. CBNBP - MNHN, DRIEE Île-de-France. 89p.
Fernez T., Lafon P., Hendoux F. (coord) 2015. Guide des végétations remarquables de la région
Île-de-France. CBNBP - MNHN, DRIEE Île-de-France. 2 volumes : méthodologie : 68 p + Manuel
pratique : 224 p.
Jauzein P., Nawrot O. 2013. Flore d’Île-de-France : Clés de détermination, taxonomie, statuts,
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Liagre F. 2006. Les haies rurales : rôles – création – entretien, éditions France agricole, 320 p.
Loriot Prévost C., WhiteT. J., Ottenheimer-Maquet L. 1990. Le long des haies au fil du temps,
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Machon N., Motard E. et al. 2012. Sauvages de ma rue - Guide des Plantes sauvages des villes
de France, coédition Le Passage - MNHN, 416 p.
Moret J., Filoche S., Perriat F. 2010. Atlas de la flore sauvage du département du Val-de-Marne,
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Perriat F., Filoche S., Hendoux F. 2015. Atlas de la flore patrimoniale du Val d’Oise, éditions Bio-
tope, 368 p.
Vergriete Y., Labrecque M. 2007. Rôles des arbres et des plantes grimpantes en milieu urbain :
revue de littérature et tentative d’extrapolation au contexte montréalais, IRBV, 36 p.
TYPE VÉGÉTATIF
OFFRE OFFRE
EN NECTAR EN POLLEN
MODE DE POLLINISATION
LUMIÈRE NITROPHILIE
HUMIDITÉ DU SOL
PH