razafindrabeAndrianjakaM ESPA ING 11
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ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE
D’ANTANANARIVO
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Départements : Génie Mécanique Productique
Génie Electrique
Soutenu par :
RAZAFINDRABE ANDRIANJAKA Manantsoa
Sous l’encadrement de :
Monsieur RANARIJAONA Jean Désiré,
Promotion 2010
UNIVERSITE D’ANTANANARIVO
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ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE
D’ANTANANARIVO
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Départements : Génie Mécanique Productique
Génie Electrique
Soutenu par :
RAZAFINDRABE ANDRIANJAKA Manantsoa
Promotion 2010
REMERCIEMENTS
Je remercie Dieu de m’avoir aidé durant toutes mes années d’études et pendant la
préparation de ce mémoire.
Je tiens aussi à remercier les personnes suivantes :
Monsieur ANDRIANARY Philippe, Directeur de l’Ecole Supérieure Polytechnique
d’Antananarivo, qui nous a permis de mener à terme nos études
Messieurs RAKOTOMANANA Charles Rodin et RAKOTONIAINA Solofo Hery,
respectivement Chef de département Génie Mécanique Productique et Chef de Département
Génie électrique, pour leur dévouement à notre égard pendant ces années de formations
Monsieur RANDRIAMORASATA Josoa Albert Enseignant chercheur à l’ESPA qui a
accepté de présider ce mémoire ;
Monsieur RANARIJAONA Jean Désiré, Enseignant chercheur à l’ESPA qui m’a
encadré pendant la réalisation de ce mémoire ;
Et à :
Monsieur JOELIHARITAHAKA Rabeatoandro, Enseignant chercheur à l’ESPA ;
Monsieur RANDRIAMORASATA ANDRIANOELY Andy Ravaka, Enseignant
chercheur à l’ESPA
qui ont bien voulu accepter de faire partie du jury.
Je remercie aussi toute ma famille qui m’a toujours soutenu et encouragé toute au
long de mes études universitaires.
J’exprime aussi mes sincères reconnaissances à mes collègues de la classe Génie
industriel, mes amis et à tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à l’élaboration de ce
travail
INTRODUCTION ...................................................................................................................... 1
PARTIE 1 GENERALITES……………………………………………………………………2
PARTIE 2 METHODOLOGIE………………………………………………………………20
7-4 Comparaison entre les températures mesurées des différents absorbeurs ............. 53
7-5 Comparaison entre les températures des absorbeurs pour des distances vitre-
absorbeur différentes ........................................................................................................ 54
8-2 Calcul de la VAN (valeur actuelle nette) et le TRI (taux de rentabilité interne) ... 58
CONCLUSION ........................................................................................................................ 60
BIBLIOGRAPHIE ...................................................................................................................... i
WEBOGRAPHIE ....................................................................................................................... ii
ANNEXE 1 ............................................................................................................................... iv
ANNEXE 2 ............................................................................................................................... vi
ANNEXE 4 ................................................................................................................................ x
A : coefficient de trouble
B : coefficient de trouble
d : durée d’ensoleillement
Dh : diamètre hydraulique
ET : équation du temps
g : gravité
Gz : nombre de GRAETZ
h : hauteur du soleil
hrnni : coefficient d’échange thermique par rayonnement entre l’absorbeur et une plaque i
du nid d’abeille
hrv : coefficient d’échange thermique par rayonnement entre la vitre et la voûte céleste
hrvni : coefficient d’échange thermique par rayonnement entre la vitre et une plaque i du nid
d’abeille
Io : constante solaire
L : latitude
Lo : longitude
Mn : masse de l’absorbeur
mv : masse de la vitre
n : indice de réfraction
Nu : nombre de NUSSELT
Pr : nombre de PRANDTL
Ra : nombre de RAYLEIGH
Re : nombre de REYNOLDS
Ta : température ambiante
TL : temps local
Tn : température de l’absorbeur
Vv : vitesse du vent
α : azimut du soleil
β : inclinaison du capteur
γ : azimut de surface
δ : déclinaison horaire
δv : épaisseur de la vitre
λ : longueur d’onde
ζ : constante de BOLTZMAN
υ : viscosité cinématique
ω : angle horaire
Pour améliorer les performances d’un capteur, il existe plusieurs méthodes. On peut
recouvrir l’absorbeur par une couche sélective, ou bien augmenter le nombre de vitrage. On
peut aussi mettre une structure au dessus de l’absorbeur. C’est pourquoi on a choisi le thème
« ETUDE ET REALISATION D’UN CAPTEUR SOLAIRE A ABSORBEUR
ALVEOLAIRE »
La première partie parlera des généralités sur les capteurs, le rayonnement solaire et
quelques notions de transferts thermiques.
1-1 Principe
Le capteur solaire thermique transforme le rayonnement solaire qu’il reçoit en énergie
calorifique utilisable. L’énergie est utilisée par un fluide caloporteur. Les fluides les plus
utilisés sont l’eau et l’air. L’air est généralement utilisé pour le séchage et l’eau pour la
climatisation.
L’énergie solaire est captée par la surface absorbante du capteur solaire. Le fluide
caloporteur absorbe et transmet une partie de l’énergie captée par l’absorbeur.
1-3-1 L’absorbeur
L’absorbeur est l’élément principal du capteur. Le choix du matériau et le mode de
construction ont une grande influence sur la qualité du capteur. Il est soit en cuivre, soit en
acier, soit en aluminium. Les absorbeurs en cuivre ou en acier sont généralement revêtus
d’une couche sélective.
1-3-4 Le cadre
Il est fait en aluminium ou en acier mais aussi en bois pour qu’il soit léger et facile à
déplacer.
Lumière
Rayon γ, rayon X
Rayon ultra-violet (UV) λ = 0.05µm (longueur d’onde)
Rayons visibles (violet, bleu, vert, jaune, rouge) λ = 0.4 à 0.7µm
Rayon infrarouge IR λ> 2.5µm
Déclinaison horaire δ
(2.1)
Angle horaire ω
C’est l’angle le long de l’équateur céleste et le plan de méridien du lieu (plan passant
par la direction sud) et celui contenant la direction des pôles célestes. Cet angle est compté
rétrograde vers l’ouest.
(2.2)
(2.3)
0.1565*sin(2j)-0.0041*sin(3j)
j= n° du jour de l’année
Hauteur du Soleil
C’est l’angle formé par le plan horizontal du lieu considéré et de la direction point
local-Soleil.
h= arcsin[sin(L)sin(δ)+cos(L)cos(δ)cos(ω)] (2.5)
Avec L : la Latitude du lieu est positive dans l’hémisphère Nord et négative dans
l’hémisphère Sud
δ : Déclinaison horaire
ω : Angle horaire
Azimut du soleil α
C’est l’angle entre la projection de l’axe OS sur le plan horizontal et le Sud. Il est
compté positivement vers l’Est et négativement vers l’Ouest.
(2.6)
L’inclinaison β :
Azimut γ :
(2.7)
On a :
[Heure] (2.8)
[Heure] (2.9)
Durée de l’ensoleillement
(2.10)
(2.12)
[W/m2] (2.13)
[W/m2] (2.14)
(2.15)
β : inclinaison du capteur
(2.16)
L’irradiation globale varie très peu d’un jour à l’autre dans un même mois. Le calcul
peut donc se faire une fois par mois. La valeur de l’irradiation au cours d’un mois est donc à
peu près celle de la journée représentative du mois. Les journées représentatives sont
présentées dans le tableau suivant :
3-1 Conduction[4]
Il y a conduction si la chaleur se propage à travers le corps sans transfert de matière.
Loi de Fourrier
(3.1)
3-2 Convection
Il y a phénomène de convection s’il y a transmission de chaleur à chaque fois qu’un
fluide se déplace par rapport à des éléments fixes (parois, plaques, tubes) à une température
différente.
Il y a 2 sortes de convection :
(3.2)
Les facteurs conditionnant l’écoulement d’un fluide sont englobés dans les relations
adimensionnelles :
Nombre de REYNOLDS
(3.3)
Nombre de NUSSELT
(3.4)
Nombre de PRANDLT
(3.5)
3-3 Rayonnement
Energie d'onde
Energie interne Energie interne
électromagnétique
(3.6)
La quantité totale du rayonnement qu’un corps émet par unité de surface et de temps
est le pouvoir émissif total.
Lorsque le rayonnement tombe sur un corps, une partie est réfléchie, une autre
absorbée, et une transmise.
Rayon Réfléchi
incident
.
Absorbé
Transmi
s
Figure 11: Réception du rayonnement
On note
Avec
α, ρ, η dépendent du matériau (épaisseur, état de surface, …). Les corps qui ne transmettent
pas de rayonnement sont appelés opaques
-
-
Corps noir
C’est un corps qui absorbe totalement le rayonnement incident sur lui. Il n’y a pas de
réflexion et de transmission.
Ce sont les solides qui émettent une fraction constante de l’intensité du rayonnement
du corps noir à la même longueur d’onde et à la même température.
Loi de KIRCHOFF
Facteur d’émission
(3.6)
E<En
Loi de STEFAN-BOLTZMAN
Avec
La quantité de chaleur transmise entre 2 corps gris (ε1, T1) et (ε2, T2)
(3.7)
Avec
(3.8)
L’orientation plein sud permet le captage le plus efficace de l’énergie solaire. En faisant varier
l’inclinaison du capteur pour une orientation 0°, et pour w=0, l’irradiation est maximal pour
i=30°.
Une plaque orientée vers l’est et l’ouest capte plus l’irradiation pendant la matinée et la
soirée.
Pour fermer la structure en reliant les plaques orientées vers l’est et l’ouest, on peut utiliser
des plaques orientées vers le sud ou des plaques orientées de 30° et -30°.
On a :
(4.1)
(4.2)
Angle horaire
(4.3)
Hauteur du soleil
(4.4)
Azimut du soleil
(4.5)
(4.6)
Or
a : arête de l’hexagone
H : hauteur de la structure
(4.7)
5-1 Hypothèses
- Le vent souffle parallèlement aux faces du capteur
- La conduction thermique parallèle au verre est négligeable
- Les différents milieux solides ont une température uniforme dans le plan normal
de l’écoulement
- Dans chaque partie du système, l’écoulement est unidimensionnel
- La conduction entre la structure alvéolaire et l’absorbeur est négligeable par
rapport aux autres transferts de chaleur
Pour mieux visualiser les transferts thermiques pour la mise en équation du système,
on fait une analogie électrique.
Soit une section spatiale quelconque du système au temps t, on suppose qu’elle est une
entité indépendante. i est l’indice dans l’un des milieux représentés dans cette section.
Mi [kg] : masse
Ti [K] température
(5.1)
Pour discrétiser les équations de la forme y’=f (xi,y), on utilisera la méthode explicite de
différences finies en arrière
(5.2)
Cet échange est l’effet du vent et de l’air ambiant sur une plaque plane. Il se calcule par la
corrélation de HOTTEL et WOERTZ
(5.3)
Vv : vitesse du vent
- Nombre de NUSSELT
(5.4)
- Nombre de REYNOLDS
(5.5)
Dh : diamètre hydraulique
- Nombre de PRANDTL
(5.6)
- Nombre de GRAETZ
(5.7)
L : longueur caractéristique
- Nombre de GRASHOF
(5.8)
Gz< 100
(5.9)
Gz> 100
(5.10)
HAUSSEN
(5.11)
Pour (5.12)
F : facteur correctif égal à 6 pour une entrée avec contraction brusque ou un demi-tour
KAYES
(5.13)
Avec
s : inclinaison du capteur
(5.14)
(5.15)
δv : épaisseur de la vitre
(5.16)
(5.17)
εv : émissivité de la voute
ζ : constante de BOLTZMAN
(5.18)
(5.19)
(5.20)
On va calculer les facteurs de formes entre la plaque1 et les différentes autres plaques.
Le facteur de forme géométrique Fik d’une surface Si par rapport à Sk est défini par la
relation [4]:
(5.21)
(5.22)
(5.23)
Avec
b : hauteur
a : arête de l’hexagone
Avec
Avec
(5.24)
Avec
(5.25)
La réflectivité est caractérisée par deux coefficients ρn et ρp qui sont les directions de
polarisation du rayon dans la direction perpendiculaire et parallèle au plan d’incidence.
(5.26)
(5.27)
(5.28)
Avec :
Pour Kλ est considéré comme constant, on ne s’intéresse qu’à une marge limitée de λ, on a :
Pour une lame de verre épaisse, les coefficients de transmission, de réflexion et d’absorption
sont :
(5.29)
(5.30)
Avec :
(5.31)
(5.32)
Et
(5.33)
(5.34)
Or
(5.35)
ρd : facteur de réflexion hémisphérique du vitrage qui est souvent pris comme étant égale à
ρ (60°)
(5.36)
ηd : facteur de transmission hémisphérique du vitrage, que l’on peut aussi prendre pour égale à
η(60°)
Le flux total absorbé par l’absorbeur est la somme entre Ia et le flux absorbé réfléchi
par le nid d’abeille αa.ρna.η.Pdirp.
(5.37)
(5.38)
Au nœud Tvi
(5.39)
(5.40)
Au nœud Tn
(5.41)
CHAPITRE 6 Réalisation
L’objectif est de réaliser un prototype de capteur avec 3 sortes d’absorbeurs.
Alvéole2 60 15 0.25
L’absorbeur sans la structure alvéolaire sera notée absorbeur1. Celui avec la structure d’arête
45mm sera l’absorbeur2. Et celui avec l’arête 60mm sera l’absorbeur3.
Pour les prises de mesures, on utilisera des thermocouples installés par serrage par vis sur
les absorbeurs et reliés à un HT10 pour la lecture des différentes températures au cours de la
journée.
Absorbeur 2
Absorbeur3
Vitre1
Vitre2
Vitre3
Les valeurs mesurées sont plus faibles que celles calculées théoriquement. Plusieurs
facteurs sont les responsables de cet écart. Il y a le passage de certains nuages pendant les
mesures créant la diminution de l’ensoleillement, les pertes dans l’isolation, la température
ambiante de l’air varie aussi avec la journée à cause de la vitesse de l’air extérieur.
7-5 Comparaison entre les températures des absorbeurs pour des distances vitre-
absorbeur différentes
On utilisera 2 distances différentes. e1=25mm et e2=50mm.
Pour l’absorbeur2
L’irradiation journalière reçue par un capteur avec un simple absorbeur est aux
environs de 996 [W], d’après la figure(23) tandis que celle reçue par un capteur avec un
absorbeur alvéolaire d’arête d’hexagone 45mm est 1054.3 [W]. Pour l’absorbeur3 dont l’arête
est de 60mm, l’irradiation absorbée est 1020.2 [W]
L’absorbeur2 est plus efficace que les 2 autres absorbeurs avec une épaisseur de lame
d’air de 25mm.
vitre 10 000
cadre 10 000
total 64 000
Le gain énergétique est de 1056 [Wh]. Supposons que le prix du Wh est de 0.2 Ar.
On a comme amortissement :
Bilan
Exploitation
années 1 2 5
IBS 0 0 0
8-2 Calcul de la VAN (valeur actuelle nette) et le TRI (taux de rentabilité interne)
La VAN est la somme des revenus annuels actualisés, calculée pendant toute la durée
de vie de l’investissement sur le montant du capital investi (CA)
(8.1)
CA : capital investi
Le TRI est égal à la valeur du taux d’actualisation ‘i’ pour lequel la VAN s’annule.
VAN à i=15%
En posant
(8.2)
(8.3)
VAN=88069.4 Ar
VAN à i=60%
VAN à i=65%
La valeur actuelle nette s’annule pour un taux d’actualisation entre 60% et 65%
Par interpolation on a :
(8.4)
(8.5)
POT=1.48 ans
En conclusion, le temps de retour de l’investissement est de 1.48ans pour une durée de vie de
5 ans pour le prototype. Le TRI atteint 60.9% (> 15%), Le capteur solaire alvéolaire est alors
rentable.
L’exploitation de l’énergie solaire est toujours rentable car elle est renouvelable,
gratuite et non polluante. Une amélioration des capteurs est nécessaire pour bien utiliser cette
énergie.
Des études théoriques effectuées dans le cadre de cette recherche ont permis de
montrer que les performances d’un absorbeur alvéolaire sont meilleurs que ceux d’un capteur
plan. La réalisation de trois types d’absorbeurs et les mesures effectuées sur ceux-ci
permettent d’estimer les performances respectives grâce à la différence de température. Les
résultats confirment davantage que le capteur à nid d’abeille est meilleur qu’un capteur simple
et que le gain d’énergie journalière est de 6% pour un capteur alvéolaire dont les arêtes sont
de 45mm et la hauteur de 15mm. Ces mesures montrent également que la quantité d’énergie
reçue est meilleure si la distance qui sépare la vitre et l’absorbeur est de 25mm. Afin de se
rapprocher davantage des performances théoriques, dans la pratique il convient d’améliorer
l’isolation des absorbeurs et le plaquage des alvéoles sur l’absorbeur.
Cette étude s’est limitée seulement à l’absorbeur, mais peut s’appliquer favorablement
à l’étude d’un système de séchage ou de chauffe – eau, avec un fluide caloporteur.
Nous espérons que ce travail apportera son aide pour compléter d’autres recherches.
[4] Yves JANNOT, « Transfert thermique », école des mines Nancy, 2009
[5] RAKOTOVAO José Denis, « Analyse informatique d’un système de séchage solaire
indirect en couches minces pour fruits et légumes », thèse
2. http://www.cansia.ca
3. http://www.tecsol.fr
4 http:/www.these.recherches.gov.mg
Principe
Avec ;
Supposons que A est inversible aii≠ 0 ; i=1,…, n donc M est aussi inversible
Ou
Ou
Début
Données caractéristiques
Boucle du temps J
Calcul du rayonnement
Réinitialisation des températures
Boucle d’espace I
NON
OUI
OUI
J ≤ Jmax
NON
Fin
T1 T2 T3
8h50 30,1 33,4 24,3
9h05 35,2 49,3 37,5
9h20 43,3 54 46,2
9h35 46,2 59,6 52,1
9h50 53,7 64,1 59,4
10h05 60 73,4 66
10h20 68,2 84,5 69,8
10h35 70,5 84,6 71,3
10h50 72,1 84,9 74,7
11h05 76,3 84,9 79,5
11h20 64,7 72,9 75,6
11h35 65 84,5 74,5
11h50 67,8 90,6 86,5
12h05 69,7 96,8 91
12h20 65 80 81
12h35 64,4 88,2 83,4
12h50 64,8 76,9 77,4
13h05 69,4 81,3 73,3
13h20 60,6 89,4 85,5
13h35 64,2 80,8 80
13h50 62,6 76,1 75,6
14h05 56,8 72,9 74,2
14h20 53,1 72 69,6
14h35 52,5 71,7 66,4
14h50 51,6 72 67,1
15h05 44,2 65,2 52,8
15h20 44,4 63,9 50,4
15h35 44,6 60,8 48,1
15h50 40 48 40
16h05 38,1 54,2 44,4
16h20 32,7 42 37
16h35 30,2 36,5 34,3
16h50 25 26,1 25,3
Valeur des coefficients d’échange par rayonnement entre la vitre et la plaque1 du nid’ abeilles
et entre la plaque1 du nid d’abeilles et l’absorbeur
hrvp1 hrp1n
(W.m-2.°K) (W.m-2.°K)
6h30 0.0089 0.1539
6h45 0.0089 0.1542
7h00 0.0095 0.1647
7h15 0.0112 0.1939
7h30 0.0113 0.1956
7h45 0.0102 0.1932
8h00 0.0138 0.2404
8h15 0.0116 0.2395
8h30 0.0140 0.2432
8h45 0.0117 0.2409
9h00 0.0117 0.2421
9h15 0.0165 0.2861
9h30 0.0131 0.2869
9h45 0.0131 0.2882
Télephone:0341938294/0330947727
Email:andrianjakamanantsoa@yahoo.fr
Thème de mémoire:
Nombre de pages : 59
Nombre de figures : 31
Nombre de tableaux : 9
Résumé
Les résultats obtenus ont bien démontré que l’’absorbeur ayant une structure alvéolaire est
plus avantageux du point de vue énergétique.et rentable économiquement.
Abstract
The purpose of the present report is to improve the energy contributions of a sensor
thanks to the installation of a honeycomb structure having hexagon form. To be able to
conclude this study, we considered the incidental radiation solar on the sensor then one left
the mathematical model governing the sensor. One then produced a prototype with various
types of absorbers in order to compare the theoretical and real values. The results obtained
showed well that the ' absorber with the honeycomb structure is more advantageous from the
energy and profitable economically.