Math2B TD2 Corrige
Math2B TD2 Corrige
Math2B TD2 Corrige
Corrigé
Ý
Ñ
a) V px, yq “ �ı `�
Ý
Ñ
V pρ, ϕq “ pcos ϕ e�ρ ´ sin ϕ e�ϕ q ` psin ϕ e�ρ ` cos ϕ e�ϕ q
“ pcos ϕ ` sin ϕq e�ρ ` pcos ϕ ´ sin ϕq e�ϕ .
Ý
Ñ
b) V px, yq “ y �ı ´ x �
Ý
Ñ
V pρ, ϕq “ ρ sin ϕ pcos ϕ e�ρ ´ sin ϕ e�ϕ q ´ ρ cos ϕ psin ϕ e�ρ ` cos ϕ e�ϕ q
“ ρ psin ϕ cos ϕ ´ cos ϕ sin ϕq e�ρ ´ ρ psin2 ϕ ` cos2 ϕq e�ϕ
“ ´ρ e�ϕ .
Ý
Ñ
c) V px, y, zq “ x�ı ` y�
Ý
Ñ
V pρ, ϕ, zq “ ρ cos ϕ pcos ϕ e�ρ ´ sin ϕ e�ϕ q ` ρ sin ϕ psin ϕ e�ρ ` cos ϕ e�ϕ q
“ ρ pcos2 ϕ ` sin2 ϕq e�ρ ` ρ p´ cos ϕ sin ϕ ` sin ϕ cos ϕq e�ϕ
“ ρ e�ρ ,
Ý
Ñ
V pr, ϕ, θq “ r sin θ psin θ e�r ` cos θ e�θ q.
Ý
Ñ
d) V px, y, zq “ x�ı ` y� ` z �k “ px�ı ` y� q ` z �k
Ý
Ñ
V pρ, ϕ, zq “ ρ e�ρ ` z �k ,
Ý
Ñ
V pr, ϕ, θq “ r sin θ psin θ e�r ` cos θ e�θ q ` r cos θ pcos θ e�r ´ sin θ e�θ q
“ r psin2 θ ` cos2 θq e�r ` r psin θ cos θ ´ cos θ sin θq e�θ
“ r e�r .
7
Il y a une infinité de lignes de champ, qui diffèrent par le point de passage à un instant donné (par
exemple, pour t “ 0, le point γp0q). On cherche γptq dans la paramétrisation cartésienne, cylindrique
Ñ
Ý
ou sphérique selon comment est présenté le champ V .
Ñ
Ý
a) V px, yq “ �ı ` � est un champ plan en coordonnées cartésiennes, avec domaine D “ R2 , donc on
cherche ses lignes de champ paramétrées comme courbes planes en coordonnées cartésiennes :
où on voit que pa, bq “ γp0q est le point par où passe la courbe γ au temps t “ 0.
Cette paramétrisation est celle d’une droite passant par pa, bq et parallèle au vecteur p1, 1q, c’est-à-
dire dirigée par le vecteur p1, 1q. En effet, dans l’expression de x et y comme fonctions de t on peut
calculer t à partir d’une équation et le remplacer dans la deuxième : on obtient l’équation cartésienne
de la courbe γ,
$ $
& x“t`a & t“x´a
ðñ ùñ y “ x ` pb ´ aq éq. d’une droite.
% y “t`b % y “ px ´ aq ` b
Ñ
Ý
Conclusion : les lignes de champ du champ V sont les droites
Ý
Ñ
b) V px, y, zq “ �ı ` 2� ` �k est un champ de R3 en coordonnées cartésiennes, défini sur tout R3 , donc on
cherche ses lignes de champ comme courbes paramétrées en coordonnées cartésiennes :
où on voit que pa, b, cq “ γp0q est le point par où passe la courbe γ au temps t “ 0.
8
Comme dans le plan, cette paramétrisation est celle d’une droite (dans l’espace 3D cette fois) passant
par pa, b, cq et dirigée par le vecteur p1, 2, 1q. L’équation cartésienne d’une telle droite consiste de deux
équations :
$ $
’
’ x “ t ` a ’
’ t“x´a $
’
& ’
& & y “ 2x ` pb ´ 2aq
éq. d’une droite
y “ 2t ` b ðñ y “ 2px ´ aq ` b ùñ
’
’ ’
’ % z “ x ` pc ´ aq dans R3 .
’
% z “t`c ’
% z “ px ´ aq ` c
Ñ
Ý
Conclusion : les lignes de champ du champ V sont les droites
$
& y “ 2x ` pb ´ 2aq
γptq “ pt ` a, 2t ` b, t ` cq ou pour tout choix de a, b, c P R,
% z “ x ` pc ´ aq
Ý
Ñ
c) V px, yq “ px ` 1q �ı ` y � est un champ de R2 en coordonnées cartésiennes, défini sur tout R2 , donc
on cherche ses lignes de champ comme courbes paramétrées en coordonnées cartésiennes :
Ceci est un système d’équations différentielles en deux inconnues xptq, yptq, avec deux équations
séparées, du 1er ordre, linéaires et à coefficients constants.
Les solutions de l’éq. p1q sont les fonctions xptq “ x0 ptq ` xp ptq où
— x0 est la solution générale de l’éq. homogène xptq
9 “ xptq, donc x0 ptq “ λet pour tout λ P R,
— et xp est une solution particulière de l’équation complète : puisque le terme inohomgène est
la constante 1, on cherche une solution particulière xp ptq “ c constante, et p1q impose que
x9 p ptq “ 0 “ c ` 1, d’où suit c “ ´1.
En somme, on a xptq “ λ et ´ 1.
Pour l’éq. p2q, qui est homogène, on a yptq “ y0 ptq “ µ et , quelconque soit µ P R.
Ñ
Ý
Au final, les lignes de champ de V sont les courbes paramétrées
Ñ
Ý
Conclusion : les lignes de champ du champ V sont des droites d’éq. cartésienne µ x ´ λ y ` µ “ 0
paramétrées de façon différente que celle linéaire de l’exercice a).
9
Ý
Ñ
d) V px, yq “ y �ı ` x � est un champ de R2 en coordonnées cartésiennes, défini sur tout R2 , donc on
cherche ses lignes de champ comme courbes paramétrées en coordonnées cartésiennes
γptq “ pxptq, yptqq, t P R,
avec vitesse γptq
9 9 . Donc, pour tout t P R, γptq vérifie
9 ı ` yptq�
“ xptq�
$
& xptq
9 “ yptq p1q
p˚q Ý
Ñ
9
γptq “ V pxptq, yptqq ðñ
% yptq
9 “ xptq p2q
Ceci est un système d’équations différentielles en deux inconnues xptq, yptq, avec deux équations (non
séparées) du 1er ordre, linéaires et à coefficients constants, qui peuvent se représenter par un système
matriciel ¨ ˛ ¨ ˛¨ ˛
9
xptq 0 1 xptq
˝ ‚“ ˝ ‚˝ ‚ p3q.
9
yptq 1 0 yptq
Puisque les deux inconnues ne sont pas sousmises à deux équations séparées, on ne peut pas les
calcules par intégration comme dans l’exemple c). En fait, pour l’instant on ne sait pas trouver une
paramétrisation des lignes de champ (la résolution du système p3q sera donnée dans le cours Math3),
mais on sait trouver l’équation cartésienne des lignes de champ, avec une astuce : on multiplie p1q
par xptq et p2q par yptq, alors on obtient
$
& xptq xptq
9 “ xptq yptq 1 d pxptq2 q 1 d pyptq2 q
ùñ xptq xptq9 “ yptq yptq
9 ðñ “
% yptq yptq
9 “ xptq yptq 2 dt 2 dt
ż ż
d xptq2 d yptq2
ðñ dt “ dt
dt dt
ùñ xptq2 “ yptq2 ` c quelconque soit c P R.
Les lignes de champ sont donc les courbes
C “ t γptq “ pxptq, yptqq | t P R u “ t px, yq | x2 ´ y 2 “ c u
qui dépendent du choix de la constante c :
˙ ˆ
ˆ ˙2
x 2 y
— si c ą 0 alors C est une hyperbole d’éq. ? ´ ? “ 1 (en bleu),
c c
— si c “ 0 alors C est l’union de deux droites y “ ˘x (en rouge),
ˆ ˙2 ˆ ˙2
y x
— si c ă 0 alors C est une hyperbole d’éq. ? ´ ? “ 1 (en vert).
´c ´c
y
4
−9
c=
3
−4
c=
2 1
−
c=
1
c=
9
c=
4
0
c=
1
=
c=
c=
c=
x
c
9
−4 −3 −2 −1 1 2 3 4
c
=
−1
0
c=
−
1
−2
c=
−4
−3
c=
−9
−4
10
e) On cherche les lignes de champs en coordonnées sphériques sous la forme γptq “ rptq e�r :
` ˘
9
γptq 9 e�r ` rptq �e9 r “ rptq
“ rptq 9 e�r ` rptq θ9 e�θ ` ϕ9 sin θ e�ϕ
Ñ`
Ý ˘ ` ˘ GM
9
γptq “ G rptq ô 9 e�r ` rptq θ9 e�θ ` ϕ9 sin θ e�ϕ “ ´
rptq e�r
rptq2
$ $
’
’ 9 “ ´GM
rptq2 rptq ’
’ 9 “ ´GM
rptq2 rptq
& &
ô rptq θ9 “ 0 ô θ9 “ 0
’
’ ’
’
% %
rptq ϕ9 sin θ “ 0 ϕ9 “ 0 ou sin θ “ 0
Conclusion : les lignes de champ sont des droites passant par l’origine car ϕ “ const. et θ “ const.
La solution générale de l’équation différentielle ci-dessus pour rptq est
ż r1 ż t1
2dr 2 2
r “ ´GM ô r dr “ ´GM dt ô r dr “ ´ GM dt
dt r0 t0
b
ô r13 ´ r03 “ 3 GM pt0 ´ t1 q ô r1 “ 3 r03 ` 3 GM pt0 ´ t1 q ,
où on a paramétré une ligne de champ qui part d’un point à distance r0 de l’origine à l’instant t0
pour arriver à la distance r1 à l’instant t1 . Comme r1 ě 0, on doit avoir
r03
t1 ď t 0 ` ,
3 GM
ce qui montre que la ligne de champ se termine dès qu’elle atteint l’origine à l’instant t0 ` r03 {p3 GM q.
En posant t0 “ 0, t1 “ t et r1 “ rptq, les lignes de champ s’expriment sous la forme
b
r03
γptq “ 3 r03 ´ 3 GM t e�r avec t ď ,
3 GM
où la direction de e�r est déterminée par le choix de ϕ P r0, 2πr et θ P r0, πs.
Corrigé
11
Exercice 7 – Gradient et Laplacien en coordonnées polaires [Facultatif ]
Soit f : R2 Ñ R une fonction C 2 donnée en coordonnées cartesiennes et soit f˜pρ, ϕq “ f px, yq son expression
en coordonnées polaires, où x “ ρ cos ϕ et y “ ρ sin ϕ.
r et du Laplacien Δ,
Trouver l’expression en coordonnées polaires du gradient ∇ r définis par les identitées
r f˜pρ, ϕq “ ∇f px, yq
aq ∇ et r f˜pρ, ϕq “ Δf px, yq.
bq Δ
Corrigé
a) Raisonnement : Pour exprimer ∇f px, yq en coordonnées polaires, c’est-à dire l’écrire comme
r f˜pρ, ϕq, il faut exprimer en coordonnées polaires chaque composante de
∇
Bf Bf
∇f px, yq “ �ı ` � ,
Bx By
c’est-à-dire
Bf Bf B f˜ B f˜
(i) exprimer Bx et By en termes de Bρ et Bϕ (calcul à faire), et
(ii) exprimer �ı et � en termes de e�ρ et e�ϕ (voir le formulaire).
Pour (i), vu que les fonctions x “ xpρ, ϕq et y “ ypρ, ϕq sont définies globalement (pour tout ρ et ϕ),
alors que la composante ϕ “ ϕpx, yq de leur réciproque ne s’exprime que par des formules partielles
˜ B f˜
selon la position de px, yq dans le plan, ce qu’on sait calculer se sont les dérivées partielles BBρf et Bϕ en
termes de Bf Bf
Bx et By , et non le contraire. A priori, il faut donc partir de ce calcul et invérser le système
pour obtenir (i).
Cela dit, en pratique on n’a pas besoin d’invérser le système pour exprimer ∇f px, yq en coordonnées
polaires, car les dérivées se regroupent en des termes qu’on reconnait sans les calcules (i).
Alors :
r f˜pρ, ϕq “ ∇f px, yq “ Bf �ı ` Bf �
∇
Bx By
Bf Bf
“ pcos ϕ e�ρ ´ sin ϕ e�ϕ q ` psin ϕ e�ρ ` cos ϕ e�ϕ q
Bx By
ˆ ˙ ˆ ˙
Bf Bf Bf Bf
“ cos ϕ ` sin ϕ e�ρ ` ´ sin ϕ ` cos ϕ e�ϕ
Bx By Bx By
B f˜ 1 B f˜
“ e�ρ ` e�ϕ .
Bρ ρ Bϕ
˜ ˜
Conclusion : r f˜ “ B f e�ρ ` 1 B f e�ϕ
∇ i.e. r “ e�ρ B ` e�ϕ 1 B .
∇
Bρ ρ Bϕ Bρ ρ Bϕ
12
À noter qu’en inversant le système p1q on trouve
$
˜ B f˜
’ Bf “ cos ϕ B f ´ sin ϕ 1
’
’
’
& Bx Bρ ρ Bϕ
p2q
’
’
’ Bf
’ B f˜ 1 B f˜
% “ sin ϕ ` cos ϕ
By Bρ ρ Bϕ
B B B B B 1 B
“ cos ϕ ` sin ϕ “ cos ϕ ´ sin ϕ
Bρ Bx By Bx Bρ ρ Bϕ
p1q et p2q
1 B B B B B 1 B
“ ´ sin ϕ ` cos ϕ “ sin ϕ ` cos ϕ
ρ Bϕ Bx By By Bρ ρ Bϕ
b) Raisonnement : Pour exprimer Δf px, yq en coordonnées polaires, c’est-à dire l’écrire comme
r f˜pρ, ϕq, il faut exprimer en coordonnées polaires chaque composante de
Δ
B2 f B2 f
Δf px, yq “ ` ,
Bx2 By 2
B2 f B2 f B 2 f˜ B 2 f˜ B 2 f˜
c’est-à-dire exprimer Bx2
et By 2
en termes de ,
Bρ2 BρBϕ
, et Bϕ2
.
B 2 f˜ B 2 f˜
À noter que, puisque f est de classe C 2 , par le Théorème de Schwarz on a BρBϕ “ BϕBρ et également
B2 f B2 f
BxBy “ ByBx ,
donc on a trois dérivées secondes indépendantes à considérer, quelconques soient les
coordonnées qu’on choisit.
2˜ B 2 f˜ B 2 f˜
Comme en a), ce qu’on peut calculer facilement est plutôt l’expression de BBρf2 , BρBϕ , et Bϕ 2 en termes
B2 f
, B f B2 f
2
de Bx2 BxBy
et By 2
: il faut donc écrire un système à trois équations et inverser celui-ci.
Contrairement à a), cette fois il n’y a pas d’astuce particulière pour éviter de faire le calcul complet.
Mais on peut simplifier les calculs si en coordonnées polaires on choisit comme dérivées secondes
indépendantes les dérivées ˜ ¸
B 2 f˜ B 1 B f˜ 1 B 2 f˜
, , ,
Bρ2 Bρ ρ Bϕ ρ2 Bϕ2
où la deuxième dérivée seconde s’exprime en termes de la dérivée mixte mais avec une dérivée première
ajoutée qui est non homogène (en degré) et qu’on a envie de cacher dans nos calculs :
˜ ¸
B 1 B f˜ 1 B f˜ 1 B 2 f˜
“´ 2 ` .
Bρ ρ Bϕ ρ Bϕ ρ BρBϕ
˜ B f˜
b) Calculs : Vu que f˜ “ f ˝ h est une fonction composée, ses dérivées partielles BBρf et Bϕ le sont
aussi, et leur expression comme fonctions composées sont données par le système p1q. Par exemple, la
première équation, pour px, yq “ hpρ, ϕq, signifie
B f˜ Bf ` ˘ Bf ` ˘
pρ, ϕq “ cos ϕ hpρ, ϕq ` sin ϕ hpρ, ϕq .
Bρ Bx By
Alors, à partir du système p1q, on calcule les dérivées secondes de f˜ en utilisant la règle de la chaìne
13
à chaque fois qu’on a une fonction composée :
˜ ¸ ˆ ˙
B 2 f˜ B B f˜ B Bf Bf
“ “ cos ϕ ` sin ϕ
Bρ2 Bρ Bρ Bρ Bx By
ˆ ˙ ˆ ˙
B Bf B Bf
“ cos ϕ ` sin ϕ
Bρ Bx Bρ By
ˆ 2 ˙ ˆ 2 ˙
B f Bx B f By
2 B f Bx B 2 f By
“ cos ϕ ` ` sin ϕ `
Bx2 Bρ BxBy Bρ ByBx Bρ By 2 Bρ
ˆ 2 ˙ ˆ ˙
B f B2 f B2 f B2 f
“ cos ϕ cos ϕ ` sin ϕ ` sin ϕ cos ϕ ` 2 sin ϕ
Bx2 BxBy ByBx By
B f
2 B f
2 B f
2
“ cos2 ϕ 2 ` 2 cos ϕ sin ϕ ` sin2 ϕ 2
Bx BxBy By
et de même pour ˜ ¸ ˜ ¸
B 1 B f˜ 1 B 2 f˜ 1 B 1 B f˜
et “ .
Bρ ρ Bϕ ρ2 Bϕ2 ρ Bϕ ρ Bϕ
Au final, on obtient le système
$
’
’ B 2 f˜ 2 B2 f B2 f 2 B2 f
’
’
’ “ cos ϕ ` 2 cos ϕ sin ϕ ` sin ϕ
’
’ Bρ2 Bx2 BxBy By 2
’
’
’
& ˜ ¸
B 1 B ˜
f B2 f B2 f Bf .
p3q “ ´ cos ϕ sin ϕ ` pcos 2
ϕ ´ sin 2
ϕq ` cos ϕ sin ϕ
’
’ Bρ ρ Bϕ Bx 2 BxBy By
’
’
’
’
’
’
’
’ 1 B 2 f˜ 1 B f˜ 2 B2 f B2 f 2 B2 f
% 2 ` “ sin ϕ ´ 2 cos ϕ sin ϕ ` cos ϕ
ρ Bϕ2 ρ Bρ Bx2 BxBy By 2
Inverser ce système est compliqué, mais on n’en a pas besoin pour conclure notre calcul : on remarque
d’un coté que
B 2 f˜ 1 B 2 f˜ 1 B f˜ ` 2 2
˘ B2 f
` ` “ cos ϕ ` sin ϕ
Bρ2 ρ2 Bϕ2 ρ Bρ Bx2
B2 f ` ˘ B2 f
` p2 cos ϕ sin ϕ ´ 2 cos ϕ sin ϕq ` sin2 ϕ ` cos2 ϕ
BxBy By 2
B2 f B2 f
“ ` ,
Bx2 By 2
et de l’autre coté que
˜ ¸
1 B B f˜ 1 Bρ B f˜ ρ B 2 f˜
ρ “ `
ρ Bρ Bρ ρ Bρ Bρ ρ Bρ2
1 B f˜ B 2 f˜
“ ` 2.
ρ Bρ Bρ
Finalement, on a donc
r f˜ “ Δf “ B f ` B f
2 2
Δ
Bx2 By 2
B 2 f˜ 1 B f˜ 1 B 2 f˜
“ 2 ` ` 2
Bρ ρ Bρ ρ Bϕ2
˜ ¸
1 B B f˜ 1 B 2 f˜
“ ρ ` 2 ,
ρ Bρ Bρ ρ Bϕ2
14
c’est-à-dire ˜ ¸
r f˜ “ 1 B B f˜ 1 B 2 f˜
Δ ρ ` 2 .
ρ Bρ Bρ ρ Bϕ2
15