Seminaire de Recherche
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SOMMAIRE
SOMMAIRE ____________________________________________________________________ 1
CONCLUSION _________________________________________________________________ 26
I- CONTEXTE DU SEMINAIRE
Au début du XXe siècle, le diabète était rare en Afrique. À ce sujet, des études menées
ont rapporté qu’au cours des dernières 50 années, la prévalence de diabète type 2 est passée
dans la plupart des pays de l’Afrique subsaharienne de < 1 % en 1960 à 4,6 % en 2012 [8].
Selon les estimations de la Fédération Internationale du Diabète (FID), 80% des diabétiques
seront dans les pays à faible et à moyen revenu à l’horizon de 2030 [9].
Le Cameroun qui compte environ 900.000 diabétiques dont 10% seulement prennent
l’insuline et luttent pour limiter les complications. Le taux de prévalence varie entre 1,8 et 2%
dans les zones urbaines et on estime qu’il affectera près de 2 millions de personnes en 2025[10].
A- LE DIABETE DE TYPE 2
1-Définition
Le diabète sucré ou de type 2 (DT2) est une maladie chronique qui survient lorsque
l’organisme est incapable de produire suffisamment d’insuline ou de l’utiliser de manière
efficace. Chez une personne atteinte de cette pathologie, le glucose n’est pas absorbé
correctement et continue de circuler dans le sang conduisant à un trouble nommé
hyperglycémie, qui endommage ainsi peu à peu les tissus. Ces dommages peuvent entraîner des
complications irréversibles mettant ainsi la vie de la personne atteinte en danger [11].
Un âge ≥ 50 ans pour l’homme et ≥ 60 ans pour la femme est considéré comme un
facteur de risque cardiovasculaire chez les diabétiques [14].
2.3.1. Obésité
L’existence d’une obésité est un facteur de risque important de développer un DT2 chez
un sujet génétiquement prédisposé (80% des diabétiques type 2 sont obèses ou en surpoids)
[15].
2.3.2. Sédentarité
L’exercice physique est un facteur protecteur contre le DT2 il agit en effet contre
altération de l’interaction entre l’insuline et son récepteur favorisé par la sédentarité.
2.3.3. Alimentation
2.3.4. Stress
Le stress due soit aux traumatismes, infections, chirurgies, brûlures peut s’associer à un
trouble de la tolérance glucidique lié aux hormones libérées (soma hormone (STH),
catécholamines…) influençant la sécrétion et l’action de l’insuline [16].
Ce trouble, qui est présent dès le début de la maladie, est évolutif, inéluctable et
s'aggrave avec l'âge et la durée du diabète.
Cette épreuve, qui est la plus classique, permet d’apprécier la tolérance glucidique en
suivant les variations de la glycémie après une charge en glucose administrée per os.
Protocole
Le sujet le jour de l’épreuve, doit être à jeun depuis 12 heures avec une alimentation
équilibrée (200 à 300 g de glucides) dans les trois jours qui précédent l’épreuve et ne pas avoir
fumé depuis 24 heures.
Si la glycémie, 2 heures après cette prise de glucose ne dépasse pas 1,40 g/l ; on dit que
la glycorégulation est normale.
Si les chiffres atteignent 1,40 g/l tout en restant inférieurs à 2 g /l ; le sujet « n’est pas
diabétique » mais on parle « d’intolérance au glucose » et il doit être surveillé.
Si 2 heures après, la glycémie est >= à 2 g/l ; Le sujet est un diabétique [20].
4.3. Glycosurie
À des taux de glucose dépassant 10 micromoles par litre d’urine, les diabétologues et
endocrinologues orientent en premier lieu leurs investigations vers un diabète sucré. L’analyse
est réalisée sur une miction fraîche. La recherche qualitative est réalisée au moyen de
bandelettes réactives (Comburtest Bœhringer Mannheim, Multistix Ames-Bayer …) qui utilise
la réaction glucose-oxydase /peroxydase et la tétraméthylbenzidine comme indicateur. La
coloration passe du jaune au vert en présence de glucose. Celle-ci est sensible à l’interférence
de nombreuses substances réductrices présentes dans les urines. Le dosage quantitatif quant à
lui, est effectué sur des spectrophotomètres et analyseurs automatisés. Le protocole analytique
met en jeu des réactions enzymatiques au glucose oxydase. L’analyse est réalisée sur un
échantillon d'urine fraîchement émise ou collectée sur les 24 dernières heures. En cas d'analyse
différée, il est recommandé de conserver les urines au frais afin d’éviter l’action bactérienne
[21].
du diabète de type 2 doit être globale et multifactorielle. D’après les dernières recommandations
de l’HAS : [23]
• En cas d’échec du régime seul (HbA1c > 6,5 %), recours à la monothérapie orale
(metformine)
• Lorsque la trithérapie se révèle insuffisante pour équilibrer la glycémie, c’est là qu’on fait
un recours à l’insulinothérapie (traitement de dernière intention).
Dès que le diagnostic de certitude du diabète de type 2 est posé, un traitement non
médicamenteux est immédiatement mis en œuvre. Selon les recommandations de l’HAS, cette
prise en charge passe par l’application de règles hygiéno-diététiques qui ont pour but d’inciter
à : [24]
• Du poids du sujet
• De son activité physique
• De ses habitudes alimentaires
• De ses interdits éventuels
• De ses coutumes ethniques
• De ses contraintes professionnelles
Pour que le rééquilibrage alimentaire soit durable, les régimes stricts sont à bannir. Un
des seuls régimes ayant prouvé son efficacité dans l'amélioration du diabète, de la perte de poids
et de la prévention cardiovasculaire est le régime méditerranéen. Il consiste à privilégier : [27]
Lorsque les mesures hygiéno-diététiques ne sont pas suffisantes pour rétablir l’équilibre
glycémique, le traitement médicamenteux de première intention du diabète de type 2 repose sur
l’utilisation de la metformine. Cette monothérapie entraîne une baisse de 1 à 1,5% de l’HbA1c
à terme en diminuant la production hépatique de glucose et en augmentant l’insulinosensibilité
et l’utilisation périphérique du glucose. [28]
Les glinides ont le même mode d’action que les sulfamides hypoglycémiants. Ils
diffèrent par leur durée d’action, les glinides stimulant l’insulinosécrétion de façon plus brève
et plus rapide que les sulfamides hypoglycémiants. Le risque d’hypoglycémie sévère consécutif
à la prise de glinides est donc inférieur au risque lié aux sulfamides hypoglycémiants. La prise
de glinides se fait 15 à 30 minutes avant chaque repas pour réduire ce risque d’hypoglycémie
iatrogène. Les glinides sont mieux tolérés, ils ne provoquent pas de prise de poids et entraînent
une diminution de l’HbA1c de 1% en moyenne. Ils réduisent la glycémie en période
postprandiale principalement et dans une moindre mesure, la glycémie à jeun. [31]
La classe thérapeutique des glinides constitue une alternative aux sulfamides,
notamment chez les patients pour qui la prise alimentaire est irrégulière. Le répaglinide est le
seul représentant de cette classe médicamenteuse. Il est indiqué dans le diabète de type 2 en
deuxième intention après échec des biguanides en monothérapie, toujours sous forme de
bithérapie (metformine + glinides). Le mécanisme d’action des glinides (augmentation de
l’insulinosécrétion) est tout à fait complémentaire de celui des biguanides qui améliorent
l’insulinosensibilité. [32]
Les inhibiteurs des α-glucosidases sont une classe d’hypoglycémiants oraux actifs sur
la seule hyperglycémie postprandiale. Le principal représentant est l’acarbose. Il agit en
inhibant la digestion et donc l’absorption des sucres complexes au niveau intestinal et en
précipitant leur élimination dans les selles. L’unique effet de l’acarbose est d’écrêter les pics
glycémiques postprandiaux observés en cas de repas riches en sucres complexes. Ils doivent,
pour cela, être administrés en début de repas. L’effet hypoglycémiant engendré est moindre que
celui obtenu avec les autres classes d’antidiabétiques oraux. Les inhibiteurs des α-glucosidases
induisent une baisse moyenne de 0,5 % de l’HbA1c. [33]
5.3. L’insulinothérapie
Les effets des traitements antidiabétiques oraux diminuent progressivement et
inéluctablement au fil des années. Le recours à l’insulinothérapie devient indispensable lorsque
les traitements oraux et non insuliniques ne permettent plus d’atteindre l’objectif glycémique
fixé. L’insuline est l’agent pharmacologique hypoglycémiant le plus puissant. Il entraîne une
diminution du taux d’HbA1c de l’ordre de 1,5 à 3,5 %. Son effet hypoglycémiant est dose
dépendant. [37]
Les deux principaux inconvénients de l’insulinothérapie sont le risque hypoglycémique élevé
si le dosage d’insuline est mal adapté au patient et la prise de poids généralement observée.
Cette dernière s’avère problématique en cas d'obésité pré existante. Ces possibles effets
secondaires, le caractère injectable et la complexité du traitement sont souvent source de
réticence du patient et nécessitent de disposer d'une offre d'éducation thérapeutique. [38]
Ainsi, il existe 3 schémas principaux d’insulinothérapie chez le diabétique de type 2 :
L’insulinothérapie basale : 1 injection, matin ou soir. Le principe est de normaliser la
glycémie de nuit, ce qui entraîne souvent dans la journée une diminution parallèle des
glycémies postprandiales.
L’insulinothérapie basale-bolus comporte la même insuline basale mais on y ajoute 1
injection d’analogue rapide avant chaque repas. Ce schéma s'impose si les glycémies
postprandiales sont mal contrôlées par une seule injection par jour d’insuline basale. Il
est efficace mais souvent mal accepté par les patients car il comporte 4 injections
quotidiennes.
Les insulinothérapies à 2 injections, matin et soir, constituent un bon compromis.
La survenue d’une plaie du pied est une complication redoutée par les patients
diabétiques. Le pied diabétique a la particularité d’être une association entre les micro
angiopathies et les macro angiopathies. Trois mécanismes sont impliqués : la neuropathie avec
perte de la sensibilité, les blessures passant alors inaperçues, l’artériopathie, qui expose à une
ischémie des plaies retardant la cicatrisation et l’infection, favorisée par le déséquilibre
glycémique. Au cours de sa vie, un diabétique sur dix subira au moins une amputation d’orteil.
Au moins la moitié pourrait être évitée : la prévention est primordiale pour éviter la survenue
de plaie du pied. [40]
L’artérite des membres inférieurs (AMI) : elle se révèle parfois par une claudication
intermittente avec une douleur constrictive en étau, imposant l’arrêt de la marche [42].
Comme nous l'avons expliqué plus haut, le diabète altère les artères avec notamment de
gros risques pour la santé cardiovasculaire. D'autant que cette maladie est souvent associée à
un excès de triglycérides sanguins, de l'obésité, de l'hypertension artérielle ou encore à la
sédentarité avec pour conséquence des risques d'athérosclérose. Aussi, lorsque tous les "gros
vaisseaux" sont touchés, c'est la macro-angiopathie. Comprenez que les artères irriguant le
cœur, mais aussi les jambes ou encore le cerveau du patient sont touchés [43].
B- LES DYSLIPIDEMIES
Les acides gras (AG) sont les unités de base de la synthèse lipidique et, notamment, des
graisses de réserve. Les AG estérifient le glycérol pour former des mono-, di- ou triglycérides
[46].
2-1 Triglycérides
Les triglycérides (TG) sont les molécules de réserve énergétique du tissu adipeux (TA).
Leur synthèse se fait majoritairement dans le TA et un peu dans le foie [45]. Les TG sont des
graisses neutres très hydrophobes, formés d’esters d’AG et de glycérol, on distingue :
2-2 Phospholipides
Les phospholipides sont des lipides membranaires qui ont la particularité d'être
amphiphiles. Ce sont soit des glycérophospholipides qui sont des diglycérides dont le troisième
radical hydroxyle est estérifié par l'acide phosphorique, soit des sphingomyélines où le glycérol
est remplacé par la sphingosine qui possède une chaîne grasse très longue. Les phospholipides
2-3 Cholestérol
Le cholestérol appartient à la famille des stérols. Il est présent sous une forme estérifiée
dans la plupart des tissus et, notamment, dans le cerveau. C'est également un composant des
membranes dont il assure la rigidité [45].
3. Dyslipidémies
Le DT2 est une pathologie associée à une forte incidence de dyslipidémies avec des
anomalies quantitatives et qualitatives des lipoprotéines. [47,48] Elles sont dues à des anomalies
héréditaires ou liées à l’environnement, ou encore sont des fruits d’interactions gènes-
environnement [49]. Même si elles sont minimes, mais très spécifiques et sont aussi la
conséquence de l’insulinorésistance, de l’excès de poids très souvent associé au DT2 et en
particulier de l’obésité abdominale [50, 51]. Les lipoprotéines quand a elles sont des
macromolécules sphériques de taille et de composition variable. Il s’agit d’une association
moléculaire formée de lipides (cholestérol, triglycérides et phospholipides) et de protéines
(apoprotéines). Ces molécules assurent le transport des lipides, peu solubles dans l'eau, dans la
circulation sanguine notamment le transport des triglycérides et du cholestérol [52]
a- Classification
Hyperlipidémies primitives
Les hyperlipidémies primitives sont les plus fréquentes et sont l’un des facteurs de risque
majeur de l’athérosclérose. Elles sont classées selon les 6 critères définis par Fredrickson qui
est une classification phénotypique de l’OMS. La classification de Gennes permet de
regrouper ces 6 items en 3 catégories : les hypertriglycéridémies, les hypercholestérolémies et
les hyperlipidémies mixtes. [53].
Hyperlipidémies secondaires
b- Dyslipidémie du diabétique
Elle réduit ainsi l’activité plasmatique de la CETP. Mais cette action passerait
essentiellement par la réduction des AGL plutôt que par un effet direct de l’insuline sur la CETP
[57].
permet l’hydrolyse des particules de basse densité, VLDL d’une part et des chylomicrons
d’autre part [59].
Les petites particules de LDL denses sont plus athérogènes car lorsque glyquées, sont
captées par le récepteur SCA venger de macrophage qui a une plus grande affinité pour les LDL
oxydées que pour les LDL non oxydées [62].
1- Bilan lipidique
Le bilan lipidique consiste en une exploration d’une anomalie lipidique (EAL) par des
moyens adéquats comportant l’aspect du sérum le dosage du cholestérol total (CT), des TG, du
HDL-c et le calcul du LDL-c [64].
L'EAL doit être réalisée chez un sujet à jeun depuis 12 heures dans du sérum ou plasma, à
distance d’une affection aiguë, d’un accident ischémique et en dehors d’une grossesse. Il est
également important d’éviter la prise d’alcool pendant les 3 jours qui précèdent l’analyse. En
revanche, la prise d’eau minérale est permise en tout temps. Les dosages du cholestérol total et
des TG, doivent toujours être réalisés simultanément pour pouvoir comparer les résultats et
orienter le diagnostic vers un type ou un autre de dyslipoprotéinémie [65].
Le bilan initial d’une EAL comprend : l’aspect du sérum à jeun après décantation à +4°C,
dosage des TG, dosage du CT, dosage du HDL-c, dosage et/ou calcul du LDL-c et enfin le
calcul du non HDL-c [66].
- L’aspect du sérum
Il s’agit d’un examen simple qui doit être systématiquement caractérisé après
centrifugation au début de toute exploration, et devra être interprété de façon cohérente avec
l’ensemble des autres paramètres de l’EAL. Il est directement lié à l’aspect des LP en solution.
Un sérum limpide correspond à un bilan normal ou, en cas d’une hyperlipoprotéinemie, à une
augmentation des LP vectrices de cholestérol (HDL et/ou LDL). En effet, du fait de leurs petites
tailles, les HDL et LDL sont limpides. [67] Par ailleurs un sérum opalescent ou lactescent
indique la présence de LP vectrices de TG (CM ou VLDL).
Méthodes enzymatiques
La méthode enzymatique qui est la plus pratique met en jeu in fine une réaction
indicatrice impliquant une peroxydase et un chromogène de nature phénolique ou non [69]. La
quantification du chromogène formé peut être réalisée en mode cinétique ou en point final. Elles
ont comme avantages d’être spécifiques, de ne pas nécessiter de produit chimique corrosif et
d’être facilement adaptables à l’automatisation [70].
Variations physiopathologiques
Un CT > 7 mmol/l (2,7 g/l) indique une maladie génétique le plus souvent, bien que l’on doit
exclure une hyperlipidémie secondaire, due en général à une hypothyroïdie, à un syndrome
néphrotique ou à une cirrhose biliaire primitive. Par contre un taux très bas de CT, en l’absence
de traitement hypolipémiant, peut être un indice d’un trouble de malabsorption.
On observe aussi des taux de cholestérol qui s’abaissent chez certains patients cancéreux ou
ayant des pathologies infectieuses, en cas d’hyperthyroïdie ou de malnutrition [71, 72].
Le dosage des TG est fondé sur la mesure du glycérol libéré après action d’une lipase.
Sa quantification consiste, après phosphorylation par une glycérol kinase et oxydation par la
glycérol-3-phosphate oxydase, à mesurer le peroxyde d’hydrogène formé par la réaction de
Trinder modifiée [73].
Elles permettent une automatisation du dosage limitant ainsi les erreurs. Il y a toujours
dosage enzymatique du cholestérol, seulement un additif va masquer les LP de basse et de très
basse densité. Différents procédés seront ainsi possibles :
Méthode de référence
La méthode de référence est une méthode β quantification non réalisée en routine, elle
se déroule en trois étapes :
- Indice d’athérogénicité
Les anomalies lipidiques paraissent jouer un rôle prédominant dans la grande fréquence et
la gravité des accidents vasculaires au cours de DT2. Ces désordres ramènent à considérer avec
intérêt leur prise en charge afin de réduire le risque cardiovasculaire [81].
du cholestérol ou l'acide nicotinique à libération prolongée qui agit sur la synthèse hépatique,
ont des effets plus modestes sur la cholestérolémie [82].
Traitement de l’hypertriglycéridémie
Le traitement pharmacologique est dominé par les fibrates, agonistes des PPAR-α, qui
parviennent à diminuer le taux de triglycérides de 20 à 50% dans les formes communes. Les
huiles de poisson et l'acide nicotinique peuvent renforcer l'action des fibrates. Toutefois les
hypertriglycéridémies majeures échappent habituellement à ce type de traitement [82].
CONCLUSION
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TABLE DE MATIERE
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CONCLUSION ___________________________________________________________ 26