Bible de Chirurgie Non Modifiée
Bible de Chirurgie Non Modifiée
Bible de Chirurgie Non Modifiée
UROLOGIE
PROSTATE :
2° Macroscopiquement :
La prostate est formée de 2 lobes latéraux (gauche et
droite) et 1 lobe médian qui entre dans la vessie et c’est
ce lobe qui est très disectasiant (c.à.d. provoquant des
troubles urinaires).
On a 2 types d’incontinence :
-Les vraies incontinences : où les pertes sont dues à
l’incompétence du complexe cervico-sphinctérien :
Incontinence à l’effort : toux, rire, marche ;
Incontinence par impériosité : malgré les efforts de
retenues, il y a fuite à cause du besoin ;
Urination : patient incapable du moindre effort de
retenue, urine ; par exemple colère, émotion et fou
rire ;
Enurésie : urination survenant de façon
involontaire au cours du sommeil ;
Incontinence par regorgement : écoulement
permanent goutte à goutte.
CLINIQUE :
- Syndromes obstructifs et irritatif
- L’examen capital est le TR qui montre, une
prostate ↑ de volume, de surface lisse et régulière,
de consistance élastique ou ferme et indolore.
Q/Examen capital pour diagnostiquer l’HBP ?
R/ c’est le TR (patient en décubitus dorsal ou genu
pectoral), vessie complètement vide.
- La prostate.
Chez la femme elle apprécie les 2 premiers.
PARACLINIQUE :
Les EPC sont des examens de retentissement car le
bilan ou l’examen de certitude est le TR
1er groupe : - ECBU : pcq l’obstruction que crée la
prostate augmentée de volume entraine la stase dans la
vessie. Or la stase, c’est le milieu de pullulation des
germes ;
-Bilan inflammatoire (GB, FL, VS) :
pour confirmer l’infection ;
-Fonction rénale : urée, créatinine et
ionogramme sanguin (pcq l’obstruction empêchant
l’évacuation des urines, stase, dilatation de la vessie, au
3èm stade de Guyon, reflux vésico-urétéral bilatéral,
uretero hydronéphrose impliquant à une insuffisance
rénale) ;
-Taux de phosphatase alcalin ;
-Taux de PSA.
Echographie abdomino-
pelvienne : voit l’état de la cavité pyélo-calicielle à la
recherche des cavités pyélocalicielles témoin de
l’uretero hydronéphrose bilatérale ;
PEC:
Peut être médicale ou chirurgicale
Chirurgicale : ADENOMECTOMIE
TECHNIQUE D’ADENOMECTOMIE
Se fait soit sous endoscopie si HBP < à 60 g,
soit à ciel ouvert (2 techniques) si HBP sup à 60g
cause de l’hémorragie ;
- Syndrome de
réabsorption
transurétral en sigle
« TURP » ;
- Incontinence urinaire,
si l’intervention a lésée
le sphincter strié.
COMPLICATIONS DE L’HBP
1. C’est l’hématurie macroscopique
Q/Cause ?
R/ -A la rupture des varices :
Il se crée sur la paroi vésicale postérieure en regard de
la prostate des dilatations veineuses permanentes dues à
l’adénome de la prostate. Ces veines peuvent se rompre
- 21 -
Q/ Il y a combien de cystostomie ?
- 23 -
1. Sondes simples
Selon la forme générale, on parle de :
- Sonde droite (pas de courbure) ;
- Sonde béquillée (comporte une courbure) ;
- Sonde berniquée (comporte des courbures
inversées)
4. Les bougies
Ce sont des sortes de sondes rigides pleines et de très
petits calibres servant à l’exploration ou à la dilatation
des voies urinaires.
5. Sondes à demeure
Exemple : - Sonde de Pezzer
-Sonde Malecot
- 25 -
Chapitre II ADENOCARCINOME DE LA
PROSTATE
- 26 -
B cancer broncho-pulmonaire
U cancer utérin
T cancer testiculaire
Q/ Examen de certitude ?
- 28 -
BILAN PARACLINIQUE
-d’orientation : -PSA : valeur très élevée sup à 10ng/dl
ou ng/ml
-Echographie prostatique
-Phosphatase acide (valeur normale 3UI/l) et
Phosphatase alcaline (valeur normale 30-100 UI/l).
L’activité de la Phosphatase alcaline renseigne sur les
métastases osseuses pcq ce passage de PA dans le sérum
reflète l’augmentation de l’activité ostéoblastique, c.à.d.
l’accroissement de l’ostéoformation.
TRAITEMENT :
Le traitement du cancer de la prostate ne doit être
entrepris que si l’on a acquis la certitude du diagnostic.
Ce choix de la thérapeutique se base sur :
- Age du patient et nature histologique ;
- Etat vasculaire.
Explication
Castration ou la privation hormonale :
- Est médicale quand on utilise les Œstrogènes, les
agonistes de la LHRH, les anti-androgènes.
Les œstrogènes (Distilibène 1-3 mg/j) bloquent la
production hypophysaire de la LH et dons diminue la
production d’androgènes par les testicules. Ils
augmentent le taux de testostérone binding globuline
d’où une réduction de la testostérone libre. Ils diminuent
le taux d’androgène surrénalien. Effets 2aires : HTA,
AVC, Gynécomastie.
2) Classification :
Q /Donnez la classification de FVV ?
R/ il y a plusieurs types de classification de FVV.
-Classification ETIOLOGIQUE
- Classification de BARROUX (que le Prof LUFUMA
aime)
- Classification de KEES et WALDJICK (que Le Prof
PUNGA aime)
- Classification de GOH (que le prof PUNGA aime
encore)
- Classification de CERAPHIN
A) Classification de COUVELAIRE
C’est une classification étiologique
Q/ Expliquez la survenue ?
A.1) Fistule gynécologique :
Lors de l’accouchement, si disproportion fœto-
maternelle (grosse tête et petit bassin), à la descente, la
- 35 -
B) Classification de CERAPHIN
1) FVV simple : Fistule inf. à 1cm et qui siège au niveau
de la cloison
2) FVV compliqué : atteinte du col et du sphincter
vésicale
3) FVV complexe : atteinte du col, du sphincter vésicale
et rectum
C) Classification de BARROUX
1) type I : Fistule uretero-vaginale
N’intéresse pas la vessie
2) type II : FVV siègent au niveau de la cloison avec
diamètre ≤ à 2,5 cm. Le sphincter et le col sont intacts
3) type III : FVV siègent au niveau du col vésical
4) type IV : c’est le type II avec diamètre> à 2,5 cm et le
col est intact
- 36 -
3) Clinique
Q/Donnez les 3 signes que la femme va vous
rapporter ?
R/ * Odeur urineuse
* Facies d’angoisse à l’entrée
* Le linge mouille
Q/Comment faire l’examen clinique d’une femme
fistuleuse ?
R/1) Inspection : Regardez la face interne des cuisses,
la vulve et le périnée, apprécie la coloration de la peau.
On va déceler les lésions de grattage et d’irritation.
4) Paraclinique
Le diagnostic de FVV est clinique. On peut demander
certains examens d’orientation et de retentissement.
- Retentissement : Fonction rénale : Urée, créatinine,
Ionogramme sanguin
ECBU, GB, FL, VS pcq la FVV
provoque une infection urinaire
Echographie pour voir le
retentissement sur le haut appareil, la FVV provoque
des lithiases qui peuvent être visualisé à l’Echographie.
5) Prise en charge
La FVV n’est soignée que par la chirurgie.
Chirurgicale :
-fermeture de la fistule (dédoublement fermeture donc
suture du vagin d’un côté et de la vessie de l’autre coté)
-d’autre renforce la cloison de séparation soit par le
muscle droit interne ou épiploon.
Selon KIRCUTA : coupé le droit interne avec son
pédicule et la passé dans le périnée
-si lésions urétrales, faire l’urétroplastie
-si lésions du col vésicale, faire la sphinctéroplastie
- 41 -
*CHIRURGICALE
- Urètre antérieur : qui comprend: urètre pénien,
péno-scrotale et bulbaire
- Urètre postérieur : qui comprend : urètre
membraneux et prostatique
Etiologies
Q/Quelle est les causes de la sténose urétrale ?
R/ *Causes congénitales
-Valve de l’urètre postérieure : replis qui se
résorbe si l’enfant est né mais si pas de résorption, on a
un rétrécissement.
- La sténose siège au niveau de l’urètre
postérieur
*Causes traumatiques
- 44 -
*Causes tumorales
- Tumeur du pénis, des corps érectiles compriment
l’urètre et → rétrécissement
- HBP et Adénocar, l’augmentation de la prostate
coince l’urètre prostatique et justifie le rétrécissement.
* Causes iatrogènes
- Fausse route lors du Sonde vésicale
-Dilatation de l’urètre avec le béniquet : un objet
métallique qui lors des mouvements de va et viens pour
la dilatation de l’urètre, provoque de petites plaies qui
sont appelées à cicatriser. Qui dit cicatrisation dit,
fibrose, rétrécissement de l’urètre, sténose
- 45 -
Clinique
a) plaintes
a.1) le syndrome obstructive
*Dysurie : difficulté qu’éprouve le patient à vidangé
sa vessie
*RU
Paraclinique
1. Le bilan de confirmation UCA ou UCRM
*PRODUITS UTILISES
Urographine
2. Bilan de retentissement
- ECBU (la stase)
- Fonction rénale : urée, créa, ionogramme sanguin
- Echographie pour voir l’état du haut appareil et
visualise si calculs urinaires d’organe.
- 50 -
3. Bilan étiologique
Le bilan étiologique n’existe pas pcq la sténose urétrale
est une maladie cicatricielle sauf pour les tumeurs, on
ajoutera le bilan d’extension.
Traitement
- Traitement conservateur ;
- traitement endoscopique ;
- Traitement chirurgical.
a) des séances de dilatation si sténose unique et
incomplète
Q/Avec quoi ?
R/la bougie ou le béniquet
Q/ Comment est étalonné le bernique par rapport au
diamètre de l’urètre ?
R / -Foley = 1/3 de mm
-Béniquet = 1/4 de mm de diamètre de l’urètre
-Nélaton = 1/6 de mm
DESAVANTAGES DE LA DILATATION
- Matériels métalliques : crée un cercle vicieux
Car on part d’une sténose →dilatation→ lésions
→cicatrisation →fibrose→ sténose
Q/ Type de schistosome ?
R/ 5 - Mansoni
- Hematobium (éperon terminale) : est celui qui
provoque une hématurie en Afrique
- Intercalatum (éperon terminal)
- Japonicum
- Mekongi
Le traitement de la schistosomiase est actuellement le
Praziquantel (Beltricide) 40mg/Kg en dose unique.
Dans le temps on donnait Ambicar 25mg/Kg/j pdt 1
semaine qui est abandonné.
- 56 -
CHIRURGIE THORACIQUE
-élongation de
membres inf. concerné
Le syndromede ParkesWeber : caractérisé par
une fistule artério-
veineuse clinique :
-varice des membres inferieurs
-perception de thrill ou
souffle à l’endroit de fistule
b) Causes secondaires
*thrombose veineuse profonde si obstruction qui
bouche ex : la veine
fémorale et le sang prend une circulation de
vicariance dilatation
perte d’élasticitévarice
*Angiodysplasie destruction de muscle lisse de
vaisseau
*pathologie qui détruisent les valvules= retour de
sang non oxygène
toxinelésion de paroi veineuse varice
4. Clinique :
*avant :- lourdeur des membres inferieurs
-châtiments
Q/Prof Kiula : Donnez les manœuvres à faire ?
R/1) manœuvre de Trendelenburg :le malade
surélevé les membres
inférieur qui a les varices jusqu’au zénith pour
vider les sang. Si
fait, on prend un garrot qu’on place au niveau de la
racine de la
- 60 -
Chapitre 2. LYMPHOEDEME
b) Lymphographie
Stade I : tissu lymphatique normale
Stade II : une hypoplasie
Stade III : l’aplasie
Stade IV : hyperplasie
c) Histologique
Stade I : tissu normal
Stade II : sclérose et fibrose par endroit
Stade III : sclérose étendue
5. Paraclinique
Q/ Prof Kiula et Dr Veyi
R/Lymphographie (injection à la face dorsale du
pied du produit de
contraste et après prendre les clichés. Si il y a
fibrose, il y aura
difficulté d’injecter le produit
6. Traitement
a. Médicale
*veinotonique
- 66 -
*kiné
*massage
*bas
b. Chirurgicale
Technique de GIBSON : on fait le pelage (enlevé
tous le tissus sous cutané et déposé la peau sur
l’aponévrose en créant des entrailles pour que le
sang quitte le muscle et vient nourrir la peau. Si
nécrose soignez la plaie jusqu’à avoir le tissus de
bourgeonnement après faire la greffe cutanée.
2. Facteurs favorisants
Q/Prof Mushegera
Nous avons les triades de WIRSCHOW
-stase sanguine
-lésions endothéliales
-hypercoagulabilités
-liquidien :→ hydrothorax
→ chylothorax
→ pyothorax
-solide :→ alimentaire
→ hernie diaphragmatique
*aspiratif
*avec système de Luizy
3. Pneumothorax
Le spontané survient de façon brutale souvent due à
la rupture de bulle d’emphysème
-xylocaïne
-compresse
Méthode : patient en décubitus semi assise
exposant l’hémi thorax
malade, on désinfecte largement allant du
sternum jusqu’au
niveau de l’omoplate
Repères : -sternum
-bord costale
-omoplate
Tout en sachant qu’il y a l’angle de louis jonction
entre le manubrium et bord sternale
-placer un champ stérile
-on prend les repères pour localiser l’endroit ou va
passer le drain :
Soit : -sur la ligne axillaire antérieur moyenne
-sur la ligne axillaire postérieure
On met le champ stérile et on laisse l’empreinte de
l’index
-infiltrer
-on réalise une bourse et on laisse le fil long
-une bourse et à l’intérieure de la 1ère et c’est une
bourse de sécurité
On a le drain arme (avec mandrin) ou non armé
Vous perforez et de que dedans, retirez le mandrin
et glisser le drain
Serer la bourse externe et la bourse interne servira à
fermer l’orifice après ablation. On demande a un
- 72 -
2° drainage aspiratif
3°drainage de luizy
On met un système d’irrigation une solution
d’antiseptique au-dessous, qui nettoie la plèvre
Le drainage est place en bas on peut mettre un
montage en Y
NEUROCHIRURGIE
6)paraclinique
*On doit commencer par le Rx simple face, profil
3/4 gauche et droit
En faisant le 3/4 , on peut retrouver l’image du petit
chien
Schéma
Si HTA : -bâillement
-transpiration
On donne l’éphédrine
En cas de compression, on a l’image de
soustraction, de stop
Schéma
- 80 -
*scanner
7)Traitement :
On a deux volets
a)médical
*hygiènes de la colonne
-éviter les travaux obligeant de fléchir la colonne
-coucher sur le plan dur
*médicamenteux
-anti-inflammatoire (on peut faire des infiltrations)
-antalgique
-associe l’AAS junior à cause de l’œdème du à la
compression obstruant les vaisseaux
*kinésithérapie
-infrarouge
-mouvement pour décontracter le muscle
b)chirurgie
*indications absolu
-paralysante
-anesthésiante
-syndrome de queue de cheval
*indications relatives
-si échec du traitement médical
2)lésions
-luxation(c’est le vertèbre sus jacent qui se luxe par
rapport à la vertèbresous jacent)
-une fracture simple :-fracture séparation du corps
vertébrale
-fracture intéressant l’ase post
de vertèbre
-fracture tassement(peut intéresse le 1, 2, 3 vertèbre
‘fracture luxation
3)cause
-accident de trafique routier
-sportif
B)MOELLE
Comprend la moelle et les racines
1)lésion
*primaire
- 82 -
Q prof kiula
REP :*moelle cervico-dorsale : -artère sous Clavière et
artèresvertébrales
*moelle medio thoracique : -artères intercostales
*moelle lombaire : -artère ADAMKIEWK
4)traitement
Qui tient compte de la siège de la lésion
*région cervicale : si luxation ou fracture
On fait la traction cervicale per crânienne, l’idéal est :
-on met 1 kg pour chaque vertebre
Ex : si c’est C1 1KG
Si c22kg
Si C33KG
NB pour le membre on met 1/10 de son poids
Q instrument utilisé ?
REP : c’est l’étrier
Types des étrier :
Il y a plusieurs, mais au cuk on en conne 2
-étrier de GARGNER
-étrier de CRUSCHFIELD
IL Y A UN QUI EST autotarodante (c-à-d, perce la
boite de soit)
Schéma
Occipital :escarre
Omoplate : escarre
reflexesosteotendineux. Et un syndrome
pyramidal
Q prof pungadonnez les différentesreflexes et
comment les recherchés ?
REP :*mbre sup : -bicipital : il y aura flexion du
coude
-tricuspidien :extension du
coude
-stylo cubitale : supination
-stylo radiale :pronation
*mbreinf : - rotulien :extension de la
jambe sur la cuisse
-achylien : pied en angle droit,
flexion plantaire
synd de BROWN SEQUARD ou d’hémi
section de la moelle
CLINIQUE
Du coté de la lésionunabolition de la sensibilité
profonde épicritique et tactile et un
syndromesynd pyramidale
Du cotéopposé, abolition de la sensibilité thermo
algesique et protopatique
lésionnel lésionnel
-le trouble neurologique est -le trouble se présente en
en rapport avec le niveau de dessous du niveau ou se
la lésion trouve la lésion médullaire
VESSIE NEUROGENE
1) Fonctionnement de la vessie
Chez l’enfant :il a l’arc reflexe, si vessie pleine, avec les
récepteurs de la vessie, l’information va vers la moelle
sacrée ou se trouve le centre de la miction( centre de
BUDGE S2-S4) et donne l’ordre à la vessie de se
contracter pour se vidanger ainsi il urine. Sans que le
cerveau soit intéressé (fonctionnement autonome)
Schéma
ne fait qu’inhiber
Schéma
Si convexité est supérieur si
convexité est inferieur
nécrose car séparation pas de
nécrose
du pédicule avec le lambeau
Q/Image scanographique ?
R/ Une lentille biconvexe
- 92 -
HEMATOME SOUS-DURALE
Se constitue en dessous de la dure mère à cause de la
rupture d’une branche d’artèreméningée moyenne. Au
scanner, on a l’image décroissant ou en demi ligne.
HSD aigu :miment le tableau des HED on peut avoir
une perte de connaissance d’emblée ou 30 minutes après
traumatisme
HSD chronique :intervalle libre (période de lucidité
entre la 1ère et 2ème perte de connaissance) allongé entre
2 pertes de connaissance
CONTUSION
Le cerveau cogne le crâne et il y a des lésions directes
par rapport au coup et correspondra aux lésions de
contre coup. Les stigmates du coup sont à droite et la
lésion est à gauche.
COMMOTION
Perte de connaissance avec le monde pendant quelques
minutes. Perte initiale de durée brève avec récupération
spontanée, pas de déficits neurologiques.
CONTUSION / OEDEME CEREBRAL
- 93 -
3/ PRISE EN CHARGE
Elle est fonction des lésions
a) Plaie simple :parage chirurgicale et suture même si la
plaie dépasse 6 heures, car plaie des extrémités il ya
hyper vascularisation ainsi la cicatrisation est facile
Parage : -nettoyer la plaie
-régulariser les berges
-enlever les corps étrangers
b) Fracture simple :repos
c)Embarrure :si cerveau menacé, opère et enlevez
l’embarrure
d) Ex barrure :faire le pericranium (ronger et le remettre
en place)
e)HSD : drainer
-trou de trépan on utilise un Fraise couronne,
on fait un trou sur le crane en regard de la
lésion
-faire une entaille
f)HED : on aspire
SELON DRETEP
D : définition
Q def : solution de continuité osseuse
NB : pour le prof mokasa, il faut lui reproduire la
définition de son syllabus
Q symptômes ?
REP : a) signes subjectif : -impotence fonctionnelle
-une tuméfaction
-la douleur
b) signes objectif : 1) à l’inspection : -une
déformation du membre
-
raccourcismant du membre
2) à la palpation : -une douleur
excuse
-un
mouvement anormal
-une
crépitation des segments
Fracturés
Q éléments de description d’une fracture ?
- 98 -
REP : il y a 7 éléments
1) le siège : il existe des fractures ;- épiphysaire
-métaphysaire
-diaphysaire
NB : -épiphyse proximale ou distale
-métaphyse proximale ou distale
-diaphyse, 1/3 proximale, 1/3 moyen, 1/3
distale
5) déplacement
a) fracture sans déplacement
b) fracture avec déplacement :-translation
NB/ § translation
Ici on estime le pourcentage
Schéma
- 101 -
Schéma
Chevauchement rotation impaction
angulation
- 102 -
schéma
a 1) a 2) b) c)
d)
Schema
Type I Type II Type III Type
IV Type V
schéma
schéma
RCOMPLICATIONS
IMMEDIATE PRECOCE TARDIVE
A) fracture A) fracture On a une
ouverte ouverte pseudarthrose
-hémorragie -infection de la
B) fracture plaie et ou de
fermée l’os (ostéite si le
Si lésion médullaire n’est
vasculaire on pas atteint, si
aura atteinte de la
l’hématome médullaire, on
- 105 -
PSEUDARTHROSE
Def : absence de consolidation d’une fracture après un
délai normale de
consolidation de cette fracture type et siège du à
l’épuisement de
l’activité ostéogénique
RETARD DE CONSOLIDATION
Def : formation retardée d’une cal sans épuisement de
l’activité
ostéogénique
E ETIOLOGIE
Qui est une force exercée sur l’os qui vains sa résistance
ou soit l’os est fragilisée
T TRAITEMENT
PRINCIPE :-réduction du trait de fracture: qui peut être
orthopédique (si foyer fermé) ou
chirurgicalement (si foyer ouvert)
- 108 -
IMMOBILISATION ORTHOPEUDIQUE
Principe : on immobilise l’articulation sus et sous jacent
Matériels : -bande cambre
-bande Velpeau
-bande adhésive (tensoplaste)
-bande plâtre
IMMOBILISATION CHIRURGICALE
Moyens : a) osteotaxis : il utilise les fixateurs externes,
indiqué pour les
fractures ouverte et immobilise le trait loin du
foyer
- 110 -
Q que signifie :
-fessa : fixateur externe de service de santé française
-a.o : association d’ostéosynthèse
-un rotule
-un pavillon
E EVOLUTION
-bonne si fracture de type I, II, et III a de
gustilloanderson
-si type III b et III c prise en charge à temps l’évolution
serra bonne, si tardive il y aura des séquelles
P PROGRAMME
a)si plâtre
a 1.éléments de surveillance du plâtre
-1ière jour, regardez si plâtre humide ou sec. Si humide
donc il est de
mauvaise qualité
-3ième jours, on contrôle si le plâtre est intact, si il cède
ou présente des
zones de faiblesse
- 113 -
FRACTURE DU FEMUR
3) fracture basicervicale
4) fracture arrachement du grand trochanter
5) fracture arrachement du petit trochanter
6) fracture intertrochanterien
7) fracture pertrochanterien ou transtrochanterien
8) fracture sous trochanterien
9) fracture trochanterodiaphysaire
Q complication de fractures de l’extrémité
supérieur ?
REP : principalement le 1, 2, 3
Majeur : nécrose aseptique de la tête fémorale. Car
il y aura lésion de
l’artère circonflexe qui vascularisé la tête mais une fine
partie du sang
vient de ligament
Schéma
FRACTURE DU BASSIN
Q complications ?
REP :-lésions vasculaires : donne l’hématome si
important on fait une
- 118 -
laparotomie exploratrice
-lésions nerveuses :si sciatique sectionné
-lésion urinaire : -vésicale qui peut être intra
péritonéale ou
Extra péritonéale
-urétrale souvent c’est le
membraneux et le bulbaire
Ainsi on a l’hématurie
fracture du coude
3)la maladie de DUYPUTREIN
4)panaris de KEIN
Chap II :OSTEOMYELITE
Type : deux, qui peut être :- aigue qui atteint souvent les
enfants et se localise au niveau de métaphyse fertile qui
assure la longueur et la croissance de l’enfant (prêt de
genou et loin du coude)
Q clinique ?
REP :a)signes générales :-fièvre
-céphalée
-frisson
b)signes fonctionnels :-impotence fonctionnelle
- 121 -
-douleur du segment de
membre
c)signes physique :-à l’inspection :tuméfaction du
segment du mbre
-à la palpation :-tuméfaction
chaude, douleur
circonférentiel esquisse tout au tour
de la métaphyse
-les mouvements
au niveau de
l’articulation sont bien exécutés
Q Dr bungu : Rx ?
REP : est normale mais on peut observer à un ou deux
semaines une
réactionpériostée
Q PEC ?
REP : OMA : immobilisation dans le ¼ d’heure et
antibiothérapie à forte
dose par la voie parentérale et puis enterale 6 à 9
semaines
plus un anti-inflammatoire
Q types ?
REP :-OMC d’emblée :il y a 3 formes
- 122 -
Q clinique :-déformation
-tuméfaction d’un segment de membre
-fistule
Q complication ?
REP :-fracture pathologique
Q traitement ?
- 123 -
REP :
Principe :-réalisé une excision des tissus mou et osseux
nécrosés ou
Curetage osseux. La cavité laissé béante serra
comblé selon :
TECHNIQUE DE PUROGAGE
TECHNIQUE DE PAPINEAU
TECHNIQUE DE PAPINEAU
-comblé et détersion de foyer infectieux de l’OMC en 3
temps.
1ière temps :excision de tissu mou et os nécrosé jusqu’à
l’os saine, nettoyer
la cavité au sérum physiologique ou dakin et bouret la
cavité de
tille gras qui évite le tissu de granulation pendant 2
semaines,
après défère le pansement enlevé le boudin et il y aura
saignement
2ième temps : greffon osseux, on utilise uniquement le
greffon spongieux
Q cite de prélèvement ?
REP :-crête iliaque
- condyle fémoral
-tibia
- 124 -
Q clinique ?
REP :signes générales :-3 T et 3 A
Signes locales :-voussure lombaire
- 125 -
-scoliose
-signes de compression médullaire
Q Rx ?
REP :-pincement discale
-irrégularité de plateau vertébral sus et sous jacent
-géode dans le corps vertébral
-fracture tassement des vertèbres
-image en fuseau traduisant les abcès suivant le
muscle psoas
Q Paraclinique ?
REP : bilan inflammatoire :-VS est accélérée
-FL à prédominance
lymphocytaire
- 126 -
Q diagnostic différentiel ?
REP :-maladie de KALLER : on recherche le protéine
de benjoin car
elle est thermolabile dans les urines
-hernie discale
Q traitement ?
REP :-repos sur un plan dur plus RHEZ
Q éléments de surveillance ?
REP :a) clinique :-état générale
-le poids
-l’amendement des troubles
neurologique
b)para clinique :-ziehl
Q complication ?
REP :-osseuse :-fracture tassement des vertèbres
-neurologique :-compression d’une racine ou
moelle, ainsi trouble
sphinctérien vésicale ou anale
- 127 -
- 128 -
P3
1)rappel
A)-l’aorte abdominal donne naissance à :
-l’artère cœliaque qui vascularisel’estomac , la rate, une
partie du duodénal et
du pancréas.
-l’art. mésentérique> qui prend la partie restant du
duodénal et du pancréas,
le grêle et le colon jusqu’à l’angle splénique.
Il donne 3 collatérales ; le colique droit >, moyen et <.
Le colique droit < va
donner le tronc bicoeco-ileo-appendiculaire.
-l’art. rénal
-l’art. surrénale
-l’art. mésentérique< qui comprend 2 collatérales : le
colique gauche > et l’<
Le colique gauche <vascularise le coecum
NB/*le mésentérique > et le mésentérique <
s’anastomosent pour donner
- 129 -
l’arcade de Villemin
*le colique droit > et le colique gauche >,
s’anastomosent pour donner
l’arcade de riolan et l’arcade de Drummond qui est rare
B)douleurs abdominales chirurgicales aigue
*du à l’infarctus mésentérique
-pancréatite aigue hémorragique
-infarctus intestino mésentérique
*occlusion intestinale aigue
*infectieuses
-appendicite aigue
-cholécystite aigue
-péritonite aigue
Chap I ;APPENDICITE
Q ce quoi l’appendice ?
REP : c’est un organe lymphoïde ou un diverticule
implanté au bord
posterointerne du coecum, environ 3 cm en dessous de
la valvule
Iléo-caecale, au point de jonction des 3
bandelettes longitudinales du
Caecum. Sa longueur est variable, en moyenne de 8 à 10
cm.
Schéma
- 130 -
schéma
abdominal,
défense à la
fausse iliaque
droite
-maladie
thrombœmbolique
-transverse
-paroi antérieur : muscle grand droit
- 140 -
-amoebome
-adénopathies néoplasique
-parasitose intestinale
f)colique :-cancer du coecum
-cancer du colon ascendant
-sigmoïdite diverticulite aigue
g)appendicite :-mucocele bénigne
-tumeur carcinoïde de l’appendice
-appendicite
h)enfant :-pneumopathie
-rougeole à sa phase preéruptive
-RAA
-méningite
-purpura rhumatoïde
-oxyurose appendiculaire
-tumeur rénale
-lymphomes à début pseudo-appendiculaire
i)paroi :-abcès de l’espace de BOGROS
-tumeur (cellulite, phlegmon, ect)
- 142 -
Chap II :HERNIE
Q clinique ?
- 146 -
Q examen ?
REP : se fait en position debout et couche pour la
hernie simple
schéma
HERNIE DIAPHRAGMATIQUE
Q types ?
REP : -hernie par glissement : est l’ascension du
cardia dans le thorax
suivie de l’estomac
-hernie paraoesophagien :l’ascension de la
grosse tubérosité de
l’estomac alors que le cardia reste dans l’abdomen
-une brachyoesophage : présence de l’estomac
dans le thorax
Q physiopathologie ?
- 150 -
Q para clinique ?
REP ; le Rx
Q TTT ?
REP :a) médical :-éviter de se pencher trop en avant
après repas
-pas de décubitus dorsale ou latérale
-pansement gastrique
Q types d’éventration ?
REP : il y 2 types :
Eventration spontané Eventration traumatique
-paroi abdominale est -paroi abdominale avec
aminci et intacte sans solution de continuité
solution de continuité -il y a des adhérence
-pas des adhérence ni intraabdominale et lésion
lésion intestinale intestinale
Q ttt de l’éventration ?
REP : cure de l’éventration selon la technique de
JUDD (décollement de
l’aponévrose sans ouvrir la cavité abdominale et
suture par des
points en U
Q TTT de l’éviscération ?
REP : cure :ouvrir, nettoyer la cavité abdominale et
refermé la paroi par
le point
- 153 -
SC = 4P+7/90+P
Q comment reanumer ?
REP :a) levez :-le choc hypovolemique du au 3ième
secteur
-le choc septique
En perfusant plus ATB et correction des
troubles électrolytiques
après ionogrammes sanguin
pour le trouble hydrique
formule de Lewis=2 cc /kg/% des
déshydratation/heure de
réanimation
Q il y a combien de stomie ?
REP :a) selon le type :-stomielatérale
-stomie terminale selon hartman
ou en canon de
Fusil
b) selon la durée :-stomie provisoire (pour laisser
passé
l’infection)
-stomie définitive (si tumeur
invaincible→ mort)
- 158 -
schéma
2)diagnosticdifférenciel
Occlusion intestinale Péritonite aigue
aigue
Def. Arrêt de progression Inflammation de
de gaz et matière au feuillet péritonéale qui
niveau du tube peut être locale ou
digestif (du diffus
duodénum au
rectum)
type -haut situer -péritonite localisé
-bas situer -péritonite diffus
- 161 -
*un niveau
hydroaerique
pariétale droit et
gauche et dans le
douglas
(longitudinale)
-couche
externe (circulaire)
Le reste de tube digestif a 4 tuniques
Q bilan de certitude ?
REP : c’est la fibroscopie
Q PEC ?
REP :
Phase initiale : médicale :-pansement gastrique
-levez le choc
-anti-inflammatoire
Phase d’accalmie : rien à faire
Phase de cicatrisation : GASTROCTOMIE
d’alimentation
Technique de FONTAN :
Décubitus dorsale,
anesthésie locale, incision para rectale gauche ou para
médiane gauche au dessus de l’ombilic à 1 ou 2
travers de doigt en dessous de rebord costale.
- 170 -
Chap V :ABCES
- 171 -
Q définitions ?
REP : -abcès : collection purulente dans une cavité
néoformée
-empyème : collection purulente dans une
cavité naturelle bordée
par des limites épithéliale
actinomycas) et
exceptionnellement les
bacille d’EBERTH
Q clinique ?
REP :
Abcès chaud Abcès froid
Signes locaux Douleur, Tuméfaction
chaleur, indolore et
tuméfaction, ferme
rougeur et
impotence
fonctionnelle
Signes Fièvre, Pas des signes
générales courbature, générales
céphalées
Q traitement ?
REP :-abcès chaud : incision, drainage, antibiotique et
Anti inflammatoire
-abcès froid :anti tuberculeux, exérèse en bloque
cad on enlève le granulome sans
l’ouvrir
chap VI :PLAIES
Cicatrisation
Q types d’ulcères ?
REP : 2 types
a) ulcère fagénique :ulcère tropicale ou maladie
mangeur de chaire
b) ulcère variqueux :apparaissent si maladie
vasculaire ex :varice de
membre inférieur,
lymphoedeme
Q traitement ?
REP :< à 6 H ou 8 h :parage chirurgicale et suture
Parage : acte chirurgicale consistant à transformer
une
plaie non chirurgicale en plaie chirurgicale
-excision des tissus dévitalisé
-régularisation de berge
-extraction des corps étrange et caoullot
sanguin
Mécanisme de la cicatrisation
1)l’hémostase :qui peut être spontané ou chirurgicale
2)détersion :spontané (intrinsèque par la réaction
inflammatoire,
extrinsèque par exsudation) ou chirurgicale (parage)
3)réparation :-conjonctive : si perte de substance cutané
ainsi
régénération de tissu conjonctif
- 176 -
ETIOLOGIES
1) cause post opératoire
Spontané Provoqué
Par lâchage des files sur Si réalisation
suture iléale ex : d’abouchement
anastomose termino ileostomie, jejunostomie,
terminale colostomie
2) causes tumorales (fragilisation de grêle , perforation
et si circonscrit,
fistule)
3) causes infectieuses
4) causes traumatiques
Q types ?
REP : deux modes
-par putréfaction : décomposition de tissu mort
-par dessiccation :ischémie
Deux types
-humide, gazeuse
-sec
Q germe producteur des gaz ?
REP : clostridium tétanie
Clinique
Gangrené humide gangrené
sec
Peau avec odeur de sourie segment
de membre froid
Pourri sans pouls
TRAITEMENT : amputation
COMPLICATION D’AMPUTATION
-immédiate : hémorragie
-précoce :-membre fantôme (malade ressent la présence
de membre
amputé)
-névrome d’amputation (douleur type
neurogene du à l’irritation
de nerf par la peau)
-infection du moignon d’amputation
Chap IX :BRULURE
Tronc : (9×2)×2
Membre < : 14×2
EVANS
Q= Q1 + Q2
Q1=1ml × kg × surface brûlé
Q2=Q1 + ration hydrique de base
RB : enfant 120 cc / kg
Adulte 2000cc
Comment réhydraté ?
1ière jours : donne 1/2 de Q en 8 heures et l’autre 1/2 de
Q en 16 heures
QUALITE DE LIQUIDE
Q1 :représente le macromolécule, il y a le protéinique et
le non protéinique
Ex : albumine
Plasma
Hemacele
Reomicrodex
Q2 :compose de crystaloide plus solution bicarbonate,
lactate ringer, sérum
physiologique, sérum glucosé 5 %
ETENDU
Adulte : si % entre 30 %
Enfant : 10 à 15 %
Chap X :THYROIDE
Q Dr veyi ;
GOITRE :tuméfaction diffuse et multi nodulaire de la
thyroïdedu à un hyperplasie bénigne et non
inflammatoire
chap XI :ESCARE
stade 1 : érythème
stade 2 : phlyctène (plaie superficielle suintante si
rompu)
stade 3 :plaie profonde avec tissus nécrotique
- 192 -
Si punga : il y 4 types
- autogreffe : réalisée chez la même personne
- isogreffe : réalisée chez deux individu
différent avec système
- HLA identique ex : jumeau vrai
- Hétérogreffe ou zenogreffe ; greffe entre 2
espèces différent
- ex :homme et un
animal
- Halo greffe :deux individu avec système HLA
différent
- 193 -
P4
CHAP 1/MEGACOLON CONGENITAL
Q prof puntu : autre nom ?
REP : maladie d’HIRSCHSPRUNG
Q causes ?
a)REP :ventre plat :-atrésie duodénal
-syndrome du mésentère commun
NB : £ atrésie : diaphragme au niveau de la 2ième portion
du duodénum, en dessous de
l’ampoule de VATER.
TRAITEMENT
-on va court-circuité l’atrésie
£ pour le syndrome du mésentère commun, comme
c’est la rotation autour de l’axe de l’artère mésentérique
supérieure, ainsi l’ischémie du grêle coecum colon
ascendant, grande partie du colon transverse, rotation de
360 degré
Clinique : -vomissement
-absence d’émission de matière et gaz
- 196 -
-sphacèle, nécrose
Abdomen sans préparation donne l’image en double
estomac pas nette
Traitement :détordre et fixe les intestins et réalisez
une appendicectomie
-biopsie rectale
Q prof bianda : la composition de la baryte ?
REP : sulfate de baruim
Q traitement ?
REP :a) ttt palliatif : pour la forme tardive, mesures de
nursing(lavement
évacuateur, régime riche en fibre et laxatif
SCHEMA
Q éléments de différence ?
REP)
- 199 -
C: cardiaque
T: trachéale
E: esophagien
R E :rénale
L : limbs (membres)
d)la fistule
-est urinaire -périnéale
Clinique :meconurie ou
Fecanurie
e) pronostic
-réservé -est bon
Clinique :
occlusion néonatale
Q la clinique ?
REP : est celle d’une occlusion néonatale
Q le bilan diagnostique ?
REP : -c’est la radiographie de l’abdomen en incidence
de WANGESTEEN et RICE
Qui est une incidence de profil, tête basse, cuisse
fléchie sur le bassin,
jambes surles cuisses, et pieds sur les jambes. On prend
une plaque
radio opaquequ’on place à l’endroit supposé entré de
l’anus. Ainsi l’air
contenu dansle tubedigestif va opacifier les limites
inférieures
- 201 -
Q le bilan de retentissement ?
REP : fistule urinaire : ECBU, fonction rénale
Q traitement?
REP: MAR haute on le ttt en deux temps
1ière temps : colostomie de décharge
2ième temps : se fait à une année ou si enfant pèse
10 kg, l’abaissement
MAR basse : proctoplastie
Q complications ?
- 202 -
CHAP 3/ SPINABIFIDA
CLINIQUE
OCCULTA : fortuitement lors de Rx pour autre chose
MENINGOCELE : -tuméfaction à la région
lombosacrée, mole de consistance au test
detrans illumination positif
-pas de trouble neurologique
MYELOMENINGOCELE : -masse mole de
consistance à la trans illumination négative
-trouble neurologique ; si
lombosacrée, paraplégie, trouble
sphinctérienne anale et vésicale
- malformation associée
Q TRAITEMENT ?
REP :- meningocele : cure, résection de l’enveloppe et
on renforce la fermeture
de la paroi
-myelomeningocele : décollé le filé nerveux le
réintroduire dans le canal
réséquez l’excès de méninge et renforcez la paroi
mais la récupération neurologique est douteuse
-hydrocéphalie :s’assurez de la stérilité de LCR si
pas d’infection, faire une
dérivation
- 206 -
Q types de dérivations ?
REP :externe
interne
Le cathéter draine avec un
dérivation en dehors de boite
Collecter
crânien et dans le corps humain
-
ventriculo atriale (oreillette gauche)
-
ventriculo péritonéale
-
cathéter au niveau de la plèvre
risque d’hydrothorax
-
cathéter au niveau de péricarde,
risque de tamponnade cardiaque
sidiamox : diurétique qui ↓ la quantité d’eau dans le
corps
l’hernie
-si pas accouché ou grossesse, supplémentassions
en acide folique
Q traitement ?
REP :techniquede GROB : est conservateur car on
réalise des pansements continue au mercurochrome de
ces viscères herniés pour transformer l’omphalocele à
une éventration, en fin faire la cure de l’éventration
Q danger de mercurochrome ?
REP : l’intoxication rénale à cause du mercure ainsi
contrôlez régulièrement la fonction Ranale
schéma
Q stades de l’omphalocele ?
REP /
Selon PETER JONES : il existe 5 types
d’omphaloceles
Type I :- orifice ≤ à 2,5 cm
-Diamètre ≤ à 5 cm et
-Le foie n’est pas présent dans la membrane de
gelée de warton
Type II : -orifice > 2,5 cm
-Diamètre > 5 cm
-Le foie rarement présent
- 210 -
EXPLORATIONS
-échographie abdomen
-urographie intraveineuse
-cystographie ou UCA UCRM
Il y a 5 composantes
Type I : qui est classique (fusion au pole<) Type II :
fusion à leur pole >
- 212 -
Type V :
A) RENALE
Q prof mushe
- 214 -
PROGRAMME : -ECBU
-fonction rénale
(urée créatinine)
-cystographie
-
uretrocystographie
CAT : réimplantation des uretères au niveau de la vessie
en
cherchant à reformer l’angle vesicoureterale
A 4) extrophie vésicale
Anomalie congénitale
musculaire et osseuse caractérisé par l’absence de la
- 216 -
Q technique de dérivation ?
REP : technique de COFFEY : on abouche les uretères
au sigmoïde.
Mais crée des troubles
hydroelectrolitiques et à la longue une infection des voie
urinaire haute à cause de l’absorption des déchet et
- 217 -
Technique de BRIKER
Q types de VUP ?
REP : 3 types
Type I : ou les valves partent du pole inférieur du venu
montano sans se touché
dans leur pole libre
Type II : du pole inférieur du venu montano et le deux
replie se touchent par leur pole
Type III : diaphragme complet
Schéma
Type I Type II
Type III
Bilan de retentissement
-ECBU
-urée créatinine
-écho
B 2) hypospadias
Caractérisé par l’abouchement
anormale sur la face ventrale du méat urétrale. Le penis
a deux faces une ventrale et l’autre dorsale
- 219 -
Q types ?
REP : -hypospadias antérieur
-hypospadias moyen
-hypospadias postérieur
Schéma
1) hypospadias glandulaire
2) hypospadias balano-preputial
3) hypospadias pénien antérieur
4) hypospadias pénien
5) hypospadias pénien postérieur
6) hypospadias peno scrotale
7) hypospadias scrotal
8) hypospadias périnéal
Q examen à demander ?
REP : confirmation est clinique
Retentissement : -ECBU
-écho abdominal
Pour le forme post, on demande le CARYOTYPE car ils
s’associent à des ambiguïtés sexuels, l’écho pelvien
TRAITEMENT : -hypospadias ant :
URETROPLASTIE, avec la peau du gland. D’où
avant une circoncision, il faut vérifier la position du
méat car
aprèssl’acte, on aura des difficulté de faire la plastie car
les
sutures seront sous tension.
- 220 -
B 3) épispadias
Abouchement anormal au niveau de la
face dorsale du penis. Même classification que
l’hypospadias