Audit Comptable Et Financier-Elyas Saad-Aif3-M2-Ratt
Audit Comptable Et Financier-Elyas Saad-Aif3-M2-Ratt
Audit Comptable Et Financier-Elyas Saad-Aif3-M2-Ratt
COMPTABLE
AUDIT DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT (AUDIT BANCAIRE)
ELYAS SAAD
AIF3
M2
02 FEV 2020
ENCG SETTAT
AUDIT FINANCIER ET COMPTABLE
Le principal acteur est constitué par le réseau public des Banques Populaires. Viennent
ensuite les autres banques et celles contrôlées majoritairement par des actionnaires
étrangers, parmi lesquelles la BMCI, filiale de BNP-Paribas, et le Crédit du Maroc, filiale
du groupe Crédit Lyonnais-Crédit Agricole. Enfin, la Caisse de Dépôt et de Gestion est
extrêmement active dans les secteurs de l'immobilier et du tourisme, en
accompagnant les projets d'intérêt général et en intervenant dans une logique
d'amorçage pour des projets plus modestes.
Il faut ajouter à ceci que le système bancaire marocain est caractérisé par une forte
présence de banques étrangères de ce fait toutes les grandes banques privées du
royaume comptent dans leur actionnariat des banques étrangères
a. Bank Almaghreb :
Bank Almaghreb est créée par le dahir n°1-59-233 du 23 hija 1378(30juin 1959), son
capital est fixé à 500000000 de dirhams, ce capital est entièrement détenu par l'Etat.
Parmi ces missions, on peut citer :
Parce que si nous stabilisons les prix, s'il n'y a pas d'inflation, tout un chacun, qu'il
soit l'investisseur, l'épargnant, l'opérateur économique, peut faire ses calculs et ses
anticipations sans avoir à être sous la menace de l'inflation qui peut véritablement
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remettre en cause toutes les projections. C'est notre contribution fondamentale, elle
est clairement définie et le texte nous a donné l'indépendance totale de le faire »
Six membres désignés par le Premier Ministre, dont trois sur proposition du
Gouverneur, parmi les personnes connues pour leur compétence en matière
monétaire, financière ou économique et n'exerçant aucun mandat électif, aucune
fonction de responsabilité dans les établissements de crédit ou à caractère financier
ou dans l'administration publique.
- M. Bassim JAI-HOKIMI ;
- M. Mohamed BENAMOUR ;
- M. Mustapha MOUSSAOUI ;
- M. Abdellatif BELMADANI ;
Une requête qui apparemment ne date pas d’aujourd’hui, vu que cela fait au moins
une décennie que la Banque centrale avait sollicité la Direction générale des impôts
pour un tel alignement. «C'est un dossier que nous avons ouvert avec la Direction
générale des impôts il y a déjà 10 ans. Nous leur avons demandé d’examiner ensemble
la convergence des règles prudentielles et des règles fiscales», rappelle à ce titre le
gouverneur Abdellatif Jouahri à l’occasion du dernier Conseil de BAM.
L’argentier étaye ses propos par une liste de pratiquement 80 pays où ces règles
convergent. Et d’ajouter : «les banques n’ont pas intérêt à surestimer les provisions,
car elles sont suivies par la Bourse, par les actionnaires et par l’autorité de contrôle…».
Du coup, la DGI ne peut appliquer les mêmes règles à une banque et à une petite
entreprise. Les banques au Maroc disposent de leur propre plan comptable et sont
sous la tutelle d’un régulateur.
Ambivalence !
Cette distorsion entre les dispositions fiscales et les règles de provisionnement des
créances en souffrance n’est pas propre aux banques, mais s’étend également aux
sociétés de financement et aux compagnies d’assurances. Mieux encore, elle ne se
limite pas aux règles de provisionnement, mais aussi à celles de l’amortissement.
Interrogé sur l’enjeu d’un tel débat, Hicham Bensaid, directeur des risques et de
l’information à Euler Hermes Acmar, confirme qu’il s’agit d’un débat de fond. A son
tour, il prétend que c’est incompréhensible pour un opérateur économique que deux
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entités publiques de tout premier plan, telles que la Banque centrale ou l’Autorité de
contrôle des assurances et de la prévoyance sociale prévoient des dispositions
spécifiques (par exemple, provisionnement des créances problématiques sur base
statistique), alors qu’un autre pôle étatique, l’Administration fiscale en l’occurrence,
adopte un principe tout à fait différent. Il plaide ainsi pour une harmonisation entre
les différents organes publics.
A noter que cette déconnexion entre les règles comptables et celles fiscales n’est pas
propre à notre pays. Même sous d’autres cieux, elle a souvent fait l’objet d’incessantes
discussions. Et le débat n’est pas fini pour autant. La connexion comptabilité/fiscalité
est complexe, car ambivalente.
Avant de présenter les différents risques étudiés dans cette approche d'audit, il est
nécessaire de présenter une définition bien spécifique sur la notion du risque.
« Le risque d'audit est le risque qu'un auditeur puisse exprimer une opinion
inappropriée sur une information financière comportant des inexactitudes
significatives ».
« Le risque d'audit peut être défini, à mon sens, comme le risque que des erreurs ou
irrégularités n'aient pas été détectés après l'accomplissement de l'audit et que ces
erreurs ou irrégularités affectent de manière significative les comptes certifiés ».
Certes, lors de la planification de l'audit, l'auditeur doit évaluer le risque qu'une fraude
ou qu'une erreur conduit à des anomalies significatives dans les états financières et
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doit interroger la direction sur toute fraude ou erreur significative qui aurait été
détecté. 6
Ajoutant que la norme I.S.A 240 définit la fraude comme « un acte volontaire commis
par une ou plusieurs personnes faisant partie de la direction ou des employés, ou par
des tiers, qui aboutit à des états financiers erronés ».
L'erreur, selon l'I.S.A 240, est définie comme une inexactitude involontaire contenue
dans les états financières telle que :
De manière générale, s'il existe de très nombreux risques d'erreurs, ils n'ont pas tous
la même probabilité de se réaliser. On distingue généralement :
o Les risques possibles : ces sont les risques potentiels contre lesquels une entreprise
donnée ne s'est pas dotée de moyens pour les limiter. Il existe alors une forte
probabilité que des erreurs se produisent et ne soient ni détectées, ni corrigées par
l'entreprise. Ce sont ces risques possibles que l'auditeur va s'efforcer de recherche
tout au long de sa mission.
• Qu'ils puissent être liés au secteur d'activité dans lequel l'entreprise exerce
son activité.
• Qu'ils peuvent être attachés à l'entreprise elle-même.
• Enfin, qu'ils peuvent dépendre de la nature des opérations traitées par
l'entreprise.
On peut définir le risque inhérent comme étant « le risque qu'un solde de compte ou
une catégorie d'opérations puisse renfermer une inexactitude qui, seule ou ajouté à
des inexactitudes présentes dans d'autre soldes ou catégorie, pourrait être
significative à supposer qu'il n'y ait pas de contrôles internes s'y rapportant. Ce risque
est lié aux activités de l'entité, à son environnement et à la nature du solde de compte
ou de la catégorie d'opérations concernée » 10. Certes, ce risque peut être décomposé
en deux risques à savoir :
Il s'agit des risques qui sont de nature à influencer l'ensemble des opérations de
l'entreprise.
Chaque entreprise, selon le secteur dans lequel elle opère, sa structure et son
organisation, possède des caractéristiques qui lui sont propres et qui rendent plus ou
moins probables la concrétisation de ces risques potentiels. Pour contrôler une
entreprise, l'auditeur doit donc identifier les risques qui la distinguent des autres.
Ainsi, l'auditeur va se documenter sur l'activité de l'entreprise et sur son secteur
d'activités. Il devra également se renseigner sur l'organisation et la structure de
l'entreprise.
Le risque de non contrôle appelé encore risque lié au contrôle interne représente la
possibilité que les défaillances intrinsèques du système d'informations de l'entreprise
ne lui permettent pas de produire des comptes fiables. Ainsi, ce type de risque consiste
en la possibilité que le système de contrôle interne ne permette pas de détecter une
erreur dans les états financiers ou ne prévienne pour la réalisation d'erreurs dans un
compte ou un flux de transactions.
Peu importe que le risque inhérent (risque général lié à l'entreprise et risque lié aux
opérations comptables) soit élevé si le système de contrôle interne a été bien conçu
et si son application est correctement effectuée, cela vient en effet réduire
considérablement l'apparition des erreurs.
Le risque de non détection est le risque que les procédures mises en oeuvre par
l'auditeur ne lui permettent pas de détecter une inexactitude présente dans un solde
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C'est donc le risque que les contrôles mis en œuvre par le réviseur ne détectent pas
les erreurs dans un compte ou un flux de transaction. Ils ont pour conséquence de
pouvoir faire émettre au réviseur une opinion inappropriée sur les états financiers.
Ainsi, le choix par l'auditeur des procédures mises en œuvre, de leur étendue et de la
date liée à ses interventions entraîne obligatoirement un certain niveau de risque que
le commissaire aux comptes doit s'efforcer de minimiser. Il n'est en effet pas possible,
notamment pour des raisons de coût et d'efficacité, d'obtenir une assurance absolue
que les comptes annuels ne contiennent pas d'erreurs, quels que soient les systèmes
mis en place par l'entreprise ou les contrôles de détection mis en œuvre par l'auditeur.
Jacques POTDE VIN ajoute que le risque d'audit est le risque que les erreurs
significatives subsistent dans les comptes annuels et que l'auditeur, ne les ayant pas
détectées, formule une opinion erronée.
En outre, sur ce risque, la norme ISA 240 de l'IFAC indique que : « tout audit est
soumis au risque inévitable de non détection d'anomalies significatives dans les états
financières, même s'il a été correctement planifié et effectué. Sauf preuve contraire,
l'auditeur est fondé à considérer les déclarations qu'il reçoit comme exactes et les
enregistrements comptables et les documents comme authentiques ». Il précise
également que : « même un système comptable et de contrôle interne performant
risque de ne pas détecter une fraude impliquant la collusion d'employés ou une fraude
commise par la direction ».
Cette notion reflète le fait que les comptes de chaque entreprise recèlent
nécessairement des erreurs et des inexactitudes, car ils sont le résultat d'un processus
comptable forcément imparfait et que, en outre, se base sur des hypothèses et des
estimations subjectives.
L'objectif à atteindre n'est donc pas de dire que les comptes sont exacts, mais de faire
en sorte que le montant des erreurs soit inférieur à un seuil défini. Dans ce contexte,
le risque d'audit devient le fait que le montant cumulé des erreurs soit supérieur au
seuil de matérialité c'est-à-dire qu'il ait un impact considéré comme significatif sur les
comptes certifiés.
AUDIT FINANCIER ET COMPTABLE
L'audit interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation
une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils pour
les améliorer, et contribue à créer de la valeur ajoutée. Il aide cette organisation à
atteindre ses objectifs en évaluant, par une approche systématique et méthodique,
ses processus de management des risques, de contrôle, et de gouvernement
d'entreprise, et en faisant des propositions pour renforcer leur efficacité.
Compte tenu de la confiance placée en l'audit interne pour donner une assurance
objective sur les processus de management des risques, de contrôle et de
gouvernement d'entreprise, il était nécessaire que la profession se dote d'un tel code.
Le code de déontologie va au-delà de la définition de l'audit interne et inclut deux
composantes essentielles :
Le code de déontologie s'applique aux personnes et aux entités qui fournissent des
services d'audit interne.
Toute violation du Code de Déontologie par des membres de l'Institut, des titulaires
de certifications professionnelles de l'IIA ou des candidats à celles-ci, fera l'objet d'une
évaluation et sera traitée en accord avec les Statuts de l'Institut et ses Directives
Administratives.
Le fait qu'un comportement donné ne figure pas dans les Règles de Conduite ne
l'empêche pas d'être inacceptable ou déshonorant et peut donc entraîner une action
disciplinaire à l'encontre de la personne qui s'en est rendue coupable.
Principes fondamentaux3(*) :
Il est attendu des auditeurs internes qu'ils respectent et appliquent les principes
fondamentaux suivants :
Intégrité
L'intégrité des auditeurs internes est à la base de la confiance et de la crédibilité
accordées à leur jugement.
AUDIT FINANCIER ET COMPTABLE
Objectivité
Les auditeurs internes montrent le plus haut degré d'objectivité professionnelle en
collectant, évaluant et communiquant les informations relatives à l'activité ou au
processus examiné. Les auditeurs internes évaluent de manière équitable tous les
éléments pertinents et ne se laissent pas influencer dans leur jugement par leurs
propres intérêts ou par autrui.
Confidentialité
Les auditeurs internes respectent la valeur et la propriété des informations qu'ils
reçoivent ; ils ne divulguent ces informations qu'avec les autorisations requises, à
moins qu'une obligation légale ou professionnelle ne les oblige à le faire.
Compétence
Les auditeurs internes utilisent et appliquent les connaissances, les savoir-faire et
expériences requis pour la réalisation de leurs travaux.
Règles de conduite4(*) :
Intégrité
Doivent respecter la loi et faire les révélations requises par les lois et les règles de la
profession.
Ne doivent pas sciemment prendre part à des activités illégales ou s'engager dans des
actes déshonorants pour la profession d'audit interne ou leur organisation.
Objectivité :
Ne doivent pas prendre part à des activités ou établir des relations qui pourraient
compromettre ou risquer de compromettre le caractère impartial de leur jugement.
Ce principe vaut également pour les activités ou relations d'affaires qui pourraient
entrer en conflit avec les intérêts de leur organisation.
Doivent révéler tous les faits matériels dont ils ont connaissance et qui, s'ils n'étaient
pas révélés, auraient pour conséquence de fausser le rapport sur les activités
examinées.
Confidentialité :
Doivent utiliser avec prudence et protéger les informations recueillies dans le cadre
de leurs activités.
AUDIT FINANCIER ET COMPTABLE
Compétence
Ne doivent s'engager que dans des travaux pour lesquels ils ont les connaissances, le
savoir-faire et l'expérience nécessaires.
Doivent réaliser leurs travaux d'audit interne dans le respect des Normes pour la
Pratique Professionnelle de l'Audit Interne (Standards for the Professional Practice of
Internal Auditing).
Les missions, les pouvoirs et les responsabilités de l'audit interne doivent être définit
dans une charte (un document officiel qui définit la mission, les pouvoirs et les
responsabilités de l'activité exercée). Cette charte permet de déterminer le rôle de
l'audit interne dans la banque et de fournir à la direction générale de la banque et au
conseil d'administration une base d'évaluation de ses activités. En outre, l'auditeur
interne doit périodiquement évaluer si la mission, les pouvoirs et les responsabilités
sont définis dans la charte car elle représente une référence pur atteindre les objectifs
tracés.
L'indépendance et objectivité :
Les auditeurs internes sont tenus pas deux principes essentiels, l'indépendance dans
l'organisation et l'objectivité individuelle. En d'autres termes, il faut respecter le
principe suivant : « l'audit interne doit être indépendant et les auditeurs interne
doivent effectuer leur travail avec objectivité »
afin de communiquer les informations sur la planification et sur les activités de l'audit
interne.
L'objectivité individuelle :
L'objectivité individuelle est une attitude d'esprit dont on doit faire preuve chaque
auditeur. En ce sens, les auditeurs doivent réaliser leur missions en étant en confiance
dans l'élaboration des résultats de leurs travaux et de ne pas se sentir incapable de
porter des jugements professionnels objectifs.
A cet effet, les affectations au sein de l'équipe des auditeurs internes doivent être
effectuées en tenant compte de tout conflit d'intérêt afin de ne pas influencer
l'indépendance de la fonction d'audit interne bancaire.
Les auditeurs internes doivent signaler aux responsables de l'audit interne toutes les
situations dans lesquelles l'existence d'un conflit d'intérêt ou d'un parti qui peut
influencer leur indépendance ou leurs objectivités. Ainsi l « es auditeurs interne
doivent s'abstenir d'auditer des opérations particulières dont ils ont été auparavant
responsables ». Par contre, « les auditeurs internes peuvent être amenés à réaliser
des missions de conseil liées à des opérations dont ils ont été auparavant responsables
». Mais, « si l'indépendance ou l'objectivité des auditeurs internes sont susceptibles
d'être compromis lors des missions de conseil qui leur proposées, ils doivent en
informer la direction générale avant de les accepter ». De même, l'indépendance et
l'objectivité de l'auditeur interne risquent d'être toucher lorsque l'auditeur assume une
fonction qu'il est susceptible d'auditer.
- les compétences
L'auditeur interne doit assurer à son travail un soin et un savoir-faire en tenant compte
de la prudence et de la compétence. Ainsi, il doit améliorer sa connaissance, son
savoir-faire et d'autres compétences par des formations continues.
Le premier consiste à aider l'auditeur interne à apporter une valeur ajoutée aux
opérations de la banque. Le second permet d'améliorer les opérations, et de garantir
sa conformité avec les normes.
L'objet de cette évaluation est d'apprécier la quantité des travaux d'audit interne et
d'émettre des recommandations. On distingue deux types d'évaluation : en premier
lieu, l'évaluation interne qui se base sur des contrôles continus du fonctionnement de
l'audit interne. En deuxième lieu, l'évaluation externe qui se base par contre sur la
compétence et le savoir-faire d'une organisation extérieur indépendante.
L'auditeur interne doit gérer l'activité bancaire de façon à garantir qu'elle apporte une
valeur ajoutée.
La communication et approbation :
En outre, « le responsable de l'audit interne doit veillé à ce que les ressources affectées
à l'activité bancaire soient adéquate, suffisantes et mises en oeuvre de manière
efficace pour réaliser le programme approuvé ».
AUDIT FINANCIER ET COMPTABLE
Le responsable de l'audit interne doit mettre en place des règles et des procédures
donnant un cadre à l'activité de l'audit interne bancaire.
La coordination
La nature du travail :
La nature des travaux de l'audit interne se définit par une approche systématique et
méthodique d'évaluation et d'amélioration de l'efficacité des processus de
management des risques, de contrôle et de gouvernement de la banque.
Les auditeurs interne doivent examiner et évaluer les processus de management des
risques mis en oeuvre par le management, vérifier qu'ils sont suffisants et efficaces,
puis émettre des rapports et des recommencements en but d'amélioration des
systèmes de management des risques et de contrôle.
Le contrôle
D'une part l'auditeur interne doit disposer d'un contrôle approprié permettant
l'évaluation de son efficacité et encourageant son amélioration. D'autre part, l'auditeur
interne doit se baser dans son évaluation sur les aspects suivants :
La protection du patrimoine
Le gouvernement d'entreprise :
La planification de la mission :
Les objectifs de la mission d'audit interne et son champ d'intervention doivent être
définis dans le processus de management des risques, de contrôle et de gouvernement
d'entreprise bancaire.
L'accomplissement de la mission :
Les auditeurs internes doivent identifier les informations nécessaires, fiables et utiles
pour atteindre les objectifs de la mission.
L'analyse et évaluation
Les auditeurs internes doivent se baser dans leur jugement et leurs résultats sur des
analyses et des évaluations adéquates à la nature et spécificité de la mission.
Les auditeurs internes doivent documenter les informations pour dégager les
conclusions et les résultats qui serviront à l'exécution de la mission. De plus, le
responsable de l'audit interne doit mettre en place des procédures de protection et de
conservation des dossiers de la mission de conseil.
La supervision de la mission
AUDIT FINANCIER ET COMPTABLE
Les missions doivent être supervisé afin de dégager si les objectifs sont atteints ou
non.
La qualité de la communication :
La communication doit être objective et juste, nan biaisée et résulte d'une évaluation
équitable et non influencer par les faits et recommandations. Ainsi, les conclusions et
les recommandations doivent être développées et exprimées de façon claire, logique
et facile.